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1.
Summary Most dihaploids derived from cv. Pentland Crown had higher yields, when expressed as percentages of their parent's yield, than did those of cv. Record. Some genes of Pentland Crown may have a greater additive effect on yield than those of Record but there may also be differences in deleterious recessives which are expressed in their dihaploids. The frequency distributions of specific gravities and sprout lengths of the dihaploids were similar for both cultivars. Some genes may have an additive effect on specific gravity but the small sprout lengths of dihaploids may be due to their often weak constitution caused by the expression of deleterious genes. The distribution of foliage blight (Phytophthora infestans) resistance in dihaploids of resistant tetraploids indicates that multiplex genes may determine the resistances in the parents.
Zusammenfassung Ertrag, mittleres Knollengewicht und die Knollenzahl pro Pflanze von Dihaploiden der Sorten Pentland Crown und Record (Abb. 1,2 und 3) zeigen, dass sich Unterschiede (signifikant für Ertrag und mittleres Knollengewicht,P<0,01) zwischen beiden Sorten ergeben k?nnen, wenn der Ertrag und seine Komponenten genetisch determiniert waren. Die meisten Dihaploiden von Record hatten weniger als 10% der Ertr?ge ihrer Eltern, w?hrend die Ertr?ge der meisten Dihaploiden von Pentland Crown zwischen 20 und 50% schwankten. Ein betr?chtlicher Teil von Pentland Crown-Dihaploiden hatten h?here als modale Werte für mittleres Knollengewicht und mittlere Knollenzahl pro Pflanze. Mehrere Gene von Pentland Crown und ihrer Dihaploiden dürften deshalb additive Einflüsse auf den Ertrag und seine Komponenten haben. Deshalb dürfte von diesen Klonen eine signifikante generelle Kombinationsf?higkeit (GCA) für diese Eigenschaften erwartet werden, wenn sie bei der Züchtung verwendet werden. Erste Daten von tetraploiden Nachkommen von dihaploid × tetraploid-Kreuzungen (siehe Tabelle I mit der Herkunft des Materials) zeigen jedoch, dass solche GCA-Effekte nicht wesentlich waren. Dies k?nnte so sein, weil die spezifische Kombinationsf?higkeit wichtiger war oder weil Unterschiede in Zahl und St?rke von nachteiligen Genen, die vorher bei den Sorten verborgen waren, vorhanden waren. Tabelle 2 zeigt die Korrelationskoeffizienten zwischen Ertrag, mittlerer Knollenzahl, mittlerem Knollengewicht, spezifischem Gewicht und Keiml?nge für Dihaploide von Pentland Crown und Record. Dabei ergaben sich signifikante Korrelationen zwischen Ertrag und seinen Komponenten, aber keine signifikante negative Korrelation zwischen Knollenzahl und mittleren Knollengewicht. Einige Dihaploide hatten ein h?heres spezifisches Gewicht als ihre tetraploiden Eltern. Die spezifischen Gewichte der Dihaploiden waren um ein Mittel verteilt, welches ann?hernd gleich mit dem der Eltern beider Sorten (Abb. 4) war; vermutlich waren sowohl additive als auch nicht-additive Effekte für die Determinierung des spezifischen Gewichtes von beiden Eltern erforderlich. Die Keiml?ngen dihaploider Knollen waren durchweg gering (Abb. 5), dies dürfte auf die Anwesenheit nachteiliger rezessiver Gene zurückzuführen sein, welche die oft nur schwachen Konstitutionen von Dihaploiden beider Sorten kennzeichnen. Genetische Unterschiede zwischen Sorten, welche anderenfalls als unterschiedliche dihaploide Variationsmuster bezeichnet worden w?ren. k?nnten deshalb maskiert gewesen sein. Hohe Grade an quantitativer Resistenz gegenüber Krautf?ule (Phytophthora infestans) in den meisten Dihaploiden von zwei resistenten Tetraploiden zeigten, dass einige dominante Gene, die die Resistenz bestimmen, multipel sein k?nnten (Abb. 6). Zus?tzlich zur Informationssteigerung über die genetische Determinierung landwirtschaftlich wichtiger Merkmale in Tetraploiden ist die Produktion von Dihaploiden eine Methode zur ?nderung von Gen-Verbindungen ohne Einführung von fremden genetischem Material. Es k?nnten mehr erwünschte Gen-Kombinationen ermittelt werden, die als Resultat für Kartoffel-Züchtungsprogramme ausgebeutet werden k?nnten.

Résumé Le rendement, le poids moyen de tubercules et le nombre de tubercules par plante des diplo?des de Pentland Crown et Record (fig. 1, 2 et 3) montrent qu'il peut y avoir des différences (significatives pour le rendement et le poids moyen de tubercule,P<0.01) entre les deux variétés, du fait que les composantes du rendement étaient déterminées. La plupart des diplo?des de Record ont des rendements inférieurs de 10% à ceux de leurs parents, alors que les diplo?des de Pentland Crown donnent des rendements compris entre 20 et 50%. Une proportion assez grande de diplo?des de Pentland Crown a un poids moyen de tubercules et un nombre moyen de tubercules par plante plus élevés que les valeurs modales correspondantes. Quelques gênes de Pentland Crown et de diplo?des issus de cette variété peuvent avoir par conséquent un effet positif sur le rendement et ses composantes; ces cl?nes pourraient en définitive permettre des combinaisons générales pour les caractères utilisés en sélection. Des résultats préliminaires sur tétraplo?des obtenus à partir de croisements diplo?des × tétraplo?des (tableau 1) ont montré cependant que de tels effets de combinaisons générales n'étaient pas importants. Ceci est d? peut être du fait que l'aptitude spécifique à la combinaison est plus importante ou qu'il y a eu des différences dans le nombre et l'ampleur des gênes défavorables, masqués au départ dans les variétés. Le tableau 2 donne les coefficients de corrélation entre le rendement, le nombre moyen de tubercules, le poids moyen de tubercules, le poids spécifique et la longueur des germes pour les diplo?des de Pentland Crown et Record. Des corrélations significatives ont été observées entre le rendement et ses composantes mais pas entre le nombre de tubercules et leur poids moyen. Quelques diplo?des ont des poids spécifiques plus élevés que ceux de leurs parents tétraplo?des. Pour chaque variété, les poids spécifiques des diplo?des ont une distribution par rapport à la moyenne à peu près semblable à celle de leurs parents (fig. 4) et les effets génétiques additifs et non-additifs sont probablement importants dans la détermination du poids spécifique pour chaque parent. Les germes des tubercules diplo?des sont généralement courts (fig. 5) et ceci provient sans doute de la présence de gênes récessifs défavorables qui déterminent des constitutions souvent chétives des diplo?des de ces deux variétés. Les différences génétiques entre les variétés peuvent par conséquent être marquées, alors qu'elles auraient été mises en évidence par des exemples de variation entre différents diplo?des. De hauts niveaux de résistance quantitative au mildiou du feuillage (Phytophthora infestans) obtenus avec la plupart des diplo?des provenant de deux tétraplo?des résistants au mildiou indiquent que certains gènes dominants gouvernant la résistance peuvent être multipliés (fig. 6). Afin de mieux conna?tre la détermination génétique des caractères agronomiques importants des tétraplo?des, la production de diplo?des est une méthode d'association de gènes remaniés, sans l'introduction de matériel génétique étranger. Davantage de combinaisons de gènes souhaitables peuvent être identifiées afin d'être exploitées dans un programme de sélection de pommes de terre.
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2.
Summary When the potato cultivars Arran Banner, Bintje, and Compagnon were inoculated withAzotobacter chroococcum in Libya, only Arran Banner responded significantly; plant growth was stimulated and the yield of marketable tubers increased by 8.5–42.6% above the untreated control. The very large yield increase in one season was associated with unfavourable growing conditions.
Zusammenfassung Im Herbst 1975, im Frühjahr und im Herbst 1976 wurden in Tripolis. Libyen, drei Versuche durchgeführt, um den Einfluss der Inokulation von Pflanzkartoffeln mitAzotobacter auf das Wachstum und den Ertrag von drei Kartoffelsorten (Arran Banner, Bintje und Compagnon) zu untersuchen. Nur bei der Sorte Arran Banner ergab sich eine Beeinflussung durch die Inokulation mitAzotobacter (Tabelle 1 und 3). Der Ertrag war in den drei Versuchen um 42.6% 17.4% bzw. 8.5% gesteigert. Die st?rkste Reaktion ergab sich im ersten Versuch. bei dem niedrige Temperaturen und Bew?lkung vorherrschten und die Wachstumsbedingungen für die Kartoffeln im allgemeinen ungünstig waren. Die Sorten Bintje und Compagnon zeigten keine signifikante Steigerung des Ertrages nach der Inokulation. Die Inokulation erh?hte die Stengell?nge, hatte aber keinen signifikanten Einfluss auf die Stengelzahl pro Pflanze (Tabelle 2). Z?hlungen im Boden der Rhizosph?re zeigten. dass nach Inokulation des Pflanzgutes mitAzotobacter die Population in der Wurzelzone anstieg (Tabelle 4). Die Ertragssteigerung nach der Inokulation scheint durch eine Anreicherung vonAzotobacter in der Rhizosph?re intokulierter Pflanzen hervorgerufen zu sein.

Résumé Trois expérimentations ont été menées à Tripoli en Libie afin d'étudier l'effet de l'inoculation de tubercules de semence avecAzotobacter sp. sur la croissance et le rendement de 3 variétés de pomme de terre (Arran Banner, Bintje et Compagnon). Ces essais se sont déroulés durant l'automne 1975, le printemps et l'automne 1976. Il n'y a eu que la variété Arran Banner qui a répondu de manière conséquente à l'inoculationd'Azotobacter sp. (tableaux 1 et 3). L'augmentation de rendement a été respectivement de 42.6%, 17.4% et 8,5% dans les 3 expériences. La meilleure réponse a été obtenue dans la première expérimentation où des températures basses et des jours couverts ont dominé et où les conditions de végétation ont été généralement défavorables à la pomme de terre. Les variétés Bintje et Compagnon n'ont pas montré d'augmentation significative du rendement avec inoculation. L'inoculation parAzotobacter sp, augmente la longueur des tiges, mais n'a pas d'effet significatif sur le nombre de tiges par plante (tableau 2). Les comptagesd'Azotobacter sp. dans la rhizosphère ont indiqué que l'inoculation de la semence augmentait la populationd'Azotobacter au niveau de la zone racinaire (tableau 4). Cela est probablement d? au fait que l'augmentation du rendement grace à l'inoculation résulte d'une meilleure adaptationd'Azotobacter sp. au niveau de la rhizosphère des plantes inoculées.
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3.
Zusammenfassung Die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Hektarertrag und Gesamtproduktion in der Welt sowie in verschiedenen Regionen und L?ndern in den Jahren 1962 bis 1973 wurde diskutiert (Abb. 1–5). Mit Hilfe von Regressionsgleichungen wurde die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Ertrag und Produktion errechnet und als Prozent der Situation im Jahre 1962 ausgedrückt. Die Regressionsgleichungen und die Korrelationskoeffizienten sind am Fuss der Abbildungen aufgeführt. Diesen kann auch die Fl?che. der Ertrag oder die Produktion im Jahre 1962 entnommen werden. Auffallend sind die Abnahme der Fl?che in Westeuropa. besonders in der Bundesrepublik Deutschland und in Frankreich, sowie die Zunahme der Fl?che und der Produktion in den Tropen. In Europa (ohne UdSSR) sank der Konsum j?hrlich um ungef?hr 1/2% (Abb. 6) und der Konsum pro Kopf um etwas mehr als 1% (Abb. 9). In den USA stieg der Gesamtverbrauch j?hrlich um etwa 1% (Abb. 8), und der Verbrauch pro Kopf schien ziemlich konstant zu sein (Abb. 9). In Europa (ohne UdSSR) nahm die Kartoffelst?rkeproduktion um 50% zu, und in den neun EG-L?ndern wurde diese Erzeugung nahezu verdoppelt (Abb. 7). In diesem Artikel wird angenommen, dass 25% der Speise- oder Saatkartoffelerzeugung Abfall sind (bei der Sortierung ausgelesene Knollen) und als Futterkartoffeln verwendet werden. In Europa (ohne UdSSR) wird ungef?hr die H?lfte der gesamten Produktion zur Verfütterung verwendet, und ungef?hr 40% wird eigens zu diesem Zweck angebaut und verwertet (Abb. 6). In den neun EG-L?ndern sank die Gesamtmenge, die als Futterkartoffeln verwendet wurde, von 40% auf 30% der Gesamterzeugung. Die Menge, die eigens als Futterkartoffeln angebaut und verwertet wurde, feil von 30% auf etwa 12% der Gesamtproduktion (Abb. 7). Es ist anzunehmen, dass der zukünftige Anbau von Futterkartoffeln vom Gewinn abh?ngt, den die Pflanzer daraus im Vergleich zu jenem aus dem Mais- oder Gerstenanbau ziehen. Auf Basis des Futterwertes von 1 kg Trockenkartoffeln (erhalten aus 4 kg Kartoffeln mit 23% Trockensubstanz (TS)) und von 1 kg Mais oder 1 kg Gerste betr?gt der Preis, bei welchem Kartoffeln mit Gerste oder Mais vergleichbar sind, für 1 kg Kartoffeln (23% TS): 1000/933×1/4×Preis für 1 kg Gerste oder 1000/1067×1/4 Preis für 1 kg Mais Abb. 10 und 11 zeigen die direktkostenfreien Ertr?ge für Mais. Gerste und Kartoffeln bei verschiedenen Preisen und für drei Ertr?ge pro ha (für die Berechnung des direktkostenfreien Ertrages siehe Anhang 1.2 und 3). Aus diesen Zahlen geht hervor, dass der Futterkartoffelanbau schwerlich mit der Mais-produktion konkurrieren kann, dass aber bei Preisen von etwa Hfl. 45 pro 100 kg Gerste die Kartoffelproduktion inklusive Trocknung mit der Gerstenerzeugung in Wettbewerb treten kann. Es darf also angenommen werden. dass bei Gerstenpreisen unter Hfl. 40 der Futterkartoffelanbau nur in jenen F?llen rentabel ist, wo der Kartoffelertrag im Vergleich zu Gerste hoch ist, oder auf Betrieben, wo ein Ueberschuss an Arbeitskr?ften besteht und das Eind?mpfen und Silieren der Kartoffeln wirtschaftlich tragbar ist. Wenn der Preis für Gerste für l?ngere Zeit über Hfl, 45 steigt, ist, eine Zunahme des Futterkartoffelanbaus zu erwarten, sofern Geld zur Investierung in Trocknungsanlagen verfügbar ist und die Inflation nicht zu stark ist. Die hohe Trockensubstanzproduktion pro ha Kartoffeln im Vergleich mit Weizen. Gerste und Mais (Tabelle 6) ist der Hauptgrund. weshalb bei hohen Gerstenpreisen die Futterkartoffeln eine Chance haben. Bei Kartoffeln für die St?rkeproduktion wurde das gleiche Vorgehen verfolgt. Die Beziehung zwischen den Preisen für Kartoffeln und Mais ist in Abb. 12 dargestellt. Aufgrund dieser Beziehung und des Anhanges 1 und 3 wurde die Abb. 13 erstellt. Diesen Daten entsprechend kann die Kartoffelst?rkeproduktion mit jener von Mais bei Maispreisen über Hfl. 35 pro 100 kg konkurrieren. Die Kartoffelproduktion pro Kopf in L?ndern zwischen 30° N und 30° S (Tabelle 1) ist ausserordentlich niedrig. Die Energie- und Proteinzerzeugung der Kartoffeln pro ha und pro Tag ist im Vergleich mit tropischen Kulturpflanzen hoch (Tabellen 7 und 8). Auch die Zunahme in der Produktion war bei Kartoffeln gr?sser als bei tropischen Kulturpflanzen (Tabelle 10). Der Anbau von Kartoffeln k?nnte helfen, die Ern?hrung der Bev?lkerung in vielen tropischen L?ndern zu verbessern und m?glicherweise auch den Mangel an Nahrungsmitteln zu verhüten, wenn die Erzeugungskosten pro kg Produkt durch Erh?hung des Hektarertrages gesenkt werden k?nnen.
Résumé Durant la période 1962–1973. L'évolution des superficies, du rendement à l'hectare et de la production totale est présentée pour le monde entier et pour diverses régions et pays (fig. 1 à 5). Cette évolution est calculée à l'aide d'équations de régression et exprimée en pourcentage de l'année 1962. Les équations de régression et les coefficients de correlation ont été placés au bas des graphiques. La baisse des superficies en Europe de l'Ouest, particulièrement en Allemagne Fédérale et en France, et l'augmentation des surfaces et de la production sous les tropiques sont frappantes. En Europe (à l'exclusion de l'URSS), la consommation totale décroit annuellement d'environ 1/2% (fig. 6) et la consommation par habitant d'un peu plus de 1% (fig. 9). Aux USA la consommation totale augmente annuellement d'environ 1% (fig. 8) et la consommation par habitant semble étre constante (fig. 9). En Europe (URSS exclue), la production de pommes de terre féculières s'est accrue de 50% et dans les neuf pays du marché commun cette production a plus que doublé (fig. 7). Il est supposé que le quart de la production de plants et de pommes de terre de consommation est éliminé au triage et utilisé pour la consommation animale. En Europe (URSS exclue) environ la moitié de la production totale est consomméc par les animaux: 40% de la production totale sont cultivés à cette fin. Dans la zone du Marché Commun la quantité totale qui est utilisée pour l'alimentation animale a décrut de 40% à 30% de la production totale, et la part spécialement produite à cet effet a baissé de 30% à environ 12% de la production totale (fig. 7). Il est supposé que l'avenir de la production de pommes de terre pour la consommation animale dépend des gains que les producteurs obtiennent de cette culture comparés à ceux réalisés avec le ma?s ou l'orge. Basé sur la valeur alimentaire de 1 kg de tubercule déhydraté (obtenu à partir de 4 kg de pommes de terre à 23% de M.S.) et comparé à 1 kg de ma?s ou 1 kg d'orge, le prix à partir duquel la pomme de terre est compétitive est de 1000/933×0.25×le prix d'un kg d'orge. ou 1000/1067×0.25×le prix d'un kg de ma?s. Les fig. 10 et 11 montrent les marges brutes pour le ma?s. L'orge et la pomme de terre pour différents prix et pour trois rendements à l'hectare (pour le calcul des marges brutes voir appendices 1, 2, et 3). On voit que la pomme de terre de consommation animale ne concurrence pas facilement le ma?s, mais que au prix de Dfl (florins) 45 le quintal d'orge, la production de pommes de terre, déshydratation inclue, peut concurrencer l'orge. On voit également que pour un prix d'orge inférieur à Dfl 40. Ia production de pommes de terre est seulement profitable dans le cas où le rendement est élevé par rapport à l'orge ou encore dans le cas d'exploitations disposant d'un surplus de main d'oeuvre, et où la cuisson et l'ensilage sont économiquement possibles. Si les prix de l'orge se maintiennent au dessus de Dfl 45 durant une longue période on peut s'attendre à une augmentation de la production des pommes de terre pour la consommation animale, si toutefois les capitaux sont disponibles pour investir dans des usines de déshydratation et si l'inflation n'a pas été trop forte. Le rendement élevé de matière sèche à l'hectare des pommes de terre comparé à ceux du blé, de l'orge et du ma?s (tableau 6) fait que, à des prix élevés de l'orge, la pomme de terre pour alimentation animale est compétitive. La mème étude a été faite pour ce qui concerne la pomme de terre féculière. La relation entre son prix et celui du ma?s est donnée fig. 12. La fig. 13 illustre cette relation ainsi que les donnée des appendices 1 et 3. Il en résulte que la pomme de terre féculière peut concurrencer le ma?s pour la production d'amidon lorsque le prix du ma?s est supérieur à 35 florins le quintal. La production de pommes de terre par téte est extrèmement basse dans les régions comprises entre 30° de latitude nord et 30° de latitude sud (tableau 1). La production d'énergie et de protéines par hectare et par jour des pommes de terre est élevée, comparée aux cultures alimentaires tropicales (tableux 7 et 8). Aussi l'augmentation de production a été plus élevée pour la pomme de terre que pour ces cultures (tableau 10). La production de pommes de terre peut aider à améliorer l'alimentation des populations dans plusieurs pays tropicaux et ainsi prévenir la pénurie alimentaire si le cout de production peut être diminué par l'augmentation des rendements.


Paper read at the Sixth Triennial Conference of the EAPR at Wageningen.  相似文献   

4.
Summary Plants dug at random from a commerical crop, cv. Sebago, were scored just prior to normal harvest date in two seasons for stem and stolon infection caused byR. solani. Tuber weights relative to stolon position were recorded. Yield was directly related to haulm fresh weight (F) and it was considered essential to includeF when interpreting yield reduction from stolon pruning. The probability of tuber size distribution fitted a proportional odds model; tuber sizes were not uniformly distributed down the stem profile and the top and bottom stolons had the lowest probabilities of bearing, marketable tubers (>45 g), but commonly bore them when stolons in the middle of the stem profile were pruned. Stem canker did not significantly affect haulm fresh weight or tuber yield and there was a stolon pruning threshold (18%) below which yield was not reduced. For every 20% increase in pruning above this threshold, yield was reduced by only 6%. The effects ofR. solani infection on yield were determined from a model based on an assumption of assimilate flow.
Zusammenfassung Zufallsgem?ss ausgew?hlte Pflanzen aus kommerziellem Anbau der Sorte Sebago wurden in 2 Vegetationsperioden kurz vor normalem Erntetermin auf Stolo- und Stengelinfektion durchR. solani ausgewertet (Abb. 1). Das Knollengewicht wurde in Relation zur Position der Stolonen ermittelt. Ertrag und Stolonenzahl stiegen mit steigendem Kraut-Frischgewicht pro Trieb (Tabellen 1, 2, 4), das Frischgewicht der Triebe war die ausschlaggebende Variable bei der Deutung des Ertragsrückganges aus der Rate für Stolo-Abschnürungen. In beiden Vegetationsperioden ergaben die Daten ein proportional schiefes Modell für die Wahrscheinlichkeit der Knollenverteilung senkrecht zum Stengelprofil (Tabelle 3). Die Knollen waren nicht einheitlich, verteilt: die basalen Stolonen wie auch diejenigen nahe der Bodenoberfl?che zeigten die geringste Wahrscheinlichkeit für marktf?hige Knollen (>45 g). Die gr?sste Wahrscheinlichkeit für marktf?hige Knollen ergab sich beim dritten und vierten Stolo unterhalb der Bodenoberfl?che (Abb. 2). Die beobachtete Knollenverteilung ist ein Ausdruck des Assimilat-Transfers. Der Einfluss der Infektion durchR. solani wird durch ein Modell bestimmt, welches auf der Annahme eines Schwellenwertes beruht (α(2), Tab. 5, 6), dass die Pflanze Abschnürung (Abb. 3) und Stengelkrankheit ausgleichen kann. Jenseits dieser, Schwelle wird ein proportionaler Rückgang im Assimilatfluss, also Ertrag, mit gr?sserem Erkrankungsgrad postuliert. Stengelbefall beeinflusste Kraut-Frischgewicht oder Ertrag (Abb. 4) nicht signifikant; für jeweils 20% Anstieg bei Stolo-Abschnürungen oberhalb der α-Schwelle wurde der Ertrag um 6% reduziert (Tab. 6). Es wird angenommen, dass bei Abschnürung von Knollen-Initialen an Original-Stolonen diese nicht im Gesamt-Rückgang eingeschlossen sind und dass es keinen Rückkopplungs-Mechanismus zur Senkung der Photosynthese und folglich des Assimilatflusses gibt. Jede Ertragsreduktion ist die Folge einer Verhinderung des Einsetzens neuer Knollen-Initiierungen und eine Folge der Position des ursprünglichen abgeschnürten Stolos im Verh?ltnis zu den Stolonen mit der gr?ssten Auswirkung auf den Ertragsrückgang.

Résumé Des plantes choisies au hasard dans une culture de la variété Sebago ont été classées au cours de deux années selon l'importance de leur contamination parR. solani sur tiges et sur stolons (figure 1), juste avant la date normale de récolte. Les poids de tubercules en fonction de leur position sur le stolon ont été enregistrés. On a noté un accroissement du rendement et du nombre de stolons avec le poids frais par tiges des fanes (tableaux 1, 2, 4) et le poids frais des fanes s'est avéré être une variable essentielle dans l'interprétation de la réduction des rendements due au sectionnement des stolons. Pour les deux années, les données suivent un modèle de distributions discontinues proportionnelles pour la probabilité des distributions de tubercules de long de la tige (tableau 3). Les tubercules ne sont pas distribués uniformément: les stolons de la base et ceux situés près de la surface du sol ont la probabilité la plus faible de porter des tubercules commercialisables (>45 g). La probabilité la plus forte de trouver un tubercule commercialisable se situe sur les troisième et quatrième stolons en dessous du niveau du sol (figure 2). La distribution des tubercules observée est attribuée au transfert des éléments assimilables. Les effets de la contamination parR. solani sur la récolte ont été déterminés à partir d'un modèle basé sur l'hypothèse jusqu'à une valeur seuil (α(2); tableaux 5 et 6) la plante peut s'adapter au sectionnement (figure 3) et aux attaques sur tige. Au delà de ce seuil, on suppose qu'il y aurait une diminution proportionnelle du transfert des éléments nutritifs et par conséquent de la récolte à l'accroissement de la maladie. Les attaques sur tiges n'ont affecté significativement ni le poids frais des fanes ni la récolte (figure 4), mais à chaque augmentation de 20% du sectionnement des stolons, au dessus du seuil, la récolte a chuté de 6% (tableau 6). On a supposé que si les initiations portées par les stolons originels sont détruites, elles ne sont pas incluses dans la force d'absorption totale de la plante et qu'il n'y a pas de mécanisme rétroactif pour diminuer la photosynthèse et donc le courant d'assimilation. Toute réduction du rendement résulte d'un retard d'initiation de nouveaux tubercules et de la position du stolon originel détruit par rapport aux stolons principaux.
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5.
Summary The relationship between water shortage and tuber initiation and development in the cv. Maris Piper was examined in glasshouse experiments with several severities of water-stress induced by withholding water at different stages of plant growth. There was a direct reduction in tuber numbers per stem with increasing duration of water stress in plants deprived of water from the time when 50% of plants had emerged but not when water was withheld from the time of onset of initiation. Using the data from both years a statistically significant negative correlation was established between tuber number per stem and the number of days of soil moisture potential <−25 kPa.
Zusammenfassung Das Verh?ltnis zwischen Wassermangel im frühen Teil der Wachstumsperiode und der Knollenbildung bei der Sorte Maris Piper wurde in zweij?hrigen Gew?chshausversuchen, bei unterschiedlichen Phasen und unterschiedlicher Schwere des Wassermangels, untersucht. Die Pflanzen wuchsen in einem Torf-/ Sand-Gemisch in Beh?ltern. Das Wasser wurde von der Zeit des Aufgangs, der Knollen-Initiierung oder des ‘kleine-Knollen-Stadiums’ zurückgehalten (Serien A, B und C der Behandlungen; Tabelle 1) und daran anschliessend verabreicht (Tabelle 1, Abb. la, b). Die Kontrollbehandlung wurde w?hrend der gesamten Wachstumszeit gut gew?ssert. Sinkende Raten bei der Transpiration w?hrend des Wassermangels k?nnten durch den Wechsel des Bodenwasser-Potentials (Abb. 1a, b) und der Bodenfeuchtigkeits-Abgabekurve des Kompostes (Abb. 2) verursacht worden sein. In beiden Versuchen wurde die Knollenzahl pro Stengel in denjenigen Behandlungen reduziert, welche beim Auflaufen (A-Serien) begonnen worden waren. Die Knollenzahl war dagegen sogar bei ganz schwerem Stress nicht beeintr?chtigt, wenn die Behandlung nach der Periode der Knollen-Initiierung begonnen worden war (B- und C-Serien; Tabellen 2 und 3). Bei Verwendung der Daten der Kontrolle und der A-Serie der Behandlungen in beiden Versuchen zeigte die Knollenzahl pro Stengel (N) zum letzten Erntetermin hin zwischen der Zahl der Tage(D) und dem Bodenwasser-Potential eine Regression <−25 kPa. Die Knollenzahl als Audruck einer Proportion(Q) des Wertes der Kontrollbehandlung ergab zuD ebenfalls eine Regression. Beide Verh?ltnisse:N=7,20–0,16D undN=1,001–0,020D waren statistisch signifikant (P<0,001) bei 85 bzw. 76% der Varianz. Der Knollenertrag in Versuch 2 (Tabelle 3) war negativ korreliert mit der Dauer des Wasserstress(D) und die Gesamttrockenmasse zeigte den gleichen Trend. Der Trockenmassegehalt der Knollen zum letzten Erntetermin wurde durch die Behandlung nicht beeinflusst (21,2±1,5% und 23,0±0,7% in Versuch 1 bzw. 2). Im Versuch 2 verursachten der kontrastierende Effekt bei Wassermangel in den A- und B-Serien der Behandlungen auf Ertrag und Knollenzahlen Unterschiede in der Verteilung der Knollengr?sse (Abb. 3). In Behandlung A5 wurde die Reduktion der Knollenzahl durch die Ertragsreduzierung ausgeglichen, so dass sich die Knollengr?ssen von denen in der ungestressten Kontrolle nicht unterschieden. In Behandlung B5 dagegen war die mittlere Knollengr?sse niedriger; ausserdem ergab sich hier eine signifikant h?here Proportion kleiner Knollen (Abb. 3).

Résumé La relation entre un manque d'eau en début de végétation et l'initiation des tubercules est examinée sur deux années avec la variété Maris Piper. Les expériences ont lieu sous serre, à différents stades et différents degrés d'importance du déficit hydrique. Les plantes sont cultivées en containers dans un mélange tourbe-sable. L'eau est apportée au moment de la levée, de l'initiation des tubercules ou à la formation des petits tubercules (séries A, B et C des traitements) (tableau 1) et est approvisionnée par la suite (tableau 1, fig. 1a, b). Le témoin est bien pourvu en eau pendant toute la période. Les baisses du taux de transpiration pendant le déficit hydrique peuvent être déduites à partir des changements du potentiel capillaire (fig. 1a, b) et à partir du profil hydrique du compost (fig. 2). Dans les deux expériences, le nombre de tubercules par tige est réduit pour les traitements en début de levée (séries A) mais n'est pas modifié, même en cas assez grave de déficit hydrique, lorsque les traitements ont lieu après la période d'initiation des tubercules (séries B et C) (tableau 2, 3). A partir des valeurs du témoin et des séries A des deux expérimentations, il appara?t que le nombre de tubercules par tige(N) à la récolte finale diminue avec le nombre de jours(D) pour lesquels le potentiel capillaire est inférieur à 25 kPa. Le nombre de tubercules par tige exprimé par le rapport(Q) des valeurs du traitement sur celles du témoin, diminue également avecD. Les deux relationsN=7.20–0.16D etN-1.001–0.020D sont hautement significatives (P<0.001) et expliquent respectivement 85 et 76% de la variance. Dans la deuxième expérimentation (tableau 3) le rendement en tubercules est négativement correlé à la durée du déficit hydrique(D) et la production totale de matière sèche va dans le même sens. La teneur en matière sèche des tubercules à la récolte finale ne varie pas avec le traitement (21.2±1.5% et 23.1±0.7% respectivement pour les expérimentations 1 et 2). Dans l'expérience 2, les effets opposés du déficit hydrique, pour les traitements des séries A et B, sur le rendement et le nombre de tubercules, entra?nent des différences de répartition dans les calibres (fig. 3). Dans le traitement A5, la réduction du nombre de tubercules est reportée sur le rendement, ce qui ne modifie pas la répartition des calibres par rapport au témoin. Cependant, dans le traitement B5, le calibre moyen des tubercules est plus faible et la proportion de petits tubercules significativement plus élevée (fig. 3).
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6.
Summary Comparisons were made between droughted and irrigated crops in two field experiments conducted on cultivars of potato understood to exhibit a range of drought tolerance to identify important physiological attributes for drought tolerance. Drought reduced total dry matter production and tuber yields and increased tuber dry matter concentration. The better yield response of Désirée was due largely to the greater water content of its tubers. There were differences between cultivars in the number of tubers produced per unit area and in 1984 there were differences between treatments. Functional differences in canopy growth were revealed in differences in the fractions of incident solar radiation which were intercepted. The effects of drought were proportioned between components of yield, the principal effects being upon interception of solar radiation and on tuber dry matter concentration. Tuber number was an important factor influencing ware yield.
Zusammenfassung In zwei Feldversuchen wurden Pflanzen, die unter trockenen oder beregneten Verh?ltnissen aufwuchsen, im Hinblick auf die Rangfolge der Sorten für Trockenheitstoleranz untersucht; dabei sollten die Reaktionen auf Trockenheit und wichtige physiologische Merkmale für Trockenheitstoleranz herausgestellt werden. Die Messungen umfassten Variabelen bei den Pflanzen, Bodenfeuchtigkeit (Abb. 1) und aufgefangene Sonnenstrahlung. Trockenheit reduzierte die Produktion an Gesamttrockenmasse (Tabelle 1), dabei ergaben sich jedoch keine signifikanten Sortenunterschiede, der Ernteindex (Tabelle 1) ?nderte sich durch Trockenheit nicht signifikant ausser bei einer der Ernten. Die Knollenertr?ge (Tabelle 2), sowohl insgesamt als auch bei Marktware, wurden durch Trockenheit reduziert, und 1984 ergaben sich dabei statistisch signifikante Sortenunterschiede, aber im Falle der Gesamt-Trockenmasse-Produktion waren die Wechselwirkungen zwischen Behandlung und Sorte nicht signifikant. In beiden Versuchen ergaben sich Unterschiede zwischen den Sorten bei der Knollenzahl pro Fl?cheneinheit (Tabelle 3), und 1984 zeigten sich Unterschiede zwischen den Behandlungen. Die Gesamt-Trockenmasse-Produktion bei den Knollen (Tabelle 2) differierte zwischen den Sorten bei jeder Ernte; Trockenheit erzeugte h?here Werte als Beregnung. Die bessere Ertragsleistung bei Désirée war vor allem auf ihren gr?sseren Gehalt an Knollenwasser zurückzuführen (Tabelle 2). Funktionale Unterschiede in der Kraufl?che zeigten sich anhand der Fraktionen von einfallenden Sonnenstrahlungen, die eingefangen wurden (Abb. 2, 3). Akkumulierte Werte der eingefangenen Sonneneinstrahlungen (Tabelle 4) wurden zur Integrierung von Effekten bei der langsameren und geringeren Krautfl?che-Expansion bei trockenem Aufwuchs verwendet, diese zeigten sich bei jeder Sorte als signifikant geringer unter trockenen als unter feuchten Verh?ltnissen. Unterschiede in den Verh?ltnissen von Gesamt-Trockenmasse-Produktion zur Akkumulation eingefangener Sonnenstrahlung (Lichtausbeute-Koeffizienten) (Tabelle 4) ware statistisch nicht abgesichert. Der Einfluss von Trockenheit wirkte sich anteilm?ssig auf die einzelnen Ertragskomponenten aus (Tabelle 5), die Haupteffekte beruhen auf das Einfangen der Sonneneinstrahlung und auf die Knollen-Trockenmasse-Produktion. Bei der Beeinflussung des Ertrages von Marktware war die Zahl der Knollen ein wichtiger Faktor.

Résumé Des comparaisons ont été faites entre cultures non irriguées et irriguées dans deux champs d'expérimentation avec des variétés de pomme de terre présentant une gamme de tolérance à la sècheresse, de manière à étudier leur comportement et à déterminer les facteurs physiologiques les plus importants pour la résistance à la sècheresse. Les mesures étaient faites sur les variables de la plante, sur l'humidité du sol (figure 1) et les radiations solaires interceptées. La sècheresse réduisait la teneur totale en matière sèche (tableau 1) mais sans présenter de différences significatives entre les variétés. L'index de récolte (tableau 1) n'était pas perturbé significativement par la sècheresse à l'exception d'une date de récolte. Les rendements en tubercules (tableau 2) totaux et commercialisables étaient réduits par celle-ci et en 1984 des différences de rendement entre variétés étaient statistiquement significatives mais, comme pour la production de matière sèche totale, les intéractions entre traitements et variétés étaient non significatives Dans les deux expérimentations il y avait des différences entre variétés dans le nombre de tubercules produits par unité de surface (tableau 3) et en 1984, il y avait des différences entre traitements. La teneur en matière sèche des tubercules (tableau 2) différait selon les variétés pour chaque date de récolte et la sècheresse conduisait à un taux de matière sèche plus élevé que pour les cultures irriguées. Le meilleur rendement de Désirée était d?, en grande partie, à une forte teneur en eau de ses tubercules (tableau 2). Des différences dans la croissance du feuillage se retrouvaient dans les valeurs des radiations solaires incidentes interceptées (figures 2 et 3). Le cumul de celles-ci (tableau 4) était utilisé pour intégrer leur effet au niveau des plus lentes et des plus faibles croissances données par les cultures non irriguées pour chaque variété; il s'avérait être significativement inférieur dans les cultures non irriguées. Les différences trouvées dans les rapports entre la production de matière sèche et le cumul des radiations solaires interceptées (coefficient de conversion de la lumière) (tableau 4) étaient non significatives. Les effets de la sècheresse étaient proportionnels aux composantes du rendement (tableau 5) le principal effet étant celui de l'interception des radiations solaires sur la teneur en matière sèche des tubercules. Le nombre des tubercules était aussi un facteur important du rendement commercialisable.
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Summary Potatoes of cv. Désirée and Pentland Crown, treated in February at 0, 0.6, 1.2, 2.5, 5, 10, and 20 mg kg1 chlorpropham adsorbed on alumina, were sampled for analysis immediately before planting at the beginning of May. Chlorpropham was extracted using hexane as the solvent in the presence of anhydrous sodium sulphate. Emergence and yield data showed that low levels of chlorpropham (<0.3 mg kg−1) that had little effect on total emergence, increased the mean emergence time and reduced yield. High levels of chlorpropham drastically reduced total emergence and yield.
Zusammenfassung Chlorpropham (Isopropyl-N-(3-chlorophenyl) carbamat) ist ein weitverbreitetes Keimhemmungsmittel, das niemals bei Pflanzkartoffeln angewendet wird, da es ein die Zellteilung hemmendes Gift ist. Zuf?llige Kontamination kann jedoch erfolgen und es war daher der Sinn dieses Versuches, die Mengen an Chlorpropham zu bestimmen, die nachweislich den Auflauf, den Ertrag und die Gr?ssenverteilung der nachfolgenden Ernte beeinflussen. Zwei Proben von je 7,5 kg der Sorten Désirée und Pentland Crown wurden mit Chlorpropham in den Aufwandmengen von 0, 0,6, 1, 2, 2,5, 5, 10 und 20 mg/kg best?ubt. Nach der Lagerung bei 10°C in fest verschliessbaren Beh?ltern wurden sie zwei Wochen vor dem pflanzdatum vorgekeimt und 1 kg für die Rückstandsanalysen abgenommen. Der Rest wurde gepflanzt und Auflauf und Ertrag bestimmt. Die Extraktion von Chlorpropham erfolgte nach der Methode von Cerny & Blumenthal (1972) und es wurde eine neue Reinigungsmethode entwickelt, die den Einsatz eines Gaschromatographen mit einem Flammenionisationsdetektor erlaubt. Tabelle 1 zeigt die Rückstandswerte und die entsprechenden Angaben für den Feldbestand. Der Einfluss von Chlorpropham war bei der Sorte Pentland Crown deutlicher, aber allgemein verl?ngerten sehr kleine Rückstandswerte (<0.3 mg/kg) bereits die durchschnittliche Auflaufzeit und verringerten leicht den Ertrag, obwohl die gesamte Auflaufrate nahe bei 100% blieb. H?here Werte (0,3–1 mg/kg) verz?gerten den Auflauf und reduzierten den Ertrag. Rückst?nde über 1 mg/kg führten zu geringem Auflauf und einer drastischen Ertragseinbusse. Lagerh?user in denen Chlorpropham angewendet wird oder in denen behandelte Knollen gelagert werden sind offensichtlich Quellen der Kontamination mit geringen Mengen.

Résumé Le chlorprophame (isoprophyl-N-(3 chlorophenyl) carbamate) est un inhibiteur de germination très employé mais jamais sur pomme de terre de semence parce que c'est un poison mitotique. Une contamination accidentelle peut avoir lieu et l'objet de cette expérimentation était de déterminer les taux de chlorprophame qui affectent de fa?on significative la germination, le rendement et la distribution par calibre de la culture suivante. Une expérimentation à 2 répétitions a été faite avec du chlorprophame par poudrage à différentes concentrations: 0, 0,6, 1,2, 2,5, 5, 10, et 20 mg/kg sur des échantillons de 7,5 kg pour les variétés Désirée et Pentland Crown. Ces échantillons ont été conservés à 10°C dans des bo?tes fermées hermétiquement et prégermés pendant 2 semaines avant la date de plantation tandis qu'un échantillon de 1 kg a été prélevé pour une analyse de résidus. Les tubercules restants ont été plantés et les notations de levée et de rendement ont été effectuées. La méthode de Cerny & Blumenthal (1972) a été employée pour extraire le chlorprophame et une nouvelle technique de lavage a été imaginé afin d'obtenir des échantillons adaptés á la chromatographie en phase gazeuse utilisant la détection thermoionique. Les teneurs en résidus et les notations au champ correspondantes sont indiquées dans le tableau 1. L'effet du chlorprophame était plus accentué pour les variétés Pentland Crown mais, en général, de faibles taux en résidus (<0,3 mg/kg) retardaient la durée de levée moyenne et réduisaient légèrement les rendements quoique la levée totale approchait 100%. Les taux de résidus plus élevés (0,3 → 1,0 mg/kg) retardaient également la levée et diminuaient les rendements. Les résidus supérieurs à 1,0 mg/kg provoquaient une mauvaise levée et des réductions sérieuses de rendement. Les locaux utilisés pour l'application du chlorprophame ou pour la conservation de tubercules traités sont indiscutablement des sources faibles de contamination.
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8.
Summary The results of preliminary experiments showed that although tuber tissue increases in resistance during the growing season, incidence in the stored crop also progressively increases with later dates of harvesting. The hypothesis that increases of inoculum at the tuber surface with later dates of harvesting could account for this anomaly was satisfied in the first two of four years field experiments. In the third year, when inoculum levels were often very low and levels erratic, the incidence pattern was reversed being negatively correlated with time; in the fourth year no clear relationships were evident. In each year, the amount of gangrene developing at standard wounds was negatively correlated with time. These results are discussed in relationship to the sources of inoculum.
Zusammenfassung In Vorversuchen wurden Sorten verschiedener Eigenschaften in 2 Vegetationszeiten in randomisierten Parzellen im Blockversuch gepflanzt. Die Knollen wurden in Intervallen geerntet (ohne Krautabt?tung), gewaschen, die Oberfl?che sterilisiert, und mit zerkleinerten Agarkulturen inokuliert, die von 4 Isolaten stammten, die nur einmal auf Czapek-Dox-Agar gewachsen waren. Die Isolate wurden auf aseptisch gewonnenen Zylindern aus Kartoffelgewebe erhalten, um m?gliche Pathogenit?ts?nderungen zu vermindern. Tabelle 1 zeigt typische Ergebnisse eines Jahres für fünf Sorten mit sehr verschiedenen Eigenschaften; alle verhielten sich ?hnlich, die Knollenresistenz stieg stetig und signifikant w?hrend der Vegetationszeit an. Im Gegensatz dazu war das Auftreten von F?ulen positiv und signifikant mit den Erntedaten korreliert (Tabelle 2), wenn Knollen der Sorte Majestie, aufgewachsen aus nicht inokuliertem Basispflanzgut w?hrend der Vegetationszeit in Intervallen mit der Hand geerntet (ohne Krautabt?tung), gelagert, verletzt (standard wounds), wieder gelagert und im Frühjahr untersucht wurden. Diese Ergebnisse k?nnten erkl?rt werden, wenn die Steigerung der Knollenresistenz mit der Zeit h?her w?re als der Einfluss der Erh?hung des Inokulumpotentials. In vier aufeinander folgenden Jahren wurde die Hypothese des wechselnden Inokulumgehaltes in Bezugauf die F?ule in Grossversuchen, in denen der Nachbau inokulierter Pflanzkartoffeln, Sorte Pentland Crown, in w?chentlichen Intervallen geerntet wurde (Tabelle 3), geprüft. Unmittelbar nach jeder Ernte wurden Knollenproben verletzt und das Ausmass der L?sionen, die sich von diesen Wunden ausgehend entwickelten, gemessen: Von anderen Proben wurden standardisierte Stücke aus dem Periderm entnommen und auf ein semiselektives. Medium gebracht, um die H?ufigkeit vonP. exigua var.foveata zu bestimmen. Die Hauptmenge der Ernte wurde gelagert, durch Sortierung auf einer Sortiermaschine mit gegenl?ufig arbeitenden Sieben verletzt und das Ausmass der Phomaf?ule im Frühjahr bewertet. Tabelle 5 zeigt die Korrelationen zwischen den einzelnen Behandlungen und ihre Bezichung zur Zeit. Die Hypothese wurde in den ersten zwei Jahren gut gestützt, nicht aber im dritten, das sehr geringe Regenmengen aufwies (Tabelle 4) und im vierten Jahr. Beachtenswert ist, dass in allen Jahren die Korrelation zwischen den Ergebnissen der verletzten Knollen und der Zeit negativ war — ein Trend der, obwohl nicht immer signifikant, mit den Ergebnissen der inokulierten Knollen in Tabelle 1 übereinstimmt. Die Ergebnisse werden in Verbindung mit den verschiedenen Herkünften des Inokulums diskutiert, das, durch Umweltfaktoren w?hrend der Vegetationszeit und der Lagerung beeinflusst, prim?r vom Ausmass der Infektion des Pflanzgutes zur Zeit der Pflanzung abh?ngt.

Résumé Dans des expériences préliminaires, des variétés à caractéristiques culturales différentes ont été expérimentées pendant deux ans (essais comprenant une randomisation des parcelles et 4 blocs). Les tubercules ont été récoltés à intervalles (sans défanage), lavés, désinfectés superficiellement et inoculés avec des fragments de culture gélosée provenant de 4 souches n'ayant eu qu'une seule génération sur Czapek-Dox agar. Les souches ont été d'autre part maintenues sur des bouchons aseptiques obtenus à partir de tissus de feuilles de pommes de terre pour minimiser les changements possibles de pouvoir pathogène. Des résultats caractéristiques obtenus une année avec 5 variétés très différentes sont donnés dans le tableau 1. Ces résultats indiquent que toutes les variétés se sont comportées de manière semblable et que la résistance des tissus de pommes de terre a augmenté progressivement et significativement avec le temps durant la période de croissance. Au contraire, quand des tubercules de la variété Majestic sont cultivés à partir de semence non inoculée et de classe FS, récoltés à la main (sans défanage) à différents intervalles pendant la période de croissance, stockés, blessés, et à nouveau conservés, on constate à l'examen fait au printemps que l'importance de la gangrène est positivement et significativement en corrélation avec les dates de récolte (tableau 2). Ces résultats pourraient être expliqués si l'augmentation de la résistance des tubercules avec le temps était plus que compensée par les augmentations de potentiel d'inoculum. Les hypothèses de changement dans les taux d'inoculum, en relation avec les dommages, ont été vérifiées durant 4 années successives lors d'expérimentations à grande échelle: la descendance des tubercules de semence inoculés (de la variété Pentland Crown) a été récoltée à intervalles de 8 jours (tableau 3). Immédiatement après chaque récolte, des souséchantillons ont été blessés et l'importance des lésions développées à partir de ces blessures a été notée. A partir des autres sous-échantillons, des fragments du périderme de dimensions standard ont été placés sur milieu semi sélectif afin de calculer la fréquence deP. exigua varfoveata. Les échantillons principaux ont été conservés, endommagés par calibrage sur grille vibrante, triés, et le pourcentage de gangrène a été noté au printemps. Les corrélations entre les différentes mesures et leur association avec le temps, sont indiqués dans le tableau 5. L'hypothèse a bien été démontrée pour les deux premières saisons, mais pas pour la troisième qui a été une année à précipitations particulièrement faibles (tableau 4). De plus, aucun modèle régulier n'a été obtenu durant les 4 années. On remarque que pour toutes les années, les corrélations sont toutes négatives entre le résultat du test de blessure et le temps: une tendance qui, bien qu'elle ne soit pas toujours significative, correspond aux résultats des inoculations des blessures, donnés dans le tableau 1. Les résultats ont été discutés en relation avec les différentes sources d'inoculum, lesquelles bien qu'elles soient influencées par les facteurs de l'environnement pendant la période de croissance et durant la conservation, doivent toutes dépendre, en premier lieu, de l'extention de l'infection du plant au moment de la plantation.
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9.
Summary The modified augmented design, recently proposed as a method of adjusting for environmental heterogeneity where large numbers of cultivars are being tested in non-replicated plots, was used in a potato breeding programme at four locations in 1982. Of three methods of adjusting for soil variation, only the row-column and covariance adjustments worked efficiently. Decisions about which adjustment method to use could be based on easily computed mean squares. Changes in ranking due to adjustment of test cultivars were large in three of the seven trials, but application of inappropriate adjustment methods produced large and misleading ranking changes in some trials. Because of ease of use and ability to investigate environmental variation, the design can be recommended for use in early stages of potato breeding programmes.
Zusammenfassung Selektion bei frühen Generationen in Kartoffelzüchtungsprogrammen beruht auf hochvererbbaren Merkmalen, wie Augentiefe, Knollengestalt, Chipsfarbe, spezifischem Gewicht etc. Weitere Selektion betont Adaption an Umgebungen innerhalb des Schwerpunktes des Zuchtprogrammes und in diesem Selektionsstadium wird gr?sser Aufmerksamkeit auf den Knollenertrag gerichtet. Allerdings verbietet die grosse Zahl oft einbezogener Linien, zusammen mit der begrenzten Verfügbarkeit an Material von jeder Linie, die Anwendung von Standardmodellen mit Wiederholungen. Das modifizierte erweiterte Modell (MAD), kürzlich von Lin u. Poushinsky (1983) als Methode zur Anpassung von umweltbedingter Heterogenit?t vorgeschlagen, wurde in Adaptionsversuchen des ‘Prairie Cooperative Kartoffelzuchtprogramms’ (Kanada, 1982) an vier Stellen erprobt. In dem MAD werden Kontrollsorten, die in Mengen erh?ltlich sind, welche Wiederholungen erlauben, zufallsgem?ss auf eine Gruppe ganzer Parzellen verteilt, die in einem Standardmuster ausgelegt sind, hier als Lateinisches Quadrat (Abb. 1). Anpassungen für die Testlinien erfolgen auf der Basis von Trends, die sich in den Kontrollparzellen ergeben. Die Daten der Kontrollparzellen werden entsprechend der Varianzanalyse (ANOVA) für das Lateinische Quadrat geprüft. Wenn S?ulen- und Reiheneffekte zum gesamten Parzellenfehler relativ gross sind, werden die nicht wiederholten Testlinien anhand der Reihen-und/oder S?ulenkorrekturen nach Sch?tzung der Kontrollparzellen berichtigt (Methode 1). Wenn Bodenunterschiede dadurch nicht eliminiert werden k?nnen, dient ein Index für N?hrstoffgehalt für jede Parzelle, als Differenz zwischen dem Wert der Kontrollparzelle für diese gesamte Parzelle und dem Mittel aller Kontrollparzellen mit der entsprechenden Sorte entweder als Anpassungsfaktor (Methode 2), oder wird als begleitende Variable behandelt und die Testlinien werden durch Kovarianzanalyse berichtigt (Methode 3). Der durchschnittliche Gesamtertrag und die mittleren Quadrate, in der ANOVA als Gesamtertrag der Kontrollparzellen an den vier Versuchsorten, ergibt sich aus Tabellen 1 bzw. 2. Die Reihen- und S?ulenvarianzen waren gross (im Verh?ltnis zum Gesamt-Parzellenfehler) für Edmonton I und II und für Brooks II, sie deuten auf die Notwendigkeit für Reihen- und S?ulenanpassungen hin. Eine Prüfung der Irrtumsvarianzen für Carman I und II, m?glicherweise auch Brooks I zeigen starke Heterogenit?t in mehrere Richtungen zwischen den Parzellen, zumal die ganzen Varianzen der Parzellen gr?sser als die doppelte H?he der Unterparzellen-Varianzen waren. Bei Outlook war keine der Varianzen relativ gross gegenüber den anderen. Diese Trends erkl?ren die Anpassungsmethode 1 für Edmonton I und II, die Anpassungsmethode 3 für Carman I und II und Brooks I und II, und keine Anpassung bei Outlook I. Detaillierte Kriterien zur Entscheidung für die angemessene Anpassungsmethode wurden im Computer verrechnet. Die durchschnittlich gesch?tzte Varianz einer Differenz zwischen beliebigen zwei Testlinien wurden für jede Methode berechnet, dann wurden die Methoden durch Berechnung der Verh?ltnisse dieser Varianzen ermittelt (Tabelle 3). Ebenso wurden die Methoden durch Anwendung der Anpassungen an die Kontroll-Unterparzelle und druch Berechnung der gepoolten Varianzen innerhalb der Linien von angepassten Daten (Tabelle 4) verglichen. Die relativen Effizienzen der Anpassungsmethoden wurden als Verh?ltnisse der Varianz der nichtangepassten Daten zu den angepassten Daten berechnet. Die Varianzdaten in Tabelle 4 zeigen, dass im allgemeinen die Anpassung durch Regressionsanalyse (Methode 3) sich entweder durch geringfügige ?nderungen oder durch betr?chtlichen Gewinn an Effizienz auswirkten. Ausser bei Edmonton I verursachten die Methoden I und II einen deutlichen Anstieg in der gepoolten Varianz innerhalb der Linien und folglich einen Verlust an Effizienz. Das wichtige Ergebnis der Anpassung bei der Selektion von Zuchtmaterial sind die ?nderungen bei den relativen Schwankungen in der Rangfolge der Testlinie. Diese ?nderungen, nach Verwendung der drei Anpassungsmethoden verrechnet, zeigt Tabelle 5. Verwendung ungeeigneter Testmethoden ergibt oft sehr grosse, wahrscheinlich auch unechte Rangfolge-?nderungen. Die Leichtigkeit der Anwendung und die M?glichkeit nachzuforschen sowie der groberen Anpassungen wegen umweltbedingter Heterogenit?t machen das Modell sehr geeignet für den Gebrauch in frühen Stadien von Kartoffel-Züchtungsprogrammen.

Résumé La sélection des premières générations dans les programmes d'hybridation de la pomme de terre est basée sur la haute héritabilité des caractères tels que la profondeur des yeux, la forme des tubercules, la couleur après friture, le poids spécifique, etc. Plus tard, la sélection met l'accent sur l'adaptation aux conditions d'environnement et, à ce stade, la plus grande attention est apportée au rendement. Cependant, un grand nombre de lignées est souvent impliqué et le matériel disponible pour chaque lignée est limité, empêchant des répétitions conformément au modèle standard d'expérimentation. Le modèle modifié (MAD) récemment proposé par Lin et Poushinsky (1983) comme méthode d'ajustement de l'hétérogénéité a été adapté dans des essais réalisés par le Prairie Cooperative Potato Breeding Program (Canada) en 1982 sur quatre localités. Dans le MAD, le contr?le des variétés disponibles en quantité permettant les répétitions est randomisé en une série de parcelles établies selon un modèle standard, ici un Carré Latin (figure 1). Pour les lignées-tests, les ajustements sont faits sur la base des valeurs fournies par les parcellestémoins, après une analyse de variance (ANOVA) adaptée au Carré Latin. Si les effets du rang et de la colonne sont grands par rapport à l'erreur de la parcelle entière, les valeurs des lignées-tests sans répétition sont ajustées en utilisant les corrections rang et/ou colonne estimées à partir des parcelles-témoins (méthode 1). Si l'effet de l'hétérogénéité du sol ne peut être éliminé par ce procédé, un index de fertilité pour chaque parcelle entière, évalué comme la différence entre la valeur de cette parcelle et la valeur moyenne de toutes les parcelles-témoins des autres variétés, est utilisé comme facteur d'ajustement (méthode 2) ou est traité comme une variable concomitante et les valeurs des lignées-tests sont alors ajustées par l'analyse de covariance (méthode 3). La moyenne du rendement total en tubercules et les carrés moyens du rendement total des parcelles-témoins des quatres localités d'essais, calcultés par l'ANOVA, sont présentés respectivement dans les tableaux 1 et 2. Les variances du rang et de la colonne sont grands (relativement à la parcelle entière) pour Edmonton I et II et pour Brooks II, suggérant la nécessité d'ajustements. L'observation des variances de l'erreur de Carman I et II et probablement de Brooks I montre une forte hétérogénéité multidirectionnelle entre parcelles puisque les variances des parcelles entières sont deux fois plus grandes que celles des sous-parcelles. Pour Outlook, aucune des variances n'est élevée par rapport à chacune des autres. Ces résultats suggèrent l'emploi d'un ajustement de type méthode 1 pour Edmonton I et II, de type méthode 3 pour Carman I et II, Brooks I et II et pas d'ajustement pour Outlook I. Des critères détaillés pour décider de la méthode d'ajustement à utiliser ont été étudiés. La variance moyenne estimée entre deux lignées-tests a été calculée pour chaque méthode et les méthodes ont été comparées en calculant les rapports de ces variances (tableau 3). Elles ont été aussi comparées par application des ajustements aux sousparcelles-témoins et pour l'ensemble des données ajustées au sein de chaque lignée (tableau 4). L'efficacité relative des méthodes d'ajustement a été calculée comme un rapport entre la variance de la donnée non ajustée et celle de la donnée ajustée. La variance de la donnée présentée dans le tableau 4 indique qu'en général l'ajustement par l'analyse de régression (méthode 3) provoque un petit changement ou cause un gain substanciel d'efficacité. Excepté pour Edmonton I, l'ajustement par les méthodes I et 2 apporte une augmentation marquée de la variance de l'ensemble interlignées, donc une perte d'efficacité. Les résultats importants de l'ajustement dans la sélection du matériel d'hybridation modifient le classement relatif des lignées-tests. La modification de ce classement, apportée par les trois méthodes d'ajustement est présentée dans le tableau 5. L'emploi des méthodes d'adjustement inappropriées conduit vraisemblablement souvent à des modifications de classement erronées. La facilité d'utilisation et la capacité d'investigation pour déceler l'hétérogénéité due aux conditions d'environnement fait de ce modèle un outil bien souhaitable durant les premiers stades du programme d'hybridation de la pomme de terre.
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10.
Summary Cell characters of three dihaploids, their chromosome-doubled derivatives and tetraploid parents were compared to determine the effect of chromosome doubling on tissues involved in photosynthesis. Chromosome doubling resulted in increased mean palisade cell size and chloroplast number and reduced mean cell number and stomatal frequency. Chloroplast size was not affected. Mean cell size and chloroplast number of doubled dihaploids derived from cv. Pentland Crown were less than those of the tetraploid parent but the doubled dihaploid derived from another tetraploid had larger cells than its parent. Pentland Crown, had a narrower frequency distribution of chloroplast numbers compared with its two doubled dihaploids which possibly contained mixtures of G1 and G2 cells. Chromosome doubling of these dihaploids caused changes in cell characters but chloroplast number per unit leaf area, and probably also per plant, were little affected. The photosynthetic potential and economic yield per plant were probably not significantly affected by the ploidy change.
Zusammenfassung Frühere Arbeiten mit drei Dihaploiden und ihren Chromosomen-verdoppelten Abk?mmlingen, entstanden nach Colchicin-Anwendung und mit parthenogenetisch tetraploiden Eltern, hatte gezeigt, dass Ploidieverdopplung wenig Einfluss auf ertragsbildende ?konomische Faktoren hatte. Dihaploide erbrachten weniger als ihre Eltern, hatten aber gleiche Ertr?ge wie ihre verdoppelten Abk?mmlinge. Die verdoppelten Dihaploiden hatten gr?ssere Bl?tter, aber weniger pro Pflanze, sodass die gesamte Blattfl?che der Pflanze nicht signifikant beeinflusst wurde. Die Dihaploiden und die verdoppelten Abk?mmlinge reagierten ?hnlich gegenüber Steigerungen der Düngergaben durch gesteigertes Blattwachstum, das jedoch auf Kosten des Knollenertrages, w?hrend die Eltern gegenteilig reagierten. Auch die Photosyntheserate pro Blattfl?cheneinheit einer Dihaploiden wurde durch Chromosomenverdopplung nicht signifikant ver?ndert, obwohl der Elter eine h?here Rate hatte. Im hier dargestellten Versuch wurde der Einfluss der Chromosomenzahl-Verdopplung bei Blattzellen von drei Dihaploiden beobachtet, um deren Auswirkung auf das Blattgewebe mit Photosynthese zu registrieren. Der Genotypensatz 1 enthielt zwei Dihaploide (PDH7 und PDH52) der Sorte Pentland Crown, eine Dihaploide (PDH150), eine unbezeichnete Tetraploide (8318(4)) und ihre Chromosomen-verdoppelten Abk?mmlinge (PDH7×2, PDH52×2, PDH150×2), erhalten durch Colchicin-Anwendung. Die Pflanzen wurden in einer Klimakammer angezogen, vom sechsten zusammengesetzten Blatt wurden Stücke genommen. Die Chloroplasten wurden in 20 bis 30 Palisadenzellen pro Pflanze gez?hlt, die Zelldimensionen wurden gemessen. Histogramme von Chloroplastenzahlen und Zellgr?ssen zeigen die Abbildungen la bzw. 2a, für die Pentland Crown-Familiengruppe, die Abbildungen 2a und 2b für die 8318(4)-Familiengruppe, jeweils mit der Zahl der geprüften Zellen (N) und den Mittelwerten der Genotypen. Der Genotypensatz 2 umfasste Pentland Crown, ihre Dihaploiden und verdoppelten Dihaploiden, die in einem Gew?chshaus angezogen wurden. Epidermale Merkmale wurden aufgezeichnet und Blattstücke von den Nodien 14, 16, 18 und 20 geschnitten, wenn die Pflanzen an der Basis Seneszenz zeigten. Die Dimensionen von 10 Palisadenzellen pro Blatt, ausserdem die Zahl der Zellen pro L?ngeneinheit einer transversalen Sektion eines Blattes wurden registriert (Tabelle 1). Ebenso wurden die Dimensionen von Chloroplasten in Zellen der Bl?tter von den Nodien 14 und 20 gemessen (Tabelle 2), dann die Zahl der Stomata pro Fl?cheneinheit Epidermis (Tabelle 3). Chloroplastengehalt pro Zelle und Zellgr?sse waren signifikant korreliert (r=+0,284), und die Verteilung der Frequenz dieser Eigenschaften waren einheitlich (Abb. 1 und 2). Die mittlere Chloroplastenzahl pro Zelle und die Zellgr?sse von Dihaploiden waren signifikant kleiner als die ihrer Chromosomen-verdoppelten Abk?mmlinge und der tetraploiden Eltern, w?hrend die von PDH150×2 gr?sser als die ihrer Eltern (8318(4)) war. Variationen bei Chloroplastenzahlen und Zellgr?sse waren gross und k?nnten eine Mischung von Zellen verschiedener Ploidiestufen andeuten. Die flachste Verteilung war die bei verdoppelten Dihaploiden von Pentland Crown, m?glicherweise enthalten sie G1-Zellen und G2-Zellen in verschiedensten Stadien des Zellzyklus im Sinne einer Verlangsamung desselben als Folge der Chromosomen-Verdopplung. Pentland Crown zeigte eine engere Verteilung, auf eine gr?ssere Proportion ihrer Mesophyll-Zellen von Vertretern von Chloroplasten nahe der Normalform (‘mode’) hindeutend. Im Hinblick auf die hohe Photosyntheserate des Genotyps k?nnte die Erscheinungsform auf eine Chloroplastenzahl pro Zelle nahe des Optimums für photosynthetische Effizienz hindeuten. Im Durchschnitt stiegen mittlere Zellgr?sse und Chloroplastenzahl bei Chromosomenverdopplung, die Chloroplastenzahl pro Blattfl?chen-Einheit ?nderte sich vermutlich deshalb nicht signifikant. Die Chloroplastengr?sse ?nderte sich ebenfalls nicht wesentlich, sodass Ploidieverdopplung wenig Einfluss auf das photosynthetische Potential der Bl?tter haben dürfte. Ebenso wird vermutlich das photosynthetische Potential der Pflanze nicht signifikant beeinflusst, da sich die Blattfl?che nicht signifikant ge?ndert hat. Man kann keinen signifikanten Einfluss der Ploidieverdopplung auf den Ertrag erwarten, wie auch andere Untersuchungen zeigen. Im Durchschnitt hatten die Dihaploiden weniger Stomata pro Blattfl?cheneinheit als originale Dihaploide, vermutlich wegen des Anstiegs der Zellgr?sse bei der Ploidieverdopplung. Die Frequenz der Stomata muss hinsichtlich der Photosyntheserate dieses Materials kein wichtiger Faktor sein, da Pentland Crown vorher eine h?here Photosyntheserate als ihre Dihaploide PDH7 aufwies und da verdoppelte Dihaploide weniger Stomata pro Blattfl?chen-Einheit hatten. Die Untersuchung zeigt, dass zellul?re Ver?nderungen dieser Dihaploiden durch Ploidieverdopplung als Merkmal ohne grossen Einfluss auf ertragsbildende Faktoren angesehen werden kann.

Résumé Un travail antérieur sur trois dihaplo?des, leurs dérivés à chromosomes doublés obtenus par un traitement à la colchicine et leurs parents tétraplo?des parthénogénétiques avait montré que le doublement de la plo?die a un petit effet sur les caractères déterminant le rendement économique. Les dihaplo?des avaient un rendement moindre que celui de leurs parents mais un rendement en tubercules identiques à celui des dérivés à chromosomes doublés. Ces derniers possédaient de plus larges feuilles mais peu de feuilles par plante et la surface foliaire totale par plante n'était pas significativement affectée. Les dihaplo?des et les dérivés à chromosomes doublés répondaient de la même manière à l'augmentation des doses de fertilisants par un acroissement des parties foliaires aux dépens du rendement en tubercules, à l'inverse de leurs parents. De même, le taux de la photosynthèse par unité de surface foliaire n'était pas significativement modifié par le doublement chromosomique bien que leurs parents aient un taux plus élevé. Dans l'expérimentation présente l'effet du doublement chromosomique de trois dihaplo?des sur les cellules foliaires est observé pour voir comment cela affecte les tissus concernant la photosynthèse. La série de génotypes 1 comprend deux dihaplo?des (PDH7 et PDH52) de la variété Pentland Crown, un dihaplo?de (PDH150) issu d'un tétraplo?de sans nom 8318(4) et leurs dérivés à chromosomes doublés (PDH7×2, PDH52×2, PDH150×2) obtenus par la colchicine. Les plantes croissent dans une chambre de culture et des fragments de feuilles sont prélevés au niveau de la sixième feuille composée. Les chloroplastes sont comptés dans 20 à 30 cellules palissadiques par plante et la taille des cellules est mesurée. Les histogrammes de la répartition de ces deux caractères sont représentés respectivement dans les figures la et 2a pour les familles de Pentland Crown, 1b et 2a pour les groupes de la famille 8318(4) avec le nombre de cellules contr?lées (N). La série de génotypes 2 comprenant Pentland Crown, leurs dihaplo?des et leurs dérivés à chromosomes doublés est cultivée en serre. Des empreintes d'épiderme sont prises et des fragments de feuilles sont prélevés, lorsque les plantes commencent leur sénescence à la base, aux noeuds 14, 16, 18 et 20. La taille de dix cellules palissadiques par feuille est mesurée et le nombre de cellules comprises dans la longueur transversale est compté (tableau 1). Les dimensions des chloroplastes des cellules des familles situées aux noeuds 14 et 20 sont également mesurées (tableau 2) et le nombre de stomates par unité de surface épidermique est déterminé (tableau 3). Le nombre de chloroplastes par cellule et la taille des cellules sont significativement corrélés (r=+0,284) et la fréquence de distribution de ces deux caractères est identique (figure 1 et 2). Le nombre moyen de chloroplastes par cellule et la taille des cellules des dihaplo?des sont significativement plus petits que ceux de leurs dérivés à chromosomes doublés et de leurs parents tétraplo?des: par conséquent, ces caractères sont de bons indicateurs de plo?die. Les cellules des dérivés dihaplo?des à chromosomes doublés de Pentland Crown sont plus petites que celles de leur parent tétraplo?de tandis que celles de PDH150×2 sont plus grandes que les cellules de leur parents 8318(4). La variation dans le nombre de chloroplastes et dans la taille des cellules est grande; elle pourrait indiquer un mélange de cellules ayant différentes plo?dies dans le mésophylle. La distribution la plus étalée est celle des dérivés à chromosomes doublés de Pentland Crown, parce que vraisemblablement ils contiennent des cellules G1 et G2 à différents stades du cycle cellulaire en raison du ralentissement de celui-ci apporté par le doublement chromosomique. Pentland Crown a une distribution plus étroite indiquant qu'une grande proportion de ses cellules du mésophylle ont un nombre de chloroplastes proche du modèle. Compte tenu des génotypes à haut niveau de photosynthèse, ce modèle peut laisser penser qu'il faut un nombre de chloroplastes optimum par cellule pour obtenir une bonne efficacité photosynthétique. En général, la taille moyenne des cellules et le nombre de chloroplastes augmentent tandis que le nombre de cellules diminue avec le doublement chromosomique, de ce fait, le nombre de chloroplastes par unité de surface foliaire n'est pas modifié. La taille des chloroplastes n'est également pas significativement changée et le doublement de la plo?die a peu d'effet sur le potentiel photosynthétique des feuilles. C'est pourquoi, comme la surface foliaire n'est pas significativement modifiée, le nombre total de chloroplastes et le potentiel photosynthétiques de la plante ne sont probablement pas sensiblement affectés. Le doublement de chromosomes des dihaplo?des ne peut donc faire escompter un effet significatif sur le rendement comme cela a été confirmé dans d'autres expériences. En général, les plantes issues de doublement de plo?die ont peu de stomates par unité de surface foliaire comparées aux dihaplo?des originaux et ceci est probablement d? au fait que leurs cellules sont plus grandes. La fréquence des stomates peut ne pas être un facteur déterminant vis-à-vis du taux de photosynthèse, puisqu'un matériel comme Pentland Crown a un plus haut taux mais moins de stomates par unité de surface que ses dihaplo?des PDH7 et que ses dérivés à chromosomes doublés. Cette expérience montre que des modifications cellulaires résultant du doublement de chromosomes des dihaplo?des peuvent se produire sans pour autant avoir un grand effet sur les caractères déterminant le rendement.
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Summary In order to meet requirements of tractors with large axle widths and wide tyres, the technical feasibility and crop response of increased row spacings for potatoes were checked in the field and in model experiments. Newly developed ridgers performed satisfactorily at a row spacing of 90 cm. but at 105 cm row spacing ridges were usually too wide and. consequently. furrows too narrow to accommodate the tyres of tractors with a higher power than 45 kW (≈ 60 HP). The cluster width hardly increased with larger row spacing. A ridge size of 600–700 cm2 of loose soil in cross-section appeared to be optimal for all row spacings, allowing shallower spring cultivations and easier widening of the furrows at increased row spacing. The effect of row spacing on yield depended on the yield level. On average, yields of ware potatoes decreased by 3–4% and 5–6% respectively for the 90-cm and 105-cm rows compared with 75-cm rows. Yield reductions can be overcome by higher nitrogen dressings.
Zusammenfassung Es wurden technische M?glichkeiten bei gr?sserer Distanz zwischen den Reihen und die Reaktion des Bestandes im Feld untersucht. Auch wurden Modelversuche in Grosskisten im Freien angelegt. Bei allen Reihenabst?nden wurden Pflanzdichte in der Reihe. Tiefe des Pflanzbettes. Dammform und Pflanztiefe so konstant wie m?glich gehalten. Für Pflanzkartoffeln und Speisekartoffeln wurde die Sorte Bintje angebaut und für Industrie-(St?rke) kartoffeln die Sorten Prominent oder Prevalent. Dammh?he und-form, mit einem Reliefmesser (Abb. 1) oder einem Profilmesser (Abb. 3) gemessen und mit den in Abb. 2 dargestellten Dimensionen charakterisiert, wurden mit angepassten H?ufelger?ten errichtet (s. Abb. 6). Der gr?ssere Dammumfang bei zunehmendem Reihenabstand (Abb. 4) war haupts?chlich auf eine gr?ssere Dammbreite zurückzuführen (Abb. 5). Diese breiteren und umfangreicheren D?mme waren mit tieferen Temperaturen, kleineren Temperaturschwankungen nahe der Pflanzkartoffel (Tabelle 1) und einem leicht versp?teten Auflaufen (2 4 Tage) verbunden, w?hrend die Bodendeckung mehr als zwei Wochen sp?ter vollendet war. Bei gr?sseren Reihenweiten wurden weniger Trockenheitssymptome beobachtet. wahrscheinlich infolge der flacheren Form der D?mme (Tabelle 2). Die Stengell?nge nahm zu, aber die Stengelzahl verminderte sich. so dass der Blattertrag bei breiten Furchen geringer war (Tabelle 3). Der Umfang des Knollenbehangs stieg nur schwach (Abb. 5). wodurch der Anteil des im Querschnitt mit Knollen belegten Dammes (‘Prozentsatz Belegung’, Tabelle 4) eine starke Abnahme erfuhr. Versuche, den schlechteren Pflanzenbestand (Abb. 8) durch Zickzack-Pflanzung (Tabelle 9) oder durch eine geringere Anzahl von Pflanzen pro ha (Tabelle 10. Abb. 9) zu verbessern. brachten keine vielversprechenden Resultate. Nur st?rkere Stickstoffdüngung war imstande. die ungünstigen Einflüsse der gr?sseren Reihenabst?nde auf Entwicklung und Ertrag zu überwinden (Tabellen 8 und 11). Die Menge der von der Erntemaschine aufgenommen Boden sank pro ha und nahm pro Einheit Furchenl?nge zu, je gr?sser der Reihenabstand war (Tabelle 5). Ein Versuch auf scholligem Boden ergab eine leicht verminderte Arbeitsgeschwindigkeit bei einer Reihendistanz von 90 cm im Vergleich zu einer solchen von 75 cm: dagegen verbesserte der gr?ssere Dammumfang den Nettoertrag betr?chtlich (Tabelle 6. Abb. 7). In der Regel sanken die Bruttoertr?ge um 3–4% bei 90 cm Reihenabstand und um 5–6% bei 105 cm Reihenabstand im Vergleich zu 75 cm Reihenabstand. Es wurde aber festgestellt dass die Gr?sse des Effekts der Reihenabstand auf den Ertrag deutlich abh?ngig ist von das allgemeine Ertragsniveau (Tabelle 7). Der Anteil kleiner Knollen nahm in dem Masse zu. wie der Gesamtertrag abnahm (Abb. 9). Eine Dammgr?sse von 600 700 cm2 losen Bodens im Querschnitt erwies sich für alle Reihendistanzen als optimal. was im Frühling eine flachere Bearbeitung erm?glicht und bei gr?sseren Reihenabst?nden die Verbreiterung der Furchen erleichtert (Tabelle 8. Abb. 10). Wenn das Feld frei von Steinen und Schollen ist. scheint ein Reihenabstand von 75 cm zur Erzielung dieser Dammgr?sse optimal zu sein. Dagegen ist für Traktoren mit einer Wellenbreite von 180 cm und 40 cm Reifen bei Vorhandensein von Steinen und Schollen oder in trockenen Klimatas ein Reihenabstand von 90 cm die optimale Breite.

Résumé Nous avons étudié la possibilité technique de plus grands écartements des rangs et la réponse des cultures en plein champ et dans des expérimentations modèles en casiers de plein air. Pour tous les écartements des rangs, la densité de peuplement, la profondeur du lit de semences, la forme des buttes et la profondeur de plantation ont été maintenus aussi constante que possible. Pour les cultures de semence et de consommation. la variété Bintje a été retenuc. et pour la pomme de terre industrielle (fécule). ce sont les variétés Prominent ou Prevalent. La taille et la forme des buttes, estimées avec un appareil pour mesurer le relief (fig. 1) ou le profil (fig. 3) et caractérisées par les dimensions présentées dans la figure 2. ont été réalisées avec des butteuses adaptées. comme on peut le voir sur la figure 6. L’augmentation de la taille des buttes. que l’on rencontre lorsque l’écartement des rangs cro?t (fig. 4) est due surtout à une plus grande largeur des buttes (fig. 5). Ces buttes. plus grandes et plus larges. sont associées à des températures plus basses. des fluctuations de température plus faibles près de la plante (tableau 1) et une levée légèrement retardée (2–4 jours). alors que la couverture du sol est atteinte avec au moins deux semaines de retard. Avec les écartements plus larges. nous avons noté moins de sympt?mes de sécheresse. ce qui est probablement d? à la forme plus applatie des buttes (tableau 2). La longueur des tiges augmente mais leur nombre diminue, de même que la production du feuillage est plus faible dans les rangs plus espacés (tableau 3). La largeur des touffes n’augmente que très lentement (fig. 5), provoquant une sévère diminution du pourcentage de la butte occupé par les tubercules en section transversale (‘pourcentage d’occupation’, tableau 4). Les tentatives d’amélioration des irrégularités d’espacement (fig. 8) par une plantation en quinconce (tableau 9) ou par une diminution du nombre de plantes par hectare (tableau 10, fig. 9) n’ont pas donné de résultats prometteurs. Seuls des apports massifs d’azote sont capables de compenser les effects défavorables de l’écartement plus grand des rangs sur le développement et le rendement (tableau 8, tableau 11). La quantité de terre exportée par l’arracheuse par hectare diminue lorsque l’écartement des rangs augmente par unité de longueur sur le rang (tableau 5). Sur sol motteux. un expériment a montré que la vitesse d’avancement est légèrement plus faible avec un écartement de 90 cm qu’à 75 cm. Cependant. l’augmentation de la taille des buttes augmente considérablement le rendement (tableau 6, fig. 7). En général, les rendements décroissent de 3 à 4% avec un écartement de 90 cm et de 5 à 6% avec un écartement de 105 cm comparés à l’écartement 75 cm. Pourtant. il a apparu que l’importance de l’effet de l’écartement des rangs sur le rendement dépend nettement du niveau général de rendement (tableau 7). La proportion des petits calibres augmente lorsque le rendement total diminue (fig. 9). Dans la butte. une taille de 600 à 700 cm2 de terre meuble dans la section transversale apparu comme optimale pour tous les écartements. ce qui rend possible des facons culturales de printemps moins profondes et facilite l’élargissement des sillons aux plus grands écartements de rangs (tableau 8. fig. 10). S’il y a peu de pierres et de mottes. il semble que l’écartement de 75 cm soit optimal pour obtenir cette forme de butte. Cependant, pour des tracteurs de 180 cm d’empattement et avec des pneus de 40 cm, en présence de pierres et de mottes. ou sous climat sec. un écartement de 90 cm est optimum.
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Summary TPS progenies from open-pollinated and 4x×2x crosses were compared on the basis of seed quality, seedling vigor, seedling tuber production and tuber yield. The hybrids from 4x×2x crosses were superior in all the traits. Even though the hybrid families may have these outstanding features, the relatively high cost of producing seeds can be a limitation to their widespread utilization in developing countries. Seeds from open pollination are much less expensive; their cost of production is only 10–20 % of that of hybrid seeds. Thus, the use of TPS families from open pollination may be an economical method for the production of potatoes from true seed until a suitable method of producing low-cost hybrid seed is available.
Zusammenfassung Die Hauptgruppen von Kartoffelsamen-Familien (TPS, ‘true-potato-seed’) die für eine Kartoffelproduktion verwendbar erscheinen, sind: a) Hybriden von 4x×2x-, 2x×4x- und 2x×2x-Kreuzungen (Peloquin, 1982) sowie 4x×4x-Kreuzungen (Peloquin, 1979; Mendoza, 1979), b) offen best?ubende Nachkommenschaft. Diese beiden Gruppen von TPS-Nachkommenschaften haben deutlich unterschiedliche Eigenschaften im Hinblick auf ihre Eignung für die Kartoffelproduktion. Zweck dieser Studie war ein Vergleich zwischen TPS-Nachkommen einerseits und 4x×2x-Kreuzungen und offen best?ubenden andererseits auf der Basis von Saatqualit?t, S?mlingsvitalit?t, S?mlingsknollen-Produktion und Knollenertrag. Zwei-und-fünfzig TPS-Familien, 35 von offen best?ubenden und 17 von 4x×2x-Kreuzungen wurden verwendet. Die Hybridfamilien entstanden aus Kreuzungen zwischen tetraploiden Klonen und 2x Phureja-haploiden Tuberosum-Hybriden mit der F?higkeit zur Erzeugung von 2n-Pollen durch FDR. Mit wenigen Ausnahmen entstanden alle OP-Nachkommen aus denselben tetraploiden Eltern, die in den 4x×2x-Kreuzungen verwendet wurden. S?mtliche Samen- und S?mlingstests liefen im Laboratorium und im Gew?chshaus. Die S?mlinge für die Feldversuche wurden im Gew?chshaus angezogen und dann im Alter von etwa 6 Wochen in das Feld ausgepflanzt. Alle Ertragsversuche wurden mittels RCBD und 2 Wiederholungen durchgeführt. Die Ergebnisse zeigen betr?chtliche Unterschiede bei Samengr?sse, Keimungsrate, S?mlings-Vitalit?t und S?mlings-Knollenproduktion zwischen den 4x×2x-Hybriden und OP-Nachkommen (Tabellen 1 und 2). Die Hybriden-Nachkommen waren bei allen diesen Merkmalen besser. Desweiteren erkl?ren die mittleren Knollenertr?ge der beiden Gruppen von TPS-Familien die überlegenheit der 4x×2x-Familien (Tabelle 3). Die Heterosis-Reaktion in den Nachkommen der 4x×2x-Kreuzungen wird auf der Basis der FDR-Weise für 2n-Pollenbildung erkl?rt. Bei diesem Mechanismus wird mehr als 80 Prozent der Heterozygotie der 2x-Eltern auf die Nachkommen übertragen. Ungeachtet der noch ausstehenden Eigenschaften der Hybrid-Familien k?nnten die relativ hohen Kosten für die Hybridsaat-Produktion eine Begrenzung für eine verbreitete Verwendung in Entwicklungsl?ndern bedeuten. Folglich kann die Verwendung von TPS-Familien von Offen-Best?ubenden eine ?konomische Methode für die Produktion von Kartoffeln aus Samen sein, bis eine brauchbare Methode zur kostengünstigen Produktion von Hybridsamen vorhanden ist.

Résumé Les graines recherchées pour la production directe de pommes de terre proviennent des principaux types de familles suivants: a) les hybrides obtenus par croisément 4x×2x, 2x×4x, 2x×2x (Peloquin, 1982) et 4x×4x (Peloquin, 1979; Mendoza, 1979), b) les descendances issues de la pollinisation naturelle. Les lignées de ces deux groupes ont des caractéristiques distinctes sur le plan de leur aptitude à produire des pommes de terre. Le sujet de cette étude a été de comparer les descendances issues du croisement 4x×2x et celles provenant de la pollinisation naturelle, en se basant sur la qualité des semences, la vigueur germinative, la production de tubercules et le rendement en tubercules. Cinquante-et-deux familles, dont 35 issues de pollinisation naturelle et 17 du croisement 4x×2x ont été utilisées. Ces dernières étaient obtenues par le croisement entre cl?nes tétraplo?des et des hybrides Phureja 2x×Tuberoseum haplo?de capables de produire du pollen 2n. A quelques exceptions près, toutes les lignées issues de pollinisation naturelle étaient issus des mêmes parents tétraplo?des utilisés dans les croisements 4x×2x. Tous les tests sur graines et de germination étaient effectués en laboratoire et en serre. Les semences pour les essais au champ étaient réalisées en serre puis les plantes étaient transplantées dans le champ après six mois de croissance, selon un dispositif RCBD à 2 répétitions. Les résultats obtenus montrent des différences importantes au niveau de la taille des graines, des pourcentages de germination, de la vigueur germinative et de la production de tubercules entre les hybrides 4x×2x et les lignées issues de pollinisation naturelle (tableaux 1 et 2). La descendance des hybrides étaient meilleure pour tous les caractères. Le rendement moyen en tubercules dans les deux groupes souligne la supériorité des familles de 4x×2x (tableau 3). Le comportement des lignées 4x×2x s'explique par le mode de formation du pollen 2n. Dans ce mécanisme, plus de 80 pour cent de l'hétérozygotie du parent 2x est transmis à la descendance. En dépit des caractéristiques intéressantes des familles d'hybrides, leur co?t relativement élevé peut être une limite à la diffusion dans les régions de grande culture. Par conséquent, l'utilisation de graines issues de pollinisation naturelle peut être économique pour la production de pomme de terre jusqu'à ce qu'une méthode de création d'hybrides moins onéreuse soit mise au point.
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13.
Summary In field trials simulating commercial conditions, secondary PLRV infection of autumn-grown potato crops in Israel significantly reduced yield, although symptoms were not perceptible. Plots containing 7.3% PLRV-infected seed showed an increase in yield per plant of 17%, compared with plots with 36.2% infected seed; in plots with only 1.3% infected seed the increase of yield was 21%. In a second experiment, where individual plants were assayed, the yield of PLRV-infected plants of cv. Blanka was only 68.7% of that of PLRV-free plants; corresponding figures for cv. Up-to-Date and Désirée were 79.2 and 58% respectively. PLRV infection was not associated with reduced emergence or with the yield of deformed tubers.
Zusammenfassung W?hrend der ersten zwei Monate der im Herbst liegenden Wachstumszeit der Kartoffel (August-Januar) sind in Israel sehr hohe Temperaturen (mittleres Maximum 34,7° C) und hohe Sonneneinstrahlung; anschliessend fallen die Temperaturen und die Lichteinstrahlung stark ab. Unter diesen Bedingungen bleibt die Infektion mit PLRV meist symptomlos und es gibt vom Pflanzenwuchs her keine Anzeichen dafür anzunehmen, dass der Ertrag beeintr?chtigt ist. Imersten Versuch (A) wurden die Ertr?ge von Best?nden verglichen, die die gleiche Pflanzgutgr?sse (Sorte Désirée) hatten, aber von drei Herkünften I, II und III stammten. Der Anteil der PLRV infizierten Knollen in diesen Herkünften betrug 1,3, 7,8 und 32,6% (Abb. 1A). Der durchschnittliche Ertrag pro Parzelle für Herkunft I, II und III lag bei 12,6 kg, 10,0 kg und 7,6 kg (Abb. 1C); die Differenzen zwischen den Herkünften waren signifikant (P<0,05). Der Unterschied zwischen Herkunft I und II gibt vielleicht die unterschiedlichen Auflaufraten wieder (Abb. 1B), aber die Differenz zwischen den Herkünften II und III scheint eine Folge der Virusinfektion zu sein, und ?hnliche Differenzen wurden beim Vergleich des Ertrages pro Pflanze gefunden (Abb. 1D). Diese Annahme wurde im Versuch B best?tigt, in dem der Ertrag PLRV-infizierter Pflanzen mit dem PLRV-freier Pflanzen verglichen wurde. Die Infektion mit PLRV war nicht mit einer verringerten Auflaufrate oder dem Ertrag an deformierten Knollen verbunden, aber infiziertes Pflanzgut der Sorte Blanka ergab nur 68,7% des Ertrages virusfreien Pflanzgutes, Up-to-Date 79,2% und Désirée 58%; die Verluste waren statistisch signifikant (Abb. 3). Diese Ergebnisse lassen annehmen, dass betr?chliche Ertragsverluste durch die Infektion mit PLRV in den im Herbst gepflanzten Kartoffeln eintreten k?nnen, obwohl die Symptome nicht wahrnehmbar sind. Im Hinblick auf den hohen PLRV-Befall in den Herbstbest?nden (Marco, 1981b), kann es von Vorteil sein die im Frühjahr gepflanzten Best?nde vor einer PLRV-Infektion zu schützen, da sie das Pflanzgut für den Herbst stellen.

Résumé Pendant les deux premiers mois de végétation des pommes de terre cultivées à l'automne en Israel (Ao?t-Janvier), les températures sont très élevées (moyenne maximale de 34,7°C) et la luminosité très forte. Puis les températures et l'intensité lumineuse diminuent rapidement. Sous de telles conditions, la contamination par le virus de l'enroulement est généralement existante mais sans l'apparition de sympt?mes; rien ne permet donc d'indiquer en végétation que le rendement est affecté. Dans une première expérience (A), le rendement est comparé pour trois cultures obtenues à partir de plants de même calibre (variété Désirée), mais de sources différentes (I, II et III). Suivant l'origine I, II et III les pourcentages de la contamination par le virus de l'enroulement est respectivement 1,3, 7,8 et 32,6% (fig. 1A). Le rendement moyen obtenu par parcelle est respectivement 12,6, 10 et 7,6 kg (fig. 1C), la différence entre les trois origines étant significative (P<0,05). L'écart de rendement entre les plants de source I et II s'explique sans doute par le taux de levée différent (fig. 1B); mais entre les plants de source II et III, la différence semble provenir de la contamination par le virus et ceci est également observé pour le rendement par pied (fig. 1D). Cette hypothèse est confirmée par l'expérience B ou le rendement obtenu à partir de plants contaminés est comparé à celui du témoin planté avec des tubercules indemnes de virus. L'incidence de la contamination n'est pas correlée au manque à la levée et au rendement des tubercules difformes. Les plants contaminés ont donné pour les variétés Blanka, Up-to-Date et Désirée respectivement 68,7%, 79,2% et 58% du rendement obtenu à partir de tubercules sains, la diminution de rendement étant significative (fig. 3). Les résultats montrent qu'il peut y avoir des
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Summary The effect of stock and scion genotype on the growth and yield of potato plants was tested in large pots. In grafts between an early and a late-maturing cultivar the scion genotype had the dominant influence on most aspects of the growth. The stock had less influence, but stocks of cv. Pentland Dell (early main crop) supported less vigorous growth than those of cv. Cara (late main crop). Similar results were obtained in field plots lightly infested with potato cyst nematode. Ground cover measurements showed that compared with Cara, scions and stocks of Pentland Dell initially retarded growth to a similar degree but that later in the growing season the scion had a greater effect than the stock. The scion had a greater influence on the partitioning of assimilates and on haulm weight than the stock, but both the stock and the scion influenced final tuber yields.
Zusammenfassung Der Einfluss des Genotypes von Pfropfreis und Unterlage auf das Wachstum und den Ertrag von Kartoffelpflanzen, die durch Pfropfungen zwischen einer sp?t reifenden, einer frühen und einer frühen Hauptanbausorte (Tab. 1) hergestellt wurden, wurde in grossen T?pfen (30 cm Durchmesser) an Hand aufeinanderfolgender Ernten in w?chentlichen oder 2-w?chentlichen Abst?nden untersucht. Beim Mitteln der Ergebnisse aus den 9 aufeinander folgenden Ernten zeigte es sich (Tab. 2), dass das Wachstum der sp?t reifenden Sorte Cara durch die Pfropfung nur wenig vermindert wurde, und dass bei den Pfropfungen zwischen der Sorte Cara und der früh reifenden Sorte Pentland Javelin das Pfropfreis auf die meisten Wachstumserscheinungen den dominierenden Einfluss ausübte. In ?hnlicher Weise dominierte das Pfropfreis über der Unterlege bei Pfropfungen zwischen der Sorte Cara und der frühen Hauptanbausorte Pentland Dell, obgleich alle Knollen an der Unterlage erzeugt wurden (Tab. 3). Die Unterlagen von Pentland Dell tendierten jedoch, verglichen mit denen von Cara, zur Einschr?nkung des Spitzenwachstums. Dieser Unterschied im Einfluss wurde best?tigt, indem die ?nderungen der wichtigsten Leistungen des Pfropfreises (Abbildungen 2a–6a) und der Unterlage (Abbildungen 2b–6b) dargestellt wurden, wie das Trockengewicht der Spitze, das Trockengewicht der Wurzeln, das Trockengewicht der Knollen, das Gesamttrockengewicht und der Prozentsatz der gesamten Trockenmasse in den Knollen, Bei der Schlussernte, die 13 Wochen nach dem Umsetzen der Pflanzen in grosse T?pfe durchgeführt wurde, zeigte es sich, dass die Pfropfreiser von Pentland Javelin abgestorben (Tab. 4) und diejenigen von Pentland Dell teilweise senescent waren (Tab. 5). Insgesamt ergaben die Pflanzen von Cara auf Cara die gr?ssten Knollenertr?ge und die gr?sste Gesamttrockenmasse. Ein Versuch in Feldparzellen mit Pfropfungen zwischen den Sorten Cara und Pentland Dell ergab eine weitere Best?tigung der oben genannten Ergebnisse mit der Ausnahme, dass Messungen der Bodenbedeckung (Tab. 6) ergaben, dass die Unterlage anf?nglich fast ebenso viel Einfluss auf das Spitzenwachstum ausübt wie das Pfropfreis; Pfropfreiser oder Unterlagen von Pentland Dell verz?gern das Spitzenwachstum in gleicher Weise wie diejenigen von Cara. Der Einfluss des Pfropfreises vergr?sserte sich dejoch fortlaufend, so dass bei zwei Ernten, die nach 13 und 16 Wochen nach dem Auspflanzen ins Feld durchgeführt wurden, der Einfluss des Pfropfreises dominant über dem der Unterlage wurde (Tab. 7). Pflanzen von Cara auf Cara lieferten wieder die h?chste Gesamttrockenmasse und bei der Schlussernte waren die Pflanzen mit Cara Pfropfreisern noch grün und im Wachstum w?hrend diejenigen mit Pentland Dell Pfropfreisern senescent geworden waren.

Résumé L'influence du génotype du greffon et du porte-greffe sur la croissance et le rendement de pieds de pommes de terre produits par greffage entre variété tardive, précoce et demi-précoce est étudiée en grands pots (30 cm de diamètre) par arrachages échelonnés à une ou deux semaines d'intervalle. Les moyennes effectuées à partir des résultats des neuf arrachages montrent (tableau 2) que la croissance de la variété la plus tardive Cara n'est que légèrement ralentie par un greffage et que dans le cas de greffes entre Cara et la variété plus précoce Pentland Dell le greffon a l'influence la plus importante sur la plupart des différents aspects de la croissance. De fa?on semblable, dans le cas de greffes entre Cara et la variété précoce Pentland Dell le greffon domine sur le porte-greffe alors même que les tubercules sont formés sur le porte-greffe (tableau 3). Toutefois, les porte-greffes de Pentland Dell ont tendance à diminuer le développement de la partie aérienne par rapport à ceux de Cara. Cette différence est en effet confirmée si l'on figure graphiquement les principaux effets du greffon (figures 2a–6a) et du porte-greffe (figures 2b–6b) sur le poids sec de la partie aérienne, le poids sec des racines, le poids sec des tubercules, le poids sec total et le pourcentage de matière sèche totale dans les tubercules. Une récolte finale, effectuée 13 semaines après le transfert des plantes en grands pots, montre que les greffons de Pentland Javelin sont morts (tableau 4) et que ceux de Pentland Dell sont partiellement sénescents (tableau 5). Les pieds de Cara sur Cara produisent les meilleurs rendements en tubercules et en matière sèche totale. Une expérimentation en parcelles au champ, avec des greffes entre Cara et Pentland Dell confirme les conclusions précédentes à l'exception des mesures de couvertures du sol (tableau 6) qui montrent que le portegreffe a au moins autant d'effet que le greffon sur la croissance de la partie aérienne. Les greffons ou les porte-greffes de Pentland Dell retardent la croissance de la partie aérienne à un degré équivalent à ceux de Cara. Malgré tout, l'influence du greffon augmente progressivement, si bien que pour les deux récoltes effectuées 13 et 16 semaines après la plantation au champ, l'effet du greffon est plus important que celui du portegreffe (tableau 7). Encore une fois, les plantes de Cara sur Cara produisent la matière sèche totale la plus élevée et, à la récolte finale, les plantes avec greffon de Cara sont encore vertes et en croissance, tandis que celles avec greffon Pentland Dell deviennent sénescentes.
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Summary In a breeding programme designed to combine a low rate of sprout growth on stored tubers with high yield, general combining ability was concluded as being more important than specific combining ability in governing the inheritance of both characters in diploid Phureja-Stenotomum potatoes. There was no direct genetic linkage between yield and sprout growth. Seedling performance is probably not sufficiently accurate as a guide to a clone or progeny's performance in later, clonal generations. The early evaluation of parents from seedling progenies would not therefore be meaningful. A simple scheme is suggested for further breeding work, involving the intermating of high yielding, slow sprouting clones.
Zusammenfassung Vier Phureja Klon-Gruppen aus dem diploiden Massenselektionsschema der Schottischen Pflanzenzuchtstation wurden als weibliche Partner mit sieben Klon-Gruppen von Stenotomum nach dem North Carolina II Plan gekreuzt. Eine Analyse der Daten bezüglich des Ertrags und schneller Keimung w?hrend der Lagerung (zusammengefasst in Tabelle 1) zeigte, dass in diesem Material die allgemeine Kombinationseignung (GCA) wichtiger war als die spezifische Kombinationseignung (SCA) im Hinblick auf die Vererbung dieser beiden Merkmale (Tabelle 2). Der S?mlingsertrag war durch signifikante Differenzen (P<0.05) in der SCA gekennzeichnet. Tabelle zeigt, dass grosse Differenzen in der GCA innerhalb der elterlichen Gruppen auftraten. Die Daten des ersten Klonjahres sollten einen echten Hinweis für einen Klon oder die Nachkommenschaftsleistung der nachfolgenden Klongenerationen liefern, wenn die Methoden der Untersuchung die gleichen sind. Die S?mlingsleistungen wiesen gegenüber der ersten Klongeneration einen zu niedrigen Korrelationskoeffizienten auf (Tabelle 3a), so dass sie nicht für eine sichere Selektion für Klone und Nachkommenschaften genutzt werden k?nnen. Zus?tzlich zu den signifikanten Effekten der SCA unterscheidet sich der S?mlingsertrag vom Ertrag des 1. Klonjahres dadurch, dass er hoch signifikant mit der Keiml?nge korreliert ist (P<0.001, Tabelle 3b). Nachkommenschaftstestung der Eltern ist deshalb im S?mlingsjahr nicht m?glich. Jedoch k?nnen Eltern für weitere Kreuzungen auf Grund ihres Ph?notyps selektiert werden, da sehr hohe signifikante Differenzen der SCA (P<0.001. Tab. 2) und signifikante Differenzen (P<0.05) zwischen dem Ertrag des 1. Klonjahres und der Keiml?nge bestehen. Die Paarung zwischen hoch ertragreichen Klonen und jenen mit niedriger Keiml?nge sollte deshalb zu Verbesserungen in beiden Eigenschaften führen, zumindest bis die SCA die GCA an Bedeutung übertrifft.

Résumé Quatre clones du groupe Phureja, issus d'une sélection massale d'obtention diplo?de de la Scottish Plant Breeding Station, ont été croisés en tant que géniteurs femelles avec sept clones du groupe Stenotomum. L'analyse des données de rendement et de croissance des germes pendant la conservation (résumée dans le tableau 1) montre que, avec ce matériel, l'aptitude à la recombinaison générale (GCA) est plus importante que l'aptitude à la recombinaison spécifique (SCA) dans la transmission des deux caractères (voir tableau 2). Le rendement de la plantule est affecté par l'aptitude à la SCA de manière significative (P<0.05). L'examen du tableau 1 montre qu'à l'intérieur des groupes parentaux apparaissent des différences importantes dans l'aptitude à la GCA. Les données du premier clone peuvent être un bon guide concernant les performances de la descendance des clones ou lignées car les méthodes d'évaluation sont identiques. Les coefficients de corrélation entre les données relatives aux plantules et aux premiers clones (tableau 3a) sont, cependant, trop faibles pour permettre un bon jugement des clones ou lignées à partir des performances des plantules. Le rendement des plantules diffère de celui du premier clone car, à l'effet significatif de l'aptitude à la SCA s'ajoute de manière très hautement significative une corrélation avec la longueur des germes (P<0.001) (tableau 3b). Le test de la descendance des parents par les plantules est donc impossible. Cependant, du fait de la très grande différence significative dans l'aptitude à la GCA (P<0.001) (tableau 2) et des différences significatives existant parmi les clones pour le rendement et la longueur des germes du premier clone (P<0.05), les parents peuvent être sélectionnés, selon leur phenotype, pour d'autres hybridations. Le croisement de clones à rendement élevé et faible germination peut donc être une amélioration des deux caractères tout au moins jusqu'à ce que l'aptitude à la SCA dépasse en importance l'aptitude à la GCA.
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Summary Disease or inoculum records made at different stages of growth on 100 commercial King Edward crops in 1971–75, and already reported, were augmented by growing 85 of the seed stocks in field experiments at Rothamsted and assessing disease or inoculum incidence during growth (1971, 1975), at harvest (1972–75) and after storage (1974–75). Incidence of black scurf, silver scurf and skin spot was usually greater at Rothamsted than on the different farms, probably because of later sampling dates. Disease incidence on seed tubers was often positively related to amounts of inoculum on harvested tubers or disease symptoms in store for black scurf, skin spot and gangrene, showing that seed tubers were an important inoculum source. With silver scurf the relationship was negative. Relationships between assessments made at different times were more consistent for all four diseases on crops at Rothamsted than on crops grown on different farms but they were not invariably significant.
Zusammenfassung In den Jahren 1971–1975 wurden 100 Proben von Marktware der Sorte King Edward, die im Fenland gewachsen waren, in verschiedenen Entwicklungsstadien auf den Krankheitsbefall oder Inokulumbesatz mit Pockenkrankheit, Tüpfelfleckenkrankheit, Silberschorf und Phomaf?ule untersucht (Adams et al., 1980a, 1980b; Hide & Adams, 1980a, 1980b). 85 dieser Pflanzgutproben wurden in Feldversuchen in Wiederholung in Rothamsted vermehrt und der Krankheits- oder Inokulumbesatz w?hrend des Wachstums (1971, 1975), bei der Ernte (1972–75) und nach der Lagerung bei 3°C (1974–75) untersucht (Tabelle 1). Tabelle 2 zeigt, dass der durchschnittliche Befall mit der Pockenkrankheit st?rker war als wenn die Kartoffeln im Fenland gewachsen und die gelagerten Kartoffeln 1975 stark mit Pocken besetzt waren. Der durchsnittliche Befall mit der Tüpfelfleckenkrankheit (Tabelle 4) zeigte, dass die Krankheit in Rothamsted verbreiteter war als 1974 und 1975 im Fenland, als fast alle gelagerten Knollen infiziert waren. Der durchschnittliche Befall mit Silberschorf (Tabelle 5) war im allgemeinen h?her als im Fenland und die Mehrheit der gelagerten Knollen war 1974 und 1975 stark infiziert (>10% der Oberfl?che war befallen). Die durchschnittlichen Werte für die Phomaf?ule (Tabelle 6) waren im allgemeinen w?hrend des Wachstums und zur Ernte niedrig, 1974 waren der Inokulumbesatz zur Erntezeit und der Krankheitsbefall im Lager mittel. Unterschiede im Krankheitsausmass zwischen Rothamsted und im Fenland ergaben sich vielleicht, weil in Rothamsted die Probennahme sp?ter, die Zeit zwischen Krautabt?tung und Ernte l?nger (was besonders die Phomaf?ule 1974 beeinflusste) und die Bodenbedingungen kühler und nasser waren (was besonders die Pockenkrankheit beeinflusste). Die Signifikanz der Regressionen zwischen den zu verschiedenen Zeiten gemachten Feststellungen des Krankheitsbefalls oder Inokulumbesatzes zeigte, dass für die Pockenkrankheit (Tabelle 3), die Tüpfelfleckenkrankheit (Tabelle 3) und für die Phomaf?ule (Tabelle 7) der Gehalt an Inokulum auf den Pflanzkartoffeln oft in signifikanter Beziehung zu den Bonituren w?hrend des Wachstums und im Lager stand, was die Bedeutung des knollenbürtigen Inokulums unterstreicht. Die signifikanten Regressionen für Silberschorf (Tabelle 3) zwischen dem Inokulumgehalt von Pflanzkartoffeln und geernteten Kartoffeln oder dem Krankheitsbefall nach der Lagerung hatten negative Koeffizienten (Abb. 1 und 2). Das deutet daraufhin, dass Pflanzkartoffeln, die viel Inokulum vor dem Pflanzen produzieren, dies weniger tun zum Zeitpunkt der Bildung von Tochterknollen. Im allgemeinen waren die Beziehungen zwischen den Feststellungen des Krankheitsbefalls oder Inokulumgehaltes, die zu verschiedenen Zeiten gemacht wurden, besser, wenn die Kartoffeln in Rothamsted aufwuchsen als wenn sie getrennt davon im Fenland standen. Dies zeigt die Bedeutung des ?rtlichen Inokulumbesatzes oder den Einfluss der Umgebung des Feldes. Die Beziehungen waren jedoch sogar in Rothamsted nicht immer signifikant, was auf die Notwendigkeit besserer Kenntnisse über die optimale Probengr?sse und über Testverfahren hinweist.

Résumé L'enregistrement des informations concernant la maladie ou le taux d'inoculum pour le rhizoctone, l'oosporiose, la gale argentée et la gangrène, réalisé à différents stades de croissance sur 100 lots commerciaux de King Edward plantés dans le Fenland en 1971–75 (Adams et al., 1980a, 1980b; Hide & Adams, 1980a, 1980b) a été augmenté par culture de 85 lots de semence dans des champs d'expérience à Rothamsted et par estimation de l'incidence de la maladie ou de l'inoculum en cours de croissance (1971, 1975) à la récolte (1972–75) et après conservation à 3°C (1974–75) (tableau 1). Les valeurs moyennes relatives aux évaluations du rhizoctone (tableau 2) ont été plus élevées pour les cultures du Fenland et la maladie a été prédominante sur les lots conservés en 1975. Les valeurs moyennes concernant les estimations de l'oosporiose (tableau 4) ont montré que la maladie a été plus étendue à Rothamsted que dans le Fenland en 1974 et 1975 quand presque tous les tubercules conservés ont été contaminés. Les valeurs moyennes concernant les estimations de gale argentée (tableau 5) ont été d'une manière générale plus élevées que dans le Fenland et la majorité des tubercules stockés en 1974 et 1975 ont été fortement contaminés (plus de 10% de la surface affectée). Les valeurs moyennes des estimations relatives à la gangrène (tableau 6) ont été habituellement faibles pendant la croissance et à la récolte, mais en 1974 les taux d'inoculum à la récolte et l'incidence de la maladie en cours de conservation ont été modérés. Les différences observées entre les taux de maladie à Rothamsted et dans le Fenland ont été probablement dues au fait qu'à Rothamsted les prises d'échantillons se sont faites plus tardivement. Dans ce cas, les intervalles entre le défanage et la récolte ont été plus longs (ce qui a particulièrement affecté la gangrène en 1974) et les conditions de sol ont été plus fra?ches et plus humides (ce qui affecte spécialement le rhizoctone). La signification des régressions entre la maladie ou l'inoculum établies à différentes périodes a montré que pour le rhizoctone (tableau 3), l'oosporiose (tableau 3), et la gangrène (tableau 7) les taux d'inoculum sur les tubercules de semence ont souvent été en relation, et de manière significative, avec les estimations faites en cours de croissance et en conservation. Cela montre l'importance de l'inoculum sur le tubercule de semence. Pour la gale argentée (tableau 3) des régressions significatives entre les taux d'inoculum sur tubercules-mères, sur tubercules-fils et l'incidence de la maladie après conservation ont eu des coefficients négatifs (figures 1 et 2). Les auteurs suggèrent que les tubercules de semence produisant plus d'inoculum avant la plantation en produisent moins en cours de tubérisation. Généralement, les relations existant ente les estimations de maladie ou d'inoculum établies à différentes périodes ont été meilleures pour les lots plantés ensemble à Rothamsted que pour ceux plantés séparément dans le Fenland. Cela démontre l'importance des sources locales d'inoculum ou l'effet de l'environnement local au niveau des exploitations agricoles. Toutefois, même à Rothamsted, les relations n'ont pas été invariablement significatives, et cela indique la nécessité d'une meilleure connaissance des tailles optimales d'échantillons et des procédures relatives aux tests.
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17.
Summary Combining ability analysis was done on a diallel cross of a random sample of four different cultivated diploid potato populations (Solanum tuberosum Group Andigena haploid, Gp. Tuberosum haploid, Gp. Phureja and Gp. Stenotomum) to determine the amount of heterosis and the gene action involved in the inheritance of tuber yield, fresh vine yield, total plant accumulation (tuber+vine) fresh and dried, dry vine yield and density (specific gravity). The analyses of variance on data from two locations demonstrated significant general combining ability for most traits, indicating a preponderance of additive gene action. Specific combining ability was not significant for any of the traits. Heritabilities for the more important traits such as tuber yield and density were large enough to ensure progress from selection.
Zusammenfassung Es wurde die Analyse der Kombinationsf?higkeit einer diallelen Kreuzung von einer zuf?lligen Auswahl aus vier verschiedenen kultivierten diploiden Kartoffelpopulationen —Solanum tuberosum Gruppe Andigena (haploid, AH), Gruppe Tuberosum (haploid, TH), Gruppe Phyreja (PHU) und Gruppe stenotomum (STN) — durchgeführt, um das Ausmass an Heterosis und Genwirkung zu ermitteln, welches an der Vererbung von Knollenertrag, Ertrag von frischem Kraut, gesamter pflanzlicher Akkumulation (Knollen und Kraut, frisch und getrocknet), trockenem Krautertrag und Dichte beteiligt war. Das mittlere Gesamtgewicht an Knollen (Tab. 2) war für die TH×STN-F1-Hybriden (0,75 kg/Pflanze) am h?chsten, danach folgte TH×PHU (0,59 kg/Pflanze), AH×TH (0,38 kg/Pflanze) und AH×PHU (0,23 kg/Pflanze). Eine ?hnliche Folge der Mittelwerte war beim Gewicht von Knollen+Kraut und bei der Gesamtproduktion an Trockenmasse zu beobachten. Bei Gewicht von frischem und trockenem Kraut hatten gew?hnlich die AH-Hybriden den h?chsten Ertrag. Die STN-Hybriden ergaben hohe Dichte. Beim Vergleich mit den Elternmittel-Werten glichen oder übertrafen die Hybriden diese in allen sechs Eigenschaften (Tab. 2). Die TH, STN und PHU-Hybriden übertrafen das elterliche Mittel entsprechend um 135, 145 und 117%. Die Hybriden aller vier Elternpopulationen übertrafen das elterliche Mittel bei Gesamttrockenmasse und drei der vier Hybriden beim Gewicht von Knollen+Kraut. Die Dichte aller Hybriden glich dem Elternmittel-Wert, der potentielle Bereich des prozentualen elterlichen Mittels ist jedoch gering. Die F1-Hybriden übertrafen ohne Ausnahme das elterliche Mittel für Gesamtgewicht der Knollen, Gewicht von Knollen+Kraut und Gesamtproduktion von Trockenmasse (Tab. 2). Die mittleren Quadrate der allgemeinen Kombinationsf?higkeit (GCA) waren hochsignifikant für Gesamtgewicht der Knollen, Gewicht des frischen Krautes, Trockengewicht des Krautes und Dichte, dagegen nichtsignifikant für die Gesamtakkumulation bei frischen und bei getrockneten Pflanzen (Knollen+Kraut, Tab. 3). Ebenso wenig waren die mittleren Quadrate für spezifische Kombinationsf?higkeit (SCA) für eine der Eigenschaften signifikant. Eine starke GCA×Standort-Wechselwirkung zeigte sich bei Gesamtgewicht an Knollen und bei Gesamttrockenmasse, sie wurde deshalb von GCA eliminiert, um die Vererbung dieser Eigenschaft in engerem Sinne zu berechnen. Gesamtgewicht der Knollen (h 2 =0,875) und Dichte (h 2=0,703) zeigten hohe Vererbbarkeit, w?hrend gesamte pflanzliche Akkumulation (Knollen+Kraut) frisch (h 2=0,040) und trocken (h 2=0,184) niedrige Vererbbarkeit zeigten. Gewicht von frischem Kraut (h 2=0,499) und von getrocknetem Kraut (h 2=0,573) ergaben m?ssige Vererbbarkeit. Daraus wurde geschlossen, dass additive Geneffekte als wichtig bei der Verbesserung dieser Populationen anzusehen sind. Sogar bei bekannten nachteiligen Effekten wie grosser Tagesl?nge und hoher Temperatur auf die Knolleninitiierung und-entwicklung, erh?hten die im Kurztag kultivierten und in dieser Arbeit verwendeten südamerikanischen Gruppen AH, STN und PHU im Hybridstadium die Knollenbildung betr?chtlich, obwohl die maximale Vitalit?t der Hybriden hinsichtlich der Knollenbildung durch die ungünstige Photoperiode beeintr?chtigt war. Die gesamte pflanzliche Akkumulation (Knollen+Kraut) mag ein guter Indikator für Heterosis-bedingte Reaktionen sein, die gesamte Akkumulation an Trockenmasse (Knollen+Kraut) erscheint jedoch zur Ermittlung der Heterosis in nichtadaptiertem Material noch geeigneter.

Résumé L'analyse de la capacité de combinaison a été faite sur un échantillon issu de croisement diallèle, pris au hasard dans les populations de quatre types de pommes de terre diplo?des cultivées:Solanum tuberosum groupe Andigena haplo?des (AH), groupe Tuberosum haplo?de (TH), groupe Phureja (PHU) et groupe Sténotonum (STN) pour déterminer le degré d'hétérosis et l'effet génétique dans la transmission du rendement en tubercules et en fanes, de la production totale (tubercules+fanes) par rapport à la matière fra?che et à la matière sèche, de la densité. La moyenne du poids total de tubercules (tableau 2) a été la plus élevée pour l'hybride F1, TH×SIN (0,75 kg/butte) suivie par TH×PHU (0,59 kg/butte), AH×TH (0,38 kg/butte) et AH×STN (0,32 kg/butte). Un classement analogue des moyennes a été obtenu pour le poids des tubercules plus celui des fanes et la production totale de matière sèche. En ce qui concerne le poids des fanes fra?ches et sèches, les hybrides AH ont eu généralement le rendement le plus haut. Les hybrides STN ont donné une densité élevée. Quand les hybrides ont été comparés au ‘mid parent’ (voir définition tableau 2) leur valeur a généralement dépassé celle de ce dernier pour les six critères (tableau 2). Les hybrides TH, STN et PHU ont dépassé respectivement le rendement total en tubercules du ‘mid parent’ de 135, 145 et 117%. Les hybrides des quatre populations parentales ont dépassé le ‘mid parent’ pour la matière sèche totale, et trois d'entre eux pour les poids de tubercules plus fanes. La densité a égalé la valeur du ‘mid parent’ pour tous les hybrides, mais la fourchette du pourcentage au niveau de ce critère était petite pour le ‘mid parent’. Les performances des hybrides F1 ont été supérieures à ce dernier pour le poids total de tubercules, le poids de tubercules plus fanes et la production totale de matière sèche (tableau 2). Les carrés des moyennes de la capacité générale de combinaison (GCA) ont été hautement significatifs pour le poids total des tubercules, le poids de fanes fra?ches et sèches et la densité; toutefois, il n'ont pas été significatifs pour la production de matière fra?che et sèche du total tubercules plus fanes (tableau 3). Les carrés des moyennes de la capacité spécifique de combinaisons (SCA) n'ont été significatifs pour aucun des critères. Une forte interaction GCA×localité a été observé pour le poids total des tubercules et la matière sèche totale; elle a été éliminée de la GCA pour le calcul précis de la transmission à ce niveau. On a déduit de ces résultats que l'effet des gènes additifs a été important vis à vis de ces populations. Même avec l'action des jours longs et des températures élevées, préjudiciables à l'initiation de la tubérisation et au développement des tubercules, les groupes Sud Américains cultivés AM, STN et PHU, atilisés dans cette étude, ont accru la tubérisation au stade hybride bien que leur vigueur maximum ait été pénalisée par une photopériode défavorable. La production totale de matière fra?che (tubercules+fanes) peut être un bon indicateur de la réponse à l'hétérosis, mais la production totale de matière sèche (tubercules+fanes) est souvent meilleure pour la détermination de l'hétérosis d'un matériel inadapté.
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18.
Summary Inoculating the roots of potato cvs Ostara, Laila, Kerrs Pink, and Pimpernel withCorynebacterium sepedonicum caused severe rotting of tubers and between 12 and 51 % decrease in yield. There was a significant cultivar/infection interaction. The numbers of tubers decreased significantly except for cv. Laila, which also showed little rotting of tubers, and the average tuber weight decreased most in cv. Pimpernel. The concentration ofC. sepedonicum was high in most inoculated tubers including those not showing symptoms.
Zusammenfassung Wurzeln von gekeimten Saatknollen der Sorten Ostara, Laila, Kerrs Pink und Pimpernel wurden durch Tauchen in Suspensionen vonCorynebacterium sepedonicum inokuliert. Dies erbrachte einen betr?chtlichen und signifikanten Ertragsrückgang, vor allem bei der Sorte Pimpernel (Tabelle 1); desweiteren zeigte sich eine signifikante Sorte/Infektion-Wechselwirkung. Inokulation ergab, mit Ausnahme von Laila, eine signifikante Senkung der durchschnittlichen Knollenzahl (Tabelle 2); am gr?ssten war der Rückgang bei Kerrs Pink, w?hrend das durchschnittliche Knollengewicht am meisten zurückging bei Pimpernel (Tabelle 3). Der Ertragsrückgang bei Laila erfolgte durch Reduktion des durchschnittlichen Knollengewichtes, bei den anderen Sorten jedoch durch Rückgang der durchschnittlichen Knollenzahl. Diese Beobachtung l?sst darauf schliessen dass die Entwicklung der Infektion bei Laila nach der Knollen-Initiierung einsetzte, w?hrend sie bei den anderen Sorten schon früher einsetzte und somit die Knollenzahl beeinflusste. Im Gegensatz zu den anderen Sorten zeigten einige Tochterknollen von Laila ?ussere Symptome, in Verbindung mit starker F?ule, w?hrend in der Entwicklung interner Symptome nur geringe Unterschiede zwischen den Sorten gefunden wurden (Tabelle 4). Dennoch waren die Konzentrationen vonC. sepedonicum in den meisten symptomlosen Tochterknollen inokulierter Pflanzen hoch (Tabelle 4). Die Ergebnisse zeigen dass die Sorte Laila gegen eineC. sepedonicum-Infektion resistenter als die anderen geprüften Sorten ist, dass jedoch hohe Konzentrationen des Erregers in symptomlosen Knollen von inokulierten Pflanzen gegen eine Verwendung bei der Züchtung sprechen.

Résumé Des racines de tubercules de semence germés (variétés Ostara, Laila, Kerrs Pink et Pimpernel) sont inoculées par immersion dans des suspensions deCorynebacterium sepedonicum. Cela provoque une diminution conéquente et significative du rendement, en particulier pour la variété Pimpernel (tableau 1), et il existe une interaction significative variété/infection. L'inoculation diminue significativement le nombre moyen de tubercules (tableau 2) sauf pour la variété Laila; la diminution est la plus importante pour la variété Kerrs Pink, tandis que le poids moyen de tubercules diminue le plus pour la variété Pimpernel (tableau 3). La diminution du rendement pour la variété Laila est provoquée par une réduction du poids de tubercules. Cette observation suggère que le développement de l'infection pour la variété Laila débute après l'initiation de tubérisation, alors que pour les autres variétés, elle commence plus t?t et de ce fait influence le nombre de tubercules. Peu de tubercules fils de la variété Laila montrent des sympt?mes externes associés à une pourriture importante en comparaison avec les autres variétés, alors que de petites différences s'observent entre toutes les variétés au niveau du développement de sympt?mes internes (tableau 4). Les concentrations deC. sepedonicum sont cependant élevées dans la plupart des tubercules fils ne présentant pas de sympt?mes et provenant de plantes inoculées (tableau 4). Les résultats montrent que la variété Laila est plus résistante à l'infection deC. sepedonicum que les autres variétés testées, mais les fortes concentrations du pathogène dans les tubercules sans sympt?me provenant de plantes inoculées empêchent son utilisation en multiplication.
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19.
Summary The rates of photosynthesis per unit leaf area and tuber yields of a dihaploid of cv. Pentland Crown and its chromosome-doubled derivatives were similar. Pentland Crown had a higher rate of photosynthesis and higher yield than the dihaploid and its tetraploid derivatives. This was shown by a larger number of tubers per plant and higher mean tuber weight for the cultivar. Fresh and dry weight shoot yields of the dihaploid, its chromosome-doubled derivatives and parent were not significantly different from each other (P>0.05). The higher yield of Pentland Crown was possibly due to a higher rate of photosynthesis. There was no evidence that the genes of theSolanum tuberosum dihaploid used in this experiment were physiologically more efficient at the tetraploid than at the diploid level.
Zusammenfassung Die Photosyntheserate pro Blattfl?cheneinheit wurde bei feld-aufgewachsenen Pflanzen der Sorte Pentland Crown, einer von ihr abgeleiteten Dihaploiden (PDH 7) und durch Chromosomenverdopplung mittels Colchicin (Dionne's Methode) produzierten tetraploiden Klonen (C-numbers) gemessen. Unter Anwendung der 14-CO2-Technik erwies sich die Photosyntheserate von Bl?ttern von Pentland Crown signifikant h?her als die der Dihaploiden und ihrer chromosomenverdoppelten Derivate (P<0,01). Die Unterschiede zwischen der Dihaploiden und den verdoppelten dihaploiden Klonen waren nicht signifikant (P>0,05) (Abb. 1). Die Dihaploiden und ihre chromosomenverdoppelten Abk?mmlinge ?hnelten sich bei Knollenertrag und dessen Komponenten, Knollenzahl pro Pflanze und mittlerem Knollengewicht. Diejenigen von Pentland Crown lagen signifikant h?her (P<0,01) (Abb. 2, 3 und 4). Frühe Knollenernte ergab keine ?nderungen in der Rangordnung der Genotypen für Knollenertrag, obwohl der Mehrertrag von Pentland Crown gegenüber den anderen St?mmen h?her war als bei sp?teren Ernten. Vermutlich erfolgt die Knollenbildung früher oder geht bei Pentland Crown initiell in h?herer Rate als bei den anderen Genotypen vor sich. Der Krautertrag pro Pflanze war bei allen drei Genotypen ?hnlich (Tab. 1); w?hrend Pentland Crown früher als die Dihaploide und ihre chromosomenverdoppelten Abk?mmlinge auflief, blieben bei letzteren die Bl?tter l?nger grün. Der h?here Knollenertrag von Pentland Crown ist vermutlich auf die h?here photosynthetische Leistung zurückzuführen. Die durch Colchicinbehandlung bei PDH 7 produzierten tetraploiden Klone (C-numbers) werden als identische Genotypen betrachtet. Da jedoch jeder von unterschiedlichem Meristem von gleicher oder unterschiedlicher Pflanze produziert wurde, k?nnten Unterschiede in der Abstammung der Zellen m?glicherweise einen Einfluss auf die ermittelten Charakteristika haben. Im Experiment ergaben sich dafür keine Abzeichnen. Unterschiede zwischen Genomen sind eher als solche zwischen Ploidiestufen für Unterschiede in der Photosyntheserate und für Knollenertrag bei dem vorliegenden Material verantwortlich. Gene mit hoher Expressivit?t für diese Merkmale, die in Pentland Crown vorhanden sind, fehlten in den aus dieser hervorgegangenen Abk?mmlingen. ?nderungen des Ploidiegrades vom dihaploiden zum tetraploiden Genotyp durch Chromosomenverdopplung hatten keinen signifikanten Einfluss auf dieses Merkmal. In diesem Material zeigte sich deshalb kein physiologischer Vorteil im tetraploiden über dem diploiden Grad. Züchtung zur Steigerung der Photosyntheserate pro Blattfl?cheneinheit würde in einem Programm zur Produktion von Sorten mit hohen Ertr?gen von Vorteil sein. Wenn bei Dihaploid — verdoppelt Dihaploid — Vergleichen, ?hnlich wie den hier beschriebenen, Ploidie ohne grosse Bedeutung für die Ertrags-Determination gefunden wurde, k?nnten Gene für eine h?here Photosyntheserate oder andere den Ertrag beeinflussende Merkmale von Diploiden oder Tetraploiden auf Material mit unterschiedlicher Ploidie ohne abtr?glichen Effekt auf ihre von der Ploidie?nderung abh?ngigen Expression transferiert werden.

Résumé Le taux de photosynthèse par unité de surface foliaire est mesuré sur des plantes de plein champ de la variété Pentland Crown ainsi que sur un des dérivés dihaplo?des PDH 7 et de cl?nes tétraplo?des (nombre C) produits par doublement chromosomique à partir du dihaplo?de traité à la colchicine (méthode de Dionne). Par la technique du dioxide de carbone-14, le taux de photosynthèse par le feuillage de Pentland Crown s'est avéré significativement supérieur à celui du dihaplo?de et de ses dérivés à chromosomes doublés (P<0,01). Les différences entre le dihaplo?de et les cl?nes dihaplo?des doublés ne sont pas significatives (P>0,05) (fig. 1). Le dihaplo?de et ses dérivés à chromosomes doublés ont donné des résultats semblables. tant au niveau du rendement en tubercules que des composants, nombre de tubercules par plante et poids moyen du tubercule. Ceux de la variété Pentland Crown sont supérieurs de facon significative (P<0,01) (fig. 2, 3 et 4). L'arrachage précoce ne modifie pas l'ordre des génotypes pour le rendement en tubercules, bien que l'avantage en faveur de la variété Pentland Crown soit supérieur à cette date qu'à des arrachages plus tardifs. La croissance des tubercules commence sans doute plus t?t ou à une vitesse initiale plus élevée avec la variété Pentland Crown qu'avec les autres génotypes. Les rendements foliaires par plante sont semblables pour les trois génotypes (tableau 1) et, bien que la levée soit plus précoce avec Pentland Crown qu'avec les dihaplo?des et les dérivés à chromosomes doublés, le feuillage de ces derniers reste vert plus longtemps. Le taux de photosynthèse plus élevé sur Pentland Crown explique sans doute en partie le rendement supérieur en tubercules. Les cl?nes tétraplo?des (nombres C) produits à partir de PDH 7 traité à la colchicine, sont supposés avoir des génotypes semblables; mais chacun étant issu d'un méristème différent d'une même ou d'une autre plante, il est possible que les variations de lignée cellulaire aient un effet sur les caractères étudiés. L'expérience ne le mit pas en évidence. Les différences entre génomes expliquent davantage les variations de taux de photosynthèse et de rendement en tubercules que celles entre plo?dies. Les gènes de la variété Pentland Crown, qui expriment le niveau de ces caractères, sont absents dans le derivé dihaplo?de. Un changement du niveau de plo?dié du génotype dihaplo?de en tétraplo?de, par doublement somatique des chromosomes, n'a pas d'effet significatif sur ces caractères. Cela montre que dans cette étude le niveau tétraplo?de ne donne aucun avantage physiologique sur le diplo?de. Un programme de sélection avec augmentation du taux de photosynthèse par unité de surface foliaire devrait être profitable pour la recherche de variétés à hauts rendements. Si après de telles comparaisons entre dihaplo?des et dihaplo?des doublés, la plo?die ne joue pas un r?le dans l'expression du rendement, les gènes responsables du taux de photosynthèse ou tout autre caractère explicatif du rendement peuvent être transférés d'un dihaplo?de ou tétraplo?de sur un matériel de plo?die différente, sans qu'il y ait un effet préjudiciable de leur expression d? au changement de plo?die.
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20.
Summary The foliar uptake of iron into potato leaves was studied in five cultivars. Uptake was greater at high humidity levels and was also affected by differences in leaflet surface morphology between leaves from the top and mid regions of the canopy. Surface morphology effects were modified by the inclusion of additives, Tween 20 and urea. Leaflet surfaces were examined by scanning electron microscopy. In the field, there was greater uptake into leaves situated within the canopy than by those exposed at the top, an effect ascribed to the sheltering microlimate. Implications for the foliar uptake of agrochemicals in general by the potato crop are commented on.
Zusammenfassung Es wurde die Aufnahme von Eisen aus Eisensulfatl?sungen in Kartoffelbl?tter untersucht, um zu kl?ren, welche Rolle einige Umwelt- und Pflanzenfaktoren spielen. Einzeltropfen einer Eisenl?sung wurden auf Bl?ttchen aufgesetzt und die Aufnahme des Eisens durch den Eisenverlust bestimmt, der im Vergleich zur Kontrolle auftrat, wenn die Bl?ttchen mit standardisierten Mengen von deionisiertem Wasser gewaschen wurden. Die Eisenkonzentration wurde durch Atomabsorptionsspektrophotometrie gemessen. Für die Untersuchungen wurden fünf Sorten verwendet: Désirée, Pentland Dell, Pentland Javelin, Record und Wilja, Laboruntersuchungen über den Einfluss der relativen Luftfeuchtigkeit (RH) und der Morphologie der Blattoberfl?che von vier Sorten zeigten, dass die Aufnahme 4–9% betrug bei 60–65% RH und 33–44% bei 95–100% RH (Tab. 1). Unterschiede in der Aufnahme zwischen Bl?ttern von der Spitze oder aus der Mitte (Tab. 2) wurden auf eine unterschiedliche Oberfl?chenstruktur zurückgeführt, die den Kontakt mit den Tropfen beeinflusst und die auch durch ein Entspannungsmittel (Tween 20) oder ein Eindringungsmittel (Harnstoff) ver?ndert werden konnten (Tab. 3). Rasterelektronenmikroskopische(SEM) Untersuchungen von Blattoberfl?chen ergaben Unterschiede sowhol zwischen den Sorten als auch zwischen den Blattpositionen innerhalb der Pflanzen (Abb. 1). An der Haarbasis und über den Blattadern wurde mehr Eisen aufgenommen (Tab. 4). Auf dem Feld ergab sich eine gr?ssere Aufnahme innerhalb der Pflanzen, wahrscheinlich bedingt durch das ver?nderte Mikroklima, das eine um 10% h?here RH aufwies als an der Spitze der Pflanzen (Tab. 5), was wiederum zu einem langsameren Abtrocknen der Tr?pfchen führte und auch Einfluss auf die Blattkutikula hatte. Insgesamt war die Eisenaufnahme gering, aber es gab gesicherte Unterschiede und sie waren mit der Aufnahme in das Blatt über eine w?ssrige L?sung verbunden. Ein besseres Verst?ndnis der durch die Umwelt und die Pflanze bestimmten Faktoren, die die Aufnahme beeinflussen, k?nnten zu einer besser vorhersehbaren Antwort auf Blattspritzungen führen.

Résumé L'absorption de solutions de fer, sous la forme de FeSO4, par les feuilles de pommes de terre a été étudiée dans le but de déterminer le r?le joué par quelques caractéristiques de la plante et facteurs d'environnement. De fines gouttes de solution de fer ont été pulvérisées sur les folioles et l'absorption a été évaluée en mesurant la perte en fer du liquide de rin?age des folioles, constitué d'eau déminéralisée, par comparaison au témoin. Les concentrations en fer ont été mesurées en spectrophotométrie d'absorption atomique. Cinq variétés ont été utilisées dans ces essais: Désirée, Pentland Dell, Pentland Javelin, Record et Wilja. Des études réalisées en laboratoire sur feuilles détachées de quatre variétés pour déterminer les effets de l'humidité ambiante et de la morphologie des surfaces foliaires ont montré que l'absorption était de 4–9% à 60–65% d'humidité relative (HR) et de 33–44% à 95–100% HR (tableau 1). Les différences d'absorption observées entre les feuilles du sommet et les feuilles du milieu de la plante étaient dues aux différences de morphologie des surfaces foliaires, affectant le contact avec les gouttelettes; mais ce dernier pouvait être modifié par l'adjonction d'un agent tensio-actif (Tween 20) et d'un produit de pénétration (urée) (tableau 3). L'examen de la surface des folioles au microscope électronique à balayage (SEM) (figure 1) révélait des différences entre variétés et entre feuilles, en fonction de leur position sur la plante. Il y avait une absorption plus importante autour des poils de la feuille et sur les nervures (tableau 4). Dans l'essai, une plus grande absorption avait lieu dans les feuilles du milieu de la plante, probablement parce qu'au niveau du micro-climat l'HR était de quelques 10% plus élevé qu'à la surface des feuilles du sommet (tableau 5). On attribue ce fait au plus faible taux d'évaporation des gouttelettes en fonction de l'HR environna la cuticule des feuilles. En définitive, l'absorption du fer a été faible, mais les quelques différences significatives observées ont montré qu'elle était compatible avec le processus d'absorption par le feuillage suivant la voie aqueuse. Une plus grande connaissance des caractéristiques de la plante et des facteurs d'environnement affectant l'absorption, pourraient conduire à une meilleure prévision des réponses de la plante aux pulvérisations foliaires.
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