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1.
Summary Potato tubers of several Polish varieties and strains were stored at low temperature (1, 2 and 6°C) and examined for sugar accumulation. The amount of accumulated sugar depended on the variety (strain) and was negligible at 6°C, greater at 2°C and the greatest at 1°C. The reducing sugar usually predominated and fructose was accumulated faster than glucose. There were two exceptions (R-42431 and R-38319), which accumulated a high percentage of sucrose with an accompanying low percentage of reducing sugars.
Zusammenfassung Kartoffelknollen einiger polnischen Sorten und St?mme wurden w?hrend 18 oder 22 Wochen bei Temperaturen von 1, 2 und 6° C gelagert. Nach der Lagerung wurden die Gehalte an Gesamtzucker, reduzierenden Zuckern, Saccharose, Glukose und Fruktose bestimmt. Die Ergebnisse der Zuckeranh?ufung bei 1°C wurden mit jenen in der amerikanischen Sorte Kennebec verglichen, die unter den gleichen Bedingungen aufbewahrt wurde. Zuckeranh?ufung bei verschiedenen Sorten und St?mmen unterscheidet sich sowohl quantitativ wie qualitativ. Eine temperatur von 6° C dürfte im allgemeinen den Gesamtzuckergehalt nicht wesentlich ver?ndern; bei einigen Sorten ist dies aber doch der Fall (Abb. 1 und 2). Die Anh?ufung reduzierender Zucker bei dieser Temperatur wird vor allem durch den Abbau der Saccharose verursacht, die w?hrend der Lagerung abnimmt (Abb. 3 und 5). Temperaturen von 2 und 1° C steigern die Zuckeranh?ufung stark. Eine Temperatur von 2°C beschleunigt haupts?chlich die Anh?ufung reduzierender Zucker mit relativ geringer Anh?ufung von Saccharose, w?hrend eine Temperatur von 1°C sowohl die Menge an reduzierenden Zuckern als auch an Saccharose ?ndert (Abb. 1–6). Der Gesamtzuckergehalt war infolge der rascheren Saccharose-Anh?ufung in einer Periode w?hrend der Lagerung bei 1°C in verschiedenen Lagerperioden unterschiedlich (Abb. 1 und 5), w?hrend der Gehalt an reduzierenden Zuckern gleich blieb (Abb. 3). Das heisst, dass die Reaktion von Kartoffelknollen auf Zuckeranh?ufung bei tiefen Temperaturen unter anderem von der vorangehenden Wachstumsperiode abh?ngt. Die Knollen der untersuchten Sorten und St?mme zeigten eher ein niedriges Verh?ltnis Saccharose/reduzierende Zucker (Tab. 1). Sogar die amerikanische Kontrollsorte Kennebec ergab ein ganz niedriges Verh?ltnis von 0,36. Dies kann durch den Einfluss von geographischen Bedingungen w?hrend des Kartoffelwachstums in Polen erkl?rt werden. Das unterschiedliche Verh?ltnis Glukose/Fruktose in Mustern vor und nach der Lagerung kann aus Tabelle 2 ersehen werden. Der vorherrschende Zucker in der Kontrolle ist Glukose, w?hrend tiefe Temperaturen die Fruktose-Anh?ufung begünstigen. Die gegenw?rtigen Versuche zeigten, dass die Reaktion von Knollen auf tiefe Lagertemperaturen ein Sortenmermal ist. Gewisse Sorten (St?mme) h?ufen in der Regel geringe Zuckermengen an, wie zum Beispiel die Sorte Nina (Abb. 2, 4 und 6), w?hrend andere Sorten rasch Zucker anh?ufen, wie zum Beispiel Flisak. Diese Feststellung ist vom technologischen Standpunkt aus wichtig. Zwei St?mme, R-42431 und R-38318, wurden in ihrer Zuckeranh?ufung bei tiefer Temperatur als atypisch befunden. Diese St?mme reichern w?hrend der Lagerung bei 1°C sehr grosse Mengen Saccharose an, w?hrend die reduzierenden Zucker auf einem sehr tiefen Stand bleiben (Abb. 4 und 6).

Résumé Des tubercules de pomme de terre de divers variétés et hybrides polonais ont été conservés à des températures de 1, 2 et 6°C pendant 18 à 22 semaines. Les sucres totaux, les sucres réducteurs, le saccharose, les glucose et fructose ont fait l'object de déterminations après la conservation. Les résultats de l'accumulation de sucres à 1°C sont comparés à ceux de la variété américaine Kennebec conservée dans les mêmes conditions. L'accumulation de sucres dans les différents variétés et hybrides varie à la fois sur les plans quantitatif et qualitatif. Une température de 6°C peut ne pas modifier sensiblement la quantité totale des sucres, quoique ce soit le cas chez quelques variétés (fig. 1 et 2). A cette température, l'accumulation des sucres réducteurs est due en tout premier lieu à la décomposition du saccharose, dont la quantité diminue pendant la conservation (fig. 3 et 5). Des températures de 2 et 1°C élèvent considérablement l'accumulation des sucres. Une température de 2°C accélère principalement l'accumulation des sucres réducteurs et relativement peu l'accumulation du saccharose; par contre une température de 1°C modifie aussi bien les quantités de sucres réducteurs que de saccharose (fig. 1–6). La quantité totale de sucres varie au cours d'une conservation à 1°C avec les périodes de conservation parce que l'accumulation de sucrose est plus rapide pendant une période (fig. 1 et 5), alors que les sucres réducteurs restent au même niveau (fig. 3). Ce qui signifie que la réaction des tubercules de pomme de terre à l'accumulation de sucres à basse température dépend, parmi d'autres facteurs, des périodes précédentes de croissance. Les tubercules des variétés et hybrides examinés ont montré un rapport saccharose/sucres réducteurs plut?t bas (tableau 1). Même chez la variété américaine de référence Kennebec, le rapport était tout à fait bas: 0,36. Ceci peut s'expliquer par l'influence de conditions géographiques au cours de la croissance des pommes de terre en Pologne. On peut voir dans le tableau 2 les différents rapports glucose/fructose dans les échantillons avant et après le stockage. Le sucre le plus abondant dans les contr?les est le glucose fandis que la basse température favorise l'accumulation de fructose. Les présentes expériences ont montré que la réaction des tubercules à basse température de conservation présente un aspect variétal. Certaines variétés (hybrides) accumulent régulièrement de faibles quantités de sucres comme par exemple, la variété Nina (fig. 2, 4 et 6), alors que d'autres en produisent rapidement, telle Flisak. Ce fait est important du point de vue technologique. Deux hybrides, R-42431 et R-38319, se révèlent atypiques pour leur accumulation de sucres à basse température. Ils accumulent de très grosses quantités de sucrose à une conservation à 1°C, alors que les sucres réducteurs se maintiennent à un niveau très bas (fig. 4 et 6).
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2.
Summary With data on potato leaf-roll virus (PLRV) collected from the seed potato certification scheme comparisons were made with two measures of winter temperature, anomalies from the long term mean and air frost days for both single and groups of months early in the year when virus spread occurred. Good correlations between crop rejection rates for PLRV and temperature anomalies were obtained both for the whole area covered by the scheme in Scotland and one smaller area; the Lothians and East Border counties. Only when the temperature anomaly for April is added as a third factor are correlations obtained for air frost days.
Zusammenfassung Auf Grund der schottischen Pflanzkartoffel-Anerkennungsvorschriften wurden Angaben über einen Zeitraum von 12 Jahren (Tabelle 1a) betreffend Abweisung wegen Befalls mit Kartoffel-Blattrollvirus (PLRV) gesammelt. Diese Daten wurden im Hinblick auf zwei Temperaturwerte in den letzten Wintermonaten des Pflanzkartoffel-Erzeugungsjahres analysiert. Abweichungen vom langj?hrigen Durchschnitt der Temperaturen für die Monate Februar, M?rz und April zeigten gute Korrelationen, wenn entweder einzeln angewendet oder in Kombination (Tabelle 2) sowohl für die ganze Periode als auch für die ersten 8 Jahre, wenn man die Daten von ganz Schottland nimmt. Die Regressionsgerade und die Vertrauensgrenzen für 12 Jahre sind in Abb. 2 dargestellt. Das andere Mass für die Charakterisierung der K?lte, die Frosttage (Lufttemperaturen) konnte allein nicht mit den PLRV-Daten eng verbunden werden; nur wenn als dritter Faktor die Temperaturabweichung des Monats April dazugez?hlt wird, werden sinnvolle Korrelationen erreicht. Wenn die Angaben eines Gebietes, der Grafschaften Lothian und East Border, auf gleiche Weise behandelt wurden, erhielt man bei beiden ?hnliche Resultate in bezug auf Temperatur-abweichungen (Tabelle 4 und Abb. 3) und Frosttage (Lufttemperatur). Dies trotz der Schwierigkeiten, die infolge des Transportes von Pflanzgut in das Gebiet entstanden. Daraus ist zu schliessen, dass tiefe Temperaturen in den sp?ten Wintermonaten über die Kontrolle der Entwicklung der Blattlauspopulation das Ausmass des im folgenden Jahr festgestellten PLRV beeinflussen. Besonders die April-Temperatur scheint in Schottland einen betr?chtlichen Einfluss zu haben, was nach weiteren Ueberlegungen ruft.

Résumé Les données de refus pour virose d'enroulement (PLRV) collationnées chez l'organisme écossais de certification de plants de Pomme de terre au cours d'une période de 12 années (tableau 1a) ont été analysèes en fonction de deux systèmes d'évaluation de la température dans les derniers mois de l'année au cours de laquelle se produit l'extension de la maladie. Lorsque les données de refus pour enroulement provenaient de l'Ecosse entière, les anomalies de température des mois de février, mars et avril, par rapport à la température moyenne basée sur une longue période d'observations, montrent de bonnes corrélations, qu'elles soient utilisées seules ou en combinaison (tableau 2), à la fois pour la période entière (12 ans) ou pour les 8 premières années. La figure 2 montre la ligne de régression et les limites de confiance pour la période de 12 ans. L'autre mesure du froid, c'est-à-dire le nombre de jours de gel dans l'air, ne peut être étroitement reliée aux observations de PLRV que lorsque l'écart de température d'avril est ajoutée comme troisième facteur; dans ce cas on observe des corrélations satisfaisantes. Lorsqu'on analyse d'une fa?on semblable les données d'état sanitaire d'une rétion, à savoir les comtés de Lothian et de ‘East Border’, on obtient des résultats comparables à la fois pour les anomalies de température (tableau 4 et figure 3) et pour les jours de gel dans l'air, et ceci en dépit du mouvement des stocks de plants dans la région. Il se dégage la conclusion qu'une température basse dans les derniers mois d'hiver influence l'importance des manifestations de PLRV l'année suivante en agissant sur le développement des populations d'aphides. La température d'avril en particulier se révèle avoir un effet considérable en Ecosse et justifie d'autres études.
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3.
Zusammenfassung Gewichtsverluste w?hrend der Kartoffellagerung wurden gew?hnlich berechnet, indem gewogene Muster in Netzen ans Lager gelegt und bei der Auslagerung wieder gewogen wurden. Diese Methode ist beschwerlich und gleichzeitig auch Fehlern verschiedenen Ursprungs unterworfen. Eine andere Methode, die diese Nachteile nicht aufweist, wird vorgeschlagen. Diese beruht auf der Bestimmung eines unver?nderlichen Bestandteiles vor und nach der Lagerung einerseits und der Ermittlung des Verh?ltnisses dieses Bestandteils zum Frischgewicht an diesen Daten andererseits. Es wird darauf hingewiesen, dass Bestimmungen des Aschegehaltes oder von darin enthaltenen specifischen Komponenten, zum Beispiel Kalium oder Phosphor, dieser Anforderung entsprechen würden. Eine zufriedenstellende Anwendung dieser Methode setzt voraus, dass der Aschegehalt in den gelagerten Kartoffeln ziemlich konstant ist, und es wird notwendig sein festzustellen, wie gross ein Muster sein muss, um eine repr?sentative Angabe zu gew?hrleisten. Ferner ist grosse Genauigkeit bei der Analyse erforderlich. Eine Abweichung von zum Beispiel 0,9 auf 1,0 im Prozentgehalt an Asche ergibt eine Differenz von 10% im Gewicht der 1 kg Asche enthaltenden Kartoffeln, was mehr ist als der Gewichtsverlust w?hrend der Lagerung oftmals betr?gt. Eine ziemlich gute übereinstimmung zwischen den wirklichen und den mittels Ascheanalysen vor und nach der Lagerung errechneten Gewichtsverlusten, ist in unsern Ergebnissen erzielt worden, indem Muster von 1,5 kg verwendet wurden (Tabelle). Genügende Genauigkeit dürfte bei Verwendung von Mustern von 3–5 kg zu erreichen sein. Es ist notwendig, den Luftstrom und die Temperatur im Muffelofen zu kontrollieren. Besondere Aufmerksamkeit muss der Tatsache gewidmet werden, dass die Temperatur im Ofen von Ort zu Ort differieren kann. Sofern ein Flammenphotometer verfügbar ist, wird vorgeschlagen, die Berechnungen auf der Basis von Kalium auzustellen, das leicht mit einer Genauigkeit von 1% bestimmt werden kann.
Résumé On évalue habituellement les pertes de poids pendant le stockage des pommes de terre en enfermant des échantillons pesés dans des filets dans le magasin et en les repesant à l'enlévement. Cette méthode est à la fois incommode et passible d'erreurs pour de multiples causes. Une autre méthode est proposée qui est basée sur la détermination d'un constituant invariable des tubercules avant et après le stockage et sur la relation de celui-ci au poids frais à ces moments. Il est suggéré que les déterminations de la teneur en cendre ou de constituants spécifiques de celleci, par exemple le potassium ou le phosphore, pourraient rencontrer cette exigence. Une application satisfaisante de la méthode présuppose que la teneur en cendre des pommes de terre stockées est raisonnablement constante et qu'il y aura lieu de déterminer l'importance nécessaire de l'échantillon pour obtenir une représentation valable. En outre, une grande précision de l'analyse est essentielle. Ainsi une variation de 0,9 à 1,0 dans le pourcentage de cendre se traduit par une différence de 10% dans le poids d'une quantité de tubercules contenant 1 kg de cendre, soit une différence plus grande que la perte habituelle de poids pendant la conservation. Nos résultats, basés sur des échantillons de 1,5 kg (tableau) donnent une bonne concordance entre les pertes réelles de poids et celles calculées des analyses de cendre avant et après la conservation; il se peut qu'une précision suffisante puisse être obtenue en utilisant des échantillons de l'ordre de 3 à 5 kg. Il est nécessaire de régler le courant d'air et la température dans le four à moufle. et il y a lieu d'accorder une attention spéciale au fait que la température peut varier d'un endroit à l'autre dans le four. Si on utilise le photomètre à flamme, l'auteur propose de baser les calculs sur le potassium, qui peut être déterminé avec une précision de 1%.
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4.
Observations on the sprouting of seed potatoes   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary The sprouting of seed potatoes and the influence of temperature on this is analysed by means of a large number of experiments done over a period of several years. Differences in sprouting capacity have been established between lots, varieties and different tubers, mature and immature, large and small ones and from sand and clay soil. There is a distinet seasonal trend in sprouting capacity, which is apparent, also when tubers are repeatedly desprouted. Weight losses from respiration and evaporation of tuber and sprout play an important part in sprout growth after desprouting. The relation between sprout weight and weight losses have been investigated and used to characterize the differences between lots.
Zusammenfassung Die Dauer der Keimruhe ist je nach Sorte und Jahr verschieden (Tabelle 1). W?hrend dieser Zeit hat die Lagertemperatur nur einen geringen Einfluss, obwohl sich je nach der Sorte einige Unterschiede zeigen: beiBintje wird die Keimruhe durch h?here Temperaturen abgekürzt, w?hrend beiAlpha die Temperatur keinen Einfluss hat. Bei reifen und unreifen, grossen und kleinen Knollen von derselben Pflanze kann die Dauer der Keimruhe verschieden sein. W?hrend des Wachstums k?nnen verschiedene Faktoren, darunter Temperatur und Düngung, die Zeitdauer der nachfolgenden Keimruhe beeinflussen. Es besteht eine Korrelation zwischen Sortenunterschieden in der L?nge der Keimruhe und bestimmten Charakteristiken oder Unterschied-lichkeiten der Sorten, wie kr?ftigem Krautwuchs, Anf?lligkeit für Zwiewuchs und Resistenz gegen Trockenheit. Je niedriger die Lagertem-peratur w?hrend der Keimruhe, umso langsamer das sp?tere Wachstum der Keime (abb. 1). Je l?nger Knollen nach Beendung der Keimruhe am Keimen gehindert werden, umso schneller geht der Keimwuchs, wenn dieser schliesslich eintritt. Das maximale Wachstum der Keime tritt normalerweise ein, wenn die Knollen erstmalig im Juli oder August etwa ein Jahr nach der Ernte gekeimt werden (abb. 2). Die Art des Wachstums der Keime ?ndert sich im Laufe der Lagerzeit: je nachdem die Knollen altern, geht die Bildung von Einzelkeimen in die mehrfache Keimbildung über; sp?ter verzweigen sich die Keime, und nach einem Jahr kann Knollenbildung an den Keimen vorkommen. Die Wachstumsgeschwindigkeit der Anfangs-keimung ist je nach Partie, Jahr und Sorte verschieden. Durch Erh?hung der Temperatur, bei der die Knollen gelagert werden, von 2 auf 5 C wird der nachfolgende Keimwuchs beschleunigt, insbesondere nach l?ngerer Lagerzeit (abb. 3). Durch Entfernen der Keime wird eine Zunahme de je Zeiteinheit gebildeten Keimmasse bewirkt (abb. 4). Nahezu jedes Auge der Knolle kann einen Keim bilden (Tabflle. 2). Auch hier ist deutlich eine saisonale Tendenz zu beobachten (abb. 5) und lassen sich Unterschiede nach Sorten und Herkünften feststellen, auch zwischen Knollen von derselben Ernte, jedoch mit verschiedenem St?rke-oder Zuckergehalt. Bei der Entwicklung der Keime entstehen in der Knolle Gewichtsverluste durch Atmung und Verdunstung aus der Knolle und den Keimen. Je sp?ter in der Lagersaison, umso gr?sser sind die beim Keimen gemessenen Verluste. Diese Gewichtsverluste sind dem Keimgewicht nicht proportional (abb. 6). Das Verh?ltnis des Keimgewichts zu dem gleichzeitigen Gewichtsverlust durch Atmung und Verdunstung am Zeitpunkt der ersten Keimbildung ist charakteristisch für die betreffende Partie (abb. 7). Dies wurde deutlich durch die verschiedenen Versuche mit Entfernung der Keime gezeigt (abb. 8, 9 und 10). In dieser Weise lassen sich Unterschiede zwischen Herkünften nachweisen: die eine Herkunft kann einen geringeren Gewichtsverlust als eine andere aufweisen bei gleichem Gewicht der Keime. Sekund?re Zwie-wuchsknollen zeigen ein ausserordentlich ungünstiges Verh?ltnis zwischen Keimgewicht und Gewichtsverlust. Es besteht eine Korrelation zwischen dem nach wiederholter Entfernung der Keime gemessenen Keimgewicht und dem gesamten Gewichtsverlust der Knolle infolge der vorherigen Entfernung der Keime (Abb. 11). Der Gesamtgewichtsverlust pro entwickelter Keim von der Knolle erlitten infolge der wiederholten Entfernung der Keime, ist bei kleinen Knollen etwas niedriger als bei grossen, jedoch zeigen die gr?sseren Knollen ein h?heres verfügbares Knollengewicht pro Keim (Abb. 12).

Résumé La durée de la dormance varie d'une variété à l'autre et d'une année à Tautre (Tableau 1). Pendant cette période, la température de stockage n'a qu'une influence minime, bien que cette influence ne soit pas égale pour toutes les variétés: chez la variétéBintje par exemple, les températures élevées abrègent la dormance tandis qu'elles n'ont pratiquement aucun effet sur celle de la variétéAlpha. La durée de la dormance peut varier chez les tubercules m?rs ou non, gros et petits, de la méme plante. Durant la période de croissance, différents facteurs, y compris la température et la fumure, peuvent influencer la durée de la période de dormance qui suivra. Les variations de la durée de la dormance d'une variété à l'autre sont en corrélation avec certaines caractéristiques ou différences variétales, telles que la vigueur des fanes, la susceptibilité d'une croissance secondaire et la résistance à la sécheresse. Plus la température de stockage durant la dormance est basse, plus la croissance du germe sera lente ensuite (Fig. 1). Plus l'on empéche longtemps la germination des tubercules après la fin de la dormance, plus la germination éventuelle s'effectuera rapidement par la suite. Normalement, la germination est la plus forte si on fait germer les tubercules pour la première fois en juillet ou en ao?t presque une année après la récolte (Fig. 2). La nature de la germination se modifie également au cours de la saison de stockage: à mesure que les tubercules „vieillissent”, ils passent de la phase monogerminale à la phase polygerminale; plus tard, les germes commencent à se ramifier, et après un an, il peut se produire une tubérisation sur les germes. La vitesse de germination initiale peut varier d'une provenance à l'autre, d'une année à l'autre et d'une variété à l'autre. Si l'on augmente de 2 à 5 C la température à laquelle les tubercules sont conservés avant la germination, on obtient ensuite une germination plus rapide, surtout après une longue période de stockage (Fig. 3). Le dégermage entraine une augmentation de la masse de germes formée par unité de temps (Fig. 4). Presque chaque oeil du tubercule est capable de produire un germe (Tableau 2). Ici encore, on peut constater une certaine variation saisonnière (Fig. 5) et établir des différences entre les variétés et les provenances, ainsi qu'entre les tuber-cules de la même récolte mais possédant une teneur différente en féculte ou en sucres. Lorsque le tubercule produit des germes, il perd du poids du fait de la respiration et de la évapovation du tubercule et du germe. Plus la saison de stockage est avancée, plus les pertes constatées à la germination seront importantes. Ces pertes de poids ne sont pas proportionnelles au poids des germes (Fig. 6). Le rapport entre le poids des germes et les pertes simultanées de poids par respiration et évaporation au moment de la formation des premiers germes est caractéristique pour la provenance en question (Fig. 7). Ce fait a été nettement démontré par différents essais de dégermage (Fig. 8, 9 et 10). De cette fa?on, il est possible de démontrer des différences d'une provenance à l'autre: il se peut que l'une présente une plus faible perte de poids que l'autre tandis que le poids des germes est égal. Les tubercules de croissance secondaire présentent un rapport très défavorable entre le poids des germes et les pertes de poids. Le poids des germes mesuré après dégermage répété est en corrélation avec la perte totale de poids subie par le tubercule par les dégermages précédents (Fig. 11). La perte totale de poids par germe formé, subie par le tubercule par suite du dégermage répété, est un peu plus faible dans les tubercules de petite dimension que dans les gros, mais pour ces derniers, le poids de tubercule disponible par germe est plus grand (Fig. 12).
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5.
Summary The rest period of the potato tuber is here defined as the time following the lifting when internal inhibition prevents the tuber from sprouting. The dormant period is the subsequent time when the tuber does not sprout owing to unfavourable external conditions. The sum of the periods denotes the sprouting tendency at the storage temperature used, here 4–5°C. The sprouting tendency varies particularly between varieties but also between years and places of cultivation. The concepts of rest and dormancy are often very practical to use but from a theoretical point of view there may be no reason for separating them. They are two parts of the same physiological process ranging from strong sprout inhibition to vigorous sprout growth. Thus, rest or dormancy does not depend on qualitative but quantitative differences in the endogenous amounts of growth regulating substances.
Zusammenfassung Die Kartoffel ist unf?hig, zur Zeit der Ernte und einige Zeit danach zu keimen, selbst nicht wenn sie günstigen ?usseren Bedingungen ausgesetzt wird. Diese Unf?higkeit h?ngt mit einer inneren Hemmung zusammen; die Knolle befindet sich in der Keimruhe. Wenn diese Hemmung vorbei ist, ist die Knolle unter günstigen Bedingungen f?hig zu keimen, aber diese Entwicklung ist zu dieser Zeit natürlich nicht wünschenswert. Das beste Mittel, das Auskeimen zu verhüten, besteht darin, dass die Lagertemperatur tief genug gehalten wird (sofern die Knollen nicht für die technische Verarbeitung bestimmt sind). Es muss aber daran erinnert werden, dass sie jederzeit nach dem Ende der Keimruhe eine potentielle Keimf?higkeit besitzen. Man sagt, die Knolle befinde sich im Ruhezustand, und dieser Zustand mag manchmal bis zum Auspflanzen dauern. Bei den in Schweden üblichen Lagertemperaturen von 4–5°C beginnt jedoch die Knolle gew?hnlich schon am Lager auszukeimen. Die Zeit, die von der Ernte bis zum spontanen Auskeimen verstreicht, ist die Summe aus Ruheperiode, RP, und Keimruheperiode, DP, hier als Keimbildungstendenz bei der angegebenen Temperatur bezeichnet. Vom pflanzenphysiologischen Standpunkt aus sind die Begriffe ‘Ruhezeit’ und ‘Keimruhe’ sehr anfechtbar. Gewiss gibt es immer einige Zellteilungen und Verl?ngerungen in den Spitzenmeristemen, aber die Ver?nderungen sind zu Beginn der Lagerperiode sehr gering. Ruhe und Keimruhe müssen als praktische Begriffe angesehen werden, die für den stufenweisen Prozess von der strengen Keimhemmung bis zur starken Keimf?higkeit w?hrend der Lagerzeit angewendet werden. Die Grenze zwischen Ruhe und Keimruhe h?ngt vom Kriterium ab, das für das Ende der Ruhezeit, gew?hlt wurde. Aus Tabelle 1 geht hervor, dass es in der Keimbildungstendenz ziemlich grosse Sortenunterschiede gibt. Einige Sorten m?gen auch die gleiche Keimbildungstendenz haben aber das Verh?ltnis RP zu DP kann umgekehrt sein, was in der Regel heisst, dass keine Korrelation zwischen diesen Eigenschaften besteht. Infolgedessen nimmt die Keimhemmung in ungleichen Raten w?hrend den verschiedenen Lagerungsphasen ab. Die gleiche Situation kann nachgewiesen werden, wenn die Ergebnisse einer Sorte über verschiedene Jahre verglichen werden. Folglich beeinflussen Wetter und andere Bedingungen die Keimungsneigung ebenso wie die Beziehung zwischen RP und DP. Die gleichen Arten von Ver?nderung würden wahrscheinlich bei ?nderung der Lagertemperatur entstehen. Der Einfluss des Anbauortes ergibt, wie aus Tabelle 2 hervorgeht, das gleiche Bild der Ver?nderung. Sorte, Anbauort, Jahr und Lagertemperatur beeinflussen nicht nur die Keimbildungstendenz, sondern auch das potentielle Auskeimen beim Auspflanzen und damit die Staudenentwicklung und die n?chste Ernte. Von einem pflanzenphysiologischen Standpunkt aus dürften die Keimbildungstendenz am Lager und die potentielle Keimf?higkeit zur Zeit des Auspflanzens von einem Gleichgewicht zwischen den endogenen Mengen der wachstumhemmenden und wachstumf?rdernden Substanzen abh?ngen. Auxine, Gibberelline und Hemmstoffe scheinen wesentliche Teile in diesem physiologischen Mechanismus zu sein, dessen Beschaffenheit durch die erw?hnten Variabelen bestimmt wird. Viele Publikationen weisen auf diese Erkl?rung hin, aber eingehendere Untersuchungen auf diesem Gebiet sind n?tig.

Résumé Le tubercule de pomme de terre est incapable de germer à l'arrachage, et un certain temps après, méme s'il est placé dans des conditions extérieures favorables. Cette incapacité dépend d'une inhibition interne; le tubercule est en repos. Quand l'inhibition cesse, le tubercule est capable de germer dans des conditions favorables mais, naturellement, le développement des germes n'est pas souhaitable à ce moment. Le maintien d'une température suffisamment basse est le meilleur moyen d'empcêher la germination, pour autant que les tubercules ne soient pas destinés aux préparations industrielles, mais il ne faut pas perdre de vue que les tubercules possèdent une capacité potentielle de germer pendant tout le temps qui suit la fin de la période de repos. Le tubercule est dit être en dormance et pareille situation peut parfois s'étendre jusqu'à la plantation. Cependant, à la température de stockage la plus courante en Suède, 4–5°C, le tubercule commence habituellement à germer pendant la période de conservation. Le temps s'écoulant entre l'arrachage et la germination spontanée constitue la somme de la période de repos, RP, et de la période de dormance, DP, dénommée ici la tendance à germer à la température actuelle. Du point de vue ‘physiologie du plant’ les concepts de repos et de dormancy sont très discutables. Il y a certainement toujours quelques divisions cellulaires et élongations dans les méristèmes apicaux mais ces changements sont insignifiants au début de la période de conservation. Repos et dormance doivent étre considérés comme des concepts pratiques appliqués à l'évolution graduelle allant, au cours de la période de conservation, de la forte inhibition de la germination à la forte capacité germer. La limite entre repos et dormance dépends des critères choisis pour définir la fin de la RP. Il ressort du tableau I qu'il y a de très grandes différences variétales dans les tendances à la germination. Au surplus, certaines variétés peuvent avoir les mêmes tendances à germer mais les rapports RP à DP peuvent étre inversés, ce qui généralement signifie qu'il n'y a pas de dorrélation entre les deux propriétés. Conséquemment, i'inhibition de la germination diminue à une vitesse irrégulière au cours des différentes phases de la conservation. On peut rencontrer la même situation si on examine le comportement d'une variété au cours de plusieurs années. Donc, les conditions climatiques et autres influencent la tendance à la germination aussi bien que les relations entre RP et DP. Les mêmes types de variation apparaitraient probablement si la température de conservation variait. L'influence du lieu de culture, qui ressort clairement du tableau 2, donne également la méme physionomie de variation. Variété, lieu de culture, année et température de conservation n'affectent pas seulement la tendance à germer mais ont aussi une influence sur le pouvoir germinatif lors de la plantation et conséquemment sur l'état du développement et de la récolte suivante. Du point de vue ‘physiologie du plant’ la tendance à germer pendant la conservation et l'aptitude potentielle à germer à la plantation peuvent dépendre de l'équilibre entre les quantités endogénes d'inhibiteurs de croissance et de substances stimulant celle-ci. Auxines gibberellines et inhibiteurs semblent étre des parties intégrantes de ce mécanisme physiologique dont l'état est déterminé par les variables mentionnées. Beaucoup de publications rapportent cette explication mais des recherches plus détaillées sont nécessaires dans ce domaine.
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6.
The distribution of dry matter during growth of a potato crop   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary The distribution of dry matter increments to the plant parts of a potato crop was determined by analysing data from experiments in which potato plants were harvested periodically during the early stages of their growth. The distribution tended to follow a regular pattern if expressed as a function of phenological development stage represented by the effective temperature sum. The influence of cultivar, soil type, nitrogen dressing, seed size, and plant density on this distribution pattern is discussed.
Zusammenfassung Die Verteilung des Trockensubstanzertrages in den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes wird an Hand von Analysenwerten aus Versuchen bestimmt, in denen Kartoffelpflanzen w?hrend früher Wachstumsstadien in periodischen Abst?nden geerntet wurden. Um die Zuordnung des Trockengewichtsertrages zu den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes zu analysieren, wurde ein Verfahren verwendet, in dem der gesamte Trockengewichtszuwachs zwischen aufeinanderfolgenden Ernten berechnet und dessen Verteilung in den Organen als eine Fraktion von der gesamten Zunahme ausgedrückt wird. Die Verteilung steht in Beziehung zu einer effektiven Temperatursumme mit einer unteren Temperaturschwelle von 7°C, einer Optimaltemperatur von 18°C und einer Maximaltemperatur von 29°C. Aus Analysen einer grossen Anzahl von Versuchen ergab sich der Schluss, dass die Verteilungsmuster zwischen Bl?ttern und Knollen approximiert werden k?nnen durch lineare Bezüge mit konstanten Neigungen, die für alle Situationen zutreffen. Abb. 1, A-F zeigt, dass Unterschiede zwischen den Sorten durch eine Verschiebung in der Geraden entlang der Temperatursummenachse dargestellt werden k?nnen. Die den Stengeln zugeordnete Fraktion kann als Erg?nzung zu derjenigen in den Bl?ttern und Knollen betrachtet werden. Wenn die in den Bl?ttern verteilte Fraktion vor dem Kollenansatz abnimmt, wie bei der Sorte Irene (Abb. 1, D), dann erh?ht sich die Fraktion in den Stengeln. Zusammen mit unzureichender Sinkkapazit?t konnte eine abnehmende Wachstumsrate im gesamten Bestand erwartet werden. In diesen Versuchen ergab sich deutlich eine Korrelation zwischen der Wachstumsrate w?hrend der linearen Wachstumsphase und der Zeit des Knollenansatzes, die als eine Temperatursumme ausgedrückt wird (Abb. 2). Der Vergleich des Verteilungsmusters der Sorte Irene, die auf einem sandigen Boden wuchs (Abb. 1, D) mit demjenigen der gleichen Sorte von einem Lehmboden (Abb. 3) zeigt, dass nach den Masseinheiten der Temperatursummen der Knollenansatz auf dem Lehmboden früher erfolgte. Ein h?heres Stickstoffniveau verz?gerte den Beginn des Knollenansatzes und verl?ngerte die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern. Gleichzeitig wird das Stengelwachstum gef?rdert (Abb. 4, A-D). In Best?nden, die aus gr?sseren Pflanzkartoffeln erwuchsen, wird der Knollenansatz beschleunigt und die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern verkürzt (Abb. 4, A-D). In Versuchen mit unterschiedlichen Pflanzdichten wurde keine gr?ssere Differenz im Verteilungsmuster der Biomasse beobachtet. Versuche, in denen die Verteilung der Trockensubstanz durch die Behandlung mit einem Wachstumshemmer (Daminozid) beeinflusst werden sollte, zeigten unterschiedliche Ergebnisse. Manchmal wurde überhaupt keine Wirkung festgestellt (Abb. 5), in anderen Versuchen begünstigte der Wachstumshemmer jedoch die Zuwanderung der Trockensubstanz zu den Knollen auf Kosten der Stengel. Die Wirkung des Daminozids variierte auch in den Endertr?gen, weil oft das Laub in der sp?teren Jahreszeit wieder austrieb. Zusammenfassend kann gesagt werden, dass die verschiedenen Abl?ufe im Bestand, wie die Beendigung der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern und der Beginn des Knollenansatzes durch genetische Faktoren, durch die Tempertur, die Stickstoffverfügbarkeit und die Pflanzgutgr?sse beeinflusst werden. Ist einmal die zeitliche Regelung dieser Abl?ufe festgelegt, dann ist das Verteilungsmuster durch Verwendung der Verteilungsgraden mit konstanter Neigung quantitativ bestimmbar.

Résumé La distribution de la matière sèche au niveau des différentes parties des plantes d'une culture de pomme de terre est déterminée à partir de résultats d'essais dans lesquels on a procédé à plusieurs arrachages périodiques durant les premiers stades de la croissance. A cet effet, on a calculé l'augmentation de matière sèche entre 2 récoltes successives et exprimé la répartition de celle-ci au niveau des différents organes en fraction de cette augmentation totale. La répartition est mise en relation avec la somme des températures effectives en considérant un seuil minimal de 7°C, une température optimale de 18°C et une température maximale de 29°C. L'analyse d'un grand nombre d'essais montre que le modèle de distribution entre les feuilles et les tubercules peut être évalué par des relations linéaires de pentes constantes, valables pour toutes les situations. La figure 1, A-F, montre que les différences entre les variétés peuvent être représentées par un déplacement des droites de distribution sur l'axe des sommes de températures. La fraction attribuée aux tiges peut être considérée comme le complément de celle des feuilles et des tubercules. Lorsque la fraction accumulée au niveau des feuilles décro?t avant l'initiation des tubercules, comme dans le cas de la variété Irène (fig. 1, D), celle des tiges augmente. Lorsque la capacité d'absorption est insuffisante, on peut prévoir une diminution du taux de croissance de la culture. Dans ces essais, on observe en fait une corrélation entre le taux de croissance au cours de la phase linéaire de la croissance et le moment d'initiation des tubercules exprimé en somme de températures (fig. 2). La comparaison du modèle de distribution de la variété Irène cultivée en sol sableux (fig. 1, D) avec celui de cette même variété cultivée en sol argileux (fig. 3) montre qu'en termes de sommes de température l'initiation des tubercules est plus précoce en sol argileux. Un niveau élevé d'azote retarde le départ de la phase d'initiation des tubercules et allonge la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles. En même temps, la croissance des tiges est favorisée (fig. 4, A-D). Dans une culture issue de plants de gros calibres, l'initiation des tubercules est avancée et la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles raccourcie (fig. 4, A-D). Les études concernant la densité de plantation, n'ont montré aucune différence importante des modèles de distribution de la matière sèche. Des essais conduits à l'aide de retardateurs de croissance (daminozide), dans le but de modifier la distribution de la matière sèche, aboutissent à des résultats variables. Parfois, aucun effet n'est observé (fig. 5), alors que dans d'autres essais, en effet, le retardateur de croissance favorise l'accumulation de matière sèche vers les tubercules au dépend des tiges. Au niveau du rendement final, les effets du daminozide varient également, en raison le plus souvent d'une reprise de la végétation en fin de saison. En conclusion, les différentes phases d'une culture telles que la fin d'accumulation constante vers les feuilles et le début de l'initiation des tubercules sont influencées par les facteurs génétiques, la température, la disponibilité en azote et le calibre du plant. Une fois que le déroulement de ces phases est fixé, le modèle de distribution est quantifié par les droites de distribution à pente constante.
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7.
Summary The influence of temperature, number of sprouts per tuber and concentration of supplementary inorganic nutrients on sprout growth and intersprout competition for tuber substrates during emergence was investigated in the potato varietyArran Pilot. The rate of sprout growth was found to be a positive function of initial tuber fresh weight. Dry weight data at emergence indicated that individual sprouts on multi-sprout tubers exhibited mutual interference for substrates from the tuber. The intensity of this interference increased with temperature in the range 7 25 C, but interference was reduced, and in some cases eliminated, by supplying inorganic nutrients in the rooting medium. It was concluded that a component of the inorganic nutrient solution used could replace the tuber factor the supply of which limited sprout growth. The effects of temperature and inorganic nutrient concentration on the partitioning of dry matter within the plant are deseribed and diseussed.
Zusammenfassung Die Einflüsse von Temperatur, ursprünglichem Knollengewicht, der Anzahl Keime pro Knolle und der Konzentration zus?tzlicher anorganischer N?hrstoffe auf das Keimwachstum sowie die Konkurrenz zwischen den Keimen um das Knollensubstrat w?hrend des Auflaufens wurden an der KartoffelsorteArran Pilot untersucht. Ween Knollen in ein n?hrstofffreies Medium gepflanzt wurden (Versuch 1), glich die Auflaufrate der Keime einer positiv linearen Funktion der Temperatur über einen Bereich von 7 C bis 25 C, aber sie war nicht signifikant beeinflusst durch die Zahl der Keime pro Knolle (Tabelle 1 und 2). Die einzelnen Keime von Knollen mit vielen Keimen konkurrierten um das Substrat der Mutterknolle, und die St?rke dieser Interferenz nahm mit steigender Temperatur w?hrend des Auflaufens zu (Abb. 1 und 2). In den Versuchen 2 und 3 wurde die Auflaufzeit durch die Beigabe einer anorganischen Volln?hrl?sung zum Wurzeln?hrboden verkürzt, aber sie wurde nicht signifikant beeinflusst durch die Zahl der Keime pro Knolle (Tabelle 4). Eine Erh?hung der N?hrstoffkonzentration in der anorganischen L?sung hatte eine Erh?hung des durchschnittlichen Trockengewichtes der Keime und des durchschnittlichen Trockengewichtes der Keime pro Knolle beim Auflaufen zur Folge (Abb. 4 und 5). In Versuch 2 setzte die Gabe von anorganischen N?hrstoffen die Intensit?t der Konkurrenz zwischen den Keimen um das Substrat aus der Knolle betr?chtlich herab, was darauf hindeutet, dass ein Bestandteil der verwendeten N?hrl?sung den “Knollenfaktor”, der das Keimwachstum begrenzt, ersetzen k?nnte. Im Versuch 3 dagegen wurde die Interferenz um die Substrate aus der Knolle durch die Konzentration der verwendeten N?hrstoffe nicht beeinflusst. Diese Abweichung zwischen den zwei Versuchen dürfte mit dem unterschiedlichen Grad der Interferenz zwischen den Wurzelsystemen der einzelnen Keime für die Zufuhr der verwendeten N?hrstoffe in Zusammenhang stehen (Tabelle 5). Die Temperatur nach dem Auspflanzen übte einen betr?chtlichen Einfluss auf die Verteilung der Trockensubstanz innerhalb des Stengel-systems aus. Anzahl, L?nge und Trockengewicht der Stolonen pro Keim (Abb. 3) und das Verh?ltnis des Stolonentrockengewichtes zum gesamten Trockengewicht der Stengel (Tabelle 3) waren in umgekehrter Bezichung von der Temperatur abh?ngig, in den Versuchen 1 und 3 stand das Verh?ltnis des Stolonentrockengewichtes zum gesamten Stengelgewicht in umgekehrter Bezichung zur Anzahl Keime pro Knolle: in Versuch 3 war diese Beziehung aber nicht signifikant beeinflusst durch die Konzentration der mineralischen N?hrstoffe. Diese Ergebnisse wiesen darauf hin, dass neben der Temperatur ein spezifischer Faktor in der Mutterknolle auf das Stolonenwachstum einwirkte und dass dieser Faktor nicht durch eine den Knollen zur Verfügung stehende mineralischen N?hrstoffl?sung ersetzt werden kann. In den Versuchen 2 und 3 erweiterte sich das Stengel/Wurzel-Verh?ltnis mit der Erh?hung der Konzentration der verwendeten anorganisehen N?hrstoffe, aber es war nicht signifikant beeinflusst durch die Zahl der Keime pro Knolle.

Résumé L’auteur a recherché, sur la variété de Pomme de terreArran Pilot, l’influence de la température, du poids initial du tubercule, du nombre de germes par tubercule et de la concentration en éléments nutritifs inorganiques supplémentaires sur la croissance du germe et la compétition entre les germes pour les réserves du tubercule pendant la levée. Quand les tubercules sont plantés dans un milieu dépourvu d’éléments nutritifs (expérience 1), la vitesse d’émergence d’un germe est une fonction linéaire positive de la température dans les limites de 7 C à 25 C mais n’est pas significativement influencéc par le nombre de germes par tubercule (tableau 1 et 2). Les germes des tubercules à plusieurs germes rivalisent individuellement pour les réserves du tubercule-mère et il se révèle que l’intensité de cette interférence s’accro?t avec l’augmentation de la température pendant l’émergence (Fig. 1 et 2). Dans les expériences 2 et 3, le temps d’émergence est réduit par l’application au milieu d’enracinement d’une solution nutritive complète inorganique, mais n’est pas significativement influencé par le nombre de germes par tubercule (Tableau 4). Une augmentation de la concentration en éléments nutritifs inorganiques entra?ne, lors de l’émergence, une augmentation du poids sec moyen d’un germe et une augmentation du poids sec moyen de tous les germes du tubercule (Fig. 4 et 5). Dans l’expérience 2 l’application d’éléments nutritifs inorganiques réduit l’intensité de la compétition entre germes pour les réserves du tubercule, ce qui signifie qu’un composant de la solution nutritive utilisée remplace le facteur du tubercule qui limite la croissance du germe. Cependant, dans l’experience 3, la compétition pour les réserves du tubercule n’est pas influencée par la concentration des éléments nutritifs appliqués. La différence dans les deux expériences peut provenir des différences dans le degré d’interaction entre les systèmes radiculaires des germes individuels pour les approvisionnements en éléments nutritifs appliqués (Tableau 5). La température après plantation exerce une influence considérable sur la répartition de la matière sèche dans le système radiculaire. Le nombre, la longucur et le poids sec de stolons par germe (Fig. 3) et le rapport du poids sec des stolons au poids total sec des germes (Tableau 3) sont des fonctions inverses de la température. Dans les expériences 1 et 3 le rapport poids sec des stolons au poids total des germes est inversément relié au nombre de germes par tubercule, mais dans l’expérience 3 ce rapport n’est pas significativement influencé par la concentration externe des éléments minéraux. Ces résultats indiquent qu’en plus des effets de la température, un facteur spécifique provenant du tubercule-mère influe sur la croissance du stolon, et que ce facteur ne peut être remplacé par un apport externe d’éléments nutritifs minéraux. Dans les expériences 2 et 3 le rapport bourgeon/ racine augmente avec l’accroissement de la concentration en éléments nutritifs inorganiques appliqués mais n’est pas significativement influencé par le nombre de germes par tubercule.
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8.
Summary Potato leaf roll virus (PLRV) was usually better transmitted byMyzus persicae from source plants kept during the pre-acquisition period at 12°C than from those kept at 26°C. Significantly more plants became infected when PLRV was acquired or inoculated at 26°C than at 12°C. The effect of temperature during the acquisition feeding period was found to be greater than that of temperature during the inoculation feeding period. PLRV was most frequently transmitted when it was both acquired and inoculated at 26°C.
Zusammenfassung Der Einfluss der Temperatur auf die übertragung des Kartoffel-Blattrollvirus (PLRV) durchMyzus persicae wurde in drei Perioden vor der Infektion der Pflanzen mit diesem Virus ermittelt: Vegetationsperiode vor Aufnahme durch die Virusquellen, Periode w?hrend der Virusaufnahme und der Inokulationsperiode. Die Untersuchungen wurden in temperaturkonstanten Kammern und im Gew?chshaus mit Pflanzen der Kartoffelsorte Osa als Quelle mit ausgew?hlten PLRV-Isolaten durchgeführt. Das Virus wurde aufPhysalis floridana und Kartoffelsorten unterschiedlicher Anf?lligkeit übertragen. Die H?ufigkeit der PLRV-übertragung durchM. persicae sank mit ansteigender Temperatur, zu welcher die Quellenpflanzen in der Periode vor der Virusaufnahme aufwuchsen (Abb. 2 und 3), obwohl dieser Effekt ausgeschaltet werden konnte, wenn das Virus durch die Blattl?use bei h?herer Temperatur aufgenommen wurde (Abb. 2). Die H?ufigkeit der PLRV-übertragung durch Blattl?use war nach einer Aufnahmeperiode bei 26°C signifikant gr?sser als bei 12°C (Abb. 2 bis 4). Der Einfluss h?herer Temperatur k?nnte stark genug sein, die Unterschiede in der PLRV-übertragung durch den Einfluss auf die Quellenpflanzen in der Vor-Aufnahmezeit zu eliminieren oder zu vermindern (Abb. 2). ?hnliches zeigte sich bei zunehmendem Alter der Quellenpflanzen (Abb. 1). Eindeutig mehr Pflanzen wurden infiziert, wenn PLRV bei 26°C anstatt 12°C inokuliert wurde (Abb. 3 und 4). Der Einfluss der Temperatur war in der Aufnahmeperiode gr?sser als in der Inokulationsperiode. Eine signifikant gr?ssere Population vonP. floridana und/oder Kartoffelpflanzen wurden infiziert, wenn PLRV durchM. persicae bei 26°C aufgenommen und inokuliert wurde (Abb. 3 und 4). Darüberhinaus war der Einfluss h?herer Temperatur, w?hrend beider Aufnahmeperioden angewendet, günstiger für visuelle und serologische (ELISA) Differenzierung der resistenten und anf?lligen Kartoffeln, gemessen an der H?ufigkeit infizierter Pflanzen (Abb. 4).

Résumé L'influence de la température sur la transmission du virus de l'Enroulement de la pomme de terre (VEPT) parMyzus persicae a été déterminée à trois périodes précédant l'infection des plantes par ce virus: période de végétation des plantes sources de virus avant acquisition (pré-acquisition), période d'acquisition, période d'inoculation. Les recherches ont été réalisées dans des salles à température contr?lée et en serre: des pommes de terre du cultivar Osa, infectées par des isolats sélectionnés de VEPT ont été utilisées comme plantes sources. Le virus a été transmis àPhysalis floridana et à des cultivars de pomme de terre de différentes sensibilités à l'infection par le VEPT. La fréquence de transmission du VEPT parM. persicae décro?t avec l'augmentation de la température à laquelle les plantes sources de virus ont été cultivées lors de la période de pré-acquisition (Figs 2 et 3), bien que cet effet ait pu être éliminé quand le virus a été prélevé par les pucerons à température plus élevée (Fig. 2). La fréquence de transmission du VEPT par les pucerons a été significativement plus grande après une période d'acquisition à 26° qu'à 12°C (Figs 2–4). L'effet de la température la plus élevée a pu être suffisamment fort pour supprimer ou réduire les différences de transmission du VEPT causées par l'effet de la température sur les plantes sources lors de la période de pré-acquisition (Fig. 2) ou par l'augmentation de l'age des plantes sources (Fig. 1). Un nombre significativement plus grand de plantes a été infecté quand le VEPT était inoculé à 26°C qu'à 12°C (Figs 3 et 4). L'effet de la température s'est avéré avoir une importance plus grande pendant la période d'acquisition que pendant la période d'inoculation. Une proportion significativement plus élevée deP. floridana et/ou de plants de pomme de terre a été infectée quand le VEPT était à la fois acquis et inoculé parM. persicae à 26°C (Figs 3 et 4). De plus, une température plus élevée appliquée pendant les deux périodes d'alimentation des pucerons s'est montrée plus favorable pour différencier visuellement et sérologiquement (ELISA) les pommes de terre résistantes, modérément résistantes et sensibles, lorsqu'on se base sur la fréquence des plantes infectées (Fig. 4).
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9.
Summary To check if the oxygen concentration in the cell medium-higher at low temperatures-is a factor regulating the synthesis of polyunsaturated fatty acids, the effects of temperature and oxygen concentration were studied in vitro on the activity of the microsomal oleyl-coenzyme A desaturase of potato tubers. The highest activity of this enzyme was observed at 30° C, and not at low temperatures, and at an oxygen concentration of about 20%. These results suggest that the above hypothesis is not valid for the potato tuber cell.
Zusammenfassung Um zu prüfen. ob die Sauerstoffkonzentration in der Zelle-bei niedriger Temperatur h?herein regulierender Faktor bei der Synthese der mehrfach unges?ttigten Fetts?uren ist, wurde der Einfluss der Temperatur und der Sauerstoffkonzentration auf die Aktivit?t der mikrosomalen Oleyl-coenzym A Desaturase der Kartoffelknollen in vitro untersucht. Die h?chste Aktivit?t des Enzyms wurde bei einer Temperatur von 30°C gefunden und nicht bei tieferen Temperaturen (Abb. 1) und bei einer Konzentration von ca. 20% Sauerstoff (Abb. 2). Diese Ergebnisse zeigen, dass die angeführte Hypothese im Falle der Kartoffelknollen nicht zutrifft.

Résumé Pour vérifier si l'hypothèse selon laquelle la concentration en oxygène du milieu cellulaire-plus élevée à basse température-est un facteur régulant la synthèse des acides gras polyinsaturés, les effets de la température et de la concentration en oxygène sur l'activité de l'oléyl-coenzyme A désaturase microsomale du tubercule de pomme de terre ont été étudiés in vitro. L'activité la plus élevée de l'enzyme est observée pour la température de 30°C et non à basse température (Fig. 1) et pour une concentration en oxygène d'environ 20% (Fig. 2). Ces résultats suggèrent que l'hypothèse exposée plus haut n'est pas valable dans le cas du tubercule de pomme de terre.
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10.
Summary The reliability of the method of estimating potential yield of the potato crop, described by Van der Zaag & Burton (1978), is discussed on the basis of the results of field experiments done in the Netherlands during three years at three separate centres and during four years at a fourth centre. The method seems to give a reasonable approximation of the potential yield in countries or regions in the temperate zone. Two minor alterations are suggested, and for use in hot climates the method must be adapted to prevailing temperatures; suggestions are made as to how this can be done. Potential yield estimates can be used successfully in field experiments studying yield-determining factors, in varietal trials, in comparing technical levels of production between countries and growing seasons, and in preparing programmes for improving production.
Zusammenfassung Auf der Grundlage von Feldversuchen, die in den Niederlanden 1978–1981 in Borgercompagnie (BC) und 1979–1981 in Emmercompascuum (EC) und Rolde (Ro) durchgeführt wurden, wird die Zuverl?ssigkeit der von van der Zaag und Burton (1978) beschriebenen Methode zur Berechnung des m?glichen Ertrages diskutiert. Unterschiede in der Bedeutung der Worte durchschnittlicher m?glicher Ertrag, m?glicher Ertrag und berechneter Ertrag werden in Tabelle 1 erkl?rt. Die Abbildungen 1–3 und die Tabellen 2 und 3 stellen die Wachstumsbedingungen und die Entwicklung der Best?nde dar. Die Abbildung 4 und die Tabellen 5 und 6 zeigen, dass die Wachstumsbedingungen nicht immer in jeder Beziehung optimal waren, vor allem in Rolde, wo 1980 und 1981 die Wasserversorgung für die Produktion suboptimal war. Tabelle 5 erkl?rt, dass der durchschnittliche Blattanteil (Lichtaufnahme) und der durchschnittlich Ernteindex nicht viel von dem eines ‘idealen’ Bestandes — Auflauf Anfang Mai, geschlossener Bestand von Anfang Juni bis Anfang September und Reife Anfang Oktober — abweicht, auf dem der m?gliche Ertrag beruht. Der durchschnittliche Blattanteil für die gesamte Vegetationszeit und der Ernteindex, die für den ‘idealen’ Bestand angenommen wurden, sind daher realistisch. Abgesehen von der Tatsache, dass Anfang Juni die berechnete Produktion auf vielen Feldern gleich hoch oder h?her als die m?gliche Produktion war (1978 BC; 1980 BC und Ro; 1981 BC und Ro), war die tats?chliche Produktion zu dieser Zeit betr?chtlich unter der m?glichen Produktion (Tabelle 7). Es wird angenommen, dass das haupts?chlich durch Tagestemperaturen unter 12°C im Mai und Juni, durch eine ca. 30% h?here Atmungsrate bei jungen. Pflanzen und m?glicherweise durch einen ungenügenden Sink verursacht wurde. Aus diesem Grund wird unter niederl?ndischen Bedingungen eine Reduktion um 15% bzw. 10% der m?glichen Produktion in diesen Monaten vorgeschlagen. Das entspricht ungef?hr 900 kg Trockenmasse/ha. Am Ende der Wachstumsperiode (Tab. 7) kann die Produktion jedoch h?her als angenommen sein und daher wird vorgeschlagen, die Konstante für die Lichtaufnahme im September von 65% auf 75% zu erh?hen, was schliesslich zu einer Abnahme von ungef?hr 500 kg Trockenmasse/ha führen würde. W?hrend einer Periode von 6 Wochen war die Produktion der Bl?tter 1980 (Ro) und 1981 (EC) optimal (Abb. 4 und Tab. 7), aber bezogen auf die gesamte Vegetationszeit lag die durchschnittliche Produktion der Bl?tter auf allen Feldern betr?chtlich unter dem Optimum (Tab. 6). Das zeigt dass die Nettoproduktion, von der der m?gliche Ertra ausgeht, richtigist, aber dass sie für die gesamte Vegetationszeit schwer zu erzielen ist. Um die Berechnung auch in L?ndern mit heissem Klima (Tab. 8) anwenden zu k?nnen, wurde versucht die Nettoproduktion in Beziehung zur Temperatur zu sehen. Ergebnisse, gewonnen in der Versuchsstation Gilat in Israel mit der Sorte Désirée zeigen, dass mit diesen Anpassungen die Methode verwendet werden kann. Tabelle 9 zeigt die verbesserten durchschnittlichen m?glichen Ertr?ge für verschiedene L?nder und Wachstumsperioden. Die Zuverl?ssigkeit der Sch?tzung des durchschnittlichen m?glichen Ertrages für ein Gebiet, die Sch?tzung des m?giichen Ertrages und des berechneten Ertrages für einen Bestand werden diskutiert. In jedem Sortenversuch oder in jedem Feldversuch, in dem ein Faktor oder mehrere Faktoren des Wachstums untersucht werden, sollten die tats?chlichen Ertr?ge mit dem berechneten Ertrag der Parzelle mit dem h?chsten Ertrag und mit dem m?glichen Ertrag verglichen werden. Die so gewonnene Information kann Aufschluss geben, in welchem Ausmass andere als die untersuchten Faktoren den Ertrag beeinflusst haben oder auch Auskunft geben über die relative Produktion in Sortenversuchen. Zwischen den L?ndern oder zwischen Wachstumsperioden kann der technische Stand der Pflanzenproduktion an Hand ihrer durchschnittlichen m?glichen Ertr?ge verglichen werden (Tab. 9). Schliesslich sollte, bevor ein Programm zur Verbesserung der Kartoffel entwickelt wird, ein Vergleich zwischen dem tats?chlichen Ertrag in einem Gebiet und dem durchschnittlichen m?glichen Ertrag gemacht werden, als erster Schritt zur Bestimmung der bergrenzenden Faktoren.

Résumé La fiabilité de la méthode de calcul du rendement potential décrite par Van der Zaag et Burton (1978) est discutée à partir d'expérimentations de plein champ réalisées aux Pays-Bas de 1978 à 1981 à Borgercompagnie (BC), de 1979 à 1981 à Emmercompascuum (EC) et à Rolde (Ro). Les différences dans l'utilisation des termes — rendement potentiel moyen, rendement potentiel et rendement calculé — sont indiquées dans le tableau 1. Des détails sur les conditions de croissance et le développment de la culture sont donnés dans la figure 1–3 et les tableaux 2 et 3. La figure 4 et les tableaux 5 et 6 montrent que les conditions de croissance n'ont pas été toujours optimales en tout point, notamment à Rolde où l'apport en eau nécessaire à la production a été inférieur à l'optimum en 1980 et 1981. Le tableau 5 montre que la quantité moyenne du feuillage (interception de la lumière) et l'indice moyen de récolte n'ont jamais été très différents des valeurs d'une culture idéale (levée en début mai, couverture du sol par le feuillage à partir du début juin jusqu'en début septembre et début de maturité en octobre) pour lesquelles le rendement potentiel est calculé. La quantité moyenne du feuillage pour toute la période de végétation et l'indice de récolte, pris en compte pour la culture idéale, sont done des valeurs réelles. Bien que sur plusieurs parcelles la production calculée en début juin ait été égale ou supérieure à la production potentielle (1978 BC; 1980 BC et Ro; 1981 BC et Ro) la production réelle à même date était considérablement inférieure à la production potentielle (tableau 7). Ceci peut être d? au fait que les températures du jour en mai et juin étaient inférieures à 12°C. que le taux de respiration était supérieur, de 30% par exemple chez des jeunes plantes, et que la force d'absorption a été insuffisante. C'est pourquoi, sous les conditions de la Hollande, il est proposé de réduire la production potentielle au cours de ces deux mois respectivement de 15 et 10%; ce qui représente environ 900 kg/ha de matière sèche. Cependant, à la fin de la saison (tableau 7) la production peut être supérieure à l'estimation et c'est pourquoi, il est proposé de relever les valeurs d'interception de la lumière en septembre de 65 à 75%, ce qui à la fin conduirait à une diminution de 500 kg/ha de matière sèche environ. La figure 4 et le tableau 7 montrent que pour une période d'environ 6 semaines en 1980 (Ro) et 1981 (EC), le feuillage a atteint sa productivité optimale mais qu'au cours de toute la période de végétation la productivité moyenne du feuillage sur toutes les parcelles a été considérablement inférieure à l'optimum (tableau 6). Ceci montre que la production nette sur laquelle est fondé le rendement potentiel est correcte mais qu'il est difficile de l'obtenir sur toute la période de végétation. Afin d'utiliser la méthode de calcul dans des pays à climat chaud, une approche a été faite pour adapter la production nette en relation avec la température (tableau 8). Les résultats obtenus à las station d'expérimentation à Gilat en Isra?l avec la variété Désirée montrent qu'avec ces adaptations, la méthode s'applique sous de telles conditions. Des rendements potentiels moyens calculés et corrigés sont ainsi donnés dans le tableau 9 pour quelques pays et régions. La signification de l'estimation du rendement potentiel moyen, du rendement potentiel et du rendement calculé est développée pour une culture particulière dans une région donnée. Pour chaque essai de variétés dans chaque expérimentation de plein champ où l'on étudie un ou plusieurs facteurs de croissance, il est spécifié que le rendement actuel pourrait être comparé au rendement le plus élevé et au rendement potentiel, pour connaitre dans quele mesure les autres facteurs ont atteint l'optimum et pour avoir davantage d'information sur la capacité de production des variétés à partir de tels essais. En prenant le rendement potentiel moyen, le niveau technique de production peut être comparé entre les pays et les années (tableau 9). En définitive, chaque étude d'amélioration de la pomme de terre devrait débuter par une comparaison entre le rendement actuel dans la région et le rendement potentiel. C'est une première étape dans la détermination des facteurs les plus limitants.
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Zusammenfassung Die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Hektarertrag und Gesamtproduktion in der Welt sowie in verschiedenen Regionen und L?ndern in den Jahren 1962 bis 1973 wurde diskutiert (Abb. 1–5). Mit Hilfe von Regressionsgleichungen wurde die Zu- oder Abnahme von Fl?che. Ertrag und Produktion errechnet und als Prozent der Situation im Jahre 1962 ausgedrückt. Die Regressionsgleichungen und die Korrelationskoeffizienten sind am Fuss der Abbildungen aufgeführt. Diesen kann auch die Fl?che. der Ertrag oder die Produktion im Jahre 1962 entnommen werden. Auffallend sind die Abnahme der Fl?che in Westeuropa. besonders in der Bundesrepublik Deutschland und in Frankreich, sowie die Zunahme der Fl?che und der Produktion in den Tropen. In Europa (ohne UdSSR) sank der Konsum j?hrlich um ungef?hr 1/2% (Abb. 6) und der Konsum pro Kopf um etwas mehr als 1% (Abb. 9). In den USA stieg der Gesamtverbrauch j?hrlich um etwa 1% (Abb. 8), und der Verbrauch pro Kopf schien ziemlich konstant zu sein (Abb. 9). In Europa (ohne UdSSR) nahm die Kartoffelst?rkeproduktion um 50% zu, und in den neun EG-L?ndern wurde diese Erzeugung nahezu verdoppelt (Abb. 7). In diesem Artikel wird angenommen, dass 25% der Speise- oder Saatkartoffelerzeugung Abfall sind (bei der Sortierung ausgelesene Knollen) und als Futterkartoffeln verwendet werden. In Europa (ohne UdSSR) wird ungef?hr die H?lfte der gesamten Produktion zur Verfütterung verwendet, und ungef?hr 40% wird eigens zu diesem Zweck angebaut und verwertet (Abb. 6). In den neun EG-L?ndern sank die Gesamtmenge, die als Futterkartoffeln verwendet wurde, von 40% auf 30% der Gesamterzeugung. Die Menge, die eigens als Futterkartoffeln angebaut und verwertet wurde, feil von 30% auf etwa 12% der Gesamtproduktion (Abb. 7). Es ist anzunehmen, dass der zukünftige Anbau von Futterkartoffeln vom Gewinn abh?ngt, den die Pflanzer daraus im Vergleich zu jenem aus dem Mais- oder Gerstenanbau ziehen. Auf Basis des Futterwertes von 1 kg Trockenkartoffeln (erhalten aus 4 kg Kartoffeln mit 23% Trockensubstanz (TS)) und von 1 kg Mais oder 1 kg Gerste betr?gt der Preis, bei welchem Kartoffeln mit Gerste oder Mais vergleichbar sind, für 1 kg Kartoffeln (23% TS): 1000/933×1/4×Preis für 1 kg Gerste oder 1000/1067×1/4 Preis für 1 kg Mais Abb. 10 und 11 zeigen die direktkostenfreien Ertr?ge für Mais. Gerste und Kartoffeln bei verschiedenen Preisen und für drei Ertr?ge pro ha (für die Berechnung des direktkostenfreien Ertrages siehe Anhang 1.2 und 3). Aus diesen Zahlen geht hervor, dass der Futterkartoffelanbau schwerlich mit der Mais-produktion konkurrieren kann, dass aber bei Preisen von etwa Hfl. 45 pro 100 kg Gerste die Kartoffelproduktion inklusive Trocknung mit der Gerstenerzeugung in Wettbewerb treten kann. Es darf also angenommen werden. dass bei Gerstenpreisen unter Hfl. 40 der Futterkartoffelanbau nur in jenen F?llen rentabel ist, wo der Kartoffelertrag im Vergleich zu Gerste hoch ist, oder auf Betrieben, wo ein Ueberschuss an Arbeitskr?ften besteht und das Eind?mpfen und Silieren der Kartoffeln wirtschaftlich tragbar ist. Wenn der Preis für Gerste für l?ngere Zeit über Hfl, 45 steigt, ist, eine Zunahme des Futterkartoffelanbaus zu erwarten, sofern Geld zur Investierung in Trocknungsanlagen verfügbar ist und die Inflation nicht zu stark ist. Die hohe Trockensubstanzproduktion pro ha Kartoffeln im Vergleich mit Weizen. Gerste und Mais (Tabelle 6) ist der Hauptgrund. weshalb bei hohen Gerstenpreisen die Futterkartoffeln eine Chance haben. Bei Kartoffeln für die St?rkeproduktion wurde das gleiche Vorgehen verfolgt. Die Beziehung zwischen den Preisen für Kartoffeln und Mais ist in Abb. 12 dargestellt. Aufgrund dieser Beziehung und des Anhanges 1 und 3 wurde die Abb. 13 erstellt. Diesen Daten entsprechend kann die Kartoffelst?rkeproduktion mit jener von Mais bei Maispreisen über Hfl. 35 pro 100 kg konkurrieren. Die Kartoffelproduktion pro Kopf in L?ndern zwischen 30° N und 30° S (Tabelle 1) ist ausserordentlich niedrig. Die Energie- und Proteinzerzeugung der Kartoffeln pro ha und pro Tag ist im Vergleich mit tropischen Kulturpflanzen hoch (Tabellen 7 und 8). Auch die Zunahme in der Produktion war bei Kartoffeln gr?sser als bei tropischen Kulturpflanzen (Tabelle 10). Der Anbau von Kartoffeln k?nnte helfen, die Ern?hrung der Bev?lkerung in vielen tropischen L?ndern zu verbessern und m?glicherweise auch den Mangel an Nahrungsmitteln zu verhüten, wenn die Erzeugungskosten pro kg Produkt durch Erh?hung des Hektarertrages gesenkt werden k?nnen.
Résumé Durant la période 1962–1973. L'évolution des superficies, du rendement à l'hectare et de la production totale est présentée pour le monde entier et pour diverses régions et pays (fig. 1 à 5). Cette évolution est calculée à l'aide d'équations de régression et exprimée en pourcentage de l'année 1962. Les équations de régression et les coefficients de correlation ont été placés au bas des graphiques. La baisse des superficies en Europe de l'Ouest, particulièrement en Allemagne Fédérale et en France, et l'augmentation des surfaces et de la production sous les tropiques sont frappantes. En Europe (à l'exclusion de l'URSS), la consommation totale décroit annuellement d'environ 1/2% (fig. 6) et la consommation par habitant d'un peu plus de 1% (fig. 9). Aux USA la consommation totale augmente annuellement d'environ 1% (fig. 8) et la consommation par habitant semble étre constante (fig. 9). En Europe (URSS exclue), la production de pommes de terre féculières s'est accrue de 50% et dans les neuf pays du marché commun cette production a plus que doublé (fig. 7). Il est supposé que le quart de la production de plants et de pommes de terre de consommation est éliminé au triage et utilisé pour la consommation animale. En Europe (URSS exclue) environ la moitié de la production totale est consomméc par les animaux: 40% de la production totale sont cultivés à cette fin. Dans la zone du Marché Commun la quantité totale qui est utilisée pour l'alimentation animale a décrut de 40% à 30% de la production totale, et la part spécialement produite à cet effet a baissé de 30% à environ 12% de la production totale (fig. 7). Il est supposé que l'avenir de la production de pommes de terre pour la consommation animale dépend des gains que les producteurs obtiennent de cette culture comparés à ceux réalisés avec le ma?s ou l'orge. Basé sur la valeur alimentaire de 1 kg de tubercule déhydraté (obtenu à partir de 4 kg de pommes de terre à 23% de M.S.) et comparé à 1 kg de ma?s ou 1 kg d'orge, le prix à partir duquel la pomme de terre est compétitive est de 1000/933×0.25×le prix d'un kg d'orge. ou 1000/1067×0.25×le prix d'un kg de ma?s. Les fig. 10 et 11 montrent les marges brutes pour le ma?s. L'orge et la pomme de terre pour différents prix et pour trois rendements à l'hectare (pour le calcul des marges brutes voir appendices 1, 2, et 3). On voit que la pomme de terre de consommation animale ne concurrence pas facilement le ma?s, mais que au prix de Dfl (florins) 45 le quintal d'orge, la production de pommes de terre, déshydratation inclue, peut concurrencer l'orge. On voit également que pour un prix d'orge inférieur à Dfl 40. Ia production de pommes de terre est seulement profitable dans le cas où le rendement est élevé par rapport à l'orge ou encore dans le cas d'exploitations disposant d'un surplus de main d'oeuvre, et où la cuisson et l'ensilage sont économiquement possibles. Si les prix de l'orge se maintiennent au dessus de Dfl 45 durant une longue période on peut s'attendre à une augmentation de la production des pommes de terre pour la consommation animale, si toutefois les capitaux sont disponibles pour investir dans des usines de déshydratation et si l'inflation n'a pas été trop forte. Le rendement élevé de matière sèche à l'hectare des pommes de terre comparé à ceux du blé, de l'orge et du ma?s (tableau 6) fait que, à des prix élevés de l'orge, la pomme de terre pour alimentation animale est compétitive. La mème étude a été faite pour ce qui concerne la pomme de terre féculière. La relation entre son prix et celui du ma?s est donnée fig. 12. La fig. 13 illustre cette relation ainsi que les donnée des appendices 1 et 3. Il en résulte que la pomme de terre féculière peut concurrencer le ma?s pour la production d'amidon lorsque le prix du ma?s est supérieur à 35 florins le quintal. La production de pommes de terre par téte est extrèmement basse dans les régions comprises entre 30° de latitude nord et 30° de latitude sud (tableau 1). La production d'énergie et de protéines par hectare et par jour des pommes de terre est élevée, comparée aux cultures alimentaires tropicales (tableux 7 et 8). Aussi l'augmentation de production a été plus élevée pour la pomme de terre que pour ces cultures (tableau 10). La production de pommes de terre peut aider à améliorer l'alimentation des populations dans plusieurs pays tropicaux et ainsi prévenir la pénurie alimentaire si le cout de production peut être diminué par l'augmentation des rendements.


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12.
Summary It can be of economic importance for seed potato growers to know the stage of mature-plant resistance of a crop to viruses when aphid flights occur. In 1976 four field experiments were carried out in different parts of the northern Netherlands in which potato plants were artificially inoculated with potato virus YN at four dates. Leaves, tubers and total crop growth were analysed during the growing season to see if a biochemical test could be used to determine the onset of mature-plant resistance. It is concluded that such a test is useful only when used in combination with additional information about early infections. None of the criteria (dry matter, organic nitrogen, chlorophyll and soluble protein contents, and peroxidase activity) proved to be useful in establishing or predicting the time of occurrence of a high level of mature-plant resistance with the desired accuracy.
Zusammenfassung Die wichtigste Viruskrankheit hinsichtlich nachteiliger Wirkungen auf die Qualit?t von Pflanzkartoffeln in den Niederlanden ist das Blattlaus-übertragene YN-Virus (PVYN). Die Resistenz reifer Pflanzen gegen PVYN entwickelt sich relativ sp?t in der Wachstumszeit, und bei anwesenheit von Blattl?usen bleibt das Risiko der Knolleninfektion für eine l?ngere Zeitspanne hoch. Zur Verhinderung der Knolleninfektion wird in den Niederlanden nach dem Blattlausflug ein Datum zur Krautabt?tung festgelegt, welches jedoch unabh?ngig vom Stadium der Altersresistenz ist. Würde man dieses Stadium durch einen biochemischen Test bestimmen oder vorhersagen k?nnen, k?nnte auch das Abt?tedatum pr?ziser festgelegt werden. Dies wiederum würde zu geringerer Virusinfektion und h?herem Ertrag führen. 1976 wurden in vier Feldversuchen in den n?rdlichen Niederlanden Kartoffelpflanzen zu vier Zeitpunkten künstlich mit PVYN inokuliert. Das Wachstum von Bl?ttern, Knollen und ganzer Pflanzen wurde w?hrend der Vegetationszeit analysiert, um die M?glichkeiten eines biochemischen Tests zur Feststellung des Stadiums der Altersresistenz zu ermitteln. Ein hoher Grad von Altersresistenz im Bestand ergab sich in vier Feldern zu verschiedenen Zeiten zwischen 14. Juli (Wieringerwerf) und 2. August (Kloosterburen). Früh fliegende Blattl?use verursachten 1976 hohe natürliche Infektion, welche einen Anstieg des Anteils infizierter Knollen zur Folge hatte, sogar nach dem Datum, zu welchem neue künstliche Inokulationen innerhalb von 14 Tagen nicht mehr zu Knolleninfektionen führten. Daraus ergibt sich, dass ein biochemischer Test nur bei Kenntnis früher Infektionen anwendbar ist. Die Entwicklungszeit für einen hohen Stand der Altersresistenz steht im Zusammenhang zum physiologischen Wachstumsstadium und ?ndert sich von Jahr zu Jahr (Tab. 1) und von Standort zu Standort (Abb. 1). Die Variabilit?t in der Bestandesentwicklung zwischen den Standorten zeigt sich in der Gesamtproduktion von Trockensubstanz (Abb. 2), im Chlorophyllgehalt (Abb. 1 c und 4) und der Vergilbung des sechsten und zehnten Blattes. Die Vergilbung des sechsten Blattes hing von der Struktur des Bestandes und nicht von der Altersresistenz ab. Um die Methoden zur Festlegung eines Abt?tungstermines zu verbessern, sollte ein Test die Konditionen hinsichtlich der Inhaltsstoffe oder Aktivit?ten und deren signifikante ?nderung innerhalb von wenigen Tagen zur Zeit der Probenahmen bestimmen-bevor also ein ‘kritischer Wert’ überschritten würde. In einem ausführlichen Versuch in Wieringerwerf wurden sechste und zehnte Bl?tter auf den Gehalt an Trockensubstanz, organischem Stickstoff, Chlorophyll, l?slichem Protein und auf Peroxydase-Aktivit?t untersucht (Abb. 1). Wegen der grossen Variabilit?t zwischen den vier Wiederholungen (vgl. Standardabweichungen) konnten weder vor noch nach dem Datum mit hohem Grad an Altersresistenz bei den meisten der genannten Inhaltsstoffe und der Peroxydase-Aktivit?t signifikante ?nderungen (P<0,05) gefunden werden. Die Kriterien sind deshalb ungeeignet für einen Test zur ausreichend akkuraten Festlegung oder Vorhersage der Zeit des Eintritts h?heren Altersresistenz. Die analytischen Resultate der inokulierten Pflanzen unterschieden sich nicht signifikant von denen der Kontrollpflanzen.

Résumé Aux Pays-Bas, la plus importante maladie virale qui affecte la qualité des plantes est provoquée par le virus YN transmis par les pucerons. La résistance de la plante à maturité se manifeste à un stade relativement tardif de la croissance et les risques d'infection des tubercules sont élevés pendant une longue période en cas de présence des pucerons. Pour empêcher l'infection des tubercules, une date de défanage est fixée dans le pays, indépendamment du stade de résistance de la plante, en fonction des vols de pucerons. Si le stade de résistance pouvait être déterminé ou prévu par test biochimique, la date de destruction des fanes serait établie avec plus de précision, ce qui réduirait les infections virales et augmenterait les rendements. En 1976, une inoculation artificielle du virus YN sur plantes a été réalisée à 4 dates différentes dans 4 parcelles du Nord des Pays-Bas. Les feuilles, les tubercules et la croissance totale des plantes ont été analysés à différents stades de la culture pour voir si il était possible de déterminer la résistance des plantes à maturité à l'aide d'un test biochimique. Un stade élevé de résistance a été atteint à des dates différentes, entre le 14 juillet et le 2 ao?t, dans les 4 parcelles. Des vols précoces de pucerons ont été à l'origine d'une infection naturelle importante en 1976, ce qui s'est traduit par une augmentation du pourcentage de tubercules atteints même après la date ou une nouvelle inoculation artificielle n'infecte plus les tubercules dans les 15 jours qui suivent. En conclusion, un test biochimique peut s'avérer utile uniquement lorsqu'il peut être rattaché à une information concernant les infections précoces. Le temps nécessaire à l'obtention d'un niveau élevé de la résistance à maturité de la plante dépend de son stade physiologique et varie suivant les années (tableau 1) et les localités (figure 3). La production totale de matière sèche (figure 2), la teneur en chlorophylle (figure 1c et 4) ainsi que le jaunissement des 6èmes et 10èmes feuilles sont très variables suivant le stade de la plante dans les différentes régions. Le jaunissement des 6èmes feuilles est d? aux conditions de la culture et non pas à la résistance de la plante à maturité. Pour améliorer la méthode définissant la date de défanage, un test devrait déterminer la condition pour laquelle le niveau d'une teneur ou d'une activité mesurée (qui n'aurait pas encore atteint sa valeur critique) changerait de fa?on significative dans les jours qui suivent la date d'échantillonnage. Dans une étude plus détaillée faite à Wieringerwerf, les teneurs en matière sèche, azote organique, chlorophylle, protéines solubles et activité de la peroxydase ont été analysées sur les 6èmes et 10èmes feuilles (figure 1). En raison de l'importante variation entre les 4 répétitions (voir les valeurs de l'écart type), aucun changement significantif (P<0,05) n'a été mis en évidence pour les teneurs et l'activité peroxydasique mesurée avant et après la date correspondant au stade élevé de résistance atteint par la plante à maturité. Ces critères ne permettaient donc pas de prédire ou d'établir avec assurance la date pour laquelle le stade élevé de résistance était atteint. Les résultats analytiques des plants inoculés ne présentaient pas de différence significative par rapport à ceux des témoins.
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13.
Summary Recent improvements in screeningSolanum populations for resistance to the potato cyst nematode are described. Soil temperature control within the required optimum range is obtained in greenhouse by cooling the bench. The use of a cotton blanket (capillary matting) on the bench under the pots reduced the frequency of watering to once or twice a week. The system is reliable, and provides a large capacity/low cost facility for large-scale resistance screening.
Zusammenfassung Es werden neuartige Verbesserungen zur Auslese vonSolanum-Hybriden auf Resistenz gegen Kartoffel-Zystennematoden beschrieben. Bei diesem Pathosystem ist das mass für die Resistenz quantitativ; ein Klon ist resistent, wenn die Vermehrungsrate des Nematoden an seinem Wurzelsystem 0,20 oder weniger ist (Kort et al., 1977). Verschiedene Faktoren beeinflussen die Vermehrung der Nematoden, von denen Bodentemperatur und Feuchtigkeit für die Zuverl?ssigkeit der Ergebnisse bei der Auslese oft entscheidend sind (Wallace, 1963; Clarce & Perry, 1977; Ferris, 1957; Trudgill, 1970). Um die Bodentemperatur innerhalb des Bereiches von 16 bis 23°C zu halten, wurde ein Kühlsystem errichtet, in dem gekühltes Wasser durch eine Hohlstruktur auf einem Gew?chshaustisch zirkulierte. Der Tisch war mit schwarzer Poly?thylenfolie wasserdicht gemacht worden, Kan?le entstanden durch Verwendung gewellter Polyesterplatten, die auf der Poly?thylenfolie auflagen und mit Kies bedeckt waren, um eine horizontale und flache Oberfl?che herzustellen. Auf dem Kies lag eine Poly?thylenmatte mit Kapillarbelag, auf diese wurden die Gef?sse mit verschiedenen Bodentypen gestellt. De Pflanzen in den Gef?ssen wurden ein- oder zweimal in der Woche gegossen. Der Effekt der Kühlung wird in Abbildung 1 gezeigt. Ein derartiges System scheint die Einhaltung der Bodentemperatur innerhalb des Optimalbereiches sogar unter ziemlich extremen Bedingungen in unseren Gew?chsh?usern gew?hrleisten. Wird die Frequenz des Giessens zur Erh?hung der Effizienz von einmal t?glich auf einoder zweimal w?chentlich reduziert, so wird es schwieriger, die Bodenfeuchtigkeit im optimalen Bereich zu halten. Wurde jedoch Erde mit hohem Gehalt an organischer Substanz verwendet, ergaben sich bei der Kombination mit kapillarischer Wasserführung keine Schwierigkeiten. Lehmiger Sand mit einer pF-Charakteristik nach Abb. 2 war ebenfalls verwendbar, mit einem Bodenwasser-Potential nahe dem Optimum von pF 2,3–2.4. Andere Bodentypen waren für diesen Zweck weniger gut geeignet (Tabelle 1). Die durchschnittliche Nematodenvermehrung war auf diesen Bodentypen meist geringer, und die Variationskoeffizienten stiegen an. Der Arbeitsaufwand für den Wurzelballentest reduzierte sich von zwei Minuten auf insgesamt eine Minute.

Résumé Des améliorations récentes dans la recherche d'hybrides deSolanum pour leur résistance au nématode à kyste de la pomme de terre sont décrites. Dans ce système pathologique, la mesure de résistance est quantitative; un clone est résistant quand la multiplication du nématode sur le système racinaire est de 0,20 ou moins (Kort et al., 1977). De nombreux facteurs modifient la multiplication du nématode parmi lesquels la température et l'humidité du sol sont décisives pour une bonne fiabilité des résultats de recherche (Wallace, 1963; Clarke & Perry, 1977; Ferris, 1957; Trudgill, 1970). Pour contr?ler la température du sol à l'intérieur d'un intervalle 16–23°C, un système de refroidissement a été mis en place dans lequel de l'eau fra?che circulait à travers une structure évidée construite sur les tablettes d'une serre. La tablette a été rendue étanche par du polythène noir et des canaux ont été effectués avec des feuilles de polyester ondulées sur le polythène et recouverts de graviers afin d'obtenir une surface horizontale et plate. Un film de polythène avec un paillage capillaire a été étendu sur ce gravier et des pots de différents types de sol ont été déposés sur le paillage. Les plantes en pots ont été arrosées une à deux fois par semaine. L'effet de refroidissement sur la température du sol est indiqué dans la figure I. Un tel système permet de contr?ler la température du sol dans une échelle optimale même sous des conditions extrêmes dans notre serre. Quand la fréquence de l'arrosage est réduite de une fois par jour à une à deux fois par semaine pour augmenter l'efficacité, il devient plus difficile de contr?ler l'humidité dans une échelle optimale, mais lorsque une terre mise en pot contenant beaucoup de matière organique est utilisé avec un paillage capillaire, aucune difficulté n'apparait. Un sable argileux, avec un pF caractéristique comme il est indiqué dans la figure 2 peut être aussi utilisé avec un potentiel hydrique près de l'optimum de pF 2,3 à 2,4. D'autres types de sol étaient moins adaptés pour ce but (tableau 1). La multiplication moyenne de nématodes était généralement plus basse avec ces types de sol et les coefficients de variation augmentaient. Le temps nécessaire pour le test ‘Rootball’ étant réduit à un total de 1 minute par plante seulement, au lieu de 2 minutes, lorsque les pots étaient enterrés dans de la tourbe et arrosés une fois par jour.
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14.
Summary The distribution patterns of dry matter, starch, reducing sugars and total nitrogen were studied in the varietyBintje, stored at 10 C with and without sprout inhibitor. The cortex contained more dry matter and starch, though less reducing sugars and total nitrogen than the medulla. The highest dry matter (starch) content was in the cortical layer of the middle part of the tuber. In the medullary region the lowest total nitrogen was towards the rose end. During storage the differences in carbohydrate contents between cortex and medulla increase. Storage appears to results in a small accumulation of sugars which was somewhat higher in the sprouting tubers not treated with inhibitor. There was no evidence of an influence of the sprout inhibitor (IPC, CIPC) on the distribution pattern.
Zusammenfassung Die vorliegende Ver?ffentlichung befasst sich mit Untersuchungen über die Verteilung und die Ver?nderungen von Inhaltsstoffen, wie Trockensubstanz, St?rke, reduzierende Zucker und Gesamtstickstoff in morphologisch verschiedenen Teilen der Kartoffelknolle (SorteBintje) w?hrend der Aufbewahrung bei 10 C. Ein Teil der Knollen wurde zu Beginn der Lagerung mit einem Gemisch von IPC und CIPC behandelt. In Tabelle 1 sind die verwendeten Zeichen erkl?rt. Es wurden getrennte Analysen vom Kronenende, vom mittleren Teil und vom Nabelende vorgenommen, wobei diese Partien noch in Markgewebe (Medulla) und Rindengewebe (Cortex) unterteilt worden sind (Abb. 1). Von jedem Muster wurden w?hrend der Aufbewahrungszeit vom November 1964 bis April 1965 monatliche Analysen durchgeführt. In Tabelle 2 und 3 sind die Ergebnisse zusammengefasst. Tabelle 4 zeigt die Ergebnisse einer Varianzanalyse für die Gehalte und auch für die Gehaltsdifferenzen zwischen Cortex und Medulla. Tabelle 5 zeigt, welche Gehaltsdifferenzen in der Knolle signifikant sind, w?hrend Tabelle 6 den Einfluss der Zeit auf die Differenz zwischen Cortex und Medulla illustriert. Bezüglich der Verteilung der genannten Inhaltsstoffe l?sst sich folgendes beobachten. Trockensubstanz- und St?rkegehalt sind im Rindengewebe h?her als im Markgewebe. Das Rindengewebe im mittleren Teil der Knolle weist einen H?chstgehalt für diese Stoffgruppe auf. Der Gehalt an reduzierenden Zuckern ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. W?hrend der Aufbewahrung bei 10 C zeigt sich für Trockensubstanz (St?rke) und Zuckergehalt eine zunehmende Divergenz zwischen Mark und Rinde. Auch der Abbau von Kohlehydraten ist im Markgewebe ausgepr?gter als im Rindengewebe. Der Gesamtstickstoffgehalt ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. Im Markgewebe l?sst sich der niedrigste Gehalt am Kronenende feststellen. Der Einfluss der Aufbewahrungszeit kennzeichnet sich im allgemeinen durch eine geringe Anh?ufung von Zuckern, welche, im Vergleich zu den behandelten Knollen, in den unbehandelten Knollen etwas h?her ist. Da die Wasserverluste bei keimenden Knollen h?her sind, zeigt der anfangs abnehmende Trockensubstanzgehalt am Ende der Aufbewahrungsperiode wieder eine Zunahme. Es war in diesem Falle nicht m?glich, diese Unregelm?ssigkeit zu korrigieren, da die Analysen nicht zur Erhaltung von absoluten Werten vorgenommen worden sind. Es konnte kein Einfluss der Keimhemmungsmittel auf die Verteilung der Inhaltsstoffe in den Knollen nachgewiesen werden. M?glicherweise k?nnte ein solcher bei einer l?ngeren Aufbewahrungszeit unter h?heren Temperaturbedingungen noch eintreten. Die Ergebnisse k?nnen bei der Verarbeitung von Kartoffeln praktische Bedeutung haben, da beim Schneiden der Knollen mit dieser Verteilung zu rechnen ist.

Résumé La présente publication relate les recherches sur la répartition et l'évolution des composants tels que substance sèche, amidon, sucres réducteurs et matière azotée totale dans les différentes parties morphologiques du tubercule (var.Bintje) au cours de la conservation à 10 C. Une partie des tubercules ont été traités au commencement de la conservation avec un mélange de IPC et CIPC. Tableau 1 donne la signification des symboles utilisés. On a exécuté des analyses séparées de l'extrémité de la couronne, de la section moyenne et du bout du hile, lesquelles parties ont en outre été partagées en tissu médullaire et tissu cortical (Fig. 1). Une analyse de contr?le était faite chaque mois sur chaque échantillon pendant la conservation de novembre 1964 à avril 1965. Les résultats sont rassemblés dans les Tableaux 2 et 3. Tableau 4 donne les résultats d'une analyse de la variance des teneurs et des différences de teneurs entre l'écorce et la moelle. Tableau 5 montre les différences de teneurs dans le tubercule qui sont significatives, tandis que le Tableau 6 illustre l'effet du temps sur les différences entre l'écorce et la moelle. On peut faire les observations suivantes au sujet de la répartition des composants sus-nommés. La matière sèche et la teneur en amidon sont plus élevées dans le tissu cortical que dans le tissu médullaire. Le tissu cortical de la partie médiane du tubercule montre la teneur la plus élevée des substances de ce groupe. La teneur en sucres réducteurs est plus élevée dans le tissu médullaire que dans le cortex. Pendant la conservation à 10 C, se révèle une divergence croissante entre la moelle et le cortex pour la matière sèche et la teneur en sucres. La dégénérescence des hydrates de carbone est également plus marquéc dans la moelle que dans le cortex. La teneur en matière azotéc totale est plus haute dans le tissu médullaire que dans le tissu cortical, tandis que dans la moelle la teneur la plus basse appara?t à la couronne. L'influence de la durée de conservation se caractérise d'une manière générale par une accumulation de sucres, laquelle est quelque peu plus haute dans les tubercules non traités que dans les tubercules traités. Comme les pertes d'eau sont plus élevées chez les tubercules en germination, la teneur en matières sèches, décroissante au commencement, montre de nouveau une augmentation à la fin de la période de conservation. Il n'a pas été possible de supprimer cette cause d'erreur car les analyses n'ont pas visé à des déterminations de valeurs absolues. On n'a décelé aucune influence des inhibiteurs de germination sur la répartition des composants du tubercule. Mais il est possible que cette influence se serait marquée par une période de conservation plus longue sous des conditions plus élevées de température. Ces résultats peuvent avoir une signification pratique pour l'industrie de la transformation des pommes de terre, puisque le sectionnement des tubercules met l'industriel devant cette répartition des composants.
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15.
Summary A study has been made of the control of potato skin spot by surface disinfection of tubers and subsequent storage in sprouting boxes and by similar storage without disinfection at intervals from several weeks before normal harvest until twelve weeks after harvest. Efficiency of control depended on the date of harvest and was apparently associated with the temperature of the subsequent box storage. Under the conditions of these experiments, there was a progressive decrease in the effectiveness of disinfection corresponding to delay in treatment, eye infection increasing more rapidly than surface infection. Storing potatoes in sprouting boxes without disinfection was most successful when tubers were lifted before normal harvest but was never so effective as when combined with disinfection and did not provide a reliable control of disease development in these experiments. Sporulation of the fungus on the eyes was largely inhibited by disinfection at any time whereas extensive sporulation occurred on both dead and living eyes of untreated boxed tubers.
Zusammenfassung Es wird über zweij?hrige Versuche zur Bek?mpfung der Tüpfelfleckigkeit an Kartoffeln (Oospora pustulans) berichtet. Knollen der sorteKing Edward wurden a) in Zeitabst?nden in einer organischen Quecksilberl?sung desinfiziert und dann in Vorkeimkistchen in einem Lagerraum aufbewahrt und b) in Zeitabst?nden, aber ohne Desinfektion, auf gleiche Art gelagert. Bei beiden Verfahren begannen die Termine einige Wochen vor dem normalen Erntezeitpunkt und dauerten bis zw?lf Wochen rach dem normalen Erntezeitpunkt. Bis zum Zeitpunkt der Behandlung lagerten die Knollen jeweils in Mieten. Die Beurteilung der Oberfl?chen- und Augeninfektion wurde im M?rz des folgenden Jahres vorgenommen, wobei die behandelten Knollen mit den über den Winter in einer Miete gelagerten Knollen verglichen wurden. Der Infektionsgrad des ausgepflanzten Saatgutes war in jedem Jahr ?hnlich. Das allgemein st?rkere Auftreten der Krankheit in der Ernte 1963–1964 mag, verglichen mit jenem von 1962–1963, durch die gr?sseren Regenf?lle kurz vor der Ernte verursacht worden sein, was zu sehr feuchten Verh?ltnissen in der Miete führte. Tabelle 1 und 2 zeigen die Schwankung in der Knollenaugeninfektion w?hrend der Winter 1962–1963 und 1963–1964 nach Lagerung in Vorkeimkistchen und Oberfl?chendesinfektion zu verschiedenen Terminen, sowie die mittlere w?chentliche Lagertemperature w?hrend drei Wochen nach der Behandlung. Abb. 1 und 2 geben je für die Perioden 1962–1963 und 1963–1964 den Index für Tüpfelfleckigkeit für Oberfl?chen- und Augeninfektion für Knollen an, die an verschiedenen Terminen, beginnend vor dem normalen Erntezeitpunkt und bis neun und zw?lf Wochen nachher andauernd, in Vorkeimkistchen gelagert und desinfiziert wurden. Die Wirksamkeit der Bek?mpfung wurde vom Erntedatum beeinflusst und war offensichtlich abh?ngig von der Temperatur w?hrend der nachfolgenden Lagerung. In diesen Versuchen war mit fortschreitender Sp?terverlegung der Behandlung eine st?ndige Abnahme der Wirksamkeit der Desinfektion festzustellen, und zwar trat dies bei der Augeninfektion rascher ein als bei der Oberfl?cheninfektion. Eine signifikante Abnahme der Oberfl?cheninfektion als Folge einer Desinfektion der Knollen wurde bis zu neun Wochen nach der Ernte festgestellt; bei der Augeninfektion betrug diese Dauer nur drei bis sechs Wochen. Eine Behandlung drei Wochen nach der Einlagerung verminderte die Augeninfektion nur um etwa die H?lfte. Der Wirksamkeitsgrad in der Bek?mpfung war signifikant schw?cher als jener, der durch Desinfektion am oder vor dem normalen Erntetermin erreicht wurde. Lagerung in Kistchen zeitigte die besten Ergebnisse, wenn die Knollen vor dem normalen Termin geerntet wurden, aber diese Aufbewahrungsart war nie so wirksam, wie wenn sie mit einer Desinfektion verbunden war. Die blosse Lagerung in Kistchen erwies sich somit in diesen Versuchen zur Bek?mpfung der Krankheit als zu wenig zuverl?ssig. Durch die Desinfektion wurde die Sporulation des Pilzes an den Augen zu jeder Zeit stark gehemmt, w?hrend bei den unbehandelten Knollen sowohl an toten wie an lebenden Augen eine umfangreiche Sporulation eintrat.

Résumé Les auteurs décrivent les expériences, menées pendant deux ans, de lutte contre l'oosporiose (Oospora pustulans). Des tubercules (var.King Edward) provenant d'arrachages effectués plusieurs semaines avant la date normale de récolte et de silo jusqu'à douze semaines après la récolte, ont été a) désinfectés à intervalles dans une solution organomercurique et mis en caisses et b) mis en caisses sans désinfection. L'évolution de l'infection sur la surface et sur les yeux a été effectuée en mars de l'année suivante, par comparaison des tubercules traités avec des tubercules conservés en silo durant l'hiver. Les niveaux d'infection des plants utilisés étaient semblables chaque année, aussi l'attaque généralement plus élevée de la récolte 1963–1964 par rapport à celle de 1962–1963 peut-elle être attribuée aux chutes d'eau plus importantes avant l'arrachage qui ont réalisé des conditions très humides de conservation en silo. Tableau 1 et 2 montrent les variations dans l'infection des yeux pendant les saisons 1962–1963 et 1963–1964 respectivement après mise en caisses et désinfection de la surface à différentes dates; les tableaux montrent également la température moyenne hebdomadaire de l'ambiance pendant les trois semaines après traitement. Fig. 1 et 2 montrent les degrés d'oosporiose de la surface et des yeux de tubercules mis en caisses et désinfectés à intervalles préalablement à la récolte normale jusqu'à neuf à douze semaines ultérieurement. L'efficacité du traitement dépend de la date de la récolte et est, apparemment, liée à la température de la conservation. Dans ces essais, il apparait une diminution progressive de l'efficacité de la désinfection correspondant aux retards du traitement et cette perte d'efficacité est plus rapide pour l'infection des yeux que pour celle de la peau. La désinfection des tubercules opère une réduction significative de l'infection dans les intervalles suivants après la récolte; neuf semaines pour la peau et trois à six semaines pour les yeux. Le traitement après trois semaines de conservation réduisait l'infection des yeux d'environ la moitié seulement. Le degré d'efficacité était significativement moindre que celui obtenu par désinfection au moment ou avant la récolte normale. La conservation en caisses est la plus utile quand les tubercules sont arrachés avant la récolte normale mais n'est jamais aussi efficace que quand elle est combinée à la désinfection; dans ces essais, la conservation en caisses sans désinfection n'assure pas un contr?le valable du développement de la maladie. La désinfection, effectuée à quelque moment que ce soit, inhibe dans une large mesure la sporulation du champignon tandis qu'une intense sporulation apparait à la fois sur les yeux morts et vivants des tubercules non traités mis en caisses.
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16.
Summary The effect of seven dates of haulm destruction and three intervals to harvesting on the physiological ageing of seed potatoes was studied. Tubers were placed in sprouting boxes in a store at 15 C immediately after each harvest and the number of days from planting the parent crop to sprouting was recorded. Earlier haulm destruction resulted in earlier sprouting in two of the three years. Sprout growth started 14 or 16 days earlier on tubers from plots defoliated in July compared with tubers from plots defoliated 6 weeks later. A short interval from haulm destruction to harvesting tended to result in earlier sprouting but the response was small in two of the three years. The results suggest that United Kingdom seed for export to countries where planting takes place in January should be produced from cropsin which haulm destruction and harvesting has taken place as early as possible.
Zusammenfassung Von 1974 bis 1976 wurde der Einfluss von sieben Daten der Krautvernichtung und drei zeitlichen Intervallen bis zur Ernte auf die physiologische Alterung von Pflanzkartoffeln der Sorten Arran Banner und Alpha untersucht. In Tabelle 1 sind die Einzelheiten der Verfahren für jedes Jahr angegeben. Sofortnach der Ernte wurden ausjeder Versuchsparzelle 40 Knollen in Pflanzgutgr?sse in Vorkeimkisten bei 15 C aufgestellt, und der Zeitpunkt des Beginns des Keimwachstums wurde notiert. Frühere Krautvernichtung verkürzte in den Jahren 1974 und 1975 signifikant den Zeitraum bis zum Beginn des Keimwachstums (Tabelle 2). Bei Knollen von im Juli entlaubten Best?nden begann das Keimwachstum 14 oder 16 Tage früher im Vergleich zu Knollen aus Best?nden, die sechs Wochen sp?terentlaubt wurden. Im dritten Jahrzeigte sich keine signifikante Tendenz. Bei einem kurzen Zeitabstand zwischen der Krautvernichtung und der Ernte bestand eine Neigung zu früherem Austreiben (Tabelle 3). Die Unterschiede waren 1975 gross und 1976 klein, aber immer noch signifikant, 1974 zeigte sich kein signifikanter Unterschied. Die w?chentliche Regenmenge und die Bodentemperatur in 10 cm Tiefe für jede Vegetationsperiode ist in den Abb. 1,2 und 3 dargestellt. Die Wachstumsbedingungen waren in jedem Jahr verschieden. Die Kartoffeln litten 1976 unter der Trockenheit. Dies mag die fehlende Reaktion auf den Zeitpunkt der Krautvernichtung in diesem Jahr erkl?ren. Diese Ergebnisse legen nahe, dass Pflanzgut aus dem Vereinigten K?nigreich früh krautgezogen und so früh wie m?glich geerntet werden soll, wenn es für den Export in L?nder bestimmt ist, wo das Auspflanzen im Januar vorgenommen wird.

Résumé Les effets de sept dates de destruction de fanes et de trois dates de récolte sur l’age physiologique des plants d’Arran-Banner et d’Alpha ont été étudiés de 1974 à 1976. Le détail des traitements, chaque année, est donné dans le tableau 1. Immédiatement après l’arrachage, 40 tubercules de calibre plant de chaque parcelle ont été placés en germoir à 15 C et la date de départ de la germination a été notée. La destruction des fanes la plus précoce a rapproché significativement la date de départ de la germination en 1974 et 1975 (tableau 2). La germination des tubercules défanés en juillet commence 14 à 16 jours plus t?t que ceux défanés six semaines plus tard. Iln’y a pas eu de tendance significative la troisième année. Un défanage peu de temps a vant la récolte tend à provoquer une germination plus précoce (tableau 3). Les différences étaient importantes en 1975 et faibles mais encore significatives en 1976. Iln’y a pas eu de différences significatives en 1977. La pluviométrie hebdomadaire et la température du sol à 10 cm sont présentées pour chaque mois dans les figures 1,2 et 3. Les conditions de culture étaient différentes chaque année. Les pommes de terre ont souffert de la sécheresse en 1976 et ceci peut expliquer l’absence d’effet de la date de défanage cette année-là. Les résultats suggèrent que les plants du Royaume-Uni, destinés à l’exportation vers les pays où la plantation a lieu en janvier, devraient être issus de récoltes défanées et récoltées le plus t?t possible.
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17.
Summary Maincrop potatoes stored in bulk under normal commercial conditions in England may be expected to lose by shrinkage on average from 2,5% by the end of January to almost 7% by the end of May in indoor stores and from 2,5% by the end of February up to 5% by the end of May in clamps. These figures refer only to potatoes remaining sound throghout storage — in other words, they do not include any losses from rotting that may occur and allowance must be made for this when estimating the possible financial advantage of storing potatoes rather than selling them from the field. Figures obtained following the use of different methods of ventilation in an indoor store suggest that total shrinkage will be least when ventilation is restricted, once the “holding” temperature has been achieved: judicious use of forced-draught ventilation in the early winter may reduce losses by shortening the time necessary to achieve the “holding” temperature. Some figures are included illustrating the effect of position and aspect on net weight loss and shrinkage. The specification of a useful sample sack for embedding in heaps of potatoes or other roots is given in anAppendix.
Zusammenfassung Dieser Bericht bezieht sich auf 21 Versuche, in welche neun Lagerh?user (ein Versuchslagerhaus in Sutton Bonington und acht Handelslagerh?user) und 24 Mieten, verteilt auf sieben englische Grafschaften, einbezogen wurden. Alle Versuche bis auf zwei betrafen die Sp?tkartoffelsorteKing Edward. Es gab zwei Versuche mitMajestic oderDr. McIntosh. Zur Feststellung von Gewichtsverlust und Keimung wurden S?cke mit offenen Maschen, enthaltend die gewogenen Proben, in September oder Oktober in Mieten und in Stapeln in Lagerh?usern eingelagert. Die Mieten wren s?mtlich mit einer Sohlenbreite von 1,83 m und einer H?he von 0,91 m angelegt und enthielten, ausgenommen in Sutton Bonington, dei Serien von Proben, die alle angeordnet wurden, wie inAbb, 1 dargestellt. In Sutton Bonington wurden cinige kleinere Mieten angelegt, die nur je eine Serie Proben enthielten. Die Lagerh?user wurden s?mtlich, wie in Grossbritannien üblich, über die ganze Breite, ohne Durchg?nge befüllt. Die L?nge und Breite der Lagerh?user variierten, ebenso wie die Stapelh?he und die Lüftungsmethode; die Oberfl?che der Stapel wurde immer mit Stroh abgedeckt. Acht Versuche wurden mit gew?lbten Stapeln von 1,52 bis 2,13 m Seitenh?he durchgeführt, mit H?hen bis 2,44–3,35 m in der Mitte; die Probens?cke wurden angeordnet, wie inAbb, 2 dargestellt. Vier Versuche wurden ausgeführt in Lagerh?usern flach aufgefüllt zu einer H?he von 2,44–3,35 m; die Probens?cke wurden angeordnet, wie inAbb. 3 dargestellt. In Sutton Bonington wurden die Lager bis 3,35 m flach aufgefüllt und wurden die Proben eingelegt wie inAbb. 4. Jedes lager enthiclt drei oder vier Serien von Probens?cken, die jeweils wie angegeben verlegt wurden. Die Kurven inAbb. 5–7 beziehen sich sowohl auf Nettogewichtsverlust (Gesamtgewichtsverlust abzüglich Gewicht der Keime) und das Gewicht an gesunden Knollen in den Proben am Tage der Auslagerung. Diese Kurven stellen die quadratische Regression von Prozentsatz Nettogewichtsverlust oder Prozentsatz der gesund erhaltenen Knollen bzw. deren entsprechende Logarithmen am Tage der Auslagerung dar. In die eingelagerten Proben wurden nur gesunde Knollen aufgenommen; wenn sich in einer Probe bei Auslagerung eine faule Kartoffel fand, wurde ihr Gewicht zu dem der gesunden Knollen hinzugerechnet. Im Lager von Sutton Bonington trat 1950/51 bedeutend mehr F?ule auf (etwa 6% bis Mitte Juni) als in den anderen Saisons; in diesem Falle wurden die Regressionen sowohl für den Prozentsatz von gesunden faulen Knollen und von gesunden Knollen allein errechnet (Abb. 7). Die betr?chtlichen Schwankungen im Nettogewichtsverlust bei den Mieten (Abb. 5) werden auf Gewichtszunahmen (bis zu 5%) oder einen vernachl?ssigbaren Gewichtsverlust bei einigen Proben zurückgeführt, wodurch wiederum die Durchschnittsziffer für die wenigen betreffenden Mieten herabgesetzt wurde. Dies dürfte mit der Anwesenheit kleiner F?ulnisgebiete in der N?he der befallenen Proben in Zusammenhang zu bringen sein. Nur beim Lager von Sutton Bonington lassen sich Gewichtsverlust und Keimung zu der Lüftungsmethode in Beziehung setzen (Tabelle 1 undAbb. 6). Anf?nglich wurde versucht, die Keimentwicklung in diesem Lagerhaus dadurch zu verhüten oder stark zu hemmen, dass die Temperatur im Stapel auf 4 C oder knapp darüber gehalten wurde. Es zeigte sich, dass dies nur kurzzeitig m?glich war, und es wurde festgestellt, dass überm?ssige Lüftung einen stark erh?hten Feuchtigkeit verlust zur Folge hatte. Das letzte Jahr wurde daher für einen Versuch benutzt, wobei nur Bodenkonvektionslüftung angewandt wurde. Belüftung durch Windkraft (1. Jahr) erfolgte mittels zweier drehenden Windhauben auf dem Dach des Lagerhauses, von denen die Zufuhrhaube die Bodenluftleitung speiste und die andere die Luft über die Stapeln absaugte. Die Anlage war so entworfen, dass bei einer Windst?rke von 16 km/h die Luft mit etwa 15 m3/h m3 Kartoffeln durch den Stapel geführt wurde. Der thermostatisch gesteuerte Ventilator (2. Jahr) presste Luft in die Bodenluftleitung mit einer Leistung von 40 m3/h/m3 Kartoffeln. Bei der verst?rkten Konvektionslüftung (3. Jahr) wurde die obengenannte Absaugehaube benutzt, um die normale konvektive Luftbewegung zu unterstützen. Die ermittelten Zahlen weisen darauf hin, dass unter den Verh?ltnissen in England — die es nicht gestatten bei einer Temperatur zu lagern, die niedrig genug ist um Keimung ohne Kühlung oder chemische Behandlung zu verhüten — der Gesamtschwund am geringsten ist, wenn die Lüftung eingeschr?nkt wird, nachdem wir die erwünschte “Unterhaltstemperatur” erreicht haben. Bei Prüfung der Daten inTabelle 1 ist zu berücksichtigen, dass die Lüftung in den anderen Lagern geringer war als in Sutton Bonington, d.h. es war dort entweder keine Bodenlüftung vorgesehen oder die Leitungen waren kleiner und die Luftbewegung entsprechend schw?cher. Dass sachgem?sse Anwendung von Lüftung durch künstlichen Zug im Frühwinter,wenn kalte Luft reichlich zur Verfügung steht, dem Schwund entgegenwirken kann, indem die Zeit zur Erreichung der endgültigen Lagerungstemperatur abgekürzt wird, dürfte aus der Zahl von 2,6% Gesamtschwund in Sutton Bonington am 30. Januar 1951 — dem niedrigsten Wert, der in diesem Lagerhaus an dem genannten Tag verzeichnet wurde (Tabelle 1) — hervorgehen. Das Keimwachstum war in Lagerh?usern (Tabelle 1) im aligemeinen gering — ein nicht unerwartetes Ergebnis, wo künstlicher Zug zur Instandhaltung einer niedrigen Temperatur angewandt wurde; aber die Keimung war auch gering, wenn die Lüftung beschr?nkt war. Letztere Wirkung wird der Ansammlung von keimungshemmenden flüchtigen Stoffen zugeschrieben, deren Einfluss heute wohlbekannt ist. Es ist bei Prüfung dieser Zahlen zu berücksichtigen, dass die Probens?cke so verlegt waren, dass die ?usseren 15,3 cm des Stapels, wo Keimung gew?hnlich am st?rksten auftritt, nicht mit erfasst wurden. Einen Vergleich des Nettogewichtsverlustes und der Keimung in Mieten und Lagerh?usern an zw?lf Versuchsorten, wo beide Arten der Lagerung angewandt wurden, gibtTabelle 2. Mieten, die regelm?ssig Gewichtszunahme der Proben ergaben, wurden nicht einbezogen. Die Differenzen sind im ersten Teil der Saison gering; nach M?rz jedoch kann der Schwund nach Lagerung im Lagerhaus bis zu 2% mehr betragen, obwohl die Keimung 50% geringer sein kann als in Mieten. Der Einfluss der Lage der Proben und die Beziehung zu Schwund und Keimung in Miete und Lagerhaus geht aus denTabellen 3–5 hervor, die im Zusammenhang mitAbb. 1–4 zu prüfen sind. Eine Spezifikation der verschiedenen Probens?cke wird in einemAnhang (Appendix) gegeben. Die zur Zeit in Gebrauch befindlichen sind 40mesh 40mesh, 1,5 in (3,81 cm) Maschenweite hergestellt aus 210 Denier 36-str?hnigem Nylongarn von 100 lb (45,4 kg) Reissfestigkeit und werden hergestellt von The Gourock Ropework Co. Ltd., Lynedoch Street Works, 110 Lynedoch Street, Greenock, Renfrewshire, Schottland.

Résumé Le présent rapport a trait à vingt et un essais exécutés dans neuf magasins (un magasin d'essais à Sutton Bonington et huit magasins du commerce) et vingt-quatre tranchées à pommes de terre réparties sur sept comtés anglais. La variété tardiveKing Edward fut utilisée dans tous les essais, excepté deux ou l'on employa les variétésMajestic etDr. McIntosh. Pour déterminer les pertes de poids et la germination, des sacs à larges mailles contenant des échantillons pesés furent enfouis dans des tranchées ou entassés dans des magasins en septembre ou en octobre. Les tranchées avaient une largeur de 1,83 m de pommes de terre à la base et une profondeur de 0.91 jusqu'au sommet et contenaient normalement, à l'exception de Sutton Bonington, trois séries d'échantillons disposées chacune comme le montre laFig. 1. A Sutton Bonington, on utilisa un certain nombre de plus petites tranchées contenant chacune une seule de ces séries. Les magasins furent tous remplis d'un c?té à l'autre sans passages, conformément à la méthode courante en Angleterre. La longueur et la laigeur des magasins variaient, de même que la hauteur du tas et la méthode d'aération utilisée; la surface des tas était toujours recouverte de paille. Huit essais furent effectués dans des magasins contenant des tas arrondis, d'une hauteur de 1,52 à 2,13 m aux bords, le centre étant haut de 2,44 à 3,35 m; laFig. 2 montre la disposition des sacs d'échantillons. Quatre essais furent faits dans des magasins remplis en tas unis à une hauteur de 2,44 à 3,35 m; laFig. 3 montre la disposition des sacs dans ces magasins. A Sutton Bonington, le magasin fut rempli en tas uni à la hauteur de 3,35 m et les sacs d'échantillons étaient disposés de la fa?on représentée par laFig. 4. Chaque magasin contenait trois ou quatre séries de sacs d'échantillons, chacune disposée de la fa?on indiquée. Les courbes tracées dans lesFig. 5 à 7 représentent la perte nette de poids (perte totale de poids, moins le poids des germes) ainsi que le poids des tubercules sains au moment de l'enlévement. Ces courbes représentent la régression quadratique du pourcentage de perte nette de poids ou bien du pourcentage de tubercules sains ou leurs logarithmes respectifs, à la fin du stockage. Seuls des tubercules d'apparence saine avaient été compris dans les échantillons à stocker; les tubercules détériorés rencontrés à la fin du stockage furent ajoutés au poids des tubercules sains. Il se produisit beaucoup plus de pourriture (atteignant 6% au milieu de juin) à Sutton Bonington dans le magasin en 1950/51 que dans les autres saisons; dans ce cas, les régressions ont été calculées tant pour le pourcentage de tubercules sains — pourris que pour les tubercules sains seuls (Fig. 7). La variation considérable des pertes nettes de poids d'une tranchée à l'autre (Fig. 5) est attribuée à une augmentation de poids (jusqu'à 5%) ou perte de poids négligeable présentée par certains échantillons, d'ou résulta une réduction du chiffre moyen pour les quelques tranchées en question. Ce fait est peut-être d? à la présence de petites zones de pourriture dans le voisinage des échantillons en question. Ce n'est que pour le magasin de Sutton Bonington qu'il est possible d'établir un rapport entre les pertes de poids et la germination d'une part, et les méthodes d'aération d'autre part (Tableau 1 etFig. 6). Au début, on s'effor?a d'empêcher ou de réduire considérablement la croissance des germes dans ce magasin par régulation de la température des tas à 4 C ou juste au-dessus. Cela ne se trouva possible que pendant de courtes périodes et il fut observé que l'aération excessive entrainait une forte augmentation des pertes d'humidité. Aussi la dernière année fut-elle consacrée à une essai d'utilisation exclusive de la ventilation de convection par le fond. La ventilation par la force du vent (1ère année) fut exécutée au moyen de deux tabourins tournants sur le toit du magasin, le chaperon d'entrée alimentant le système de conduits du fond, l'autre evacuant l'air du haut du tas. Le système avait été mis au point de fa?on à ce que l'air traverse le tas à une vitesse d'environ 15 m3/h par m3 de pommes de terre emmagasinées lorsque le vent avait une vitesse de 16 km/h. Le ventilateur commandé par un thermostat (2e année) introduisait l'air dans le système de conduits du fond à la vitesse de 40 m3/h par m3 de pommes de terre. L'aération par convection renforcée (3e année) utilisait le chaperon d'évacuation nommé plus haut pour renforcer le courant d'air normal de convection. Les chiffres obtenus portent à croire que dans les circonstances existant en Angleterre — lesquelles ne permettent pas le stockage à une température assez basse pour empêcher la germination sans traitement réfrigérant ou chimique — les pertes totales seront les plus faibles si l'aération est réduite une fois que la désirable “température à garder” est atteinte. En étudiant les données fournies par leTableau 1, on constatera que l'aeration était plus faible dans les autres magasins qu'à Sutton Bonington, e'est-à-dire qu'il n'y avait pas de ventilation par le fond ou que les conduits étaient plus petits, de sorte que le courant d'air se trouvait réduit dans une mesure correspondante. L'emploi judicieux de la ventilation par courant d'air renforcé au début de l'hiver peut réduire les pertes,pourvu que l'on dispose d'air froid en abondance, par diminution du temps nécessaire pour atteindre la définitive température à garder, d'après le chiffre de 2,6% de pertes au total à Sutton Bonington au 30 janvier 1951, lequel chiffre est le plus bas noté dans ce magasin à cette date (Tableau 1). La croissance des germes au stockage en magasinTableau 1) fut faible dans tous les cas — ce à quoi l'on pouvait s'attendre lorsque l'on utilisait l'aération forcée pour réduire la température, mais non pas lorsque l'aération était restreinte. L'effet dans ce dernier cas est attribué à l'accumulation de substance volatiles inhibitrices de germination, dont l'effet est bien connu actuellement. En étudiant ces chiffres, il ne faut pas oublier que la disposition des sacs d'échantillons était telle que les échantillons ne se trouvaient nulle part dans les 15,3 cm extérieurs du tas, ou la germination est normalement le plus prononcée. LeTableau 2 établit la comparaison des pertes nettes de poids et de la germination dans le stockage en tranchées et en magasin, pour douze centres ou ces deux types de stockage furent appliqués. Les tranchées qui donnérent régulièrement des échantillons ayant gagné en poids ont été exclus de la comparaison. Au début de la saison, les différences sont faibles, mais après mars le stockage en magasin peut donner des pertes supérieures de 2% quoique une germination inférieure de 50% aux chiffres correspondants des tranchées peut se passer. Les effets de l'emplacement des échantillons et de leur aspect sur les pertes de poids et la germination, tant en tranchée qu'en magasin, sont indiqués auxTableaux 3–5, qu'il convient d'étudier en même temps que lesFigures 1–4. La spécification des différents sacs à échantillons employés est donnée enAnnexe. Les sacs utilisés actuellement sont de 40 mesh sur 40 mesh, à mailles de 1,5 inch (3,81 cm), en nylon de 210 deniers à 36 fils, force de rupture 100 lb (45,4 kg). Ils sont fabriqués par The Gourock Ropework Co. Ltd., Lynedoch Street Works, 110 Lynedoch Street, Greenock, Renfrewshire, Ecosse.
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Summary Ageing seed potatoes at ambient temperatures after long storage (26 weeks) at 2 °C affected rate of plant emergence and yields of three potato cultivars in Cyprus. Sprout growth at ambient increased until planting, and was bigger in cv. Spunta than in cv. Arran Banner and cv. Cara. Four weeks after planting the rate of emergence was higher in physiologically younger seed; total emergence was not affected but average yields were reduced by ageing. Early yields were less affected but final yields were significantly reduced by ageing; these effects were moro pronounced in Spunta and Arran Banner, early and medium maturity cultivars respectively than in Cara, a late maturity cultivar. Ageing of seed at ambient temperature was rapid and removing seed to ambient for more than 3 weeks before planting to save storage costs adversely affected final yields.
Zusammenfassung Eine nach verl?ngerter Lagerung bei 2 °C erfolgte Alterung der Saatkartoffeln bis zu 9 Wochen in der Umgebungstemperatur beeinflusste bei den Sorten Arran Banner, Spunta und Cara das Auflaufen der Pflanzen und die Ertr?ge. Das Keimwachstum wurde nach überführung aus dem Kaltlager in die Umgebungstemperatur bis zum Auspflanzen nicht unterbrochen; die Keime von Spunta waren l?nger als diejenigen von Arran Banner und Cara (Abb. 1). Bei physiologisch ?lterem Saatgut liefen die Pflanzen schneller auf als bei jüngerem (Tab. 1). Fünf Wochen nach dem Auspflanzen war die Auflaufrate in allen Behandlungen ?hnlich und gr?sser als 80 % (Tab. 1). Drei Wochen nach dem Auspflanzen war die Auflaufrate der Pflanzen durch die Alterung erh?ht. Die Zwischen- und Endertr?ge wurden durch die Alterung signifikant beeinflusst Saatgut, das l?nger als 3 Wochen in der Umgebungstemperatur gehalten wurde, erbrachte geringere Zwischen- und Endertr?ge. Die Frühertr?ge wurden durch die Alterungsbehandlungen weniger beeinflusst (Tabellen 2, 3 und 4). Die Saatkartoffeln alterten schneller nach überführung in die Umgebungstemperatur und ein Verbleiben des Saatgutes in der Umgebungstemperatur für mehr als 3 Wochen führt zu geringeren Ertr?gen. Wenn auch der Alterungsprozess w?hrend der Kaltlagerung fortschreitet, ist eine Verl?ngerung der Kaltlagerzeit wünschenswert, um dann das Saatgut in die Umgebungstemperatur zu übertragen und dadurch Lagerkosten zu sparen.

Résumé Le vieillissement physiologique de plants de pomme de terre obtenu par la conservation à la température ambiante pendant des durées de 0 à 9 semaines après un maintien prolongé à 2 °C, affecte la levée et le rendement des variétés Arran Banner, Spunta et Cara. Après que les tubercules aient été sortis de chambre froide, la croissance des germes se poursuit jusqu'à la plantation. Les germes de Spunta sont plus longs que ceux d'Arran Banner et de Cara (fig. 1). La levée des plants est plus rapide chez ceux physiologiquement vieux que chez ceux physiologiquement jeunes (tableau 1). Cinq semaines après la plantation, le taux de levée est identique dans tous les traitements et dépasse 80% (tableau 1). La levée des plants trois semaines après la plantation est accrue par le vieillissement. Les rendements intermédiaires et finaux sont significativement affectés par le vieillissement. Les plants placés pendant plus de 3 semaines à température ambiante donnent de plus faibles rendements intermédiaires et finaux. La précocité des rendements est moins affectée par les traitements de vieillissement (tableaux 2, 3 et 4). Les plants vieillissent plus rapidement à la température ambiante et ceux conservés plus de trois semaines dans ces conditions donnent une réduction de rendement. Toutefois, le processus de vieillissement se poursuit également durant la période de conservation au froid aussi l'extension de la durée de cette période est préférable à cette de la mise à température ambiante lorsqu'elle est réalisée dans un but d'économie.
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Summary The rate of growth per sprout during storage was an inverse function of the number of growing sprouts per tuber and a positive function of tuber weight. The time of onset and intensity of intersprout competition were positive functions of storage temperature between 7 and 20°C. Temperature appeared to have a differential effect on the potential growth rate of the sprouts and on the rate at which nutrients became available in the tuber. The onset and intensity of competition was not affected by the distance separating the competing sprouts, suggesting a relatively unrestricted path of flow between the sprouts and their source of nutrients in the tuber. Mobilization of the tuber reserves appeared to occur simultaneously throughout the tuber. A possible relationship between intersprout competition and the growth habit of the lateral branches of the sprout is discussed.
Résumé On a étudié dans trois essais sur la variétéArran Pilot les influences sur la croissance du germe, de la grosseur du tubercule, du nombre de germes par tubercule, de la température de conservation et de la distance entre les germes en concurrence. La première expérience a révélé que tout changement qui tend à accro?tre l'apport de substrat “tubercule” potentiellement disponible pour les germes (augmentation du poids du tubercule ou réduction du nombre de germes en développement par tubercule par dégermage ou comme résultat d'inhibition corrélative) provoque un accroissement du degré de croissance des germes individuels. De tels traitements modifient de la même fa?on la longueur (Fig. 1), le poids see (Tableau 2) et le nombre de noeuds (Tableau 3) des germes. Le poids sec moyen des germes par tubercule (Tableau 1) augmente avec le volume de germes chez les tubercules les plus gros utilisés (200 g). L'expérience 2 a montré que la vitesse d'élongation des germes sur des tubercules de 80 g augmentait avec le temps jusqu'à une valeur maximum puis commen?ait alors à tomber pour tous les traitements sauf pour les traitements de germination 1 et 2 à 7 C (Fig. 3). La valeur maximum était atteinte aprés 1, 2 et 3 semaines respectivement à 20, 15 et 10 C et après 4 semaines dans le traitement de germination 4 à 7 C. La longueur moyenne du germe à partir de laquelle apparait le déclin de la vitesse d'élongation est une fonction inverse du nombre de germes par tubercule. La longueur moyenne du germe (Tableau 4) et le poids sec moyen par germe (Tableau 6) à la fin de l'expérience étaient des fonctions inverses du nombre de germes par tubercule à toutes les températures sauf à 7 C, et les fonctions positives de la température de conservation. A 7 C, les moyennes des poids sees des germes par tubercule (Tableau 5) dans les traitements de germination 1, 2 et 4 étaient dans la proportion approximative 1, 2 et 4 à laquelle on s'attendait en l'absence de compétition. A des températures plus élevées la moyenne des poids sees de germes par tubercule n'était pas significativement affectée par le nombre de germes. Ces résultats indiquent que la compétition entre les germes apparait plus t?t et est plus intense à haute qu'à basse température. La température semble avoir un effet différentiel sur la vitesse potentielle de croissance des germes individuels et sur la vitesse à laquelle les matières nutritives deviennent disponibles dans le tubercule, les deux augmentant avec la température mais à vitesses différentes. Les résultats de l'expérience 3 démontrent que l'importance de la compétition, la longueur moyenne par germe, la moyenne de poids sec par germe, le poids sec moyen des germes par tubercule ne sont pas affectés par la distance séparant les germes en compétition (Tableau 7). II semble que la mobilisation des réserves du tubercule appara?t simultanément dans toutes les parties du tubercule. La forme de croissance des branches latérales des germes (Fig. 2) passe du diagéotropisme à un géotropisme négatif à une telle hauteur de noeud qui est une fonction inverse du nombre de germes par tubercule et une fonction positive du poids du tubercule (Tableaux 3 et 8). L'auteur discute de la part jouée par la compétition dans le contr?le de la forme de croissance des pousses latérales.
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20.
Summary A technique is described which enables potato clones to be screened for resistance to both species of potato cyst nematode (Globodera rostochiensis andG. pallida) and to blight (Phytophthora infestans) in the foliage during the winter and first spring following harvest of seedlings grown from true seed. A container test, used to assess resistance to both species ofGlobodera in a mixed inoculum, is followed by an assessment of resistance to foliage blight, using the same plants in the glasshouse. This screen can be completed in time for duplicate tubers of the resistant clones to be planted for multiplication in the second growing season. The close correlation between results obtained using this system and those predicted from the known inheritance of the characters selected and the gain in efficiency achieved in breeding, are illustrated by examples. In Kartoffelzuchtprogrammen müssen viele Eigenschaften berücksichtigt werden. Die Reihenfolge ihrer Selektion kann grossen Einfluss auf die gesamte Arbeitsleistung haben. Dort wo die Aufspaltung der Nachkommenschaft bedeutsam ist, kann eine frühe Selektion leicht erkennbarer Eigenschaften, wie Resistenz gegenüber Sch?dlingen und Krankheiten, die Populationsgr?sse wirkungsvoll verringern. Dies k?nnte den starken Selektionsdruck auf Knolleneigenschaften als erste Hauptprüfung in Kartoffelzuchtprogrammen ersetzen. In dieser Arbeit wird eine Technik zur Prüfung auf kombinierte Resistenz gegenüber Kartoffelnematoden und Krautf?ule beschrieben, und es werden die Ergebnisse für Nachkommen aus typischen Kreuzungen mitgeteilt (Tabelle 1). Die Nematodenresistenz wurde mit Hilfe eines Gef?sstestes ermittelt, bei dem ein Inokulumgemisch aus Larven vonGlobodera rostochiensis undG. pallida verwendet wurde. Dies ergab die in Tabelle 2 dargestellten Befunde und eine Verteilung der Zystenproduktion, wie sie in den Abbildungen 1A und 1B gezeigt wird. Diese Ergebnisse best?tigten, dass die nicht wiederholten Tests Reaktionen ergaben, wie sie von der bekannten Vererbung der Eigenschaften erwartet wurden, und ein Chi-Quadrat-Test (Tabelle 2) ergab bei drei von vier Familien, dass keine Abweichung von den erwarteten Verh?ltnissen für H1, von dem sich dieG. rostochiensis-Resistenz herleitet, vorlag. Eine vorkommende Abweichung (Tabelle 2, Familie 4) liess sich mit der ungenügenden Unterscheidung der unreifen Zysten von beidenGlobodera-Arten erkl?ren. Bei der Selektion auf Resistenz gegenüber den beiden Arten ist diese Fehlerquelle unbedeutend. Die als nematodenresistent ermittelten Pflanzen wurden in T?pfen bei hoher Luftfeuchtigkeit in einem Polythen-Tunnel in Gew?chshaus angezogen und mit einer Zoosporensuspension aus einem Isolatkomplex vonPhythophthora infestans besprüht. Die Anf?lligkeit wurde ermittelt, indem die ungef?hre Blattfl?che der entstehenden nekrotischen L?sionen bewertet wurde. Die Ergebnisse in Tabelle 3 und die Verteilung der resistenten Klone (Abb. 1C) weisen—wie erwartet—auf die polygene Vererbung hin. Bei den angewandten Selektionsstufen erhielt man ungef?hr 15% der Nachkommen mit hinreichender Resistenz gegenüber den drei vorgegebenen Eigenschaften. Die Teste wurden in der Lagerzeit der Knollen, die ursprünglich von S?mplingspflanzen stammten, abgeschlossen, so dass sie in der der Aussaat nachfolgenden Saison ausgepflanzt werden konnten. Dans les programmes de sélection de la pomme de terre, de nombreux caractères sont pris en compte et le choix de la succession de leurs mesures a une forte importance sur l'efficacité globale du travail. Quand il y a ségrégation pour des caractères importants et facilement mesurables comme la résistance aux ravageurs et aux maladies, on peut réduire le travail de maintenance du matériel en réalisant des cribles précoces pour ces caractères. Ces tests peuvent être d'abord réalisés à la place des tests de qualité, classiquement effectués en début de programme. Les auteurs décrivent ici une technique de tests de résistance à la fois vis-à-vis des nématodes à kyste et du mildiou. Les résultats de tests de descendance de quatre croisements sont détaillés. La résistance aux nématodes est mesurée par des tests en conteneours dans lesquels le substrat est infesté par un mélange de larves infestantes deGlobodera rostochiensis et deG. pallida. On trouve les résultats globaux en Tableau 2 et les distributions exprimées en valeur relative du nombre de kystes neoformés sont représentées en figures 1A et 1B. Malgré l'absence de répétitions, ces résultats sont en accord avec ceux espérés: le {ie67-1} (Tableau 2) ne montre pas de différence significative pour 3 familles sur 4 avec les résultats théoriques quand c'est la résistance due au gène H1 qui est mesurée. Le cas de non concordance (Tableau 2, famille 4) est explicable par une possible confusion des espèces à la lecture. Cependant, cette source d'erreurs est peu importante quand la sélection est dirigée en même temps contre ces deux espèces. Les clones jugés résistants sont alors testés vis-à-vis dePhytophthora infestans. Ils sont placés en pots et cultivés en serre sous tunnel de polyethylène pour entretenir une forte humidité relative. Une suspension de zoospores d'un isolat complexe est pulvérisée et la sensibilité est appréciée par la surface approximative des lésions nécrotiques du feuillage. Les résultats du Tableau 3 et la distribution relative de la fréquence des clones résistants confirment l'hérédité polygénique de la résistance au mildiou. Environ 15% des familles sont ainsi retenues comme ayant un bon niveau de résistance aux deux espèces deGlobodera et àP. infestans. Les tests, réalisés en hiver, sont achevés à temps pour que les duplicatats, conservés à basse température, identifiés comme résistants puissent être plantés au champ en temps utile, l'année qui suit les semis de graines.  相似文献   

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