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1.
In field experiments with spring wheat (Triticum aestivum L., cv. Neepawa), the low rate (0·02 kg ha-1) of chlorsulfuron significantly reduced wild oat control from individual applications of only barban and diclofop-methyl. The high rate (008 kg ha-1) affected wild oat control by all four graminicides, including difenzoquat and flam-prop-methyl. In most cases, the graminicides did not affect the broad-leaved weed control of chlorsulfuran. Overall, a low rate of chlorsulfuron in mixture with graminicides did not reduce wheat yield, whereas a high rate of chlorsulfuron in the mixtures gave a significant yield reduction compared with individual graminicides applied alone. All herbicide treatments increased wheat yield over the control. In the glasshouse, reduction in wild oat control by diclofop-methyl was directly related to the rate of chlorsulfuron added to diclofop-methyl. The effect of 0·02 kg ha-1 chlorsulfuron on control of wild oat was decreased when the rate of diclofop-methyl increased from 0·5 to 0·9 kg ha-1 and was completely eliminated when diclofop-methyl reached 1·1 kg ha-1. Conversely, diclofop-methyl (0·7 and 1·1 kg ha-1) gave some reduction of wild mustard (Sinapis arvensis L.) and redroot pigweed (Amaranthus retrofiexus L.) control by chlorsulfuron (0·01 and 0·02 kg ha-1), even though in some cases diclofop-methyl/chlorsul-furon gave better control of these broad-leaved weeds. In the laboratory, the absorption and translocation of [14C]-diclofop-nieihyl in wild oat seedlings were significantly reduced when chlorsulfuron was added, compared with [14C]-diclo-fop-methyl applied alone. Effet du chlorsulfuron sur l'efficacité et l'effet sur le rendement de quatre graminicides Dans des essais de plein champ sur blé de printemps (Triticuni aestivum L., cv. Neepawa), la faible dose (0, 02 kg ha-1) de chlorsulfuron a réduit significativement l'efficacité d'une application séparée de barbane et de diclofop-methyl. La forte dose (0, 08 kg ha-1) a contrarié la destruction de la folle avoine pour les quatre graminicides dont le difenzoquat et le flamprop-methyl. Dans la plupart des cas, les graminicides n'ont pas eu d'incidence sur la destruction des dicotylédones par le chlorsulfuron. Par ailleurs. une faible dose de chlorsulfuron en mélange avec les graminicides n'a pas réduit le rendement en blé, en revanche, une forte dose de chlorsulfuron en mélange a entrainé une baisse significative de rendement en comparaison des graminicides appliqués seuls. Tous les traitements herbicides ont entrainé un gain de rendement par rapport au témoin non traité. En serre, la réduction d'efficacité sur folle avoine du diclofop-methyl était directement correlée à la dose de chlorsulfuron ajouté. Les effets de 0, 02 kg ha-1 sur la destruction de la folle avoine baissaient quand le niveau de diclofop-methyl augmentait de 0,5 à 0,9 kg ha-1 et étaient complètement éliminés quand la dose de diclofop-methyl atteignait 1, 1 kg ha-1. Par ailleurs, le diclofop-méthyl (0,7 et 1,1 kg ha-1) a réduit l'efficacité du chlorsulfuron (0,01 et 0,02 kg ha-1) sur la sanve (Sinapis arvensis L.) et l'amaranthe réflechie (Amaranthus retroflexus L.) même si dans certains cas l'association diclofop-mélhyl-chtorsulfuron a eu une meilleure efficacité sur ces mauvaises herbes. Au laboratoire, l'ab sorption et la translocation du diclofop-methyl C14 dans les plantules de folle avoine ont été réduites significativement par l'addition de chlor-sulfuron en comparaison du diciofop-méthyl C14 appliqué seul. Wirkung von Chlorsulfuron zusammen mil Vier Graminiziden auf die Unkrautbekämpfung und den Ertrag von Weizen In Freilandversuehen mit Sommerweizen (Triticum aesttotm L. ‘Neepawa’) verminderie Chlorsulfuron in niedriger Aufwandmenge (0,02 kg ha-1) den Bekämpfungserfolg gegen Flug-Hafer nur bei Barban und Diclofop-menthyl. Die hohe Aufwandmenge (0,08 kg ha-1)beeinträchtigte die Wirkung aller 4 Graminizide, einschliesslich Difenzoquat und Flamprop-methyl. Die Graminizide beeinfiussten die Wirkung von Chlorsulfuron gegen zweikeimblättrige Arten meistens nicht, Der Weizenertrag blieb bei der Mischung der niedrigen Aufwandmenge von Chlorsulfuron mit den Graminiziden unverändert, die hohe Aufwandmenge führte aber in den Mischungen zu einem signifikaten Abfall des Ertrags, vergli-chen mit dem bei Anwendung der Graminizide allein. Mit allen Herbizidbehandlungen wurden gegenüber Unbehandelt höhere Erträge erzielt. Im Gewächshaus war die Wirkung von Diclofopmethyl gegen Flug-Hafer direkt von der zugefügten Menge an Chlorsulfuron abhängig. Der Einfluss von 0,02 kg ha-1 Chlorsulfuron aif die Bekämpfung von Fiug-Hafer nahm ab. wenn die Aufwundmenge von Diclofop-methyl von 0,5 auf 0,9 kg ha-1 gesteigert wurde; bei 1, 1 kg ha-1 Diclofop-methyl war er aufgehoben. Andererseits trat bei 0,7 und 1,1 kg ha-1 Diclofop-methyl eine Minderung der Wirkung von Chlosulfuron (0,01 und 0,02 kg ha-1) gegen Acker-Senf (Sina-psis arvensis L.) und Zurückgekrümmten Fuchsschwanz (Amarenthus retroflexus L.) ein, wenn auch dise Mischung in einigen Fällen gegen dise Arten starker wirkte. Im Labor wurde einc signifikant geringere Absorption und Trans-lokation von 14C-Diclofop-methyl in Keimpflan-zen des Flug-Hafers beobachtet, wenn Chlorsulfuron zugefügt worden war.  相似文献   

2.
J. P. MOREAU 《EPPO Bulletin》1980,10(4):469-474
La persistence de populations de doryphores à des niveaux élevés dans certaines régions de France (et en Europe du Nord au-delà du 45e degré de latitude) a deux causes possibles: la culture de variétés précoces et tardives situées les unes à cǒté des autres, principalement en petites parcelles, et la synchronisation entre les stades de développement de l'insecte et de la plante. La résistance de la pomme de terre à cet insecte a étéétudiée depuis longtemps. Des croisements entre des espèces sauvages de solanacées et Solarium tuberosum ont constitué l'essentiel des directions suivies. De grandes difficultés ont été rencontrées, surtout dans l'obtention d'hybrides à partir des graines, à cause de la variabilityé géographique des réponses de l'insecte et des relations inverses entre la productivityé et les niveaux de glycoalcaloïdes dans les tubercules. A l'heure actuelle, la recherche est surtout axée sur le choix de variétés de S. tuberosum, en fonction de facteurs écologiques et culturaux, et de la physiologie de la plante. Dans le présent travail, sept variétés ont été plantées dans les conditions de plein champ. La ponte des femelles de doryphore, le nombre de larves obtenues, la consommation du feuillage et le rendement de la culture ont été considérés. Un variété (Résy), qui est peu sensible au mildiou, s'est montrée défavorable à la fois aux adultes et aux larves pendant trois années consécutives. Ainsi l'emploi judicieux d'une ou de plusieurs variétés peut affecter la dynamique des populations de ce ravageur. L'utilisation raisonnée des variétés peut ětre utilisée dans des programmes de protection intégrée contre les ennemis de la pomme de terre.  相似文献   

3.
Bromacil was applied annually for 6 or 7 years in two apple-orchard experiments. At intervals of a year after the last applications, concentrations at various depths down to more than 1 m were measured by gas-liquid chromatography. On an average, 54% of the annual dosage was still present, corresponding to a decline to 35% of the initial amount within a year. The highest concentration in the profile was found at about 10–20 cm, which indicates a much lower mobility than that found with soil thin-layer experiments. Traces of bromacil were found at depths around 1 m, especially with the higher dosages. The upper limits of the amount leaching below a depth of 1 m were estimated at less than 3% of the dosage. Persistance et mobilité du bromacile dans les sols de vergers. Du bromacile a été apporté annuellement pendant six ou sept ans dans des essais effectués dans deux vergers de pommiers. A des intervalles d'une année aprés la derniére application, les concentrations ont été mesurées par chroma-tographie gaz-liquide, á des profondeurs variées allant jusqu'a plus d'un métre. En moyenne, il a été retrouvé 54% de la dose annuelle, ce qui correspond á une diminution de 35% de l'apport initial, dans l'intervalle d'une année. Les concentrations les plus fortes dans le profil ont été trouvées aux environs de 10 à 20 cm, ce qui indique une mobilité beaucoup plus lente que ce qui a été trouvé dans des expériences avec des couches minces. Des traces de bromacile ont été retrouvées à des profondeurs avoisinant 1 m, particuliére-ment avec des dosages élevés. Les limites supérieures du lessivage à une profondeur inférieure à 1 m ont été estimées à moins de 3% de la dose. Persistenz und Mobilität von Bromacil im Boden von Obstanlagen In zwei Apfelanlagen wurde iiber sechs bzw. sieben Jahre, jährlich einmal Bromacil angewendet. In Abständen von einem Jahr nach den letzten Anwendungen wurde das Herbizid in verschiedenen Bodentiefen bis liber 1 m Tiefe gaschromatographisch nachgewiesen. Im Durchschnitt waren noch 54% der jährlichen Aufwandmenge vorhanden. Das entspricht einer Abnahme der ursprünglich ausgebrach-ten Herbizidmenge um 35% innerhalb eines Jahres. Die höchste Konzentration wurde in einer Tiefe von etwa 10–20 cm gefunden. Die Mobilität des Herbizids war, verglichen mit seiner Beweglichkeit in Versuchen mit der Boden-Dunn-schicht-Chromatographie wesentlfch geringer. Spuren von Bromacil wurden besonders bei den hoheren Aufwand-mengen in einer Tiefe von 1 m gefunden. Es wird angenom-men, dass die hochste Herbizidmenge, die liber 1 m tief transportiert wurde, weniger als 3% der Aufwandmenge entspricht.  相似文献   

4.
Translocation of fluazifop-butyl in soybean plants and hydrolysis of the ester to fluazifop-acid were investigated in a field experiment. The herbicide was translocated rapidly from the leaves to the roots, but the concentration in the leaves remained about 10-fold higher than that in the roots. Rapid hydrolysis of fluazifop-butyl to fluazifop-acid was observed, and residues of the metabolite were found to persist much longer in the plant than the active compound. Increased temperatures resulted in more rapid hydrolysis. No traces of active compound or of its main metabolite were found in the seeds after harvest. A reversed-phase HPLC method for simultaneous détérmination of fluazifop-butyl and fluazifop-acid residues in soybean plants was developed. Transport, metabolisme et residus du fluazifop-butyl chez les plantes de soja Le transport du fluazifop-butyl dans les plantes de soja et l'hydrolyse de Tester en fluazifop-acide ont étéétudiés dans une experimentation de plein champ. L'herbicide a été vehiculé rapidement des feuilles vers les racines, mais la concentration dans les feuilles est demeurée 10 fois plus haute que celle dans les racines. Une hydrolyse rapide de la forme ester en acide a été observee, et les residus du metabolite se sont reveles beaucoup plus persistants dans la plante que le composé actif. Une augmentation des températures a accéléré l'hydrolyse. Aucunes traces de la matière active ou de son principal métabolite n'ont été trouvées dans les graines après la récolte. Une methode HPLC en phase inverse pour la détérmination simultanée des residus de fluazifop-butyl et de fluazifop-acide chez le soja a été développée. Translokation, Metabolismus und Ruckstande von Fluazifop-butyl in Sojabohnen-Pflanzen Die Translokation von Fluazifop-butyl in Sojabohnen-Pflanzen und die Hydrolyse des Esters zu Fluazifop-Saure wurden in einem Freilandversuch untersucht. Das Herbizid wurde von den Blattern in die Wurzein schnell transloziert, doch in den Blattern blieb die Konzentration etwa 10mal großer als in den Wurzein. Es wurde eine schnelle Hydrolyse des Fluazifop-butyls zu Fluazifop-Saure beob-achtet, und die Ruckstande des Metaboliten in den Pflanzen erwiesen sich als viel bestandiger als der Wirkstoff. Bei hoheren Temperaturen lief die Hydrolyse schneller ab. In den Samen wurden nach der Ernte keine Ruckstande des Wirkstoffs oder seiner Hauptmetaboliten gefunden. Eine Reversed-Phase-HPLC-Methode zur gleichzeitigen Bestimmung von Ruckstanden von Fluazifop-butyl und Fluazifop-Saure in Sojabohnen-Pflanzen wurde entwickelt.  相似文献   

5.
Residus d'atrazine el de ses metabolites après une utilisation prolongée De I'atrazine a été appliquée dans un champ cultivé en maïs (Zea mays L.) pendant 20 annees consecutives, a des doses allant de 1.40 a 2.24 kg/ha. L'analyse d'échantillons de sol prélevés 6 et 12 mois après la derniere application a révélé la presence de residus du produit et de ses analogues hydroxy monodealkyles. Les jeunes pousses et les racines de plantes d'avoine (Avena saliva L.) cultivees dans le champ contenaient de l'hydroxytriazine (2-hydroxy-4-éthylamino-6-isopropyl-amino-i-triazine) et l'un de ses analogues monodealkyles sous la forme conjuguée. De l'avoine et de la fléole (Phleum pralense L.), cultivees sur le sol traité, dans une chambre de culture, donnèrent des resultats analogues. Les resultats suggèrent que les applications d'atrazine répétées a long terme annuellement pour le désherbage du maïs conduisent a la persistance dans le sol de certains de ses produits de degradation, principalement des analogues hydroxylés, un an apres la derniere application d'herbicide. Il est concevable que de tels résidus puissent pénétrer dans les cultures vivrières implantées dans un sol traite a 1'atrazine, dans 1'année ou les annees qui suivent la cessation d'un traitement a long terme.  相似文献   

6.
Wild oat (Arena fatua L.) plants were dosed hydroponically with 14C-benzoylprop ethyl [ethyl N-benzoyl-N (3,4-dichlorophenyl)-2-aminopropionate] and were grown under different light and nutrient levels. Herbicide metabolism and growth inhibition in plant shoots were measured alter 3, 6, and 12 days. Plants under low light contained more benzoylprop acid due to increased de-esterification at 3 and 6 days, and decreased acid-conjugate formation at 12 days. When plants, were subjected to low nutrient levels, both metabolic reactions were slowed resulting in increased acid at 3 days, but not at 6 or 12 days. After 12 days, however, there was more growth inhibition at the low nutrient level. Growth correlated better to the amount (dpm) of acid-conjugate than to the amount of ester or acid in plant shoots. Acid concentration had the most influence on subsequent growth. It was concluded that although reduced light and nutrients result in higher levels of benzoylprop acid, increased benzoylprop ethyl efficacy is also due lo a reduced growth rate of the wild oat. This study supports observations that crop competition increases benzoylprop ethyl efficacy. Effets de la lumière et des niveaux des éléments nutritifs sur le métabolisme et l'effet inhibiteur sur la croissance du 14 C-benzoyl prop éthyle chez la folle avoine (Avena fatua L.) Des plantes de folle avoine (Avena fatua L.) en culture hydroponique ont été soumises à diverses doses de 14C-benzoylprop éthyle et à des niveaux différents d'éclairage et de nutrition. Le metabolisme de l'herbicide et l'inhibition de la croissance ont été measurés dans les jeunes pousses des plantes après 3.6 et 12 jours. Les plantes cultivées sous un faible eclairage contenaient plus d'acide benzoylprop dû a un accroissement de la dé-estérification á 3 et 6 jours et á une diminution de la formation du conjugué-acide á 12 jours. Lorsque les plantes ont été soumises à de bas niveaux de nutrition, les deux réactions métaboliques ont été ralenties, ce qui a provoqué un accroissement de l'acide à 3 jours, mais pus à 6 ou 12 jours. Toutefois, aprés 12 jours, l'inhibition de la croissance a été plus marquée au faible niveau de nutrition. La corrélation de la croissance a été meilleure avec le taux de conjugué-acide qu'avec celui d'esier ou d'acide dans les jeunes pouses des plantes. La concentration de l'acide a joué le rôle le plus important sur la croissance uliérieure. La conclusion est qu'en dépit du fait que la reduction de la lumiére et de la nutrition provoque de hauts niveaux d'acide benzoylprop. l'accroissement de l'efficacité du benzoylprop éthyl est également dû une reduction du taux de croissance de la folle avoinc. Cette étude rapporte des observations montrant que la compétition de la plante cultivée augmente l'efficacité du benzoylprop éthyle. Die Wirkung von Licht und Nährstoffversorgung auf den Abbau von 14 C-Benzoylprop-äthyl und auf die Wuchshemmung von Flughafer (Avena fatua L.) Flughaferpflanzen (Avena fatua L.) wurden über Wasserkultur mit 14C-Benzoylprop-äthyl [N-Benzoyl-N-(3,4-dichlorphenyl)-2-aminoproprionsäureäthylester] versorgt und bei unterschiedlicher Licht-und Nährstoffversorgung kultiviert. Es wurde der Herbizibabbau und die Wuchshemmung des Sprosses nach 3.6 und 12 Tagen gemesssen. Bei geringer Lichtintensität enthielten die Pflanzen am 3. und 6. Tag aufgrund verstärkter Verseifung mehr Benzoylprop-Säure, und am 12, Tag weniger Säure-Konjugat. Bei geringer Nährstoffversorgung Wurden beide Abbauprozesse verlangsamt, was eine Zunahme der Säure am 3. Tag, nicht aber am 6.und 12. Tag zur Folge hatte. Nach 12 Tagen war aber bei geringer Nährstoffver-sorgung die Wuchshemmung stärker. Die correlation zwischen Wachstum und Gehalt der Sprosse an Säure-Konjugat (dpm) war besser als mit dem Gehalt an Ester order Säure. Der Säurege-halt hatte die stäkste Wirkung auf das Wachstum. Aus den Ergebnissen wird geschlossen, dass obwohl eine reduzierte Licht- und Nährstoffversorgung höhere Gehalte an Benzoylprop-Säure bedingen, die Wirkung von Benzoylprop-äthyl auch durch das verminderte Wachstum des Flughafers bewirkt wird. Diese Untersuchungen unterstützen die Beobachtung, dass die Wirkung von Benzoylprop-äthyl durch die Konkurrenz der Kulturpflanzen verstärkt wird.  相似文献   

7.
Experiments are described where different forms of deposit of barban were applied lo wild oats (Avena fatua L.) by varying drop size (110. 220 or 440 μm diameter) and application rate. Plants were grown in trays in a glasshouse and sprayed in the laboratory using a spinning disc in a cabinet. The results showed that the form of a deposit can have a significant effect on herbicidal activity, deposits produced with the smallest drop size being the most effective. Effect de la forme du depot sur l'activite du barbane appliqué sur Avena fatua (L.) Des expériences sont décrites au cours desquelles différentes formes de dépöts de barbane ont ete appliquées sur de la folle avoine (Avena fatua L.) en faisant varier la taille des gouttes (110, 220 ou 440 μ de diamétre) et la dose d'application. Les plantes ont été cultivées sur tablettes en serre et traitées au laboratoire en utilisant un disque tournant dans une enceinte. Les résultats obtenus ont montré que la forme du dépót pouvait avoir un effet significatif sur I'activité de I'herbicide, les dépôts formes par les gouttes les plus petites étant les plus efficaces. Einfluss der Art des Spritzbelages auf die Wirksamkeit von Barban gegenüber Avena fatua L. Es werden Versuche über die unterschiedliche Applikation von Barban auf Flughafer (Avena fatua L.) beschrieben. Variiert wurden die Tröpfchengrösse (110, 220 oder 440 μm Durchmesser) und die Aufwandmenge. Die Pflanzen wurden im Gewflchshausangezogen und mit einem ZentrifugalzcrstSuber behandelt. Die Ergebnisse zeigen, dass die Art der Applikation einen gesicherten Einfluss auf die herbizide Wirkung haben kann, wobei die Applikation mit der kleinstcn Tröpfchengrösse am wirkungsvollsten war.  相似文献   

8.
J. SALONEN 《Weed Research》1992,32(6):493-499
Reduction of the dose of MCPA/mecoprop and MCPA/fluroxypyr mixtures to half or one-third of the recommended rates still provided good weed control efficacy in spring wheat (Triticum aestivum L.) and particularly in spring barley (Hordeum vulgare L). The average yield of treated plots was 8% higher in wheat and 1% higher in barley compared with untreated plots. However, yield reductions were observed in 32% of wheat plots and in 43% of barley plots treated with herbicides. The yield responses were poorly correlated with the weed density of mixed weed flora at the time of spraying. No reliable threshold density for chemical weed control was found. Réponses au rendement de céréales de printemps, à des doses d'herbicides réduites La réduction de la dose de MCPA/mecoprop et MCPA/fluroxypyr a la moitié ou au tiers des taux recommandés a encore assure une bonne efficacité herbicide chez le blé de printemps (Triticum aestivum L.) et specialement chez l'orge de printemps (Hordeum vulgare L.). Le rendement moyen des parcelles traitées était de 8% plus élevé chez le blé et de 1%élevé chez l'orge que dans les parcelles non traitees. Cependant, des reductions de rendement ont été observées dans 32% des parcelles de blé et dans 43% des parcelles d'orge traitées aux herbicides. Les reponses du rendement étaient faiblement liées a la densité en adventices d'une flore mixte au moment du traitement. Aucune densité seuil-sérieuse pour le desherbage n'a été trouvée. Ertragsbildung von Sommergetreide bei reduziertem Aufwand von Herbiziden Eine Reduzierung des Aufwands von MCPA-Mecoprop- und MCPA-Fluroxypyr-Mischungen auf die Halfte oder ein Drittel des empfohlenen Aufwands ergab in Sommerweizen (Triticum aestivum L.) und besonders in Sommergerste (Hordeum vulgare L.) noch eine gute Unkrautbekampfung. Im Mittel war der Ertrag der behandelten Parzellen beim Weizen um 8% und bei der Gerste um 1% höher als in den unbehandelten, aber in 32% der Herbizidparzellen mit Weizen und in 43% der mit Gerste wurden Ertragsminderungen beobachtet. Die Ertragsbildung stand kaum in Beziehung zur Unkrautdichte zur Zeit der Behandlung. Es wurde keine verläßliche Schadensschwelle gefunden.  相似文献   

9.
The residual activity of 4-ammo-6-tert-butyl-3-(methylthio)-1,2,4-triazine-5-4(H)one (metribuzin) on indicator plants in Sassafras sandy loam soil was studied. Inhibition of coleoptile. radicle and primary root development were found at 1 ppm in oat (Avena sativa L., var. Beede) and at 5 ppm in cucumber (Cucumis sativus L., var. Pepino). At concentrations below 5 ppm, metribuzin stimulated the elongation of primary root and radicle in cucumber. After 46 days’ incubation. less than 1 ppm of the intact compound remained in soil without affecting the elongation of oat roots while its half life was approximately 6 days at 28deg;C incubation. L'activité résiduelle de la métribuzine dans le sol L'activité résiduelle de la 4-amino-6-t-butyl-3-(méthylthio)-1,2,4-tHazine-S-(4H)-one (métribuzine) a étéétudiée sur des plantes tests dans un sol sablo-limoneux de Sassafras. L'inhibition de la coléoptile, de la radicule et du développement de la racine primaire a été constatéà la dose de 1 ppm pour l'avoine (Avena sativa L. var. Beede) et à 5 ppm pour le concombre (Cucumis sativus L. var. Peplno). A des concentrations inférieures à 5 ppm, la métribuzine a stimulé l'élongation de la racine primaire et de la radicule du concomposé. Après 46 jours d'incubation, moins d'un ppm du composé intact restait dans le sol sans affecter l'élongation des racines d'avoine, alors que sa demi-vie a été approximativement de 6 jours à une température d'incubation de 28°C. Die Residualwirkung von Metribuzin im Boden Es wurde die Rcsidualwirkung von 4-Amino-6-tert,-butyl-3-(methylthio)-1,2,4-triazin-5-(4H)-one (Metribuzin) an Indikalorpflanzen in Sassafras-sandigem-Lehm untersucht. Bei 1 ppm war bei Hafer (Avena sativa L., Sorte Beede) die Entwicklung der Koleoptile, der Keim- und der Primär-wurzel gehemmt und bei 5 ppm desglcichen bei Gurke (Cucumis sativus L., Sorte Pepino). Bei Konzentrationen unter 5 ppm, förderte Metribuzin bei der Gurke die Streckung der Primär- und der Keimwurzel. Nach 46 Tagen Inkubation-szeit war weniger als 1 ppm der unveränderten Verbindung im Boden, was aber das Längenwachstum der Haferwurzeln nicht beeinträchtigte. Die Halbwertzeit betrug bei 28°C ungefahr 6 Tage.  相似文献   

10.
The effects of soyabean Glycine max (L.) Merr. row width, date of planting and year on threshold levels of jimsonweed (Datura stramonium L.) and on jimsonweed seed production were examined over 3 years. Natural infestations of jimsonweed were employed and densities were determined at 3 weeks after planting and also at soyabean harvest. Date of planting affected emergence of both soyabean and jimsonweed seedlings, whereas row width affected weed seedling mortality. Percentage soyabean yield losses attributable to jimsonweed, over all treatments, were greater in the 2 years with above-average rainfall than in the one dry year. Slopes of regression equations and estimates of threshold densities varied significantly among years and between initial and final density counts. The number of jimsonweed seed capsules produced per plant and the number of seeds per capsule declined with jimsonweed density, but the mean number of seeds produced per m2 remained fairly constant over a wide density range. Jimsonweed seed production did not decline significantly until well below the threshold densities determined for soyabean yields. Les facteurs du seuil de nuisibilité et de la production de graines chez Datura stramonium L. dans les cultures de soja (Glycine max. (L.) Merr.) L'influence de l'écartement des rangs de soja, Glycine max (L) Merr., de la date de semis, et de l'année, sur le seuil de nuisibilité et la production de graines chez le Datura stramonium L., a étéétudiée durant 3 années. Les études ont été effectuées sur des infestations naturelles de datura, dont les densités ont été déterminées 3 semaines après le semis ainsi qu'à la récolte. La date du semis influence à la fois la levée du soja et celle du datura, alors que l'écartement des rangs influe sur la mortalité des graines de l'adventice. Dans tous les traitements, les pertes de rendement attribuables au datura ont été plus importantes durant les 2 années où les précipitations on été supérieures à la moyenne que durant une année sèche. Les pentes des équations de régression et les estimations de seuils de nuisibilité variaient d'une manière significative selon les années et entre les comptages initiaux et finaux. Le nombre de capsules par plane et le nombre de graines par capsule diminuaient avec la densité des datura, mais le nombre moyen de graines produites par m2 est resté assez constant dans une large gamme de densité. La production de graines de datura n'a décliné significativement que pour une densité de plantes située bien en dessous du seuil de nuisibilitéà l'égard des rendements du soja. Faktoren, welche die Schädigungsschwelle und Samenproduktion von Stechapfel (Datura Stramonium L.) in Sojabohnen (Glycine max (L.) Merr.) beeinflussen Während drei Jahren wurde in Sojabohnen der Einfluss von Reihendistanz und Saatzeitpunkt auf die Schädigungsschwelle und Samenproduktion von Stechapfel (Datura stramonium L.) untersucht. Diese Studie basierte auf den natürlichen Stechapfelpopulationen; die Zählungen der Populationsdichten erfolgten drei Wochen nach der Sojasaat und bei der Ernte. Der Saattermin beeinflusste das Auflaufen der Sojabohnen und der Stechapfelsämlinge, während die Reihendistanz die Mortalität der Unkrautsämlinge veränderte. Die Steigung der Regressionsgeraden und die Schätzungen der schädigenden Populationsdichte variierten signifikant in den einzelnen Jahren und zwischen der ersten und letzten Zählung. Die Anzahl der von den Stechapfelindividuen produzierten Samenkapseln pro Pflanze und Samenmenge pro Kapsel nahm mit zunehmender Populationsdichte ab; die pro m2 gebildete Samenzahl blieb jedoch über einen weiten Bereich verschiedener Populationsdichten relativ konstant. Die von der Stechapfelpopulation produzierte Samenmenge nahm bis weit unter die für die Sojabohen schädigende Populationsschwelle nicht signifikant ab.  相似文献   

11.
An infestation of Avena fatua in two successive spring barley crops was monitored from March 1972 to June 1973. The numbers of viable seeds on the uncultivated stubble, viable seeds in the soil, and seedlings emerging in autumn and spring were assessed. Both seed and seedling populations declined when seeding was prevented in 1972, hut increased in all situations where seeding occurred. The greatest increase occurred when the unburnt stubble was cultivated after harvest; the increase was less following straw burning. The greatest losses of newly shed seeds occurred when the stubbles were left uncultivated throughout the autumn, and delaying cultivation was more effective than burning in limiting the rate of increase. Old seeds, already in the soil before 1972, were less dormant and produced a higher percentage of seedlings in 1973 than did seeds shed in 1972. Once in the soil, the greatest losses of seeds occurred during the spring, and it is likely that many seeds germinated but failed to establish as seedlings. It is suggested that the seed reserves of A. fatua in the soil are less persistent than previously reported, especially where mouldboard ploughing is replaced by tine cultivation. The periodicity of seedling emergence in spring was unaffected by the time or type of cultivation, by the age of the seeds or by burning the straw in the previous autumn. Etude de la dynamique d'une population d'Avena fatua soumise à l'influence du brûdage de la paille, de la chute des semences et des façons culturales. Une infestation d'Avena fatua, dans deux cultures successives d'orge, a été observée depuis mars 1972 jusquà juin 1973. Les nombres des semences viables dans le chaume non cultivé, des semences viables dans le sol, et des plantules levant à l'automne et au printemps, ont étéévalués. Les populations de semences et de plantules ont toutes deux diminué lorsque la montre à graine a été empêchée en 1972, mais se sont accrues dans toutes les situations ou la mise k graines s'est produite. L'aceroissement le plus important s'est produit lorsque les chaumes non brûlés ont été cultives apres la moisson; l'aceroissement a été plus faible apres le brülage de la paille. Les pertes les plus élevées de semences récemment tombées se sont produites lorsque les chaumes sont restes non cultives durant tout rautomne, et le retard des fagons culturales a été plus efficace que le brülage pour limiter le taux d'aecroissement. Les semences anciennes, qui étaient dans le sol avant 1972, ont été moins dormantes et ont produit, en 1973, un pourcentage plus élevé de plantules que les semences tombées en 1972. Une fois dans le sol, les plus grandes pertes de semences se sont produites pendant le printemps et il est vraisemblable que de nombreuses semences ont germé mais n'ont pas abouti a l'établissement de plantules. II est suggéré que les réserves de semences d'Avena fatua dans le sol sont moins persistantes qu'on ne le pensait autrefois, particulierement lorsque le labour avec une charrue à versoir est remplacé par un travail avec des appareils á dents. La périodicité des leviés au printemps n'a pas été affectée par I'époque ou par le type de façon culturale, ni par l'âge des semences ou par le brülage de la paille à Tautomne précédent. Eine Untersuchung iiber die Populationsdynamik von Avena fatua L unter dem Einfluss von Strohabbrennen, Samenfall und Bodenbearbeitung In einer Folge von Sommergerste auf Sommergerste wurde der Flughaferbefall von Mai 1972 bis Juni 1973 beobachtet. Die Anzahi lebensfähiger Samen (Karyopsen) in der unbear-beiteten Stoppel und im Boden wie auch die Anzahl der im Herbst und Frühjahr aufgelaufenen Keimpflanzen wurde erfasst. Sowohl die Samenwie auch die Keimpflanzenpopula-tion ging 1972 zurück nachdem das Aussamen verhindert wurde, nahm aher in jedem Fall wieder zu, wenn die Pflanzen aussamen konnten. Die siärkste Zunahme trat dann ein, wenn die nicht abgebrannte Stoppel nach der Emte bear-beitet wurde; nach Stoppelabbrennen war sie geringer. Die grössle Ahnahme frisch ausgefaltener Samen trat dann ein, wenn man die Stoppel den ganzen Herbst unbearbeiter liess und eine spate Bodenbearbeitung war im Hinblick auf die Zunahme an Flughafer wirkungsvoller als das Abbrennen. Alte Samen, die berelts vor 1972 im Bodden waren. zeigten eine geringere Keimhemmung und produzierten 1973 mehr Keimpflanzen als Samen die erst 1972 ausfielen. Die grossten Verluste an den im Boden vorhandenen Samen trat im Fruhjahr auf und wahrscheinlich konnten viele gekeimten Samen als Keimpflanzen nicht ijberteben. Man kann anneh-men. dass der Samenvorrat von A. fatua im Boden kurzlebiger ist als fruher angenommen wurde, besonders dort, wo Pfliigen durch Grubbern ersetzt wurde. Die Regelmassigkeit des Flughaferauflaufs im Friihjahr war unbeeinflusst vom Zeitpunkt und Art der Bodenbearbeitung, vom Alter der Samen oder vom Abbrennen des Strohs im vorausgegan-gcnen Herhst.  相似文献   

12.
B. RUBIN  Y. DEMETER 《Weed Research》1986,26(5):333-340
The effect of pre-emergence application of dipropetryn on the survival and growth of three watermelon (Citrullus lanatus Thumb.), two cucumber (Cucumis sativus L.), two melon (Cucumis melo L.) and three squash (Cucurbita pepo L.) cultivars was studied in the glasshouse. The tolerance was in the order watermelon > squash > cucumber > melon. After 66 h of germination peeled (with seed coat removed) seeds of ‘Malali’ watermelon, and ‘Michlo-Lavan’ squash accumulated in their cotyledons 119 and three times more 14C dipropetrym, respectively, than unpeeled (intact) seeds. Three watermelon cultivars accumulated similar concentrations of 14C in their cotyledons when germinated in soil for 48 h at 26°C or for 120 h at 16°C. Cucumber and squash, however, accumulated significantly higher levels of14C at the 48 h/26°C regime than at 120 h/16°C. Overall, cucumber and squash accumulated 12 times more 14C in cotyledons than watermelon, Significant negative correlations were found between seed coal thickness, or the weight ratio of seed coat to total seed, vs dipropetryn accumulation in the cotyledons. The results indicate that the seed coat plays an important role in reducing dipropetryn accumulation within cucurbit seeds during germination and may, at least partially, contribute to the observed tolerance in watermelon. Absorption de la dipropetyrene par des graines de cucurbitacées en germination et influence sur la croissance des plantuies L'effet de traitements de pré-levée par la dipropétryne (2-ethylthio-4,6-di(isopropylamino)-1,3,5-triazine) sur la survie et la croissance de trois cultivars de melon d'eau (Citrullus lanatus Thumb.), deux de concombre (Cucumis sativus L.), deux de melon (Cucumis melo L.) et trois de courge (Cucurbita pepo L.), a étéétudié en serre. Par ordre de tolérance, on a trouvé le classement suivant: melon d'eau > courge > concombre > melon. Après 66 h de germination, des graines pelées (par enlèvement des téguments) de melon d'eau ‘Malali’ et de courge ‘Michlo-Lavan’ accumulaient dans leurs cotylédons respectivement 119 el trois fois plus de 14C-dipropetryne que des graines non pelées (intactes). Trois cultivars de melon d'eau accumulaient des concentrations similaires de 14C dans leurs cotylédons lorsqu'ils germaient dans le sol à 26°C pendant 48 h ou à 16°C pendant 120 h. Les concombres et les courges, toutefois, accumulaient significativement plus de 14C sous le régime 26°C/48 h que sous 16°C/120 h. Globalement, les concombres et les courges accumulaient 12 fois plus de 14C dans leurs cotylédons que les melons d'eau. Des corrélations négatives significatives ont été trouvées entre l'épaisseur des téguments ou l'importance relative du poids des téguments, d'une part, et l'accumulation de la dipropetryne dans les cotylédons, d'autre part. Les résultats indiquent que les téguments jouent un rôle important en réduisant l'accumulation de dipropétryne à l'intérieur ties graines de cucurbitacées pendant la germination et peuvent, au moins partiellement, contribuer à la tolérance observée chez le melon d'eau. Die Aufnahme von Dipropetryn während der Keimung von Cucurbitaceen-Samen und ihr Einfluss auf das Keimlingswachstum Gegensland dieser Gewächshausuntersuchung war der Effekt von Vorauflaufbehandlungen mit Dipropetryn (2-Aethylthio-4,6-di(isopropylamino)-1,3,5-triazin) auf Ueberleben und Wachstum der Keimlinge von drei Sorten Wassermelonen (Citrullus lanatus Thumb.), zwei Sorten Gurken (Cucumis sativus L.), zwei Melonen-Sorten (Cucumis melo L.) und drei Sorten von Kürbis (Cucurbita pepo L.). Bezüglich Toleranz war die Reihenfolge der Arten: Wassermelone > Kürbis > Gurke > Melone. Nach 66 h Keimungsdauer hatten geschalte Samen von ‘Malali’- Wassermelonen und ‘Michlo-Lavan’-Kürbis in ihren Kotyledonen 119 resp. 3 mal mehr 14C-Dipropetryn akkumuliert als die ungeschälten, intakten Samen, Drei Sorten von Wassermelonen nahmen ähnliche Mengen 14C auf, wenn sie in Erde während 48 h bei 26 C oder während 120 h bei 16°C zur Keimung gebracht worden waren. Gurken und Kürbis akkumulierten signifikant höhere Mengen von 14C währund 48 h bei 26°C, als während 120 h bei 16°C. Im Allgemeinen nahmen Gurken und Kürbis 12 mal mehr 14C in ihre Kotyledonen auf als Wassermelonen. Es wurden signifikant negative Korrelationen zwischen dem Dicken- resp. Gewichtsverhältnis der Samenschale zum Gesamtsamen und der Anhäufung von Dipropetryn in den Kotyledonen gefunden. Die Resultate weisen darauf hin, dass die Samenschle bei der Reduktion der Dipropetrynakkumulation innerhalb der Samen von Kürbisgewächsen während ihrer Keimung eine wichtige Rolle spielt und, zum mindesten teilweise, zur beobachteten Toleranz der Wassermelone beiträgt.  相似文献   

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The effect of site of application was studied on the performance of barban, benzoylprop-ethyl and difenzoquat agaínst Avena fatual, and of glyphosate against Agropyron repens (L,) Beauv. In all cases, performance was increased when the herbicide was applied towards the leaf or plant base. In general, treating the youngest, fully expanded leaf gave the best performance. Thus for plants at growth stages 12, 13 and 14 (Zadoks, Chang & Konzak, 1974) a greater reduction in foliage weight was obtained when the first, the first or second, and the third leaves were treated respectively. Lengthening the drying time of the herbicide solution also helped to increase the efficacy of difenzoquat. The amount of epicuticular wax varied considerably between different areas on the leaf and it is suggested that this could be an important factor in determining herbicide performance. Influence du site d'application sur l'efficaeité du glyphosate contre Agropyron repens ainsi que du barbane, du benzoylprop-éthyle et du difenzoquat contre Avena fatua. L'influence du site d'application sur l'efficacité a étéétudié pour le barbane, le benzoylpropéthyle et le difenzoquat contre Avena fatua (L.) ainsi que pour le glyphosate contre Agropyron repens (L.) Beauv. Dans tous les cas, l'efficacité a été accrue quand l'herbicide a ésé appliqué vers la base de la feuille ou de la plante. En géneral le traitement de la plus jeune feuille complétement développée a donné le meilleur résultat. Ainsi, pour des plantes aux stades de croissance 12, 13 et 14 (Zadoks, Changet Konzak, 1974). une réduction plus importante du feuillage a été obtenue lorsque, respectivement, la première, la première ou la seconde. et la troisième feuille ont été traitées. L'augmentation de la durée du séehage de la solution herbicide a aussi aidéà accroïtre l'efficacité du ilifenzoquat. La quantité de cire épicuticulaire variant considérablement selon les différentes régions de la feuille, il est suggéré que ceci pourrait ètre un facteur important susceptible de modifier l'efficacité de l'herbicide. Der Einfluss des Applikationsortes auf die Wirkung von Glyphosat gegen Agropyron repens und von Barban, Benzoylprop-äthly und Difenzoquat gegen Avena fatua Es wurde der Einfluss des Applikationsortes auf die Wirtung von Barban. Benzoylprop-äthyl und Difenzoquat gegen Avena fatua (L.) und von Glyphosat gegen Agropyron repens (L.) Beauv, untersucht. In allen Fällen war die Wirkung verbessert, wenn das Herbizid in die Nähe des Blattgrundes oder der Pflanzen-basis apptiziert wurde. Im allgemeinen wurde die beste Wirkung durch Behandlung des jüngsten, voll entwickelten Blattes erzielt. Daher wurde bei Pflanzen im Entwicklungsstadiurn 12, 13 und 14 (Zadoks, Chang und Konzak, 1974) eine stärkere Erniedrigung des Blattgewichts erreicht, wenn das erste, das erste oder zweite, bzw, das dritte Blatte behandelt wurde. Durch Verlängerung der Antrocknungszeit der Herbizidlösung wurde ausserdem die Wtrksamkeit von Difenzoquat verbessert. Die Menge an epikutikulärem Wachs war zwischen den versthiedenen Blattbezirken recht verschieden und es wird angenommen, dass diese Tatsache ein wichtiger Faktor ist, der die Herbizidwirkung bestimmt.  相似文献   

14.
Devant le risque de pullulations de scolytides après la tornade de novembre 1982 qui a touche les régions Limousin, Auvergne et Rhône-Alpes (10 millions de m3 de chablis), une campagne de piégeages d'Ips typographus a été organisée dans les pessières par installation, dès le printemps 1983, de 20.000 pièges-tubes amorcés avee une préparation de phéromones synthétiques, le Phéroprax. Ces actions ont été complétées par des dispositifs expérimentaux en forêt domaniale de Grande Chartreuse (Isère), dans une zone de pullulation d'Ips typographus, pour tenter de ramener la population du ravageur á un niveau non dangereux, et dans la Chaîne des Hurtières (Savoie) pour tenter de prévenir en secteur de chablis le développement de populations épidémiques nuisibles aux peuplements voisins indemnes. Une forte diminution des captures a été enregistrée en Chartreuse en 1984, avec pratiquement aucun arbre attaqué, alors que, dans les Hurtiéres, les captures ont augmenté considérablement dans la même pêriode, à cause de la multiplication d'I. typographus sur les chablis extraits tardivement en 1983. Cependant, moins de Picea abies ont été tués autour des zones piégées qu'au voisinage d'un peuplement sinistré témoin.  相似文献   

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Avena fatua L. seed of types fA (brown very hairy lemma) and fB (grey moderately hairy lemma) were collected from six locations in Britain during summer 1974. Primary and secondary seeds were planted separately at 20 and 100 mm depths. Emergence was recorded for 5 years and the number of viable seeds remaining at the end of the experiment was determined. With an increase in planting depth from 20 to 100 mm, there was a decrease in final emergence from secondary seed from 84 to 61% and from primary seed from 93 to 83%. At 20 mm there was no difference in emergence between collections, but at 100 mm there were differences between secondary seeds of some collections. There were also differences in the emergence behaviour of types fA and fB, both between and within collections. More seedlings from primary seeds than from secondary seeds emerged in the early stages, but later the reverse was true. After 5 years secondary seed had produced 16% fewer seedlings than primary seed. Seed unaccounted for at the end of the experiment was 18% for both types, twice as many seeds were unaccounted for at 100 mm than at 20 mm. Likewise, twice as many secondary than primary seeds were unaccounted for. On average the number of viable seeds remaining at the end of the 5 years was less than 1%, although 23% of secondary seeds of type fA from one collection buried at 100 mm remained viable. Flushes of emergence were correlated with prior experience of periods of temperature below 6°C in the soil. Facteurs qui influent sur la levée de plantules de différentes souches d'Avena fatua L. Des semences d'Avena fatua L. de deux sortes, fA (glumelle brune, très velue) et fB (glumelle grise, moyennement velue) ont été collectionnées pendant l'été 1974 à six endroits en Grand Bretagne. Les semences primaires et secondaires ont été plantées séparément à des profondeurs de 20 et de 100 mm. La levée a été signalée au cours de 5 ans et le nombre de semences viables qui restaient à la fin de l'essai a été déterminé. A mesure quàugmentait la profounder du semis de 20 à 100 mm. la levée définitive diminuait de 84 à 61 % pour les semences secondaires et de 93 à 83% pour les primaires. A 20 mm, aucune différence dans la levée n'a été constatée entre les différentes collections mais à 100 mm. centaines différences se sont fait voir entre les semences secondaires de certaines collections. Des différences ont été constatées aussi dans le comportement des sortes fA et fB en ce qui concerne la levée, différences entre les collections et à l'intérieur d'une collection. Au début, les plants provenant des semences primaires étaient plus nombreux que ceux des secondaires, mais plus tard on a constaté le contraire. Au bout de 5 ans, les semences secondaires avaient produit 16% moins de jeunes plants que les primaires. A la fin de l'essai, 18% des semences des deux sortes avaient disparu, deux fois plus à 100 mm qu'a 20 mm. De même deux fois plus de semences secondaires avait disparu que de semences primaires. En moyenne, moins de 1% des semences restaient aptes à germer au bout des 5 ans; néanmoions, 23% de semences secondaires de la sorte fA dans une des collections, enfouies à 100 mm, étaient toujours viables. Des levées sporadiques se trouvaient correlées à des périodes préalables où la température du sol ne dépassait pas 6°C. Ueber Faktoren, welche das Auflaufen verschiedener Linien von Avena fatua L. beeinflussen Im Laufe des Sommers 1974 wurden an sechs verschiedenen Orten in England Spelzfrüchte der Formen fA (braune, sehr stark behaarte Deckspelzen) und fB (graue, mässig behaarte Deckspelzen) von Avena fatua L. gesammelt. 1. und 2.Spelzfrüchte wurden getrennt in 20 und 100 mm Tiefe ausgesät und während 5 Jahren ihr Auflaufen beobachtet; am Ende der Beobachtungsperiode erfolgte eine Bestandesaufnahme der noch lebensfähigen Samen. Mit zunehmender Saattiefe nahm die Auflaurate für die 2.Spelzfrüchte von 84 auf 61% und für die 1. von 93 auf 83% ab. Bei 20 mm Saattiefe bestanden keine Differenzen im Auflaufen zwischen den an den verschiedenen Standorten gesammelten Mustern; bei 100 mm Tiefe wurden jedoch lokale Unterschiede bei den 2.Spclzfrüchten festgestellt. Es bestanden auch Unterschiede im Auflaufverhalten der Formen fA und fB, sowohl zwischen als auch innerhalb der verschiedenen Standortmuster. In der Anfangsphase der Beobachtungsperiode erschienen mehr Keimlinge aus 1. als aus 2. Spelzfrüchten; später war das Gegenteil der Fall. Im Vergleich zwischen 1. und 2.Spelzfrüchten hatten letztere nach 5 Jahren 16% weniger Pflanzen hervorgebracht als die 1. Für beide Formen (fA und fB) wurden am Ende der Versuchsperiode 18% nicht gekeimte, resp. nicht mehr lebensfähige Samen registriert; in 100 mm Tiefe waren es doppelt so viel als bei 20 mm. Ebenfalls doppelt so viele 2.Spelzfrüchte als 1. waren nicht keimfähig. Im Mittel waren nach 5 Jahren weniger als 1% lebensfähig, obwohl bei einem Standortmuster 23% der 2.Spelzfrüchte in 100 mm Tiefe noch lebensfähig waren. Vorange-gangene Perioden mit Bodentemperaturen unter 6°C waren für gehäuftes Auflaufen verantwortlich.  相似文献   

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D. PAYEN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):277-281
Un facteur limitant de la contamination du tournesol par Sclerotinia sclerotiorum a été mis en évidence. Ce facteur concerne la présence d'eau libre à la surface du capitule durant 40 heures consécutives; il est sous l'étroite dépendance des conditions climatiques. Un modèle opérationnel a été mis au point pour déterminer, en fonction des paramètres météorologiques standards, la durée d'humectation des capitules de tournesol. Les résultats du modèle ont été confrontés à des observations et ont montré son aptitude à mettre en évidence les longues durées d'humectation. Une simulation a ensuite été effectuée sur une période de 30 années dans plusieurs régions de culture du tournesol, afin de délimiter les zones où le climat est favorable aux épidémies de Sclerotinia sclerotiorum et de déterminer ainsi la potentialité climatique de la maladie en France.  相似文献   

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Des résultats encourageants ont été obtenus au cours de recherches de lutte biologique contre les pathogènes cryptogamiques du sol à?aide de Trichoderma spp. ?action positive de ces antagonistes a étéétudiée sur les champignons (Fusarium moniliforme, Rhizoctonia solani et Pythium ultimum) responsables de la fonte des semis, de la pourriture des racines et de la pourriture précoce de la tige du maïs et du sorgho. Sur fraisier, les traitements avec Trichoderma spp. se sont révélés très satisfaisants contre les attaques de Botrytis cinerea sur fruits ainsi que contre le pied-noir ?été après repiquage. En ce qui concerne la fusariose et la verticilliose de la tomate, ?excellents résultats ont été obtenus pour la réduction des maladies et ?augmentation des rendements. Les travaux pour combattre la pourriture du collet de la laitue (Sclerotinia minor) ont également donné de bons résultats. Les possibilityés de transposition dans la pratique de ces résultats, obtenus généralement en conditions ?inoculation artificielle, sont étudiées.  相似文献   

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Methyl ester derivatives of seed oils have a greater effect on graminicide efficacy than the parent oils. To explain this difference, we investigated the penetration of the radiolabelled oils, triolein (TRI) and methyl oleate (MEO), in maize leaves, and their influence on diclofop-methyl penetration. Over a period of 3 h 30% of applied TRI penetrated maize leaves, but no further penetration was observed. In contrast, MEO entry proceeded regularly to 72% over a period of 27 h. The amount of oil found in epicuticular wax (chloroform wash) was generally less than 4% of the recovered label, and was even lower (<1%) in ‘glossy 1’ hybrids which have no crystalline epicuticular wax. In the latter plants, TRI and MEO penetration over 27 h was only 1 and 27%, respectively. Addition of an emulsifier did not modify the behaviour of the oils. The initial rate of penetration of radiolabelled diclofop-methyl into maize leaves was dramatically increased by both oils (7-5-fold by TRI, 11.8-fold by MEO). The penetration of diclofop-methyl in the leaves of ‘glossy’ hybrids was low (4% over 27 h), and it was not affected either by TRI or by the emulsifier, whereas MEO increased it sevenfold. This preliminary study shows the differences in behaviour and effect that may exist between seed oils and their methyl ester derivatives, and it emphasizes the importance of cuticular structure with regard to oil action. Utilization des huiles végétales comme adjuvants: pénétration dans les feuilles de maïs de la trioleïne, du méthyloleate et du diclofop-méthyl Les dérivés méthylestérifiés d'huiles végétales ont un effet plus important sur l'efficacité des herbicides antigraminées que les huiles d'origine. Pour expliquer cette différence, nous avons étudié la pénétration de deux huiles radioactives, la trioléine (TRI) et le méihyloléate (MEO) dans les feuilles de maïs, ainsi que leur effet sur la pénétration du diclofop-méthyl. En 3 h, 30% de TRI appliquée pénétrait les feuilles de maïs mais aucune pénétration ultérieure n'était observée. Au contraire, la pénétration de MEO se poursuivait régulièrement jusqu'à 72% en 27 h. La quantité d'huile trouvée dans les cires épicuticulaires (lavage au chloroforme) était généralement inférieure à 4% de la radioactivité récupérée, et inférieure à 1% chez les maïs ‘glossy 1’ qui n'ont pas de cires épicuticulaires cristallines. Dans ces dernières plantes, la pénétration de TRI et MEO était, respectivement, de seulement 1 et 27% en 27 h. L'addition d'un émulgateur ne modifiait pas le comportement des huiles. La vitesse initiale de pénétration du diclofop-méthyl radioactif dans les feuilles de mais était augmentée de manière importante par les deux huiles (TRI: × 7,5; MEO: × 11,8). La pénétration du diclofopméthyl dans les feuilles des hybrides ‘glossy’était faible (4% en 27 h). Elle n'était affectée ni par TRI ni par l'émulgateur alors que MEO l'augmentait (×7). Cette étude préliminaire montre les différences de comportement et d'effet qui pourraient exister entre huiles végétales et leurs dérivés méthyl ester; elle souligne aussi l'importance de la structure cuticulaire dans l'action des huiles. Aus Samen gewonnene Öle als Additive: Penetration von Triolein, Methyloleat und Diclofopmethyl in Maisblätter Methylester von aus Samen gewonnenen Ölen verbessern die Wirksamkeit von Graminiziden mehr als die Grundstoffe. Um diese Unterschiede genauer zu erkennen, wurde die Penetration der radioaktiv markierten Ole Triolein (TRI) und Methyloleat (MEO) in Maisblätter und ihr Einfluβ auf die Aufnahme von Diclofop-methyl untersucht. In 3 h wurden 30% des applizierten TRI von Maisblättern aufgenommen, aber eine weitere Aufnahme wurde nicht festgestellt. Im Gegensatz dazu wurde MEO innerhalb 27 h kontinuierlich bis zu 72% aufgenommen. Die Menge des in der epikutikularen Wachsschicht gefundenen Öls (Lösung in Chloroform) war allgemein <4% der wiedergefundenen Radioaktivität und war sogar geringer (< 1%) in ‘Glossy-1’-Hybriden, die kein kristallines epikutikulares Wachs haben. Bei solchen Pflanzen lag die TRI- und die MEO-Penetration in 27 h bei nur 1 bzw. 27%. Durch Zugabe eines Emulgators konnte das Verhalten der Öle nicht geändert werden. Die anfängliche Aufnahmerate für das radioaktiv markierte Diclofop-methyl in Maisblättern wurde durch beide Öle auβerordentlich gesteigert (TRI: 7,5 mal; MEO: 11,8 mal). Die Penetration von Diclofop-methyl in die Blätter der ‘Glossy’-Hybriden war gering (4% in 27 h). Durch TRI oder den Emulgator wurde sie nicht beeinfluβt, mit MEO jedoch gesteigert (7mal). Diese vorläufige Untersuchung zeigt Unter-schiede in Verhalten und Wirkung der Öle und ihrer Methylester, und sie unterstreicht die Bedeutung der kutikularen Strukturen für die Wirkung von Ölen.  相似文献   

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Root distribution of Asclepias syriaca L. (common milkweed) was determined quantitatively in a tilled sorghum (Sorghum bicolor (L.) Moench) field (A) and a non-tilled smooth brome (Bromus inermis Leyss.) field (B) in 1971 and 1972. Fields also differed in soil profile, nutrient status, and pH. Roots of A. syriaca were found to depths of 210 and 373 cm in fields B and A, respectively. Average weight of roots removed from field A lo a depth of 210 cm was significantly greater than that from field B. Total root length removed from 0 to 15 cm in field A was significantly less than that or the 15 to 30 cm depth, but not in field B. As sampling depth increased, total length of rods less than 2 mm iii diameter increased. Maximum root diameter was observed ill the 0 to 15 cm depth in both fields. Root fragments 15 cm in length were capable of reproduction in the glasshouse when removed from depths down to 150 cm in both fields. Reproduction was not dependent on visible shoot buds being present. Maximum depth from which shoots emerged from roots in the field was 107 cm; however, most shoots emerged from roots in the upper 30 cm. Less than 40% of the total nonstructural carbohydrate (TNC) contained in roots was present at 0 to 15 cm. Répartition des racines et propagation végétaative d'Asclepias syriaca L. La repartition des racines d'Asclepias syriaca L. a été déterminée quantitativement dans une culture de sorgho sur labour (A) et dans un champ non labouré de brome inerme (Bromus inermis Leyss,) (B) on 1971 et 1972. Les deux champs différaient aussi en cc qui concerne le profil du sol, la fertilité et le pH. Des racines d'A. syriaca ont été trouvées à des profondeurs de 210 et 373 cm dans les champs B et A respectivement. Le poids moyen des racines extraites du champ A à une profondeur de 210 cm était significativement plus élevé qiie celui des racines du champ B. La longueur totale des racines extraites dans la couche 0–15 cm du champ A emit significativement inférieure à celles extraites de la coucne 15 à 30 cm. mais pas dans le champ B. La longeur totale des racines d'un diamétre inferieur à 2 millimètres crols$$ ayec la profondeur à laquelle l'échantillon avait ete prelevé, Le diamètre maximum des racines a été observé dans la couche 0–15 cm dans les deux champs. La propagation pas été en rapport avec les bourgeons présents sur les pousses visibles. La profondeur maximale à laquelle les racines ont pu donner des pousses a été de 107 cm; toutefois la plus grande partie des pousses étaient issues des racines situées dans les 30 premiers centimètres. Moins de 40% des carbohydrates non structuraux étaient contenus duns les racines situées entre 0 et 15 cm. Verteilung der Wurzoln und vegetative Vermehrung von Asclepias syriaca L. Die Verteilung der Wurzeln von Asclepias syriaca L. (Seiden-pflanze) wurde 1971 und 1972 in einem mit Hirse (Sorghum bicolor(L.) Moench) bestellten Feld (A)und in einem Bestand mit Unbegrannter Trespe (Bromus inermis Leyss.) (Fold B), quantitativ bestimmt. Weiterhin unterschieden sich die beiden Felder in: Bodenprofil. Nährstoffversorgung und pH, Wurzeln von A, syriaca wurden im Feld A bis zu einer Tiefe von 373 cm und im Feld B bis m 210 cm tief gefunden. Das durchschnittliche Wurzelgewicht bis zu einer Tiefe von 210 cm war im Feld A gesichert höher als das im Feld B. Die gesamte Wurzellänge, bezogen auf 0–15 cm Tiefe, war im Feld A gesichert grower als aus 15–30 cm Tiefe. Dies war jedoch im Feld B nicht der rail, Mit zunehmender Probentiefe nahm der Anteil der Wurzeln mit weniger als 2 mm Durch-messer zu. Die gröβten Wurzeldurchmesser kamen in beiden Feldern in der Tiefe von 0 bis 15 cm vor. Wurzelteile mit einer Länge von 15 cm aus 150 cm Tiefe beider Felder waren unter Gewächshaushedingungen in der Lage sich zu vermehren. Die Vermehrune war nicht von sichtbaren Sproβknospen abhängig. Die gröβte Tiefe aus der Sprosse im Feld aus Wurzeln austrieben, war 107 cm. Die meisten Sprosse trieben aber aus Wurzeln der oberen 30 cm aus. Weniger als 40% des Gesamt-Nicht-Slrukturkohlenhydrats der Wurzeln, war in der Zone 0 bis 15 cm.  相似文献   

20.
The long-term effect of different depths of soil cultivation on weed seedling emergence from naturally occurring populations of weed seeds in the soil was examined in four experiments on land previously in pasture, raspberry canes or intensive vegetable production. At approximately monthly intervals, weed seedlings were counted and then killed with contact herbicides, after which plots were cultivated to 250 or 10mm, or were left undisturbed. The treatments were continued for 7 years. One experiment was then discontinued whilst the previously uncultivated plots on the other three were cultivated to 150 mm at approximately monthly intervals for a further 4 years in one experiment, and for 8 years in the other two. After the first year, very few seedlings emerged in the uncultivated and shallow cultivated plots, and seedling numbers declined slowly in the deep-cultivated plots. Under repeated deep cultivation, seedling emergence of almost all species declined exponentially. Different species declined at different rates, with Rubus idaeus L., Plantago lanceolata L., Veronica arvensis L. and Ranunculus spp. being the most rapidly declining group. Rates of decline for individual species were similar to those observed in Europe.Juncus bufonius L. behaved differently from the other species, and showed no decline in seedling numbers. In the initial 7-year period, 28 000 weed seedlings per m?2 emerged from the deep-cultivated plots on soil previously cropped with vegetables. Over the same period, less than 11 000 seedlings emerged in shallow-cultivated plots, and just over 4000 in uncultivated plots. In the second phase of the experiments, fewer seedlings of most species emerged than in the first phase, and the decline in numbers of Coronpous didymus (L.) Sm. seedlings was slower. Résumé Les effets à long terme de différentes profondeurs de travail du sol sur la levée des mauvaises herbes ont étéétudiés sur des populations naturelles dans des parcelles dont les précédents étaient: paturage, framboisier ou maraichage intensif. À des intervalles d'environ un mois, les jeunes plantes de mauvaises herbes étaient dénombrées puis détruites à l'aide d'herbicides de contact, aprés quoi les parcelles étaient travaillées sur 250 ou 10 mm, ou laissées sans intervention. Cette premiére phase a duré 7 ans. Une expérience a alors été arretée et les parcelles précédemment non cultivées des trois autres ont été travaillées à une profondeur 150 mm, à des intervalles d'environ un mois pendant 4 ans dans un expérience, et pendant 8 ans dans les deux autres. Aprés un an, trés peu de mauvaises herbes levaient dans les parcelles non cultivés et dans celles travaillées superficiellement, et le nombre de levées diminuait lentement dans les parcelles travaillées profondément. Lá oú le travail profond était répété, les levées de presque toutes les especes declinaient exponentiellement. Les différentes espéces déclinaient à des vitesses différentes,Rubus idaeus L., Plantago lanceolata L., Veronica arvensis L. et Ranunculus spp. déclinant le plus rapidement. Les vitesses de diminution pour les differentes espéces étaient similaires à celles observées en Europe. Juncus bufonius L. se comportait différemment des autres espéces et ne montrait aucune décroissance du nombre de levées. Au cours de la période initiale de 7 ans, 28 000 mauvaises herbes par m?2 levaient dans les parcelles maraicherés travaillées profondément. Au cours de la meme periode, moins de 11000 mauvaises herbes lavaient dans les parcelles travaillées superficiellement et un peu plus de 4000 dans les parcelles non travaillées. Dans la seconde phase de I'expérience, on observait moins de levées de la plupart des especes que au cours de la premiére et la decroissance du nombre de levés de Coronpous didymus (L.) Sm. était moins rapide. Einfluβ der Bodenbearbeitung auf Keimung und Populationsdynamik von Unkrautern Der langfristige Einfluβ verschieden tiefer Bodenbearbeitung auf die Keimung von Unkrautern aus der naturlich gegebenen Samenbank im Boden wurde in 4 Versuchen auf Flachen untersucht, die vorher als Weide oder mit Himbeer oder intensiven Gemusekulturen genutzt worden waren. Die Keimpflanzen wurden 7 Jahre lang etwa monatlich ausgezahlt und mit Kontaktherbiziden abgetotet, danach wurden die Parzellen 25 tief 15 cm, tief oder gar nicht bearbeitet. Ein Versuch wurde beendet, wahrend eine der 3 ubrigen unbearbeiteten Parzellen fur weitere 4 Jahre und die anderen beiden fur weitere 8 Jahre in etwa monatlichen Abstanden 15 cm tief bearbeitet wurden. Am Ende des ersten Jahres liefen auf den unbearbeiteten und den flach bearbeiteten Flachen sehr wenige Keimpflanzen auf; auf den tief bearbeiteten Flachen nahm die Zahl der Keimpflanzen langsam ab. Bei wiederholt tiefer Bodenbearbeitung verringerte sich die Zahl der Keimpflanzen fast aller Arten exponentiell. Am schnellsten sank die Keimrate bei Rubus idaeus L., Plantago lanceolata L., Veronica arvensis L. und Ranunculus spp. Die Abnahme der Keimrate war bei den einzelnen Arten ahnlich wie in Europa beobachtet. Juncus bufonius L. verhielt sich von den anderen Arten abweichend und lieβ keine Abnahme der Keimrate erkennen. In der anfanglichen 7-Jahres-Periode keimten auf den vorher gemusebaulich genutzten, tief bearbeiteten Flachen 28000, den flach bearbeiteten weniger als 11 000 und den unbearbeiten gut 4000 Samen m?2. In der 2. Versuchsphase wurden bei denmeisten Arten weniger Keimpflanzen als in der 1. beobachtet, und die Abnahme der Keimrate von Coronopus didymus (L). Sm. war langsamer.  相似文献   

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