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1.
Summary The distribution patterns of dry matter, starch, reducing sugars and total nitrogen were studied in the varietyBintje, stored at 10 C with and without sprout inhibitor. The cortex contained more dry matter and starch, though less reducing sugars and total nitrogen than the medulla. The highest dry matter (starch) content was in the cortical layer of the middle part of the tuber. In the medullary region the lowest total nitrogen was towards the rose end. During storage the differences in carbohydrate contents between cortex and medulla increase. Storage appears to results in a small accumulation of sugars which was somewhat higher in the sprouting tubers not treated with inhibitor. There was no evidence of an influence of the sprout inhibitor (IPC, CIPC) on the distribution pattern.
Zusammenfassung Die vorliegende Ver?ffentlichung befasst sich mit Untersuchungen über die Verteilung und die Ver?nderungen von Inhaltsstoffen, wie Trockensubstanz, St?rke, reduzierende Zucker und Gesamtstickstoff in morphologisch verschiedenen Teilen der Kartoffelknolle (SorteBintje) w?hrend der Aufbewahrung bei 10 C. Ein Teil der Knollen wurde zu Beginn der Lagerung mit einem Gemisch von IPC und CIPC behandelt. In Tabelle 1 sind die verwendeten Zeichen erkl?rt. Es wurden getrennte Analysen vom Kronenende, vom mittleren Teil und vom Nabelende vorgenommen, wobei diese Partien noch in Markgewebe (Medulla) und Rindengewebe (Cortex) unterteilt worden sind (Abb. 1). Von jedem Muster wurden w?hrend der Aufbewahrungszeit vom November 1964 bis April 1965 monatliche Analysen durchgeführt. In Tabelle 2 und 3 sind die Ergebnisse zusammengefasst. Tabelle 4 zeigt die Ergebnisse einer Varianzanalyse für die Gehalte und auch für die Gehaltsdifferenzen zwischen Cortex und Medulla. Tabelle 5 zeigt, welche Gehaltsdifferenzen in der Knolle signifikant sind, w?hrend Tabelle 6 den Einfluss der Zeit auf die Differenz zwischen Cortex und Medulla illustriert. Bezüglich der Verteilung der genannten Inhaltsstoffe l?sst sich folgendes beobachten. Trockensubstanz- und St?rkegehalt sind im Rindengewebe h?her als im Markgewebe. Das Rindengewebe im mittleren Teil der Knolle weist einen H?chstgehalt für diese Stoffgruppe auf. Der Gehalt an reduzierenden Zuckern ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. W?hrend der Aufbewahrung bei 10 C zeigt sich für Trockensubstanz (St?rke) und Zuckergehalt eine zunehmende Divergenz zwischen Mark und Rinde. Auch der Abbau von Kohlehydraten ist im Markgewebe ausgepr?gter als im Rindengewebe. Der Gesamtstickstoffgehalt ist im Markgewebe h?her als im Rindengewebe. Im Markgewebe l?sst sich der niedrigste Gehalt am Kronenende feststellen. Der Einfluss der Aufbewahrungszeit kennzeichnet sich im allgemeinen durch eine geringe Anh?ufung von Zuckern, welche, im Vergleich zu den behandelten Knollen, in den unbehandelten Knollen etwas h?her ist. Da die Wasserverluste bei keimenden Knollen h?her sind, zeigt der anfangs abnehmende Trockensubstanzgehalt am Ende der Aufbewahrungsperiode wieder eine Zunahme. Es war in diesem Falle nicht m?glich, diese Unregelm?ssigkeit zu korrigieren, da die Analysen nicht zur Erhaltung von absoluten Werten vorgenommen worden sind. Es konnte kein Einfluss der Keimhemmungsmittel auf die Verteilung der Inhaltsstoffe in den Knollen nachgewiesen werden. M?glicherweise k?nnte ein solcher bei einer l?ngeren Aufbewahrungszeit unter h?heren Temperaturbedingungen noch eintreten. Die Ergebnisse k?nnen bei der Verarbeitung von Kartoffeln praktische Bedeutung haben, da beim Schneiden der Knollen mit dieser Verteilung zu rechnen ist.

Résumé La présente publication relate les recherches sur la répartition et l'évolution des composants tels que substance sèche, amidon, sucres réducteurs et matière azotée totale dans les différentes parties morphologiques du tubercule (var.Bintje) au cours de la conservation à 10 C. Une partie des tubercules ont été traités au commencement de la conservation avec un mélange de IPC et CIPC. Tableau 1 donne la signification des symboles utilisés. On a exécuté des analyses séparées de l'extrémité de la couronne, de la section moyenne et du bout du hile, lesquelles parties ont en outre été partagées en tissu médullaire et tissu cortical (Fig. 1). Une analyse de contr?le était faite chaque mois sur chaque échantillon pendant la conservation de novembre 1964 à avril 1965. Les résultats sont rassemblés dans les Tableaux 2 et 3. Tableau 4 donne les résultats d'une analyse de la variance des teneurs et des différences de teneurs entre l'écorce et la moelle. Tableau 5 montre les différences de teneurs dans le tubercule qui sont significatives, tandis que le Tableau 6 illustre l'effet du temps sur les différences entre l'écorce et la moelle. On peut faire les observations suivantes au sujet de la répartition des composants sus-nommés. La matière sèche et la teneur en amidon sont plus élevées dans le tissu cortical que dans le tissu médullaire. Le tissu cortical de la partie médiane du tubercule montre la teneur la plus élevée des substances de ce groupe. La teneur en sucres réducteurs est plus élevée dans le tissu médullaire que dans le cortex. Pendant la conservation à 10 C, se révèle une divergence croissante entre la moelle et le cortex pour la matière sèche et la teneur en sucres. La dégénérescence des hydrates de carbone est également plus marquéc dans la moelle que dans le cortex. La teneur en matière azotéc totale est plus haute dans le tissu médullaire que dans le tissu cortical, tandis que dans la moelle la teneur la plus basse appara?t à la couronne. L'influence de la durée de conservation se caractérise d'une manière générale par une accumulation de sucres, laquelle est quelque peu plus haute dans les tubercules non traités que dans les tubercules traités. Comme les pertes d'eau sont plus élevées chez les tubercules en germination, la teneur en matières sèches, décroissante au commencement, montre de nouveau une augmentation à la fin de la période de conservation. Il n'a pas été possible de supprimer cette cause d'erreur car les analyses n'ont pas visé à des déterminations de valeurs absolues. On n'a décelé aucune influence des inhibiteurs de germination sur la répartition des composants du tubercule. Mais il est possible que cette influence se serait marquée par une période de conservation plus longue sous des conditions plus élevées de température. Ces résultats peuvent avoir une signification pratique pour l'industrie de la transformation des pommes de terre, puisque le sectionnement des tubercules met l'industriel devant cette répartition des composants.
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2.
Summary Metabolism of nucleic acids was investigated in stolon tips from both tuberizing and non-tuberizing potato plants. It was found that: 1. The content of RNA was higher while the DNA content was lower in stolon tips of tuberizing plants as compared with non-tuberizing plants; 2.Ribonuclease activity was lower in tuberizing stolon tips; and 3. Ratios of the four major bases (adenylic, cytidylic, guanilic and uridylic acid) in 4 S RNA, ribosomal RNA and tenaciously bound RNA did not show significant differences between stolon tips from tuberizing and non-tuberizing plants.
Zusammenfassung Kartoffelpflanzen, die lange N?chte und niedrige Temperatur ben?tigen, wurden durch diese Bedingungen zur Knollenbildung induziert. Der Stoffwechsel der Nukleins?uren sowohl von knollenbildenden als auch von nicht knollenbildenden Stolonenspitzen wurde untersucht. In Fig. 1 werden typische Elutionskurven der Nukleins?uren der beiden verschiedenen Stolonenspitzen gezeigt, wie sie durch Chromatographie an methylierten Albumin-Kieselguhr-Kolonnen erhalten werden. Wie gezeigt, wurden 4 S, 5 S, 18 S, 28 S und fest gebundene RNA und DNA fraktioniert. Bei Beginn der Knollenbildung wurden von allen Formen von RNA gr?ssere Mengen beobachtet, w?hrend der DNA-Gehalt niedriger war als in nicht knollenbildenden Stolonenspitzen. Ein Vergleich der RNA/DNA-Verh?ltnisse zeigte, da\ w?hrend des Anfangsstadiums der Knollenbildung eine auffallende Erh?hung der RNA pro zelle stattfindet (Tabelle 1). Untersuchungen der Ribonuklease-Aktivit?t zeigen wenig Unterschiede in der Aktivit?t zwischen der Kontrolle und den knollenbildenden Stolonenspitzen auf der Basis von Trockengewicht (Tabelle 2). Ein h?herer Gehalt an l?slichem Protein wurde in knollenbildenden Stolonen beobachtet, was eine geringere Aktivit?t der Ribonuklease auf Basis von l?slichen Proteineinheiten zur Folge hatte (Tabelle 2). Die Ergebnisse in Tabelle 3 zeigen, da? die Verh?ltnisse der vier haupts?chlichen Basen (AMP, CMP, GMP und UMP) in den Ribonukleins?uren sich nach Beginn der Knollenbildung nicht ver?nderten.

Résumé Les plantes de pomme de terre qui exigent des nuits lonngues avec une basse température etaient induit à la tubérisation par ces conditions. Les auteurs ont étudié le métabolisme des acides nucléiques dans des extrémités de stolons à la fois en tubérisation et en non-tubérisation. A partir de ces deux types d’extrémités de stolons, les pics des acides nucléiques sont représentés dans la Fig. 1, après élection caractéristique de l’albumine méthylée par chromatographie sur kieselguhr. Comme on peut le voir, 4 S, 5 S, 18 S, 28 S et les RNA et DNA étroitement liés sont fractionnés. En début de tubérisation, on observe de plus grandes quantités de RNA de tous types, tandis que la teneur en DNA est plus faible que dans. les extrémités des stolons en non-tubérisation. Une comparaison des rapports RNA/DNA révèle qu’un accroissement marqué de RNA par cellule se produit pendant le stade initial de formation du tubercule (Tableau 1). Des observations d’activité de ribonucléase sur la base du poids sec-démontrent une légère modification de l’activité entre le témoin et les extrémités de stolons en cours de tubérisation (Tableau 2). On observe une teneur plus élevée en protéine soluble dans les stolons en tubérisation, qui résulte d’une activité plus faible de la ribonucléase relative aux unités de protéines solubles (Tableau 2). Les résultats du Tableau 3 indiquent que les rapports des quatre bases principales (AMP, CMP, GMP et UMP) dans les acides ribonucléiques ne se modifient pas sous l’action de l’initiation de la tubérisation.


This research was supported in part by grants from the Hill Family Foundition and the Rockefeller Foundation.

Scientific Journal Series Article 7698 of the Minnesota Agricultural Experiment Station.  相似文献   

3.
Summary Differences in after-cooking blackening between varieties of potatoes were found to be due to differences in the chlorogenic acid content. There is no discolouration when the chlorogenic acid content is sufficiently low and the citrate content is high. The citrate content and tissue pH is controlled to some extent by the potassium level. A method is described to determine chlorogenic acid in fresh tubers.
Zusammenfassung Mit der vorliegenden Untersuchung wird beabsichtigt, die Frage abzukl?ren, ob der Chlorogens?uregehalt der gesch?lten Kartoffelknollen benützt werden kann, um die Neigung einer bestimmten Sorte zur Schwarzverf?rbung nach dem Kochen vorherzusagen. In einem Glasversuch wurde der Einfluss sehr unterschiedlicher Kalium-,Nitrat- und Chloridgaben zu Kartoffelpflanzen auf die Chlorogens?ure- und die Zitratgehalte der Knollen untersucht (Tabelle 1). Bei einem niedrigeren pH, d.h. bei einem h?heren Zitratgehalt, ist die Extinktion des Eisenchlorogens?urekomplexes verh?ltnism?ssig niedrig (Abb. 1). Hohe Zitratgehalte k?nnen erzielt werden, wenn die Düngergabe viel K und wenig Cl enth?lt (Tabelle 1). Der Chlorogens?uregehalt und die Schwarzverf?rbung nach dem Kochen wurden, zusammen mit andern wichtigen Bestandteilen, in Kartoffelknollenmustern mehrerer Herkünfte aus den Niederlanden analysiert (Tabelle 2). Die Unterschiede zwischen den Sorten in bezug auf Verf?rbung standen in Beziehung zu den Unterschieden im Chlorogens?uregehalt. Der in einem Muster von gesch?lten Kartoffelknollen ermittelte Chlorogens?uregehalt gibt einen guten Hinweis auf die Neigung einer bestimmten Sorte zur Schwarzverf?rbung nach dem Kochen (Tabelle 3).

Résumé La présente recherche a pour but de déterminer si la teneur en acide chlorogénique de tubercules de pomme de terre pelés peut-être utilisée pour prévoir la susceptibilité au noircissement après cuisson de la variété considérée. Dans un essai en serre on a étudié l'influence d'applications très variées de potassium, de nitrate et de chlorure, sur les teneurs en acide chlorogénique et en citrate des tubercules (Tableau 1). A un plus bas pH, ce qui veu dire à une teneur plus élevée en citrate, l'extinction du complexe acide ferrique-chlorogénique est relativement faible (Fig. 1). De hautes teneurs en citrate peuvent être atteintes quand la teneur dans l'approvisionnement est élevée en K et basse en Cl (Tableau 1). On a analysé la teneur en acide chlorogénique et le noircissement après cuisson dans des échantillons de tubercules de pommes de terre provenant de diverses régions de Hollande, même temps que plusiers autres constituants concernés (Tableau 2). Les différences de décoloration entre les variétés sont liées aux différences dans la teneur en acide chlorogénique. La teneur en acide chlorogénique, déterminée dans un échantillon de tubercules de pommes de terre pelés donne une bonne indication de la susceptibilité au noircissement après cuisson de la variété étudiée (Tableau 3).
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4.
Summary Of five growth regulators applied to seed tubers in January when sprout growth had just started, only gibberellic acid (GA) materially affected apical dominance or subsequent development. GA increased the number of sprouts by one third and induced the production of many stolon-like branches. After planting, the number of main stems was greater with GA, as was the number of branch stems and tubers; total yield was not affected, but the yield of seed-sized tubers was increased by up to 70%.
Zusammenfassung Frühere Arbeiten über den Einfluss der Keimbildung zu verschiedenen Zeitpunkten deuteten an, dass eine Kombination von früher Keimildung und Verminderung der apikalen Dominanz notwendig ist, um die Knollenzahl pro Pflanzstelle zu erh?hen. Es wurde ein Versuch gemacht, die apikale Dominanz zu verringern, indem Pflanzkartoffeln im Januar unmittelbar nach Beginn des Keimwachstums mit fünf Wachstumsregulatoren in je drei Konzentrationen behandelt wurden. Die Einzelheiten der Verfahren sind im Abschnitt ‘Material and Methods’ angegeben; ihre Wirkung auf das Keim- und Stengelwachstum sowie auf die Knollenzahl und den Ertrag sind in Tabelle 1 aufgeführt. Nur die Gibberellins?ure (GA) beeinflusste die apikale Dominanz oder das nachfolgende Wachstum wesentlich. GA erh?hte die Anzahl der Keime und der Haupttriebe um 1/3, ebenso erh?hte sie stark die Anzahl der stolonenartigen Seitentreibe an den Keimen; einige der letzteren entwickleten sich nach dem Auspflanzen wahrscheinlich in Seitenstengel. Zweimalige Behandlung der Knollen mit Konzentrationen von 50und 100 ppm verursachten ein früheres Auflaufen und eine frühere Knollenbildung; dies im Gegensatz zu Bruinsma et al. (1967) und Lovell und Booth (1967), die fanden, dass GA den Beginn der Knollenbildung verz?gere. Der frühere Beginn der Knollenbildung wurde durch das frühere Auflaufen und das fortgeschrittene Stolonen-wachstum zur Zeit des Auspflanzens erm?glicht. Es waren kein signifikanten Einfluss von GA auf den Krautertrag bei irgendeiner der drei Musterentnahmen (Abb. 1) und keine ungünstigen Symptome, wie z.B. die von andern Forschern beobachtete Chlorose, festzustellen. Unbehandeltes Pflanzgut und solches, das zweimal mit einer GA-L?sung von 5, 50 und 100 ppm behandelt wurde, ergaben 10.8, 13.7, 17.0 bzw. 19.8 Knollen pro Staude und einen Pflanzknollenertrag von 12.4, 15.6, 17.6 bzw. 21.2 Tonnen/ha (Tabelle 2). Diese Unterschiede in der Knollenanzahl waren zur Zeit des Beginns der Knollenbildung schon klar ersichtlich (Abb. 1). Die in der Literatur berichtete Unterschiedlchkeit in der Reaktion der Gibberellins?ure wird im Zusammenhang mit der Anwendungs-methode und dem Zusatand der Pflanzknolle zur Zeit der Behandlung besprochen. Man kommt zum Schluss, dass weitere Arbeiten über Faktoren, die die Aufnahme von GA durch die Knollen beeinflussen, notwendig sind, bevor die Verwendung für die Produktion von Pflanzkartoffeln für den Handel empfohlen werden kann.

Résumé Une étude précédente sur l'effet des variations dans la durée de la germination a suggéré l'hypothèse qu'une combinaison de la germination précoce et de la réduction de la dominance apicale était nécessaire pour accro?tre le nombre de tubercules par touffe. On a réalisé un essai de réduction de la dominance apicale par application de cinq régulateurs de croissance, à 3 concentrations chacun, à des plants de pomme de terre, en janvier, au moment du départ de la germination. Les détails des traitements sont donnés dans le paragraphe ‘Materials and methods’ et leurs effets sur la croissance du germe et de la tige, de même que sur le nombre de tubercules et la production figurent au tableau 1. Seul l'acide gibberellique (GA) influence réellement la dominance apicale ou la croissance subséquente. GA augmente de 1/3 le nombre de germes et de tiges principales et augmente également le nombre de ramifications semblables à un stolon sur les germes; plusieurs de ces derniers se développent probablement en branches de tiges après la plantation. GA pulvérisé deux fois sur les tubercules aux concentrations de 50 et 100 ppm a donné une levée plus précoce, de même qu'une initiation plus précoce des tubercules, contrairement à Bruinsma et d'autres (1967), Lovell et Booth (1967) qui trouvaient que GA retardait celle-ci. Il est possible que l'initiation plus précoce précoce soit due à une levée plus rapide et à une croissance plus avancée de stolons au moment de la plantation. Il ne se révèle aucun effet significatif de GA sur le développement foliaire à aucun des trois arrachages d'échantillons (Fig. 1) et aucun sympt?me nuisible, telle la chlorose signalée par certains chercheurs, n'a été observée. Les plants non traités et ceux traités deux fois avec des solutions de GA de 5, 50 et 100 ppm donnaient 10,8, 13,7, 17 et 19,8 tubercules par touffe, et les productions de plants étaient de 12,4, 15,6, 17,6 et 21,2 tonnes/ha respectivement (Tableau 2). Ces différences dans les nombres de tubercules apparaissent clairement au moment de l'initiation des tubercules (Fig. 1). L'auteur discute des variations dans la réaction à l'acide gibberellique rapportées dans la littérature en fonction de la méthode d'application et de l'état du plant au moment du traitement; il conclut qu'une recherche ultérieure sur les facteurs qui affectent l'absorption de GA par les tubercules est nécessaire avant que l'on puisse recommander son utilisation dans la production commerciale de plants.
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5.
Summary Field trials were done to study the relation of dry matter accumulation, tuberization, and total carbohydrate content in different plant organs with the activities of amylase and invertase in different growth seasons (winter and summer). The activities of both enzymes showed higher levels in winter and were correlated with lower total carbohydrate contents in leaves. However, dry matter production in tubers was higher in winter. It is suggested that higher hydrolytic activity might therefore be needed in winter for the mobilization of the stored carbohydrates in the leaves for transport to the physiological sink. In the conditions of earlier tuberisation and more dry matter production, higher activities of amylase and invertase were found. Chlormequat treatments led to higher amylase activity in leaves correlated with earlier tuberisation and higher tuber yield, thouth invertase activity was not affected or rather slightly decreased.
Zusammenfassung Feldversuche wurden mit der Sorte Alpha unternommen, um den Zusammenhang zwischen Trockensubstanzbildung, Knollenbildung und gesamtem Kohlenhydratgehalt in verschiedenen Pflanzenorganen mit den Wirkungen von Amylase und Invertase in verschiedenen Anbauperioden in Aegypten (Winter, Anbau im Oktober; Sommer, Anbau im M?rz) zu untersuchen. Die Wirkungen beider Enzyme zeigten im Winter einen h?heren Grad, wie aus den in den Abb. 1, 2 und 3 dargestellten Kontrollwerten hervorgeht, und dieser war mit einem im allgemeinen etwas tieferen Kohlenhydratgehalt in den Bl?ttern korreliert (vgl. Abb. 4 und 5). Die Trockensubstanzproduktion in den Knollen war im Winter h?her (Abb. 6 und 7). Es wird angenommen, dass eine h?here hydiolytische T?tigkeit im Winter zur Mobilisierung der gelagerten Kohlenhydrate in den Bl?ttern für den Transport zum physiologischen sink ben?tigt wird-Unter den Bedingungen für frühere Knollenbildung und h?here Trockensubstanzproduktion wurde eine gr?ssere Aktivit?t von Amylase und Invertase gefunden. Behandlungen mit Chlormequat (500, 1000 oder 2000 g Aktivsubstanz pro Hektar) 7 Wochen nach dem Auspflanzen führte zu früherer Knollenbildung und, bei den zwei niedrigeren Dosierungen, zu h?heren Ertr?gen (Abb. 6 und 7). Diese dürften mit der gr?sseren Aktivit?t der Amylase in den Bl?ttern (Abb. 1 und 3) korreliert sein; das Fehlen den Ertragszunahme bei der st?rksten Dosierung is vielleicht auf zeitweilige Blattnekrosen zurück zuführen. Die Aktivit?t der Invertase war vergleichsweise wenig beeinflusst durch die Behandlung.

Résumé Des essais en champ ont été effectués sur la variété Alpha pour étudier la relation de l'accumulation de matière sèche, de la tubérisation et de la teneur en hydrates de carbone totale dans les différents organes de la plante, avec les activity tés de l'amylase et de l'invertase au cours des différentes saisons de croissance en Egypte (hiver, plantation en octobre; été, plantation en mars) Les deux enzymes atteignent des niveaux d'activité plus élevés en hiver, comme le révèle l'examen des valeurs illustrées dans les figures 1, 2 et 3, et le phénomène est en liaison avec une teneur en hydrates de carbone généralement quelque peu plus basse dans les feuilles (comparer les fig. 4 et 5). La production de matière sèche dans les tubercules est plus haute en hiver (fig. 6 et 7). L'hypothèse est émise que l'activité hydrolitique plus élevée peut par conséquence être due en hiver à la mobilisation des hydrates de carbone des feuilles pour leur transport vers le sink physiologique. Dans des conditions de tubérisation plus précoce et d'une production plus abondante de matière sèche, on trouve des activités plus élevées de l'amylase et de l'invertase. Des traitements au chlormequat (500, 1000 ou 2000 g de substance active par ha) 7 semaines après la plantation provoquent une tubérisation plus précoce et, avec deux doses les moins élevées, des productions plus élevées (fig. 6 et 7). Ces faits pourraient être en corrélation avec des activités plus élevées de l'amylase dans les feuilles (fig. 1 et 5), le manque d'accroissement de la production avec la dose la plus élevée étant peut-être d? à une nécrose temporaire de la feuille. L'activité de l'invertase est comparativement plus influencée par le traitement.
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6.
Summary The differences in black spot susceptibility between potato varieties and samples of different origin cannot be explained by differences in tyrosine content or phenoloxidase activity of the tubers. Only 5–15% of the cells in a bruised part of the tissue are damaged and discoloured. Potato tubers, dissimilar in black spot susceptibility, have different potassium and dry matter contents. No differences exist in firmness and osmotic values. If the potassium supply is not limiting growth, the potassium content of potato tubers is about 650 meq. (25,4 g) per kg dry matter. Negligible black spot occurs in potatoes grown on silt soils in The Netherlands if the potassium content of the tubers exceeds 650 meq. per kg dry matter.
Zusammenfassung Die Unterschiede in der Empfindlichkeit für Blaufleckigkeit zwischen Kartoffelsorten und Mustern verschiedener Herkunft k?nnen nicht durch die Unterschiede im Tyrosingehalt oder in der Phenoloxydase-Aktivit?t der Knollen erkl?rt werden (Abb. 1, Tabelle 1). Das Fehlen einer Korrelation mit dem Tyrosingehalt und die Tatsache, dass die ?nderung dieses Gehalts w?hrend der Reifezeit, verglichen mit den Unterschieden zwischen den Sorten, gering ist, weisen darauf hin, dass die Erntezeit, was ihren Einfluss auf den Tyrosingehalt betrifft, das Vorkommen von Blaufleckigkeit nich beeinflusst (Tabelle 2). In einer besch?digten Zelle wird das Tyrosin vollst?ndig in Melanin umgewandelt. Nur 5–15% der Zellen, im gequetschten Teil des Gewebes gleichm?ssig verteilt, werden verf?rbt. Kartoffelknollen, die in ihrer Empfindlichkeit für Blaufleckigkeit ungleich sind, weisen unterschiedliche Kalium- und Trockensubstanzgehalte auf. Keine Unterschiede bestehen in der Festigkeit des Fleiches und den osmotischen Werten (Tabelle 4). Wenn die Kaliumgabe das Wachstum nicht beschr?nkt, betr?gt der Kaliumgehalt der Kartoffelknollen ungef?hr 650 meq. (25,4 g) pro kg Trockensubstanz (Tabelle 5, Abb. 2). Auf den Tonb?den im Südwesten der Niederlande ist es schwierig. Kartoffeln mit einem Kaliumgehalt von über 650 meq. pro kg Trockensubstanz zu erzeugen (Tabelle 6). Nur geringfügige Blaufleckigkeit kommt bei Kartoffeln aus diesen B?den vor, wenn der Kaliumgehalt 650 meq. pro kg Trockensubstanz übersteigt (Abb. 5).

Résumé Les différences dans la susceptibilité aux taches noires entre variétés de Pomme de terre et entre échantillons de diverses origines ne peuvent s'expliquer par des différences de teneur en tyrosine ou d'activité de la phénoloxydase des tubercules (Fig. 1, Tableau 1). Ce manque de corrélation avec la teneur en tyrosine et le fait que cette teneur est faible pendant la maturation comparée aux différences variétales suggèrent que le moment de l'arrachage, pour autant qu'il ait une action sur la tyrosine, n'influence pas l'incidence des taches noires (Tableau 2). Dans une cellule endommagéc la tyrosine est complétement convertie en mélanine. Seulement 5–15% des cellules, réparties uniformément sur la partie contusionnée du tissu, sont décolorées. Des tubercules de Pomme de terre, différents dans leur susceptibilité aux taches noires, ont des teneurs différentes en potassium et matière sèche. On n'aper?oit aucune différence dans la fermeté et valeur osmotique (Tableau 4). Si un apport complémentaire de potassium ne limite pas la croissance, la teneur des tubercules en cet élément est d'environ 650 méq. (25,4 g) par kg de matière sèche (Tableau 5, Fig. 2). Dans les sols argileux du sud-ouest de la Hollande il est difficile de récolter des pommes de terre avec des teneurs en potassium supérieures à 650 meq. par kg de matière séche (Tableau 6). L'apparition de taches noires est négligeable dans les tubercules récoltés sur ces sols si la teneur en potassium excède 650 meq. par kg de matière sèche (Fig. 3).
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7.
Summary The fertilizer phosphorus concentration in potato leaves, at four successive stages of a 10-week growing period was higher in the banding than in the broadcast treatment. The difference between the treatments was greatest in the early growth stages, decreasing rapidly towards harvest. Fertilizer P, accumulated in haulm and tubers, was on the average, 149 and 288 mg per plot for broadcasting and banding, respectively. The uptake of indigenous P and yield of tubers were little influenced by the method of placement. The utilization of fertilizer P was 1–5% for broadcasting and 5–9% for banding. Under dry growing conditions, the absorption of soil P and fertilizer P was greatly reduced. Banding greatly reduced the adverse effect of drought on phosphorous uptake. An improved water supply increased the utilization percentage of broadcast as well as that of banded phosphorus.
Zusammenfassung 1968 wurde ein Kleinparzellen-Feldversuch durchgeführt, in dem Band- und Fl?chendüngung mit Phosphor zur frühen Kartoffeln (SorteSirtema) bei drei verschieden grossen Wassergaben miteinander verglichen wurden. Der Versuch wurde 1969 wiederholt (SorteSaskia) (Tabelle 1). Phosphor wurde als L?sung in Form von Ca(H2PO4)2 in gleichwertigen Mengen zu 30 und 60 kg P pro ha gegeben. Die Mengen an radioaktivem Phosphor betrugen 3 mCi pro m2. Das Phosphordüngerband befand sich 2 cm unter und 5 cm neben der Knolle, w?hrend die Phosphor-Fl?chendüngung gleichm?ssig auf zwei Schichten, 2 cm und 3 cm unter die Bodenoberfl?che, ausgebracht wurde. Muster der Endfiederbl?tter des obersten, voll entwickelten Blattes — vier, fünf, sieben und zehn Wochen nach dem Pflanzen — sowie Knollen- und Stengelmuster —bei der Ernte (zehn Wochen nach dem Pflanzen) gezogen — wurden auf den Gehalt an Gesamt-P und radioaktivem P untersucht. Die Dünger-Phosphorkonzentration in Kartoffelbl?ttern war bei vier aufeinander folgenden. Stadien einer zehnw?chigen Wachstumsperiode beim Bandverfahren h?her als beim Fl?chenverfahren. Der Unterschied zwischen Fl?chen- und Banddüngung fiel bei der ersten Probeentnahme am gr?ssten aus; gegen die Ernte wurde er kleiner (Abb. 1). Die bis zur Ernte in den Knollen und Stengeln angereicherte Gesamtmenge an Dünger-P war infolge des Bandverfahrens stark angestiegen (Tabelle 2), w?hrend die Menge an absorbiertem Boden-P und der Knollenertrag durch die Placierungsmethode nur leicht beeinflusst wurden (Tabelle 5 und 6). Die Verwertung des Dünger-P betrug nur 1–5% beim Fl?chenverfahren und 5–9% beim Bandverfahren (Tabelle 4). Unter sehr trockenen Wachstumsbedingungen war die Aufnahme an Gesamt-P und Dünger-P stark reduziert. Banddüngung jedoch verringerte wirksam den ungünstigen Einfluss der Trockenheit auf die Phosphoraufnahme (Tabelle 2–5). Wenn die Wasserversorgung verbessert wurde, stieg der Verwertungsprozentsatz sowohl im Fl?chen-als auch im Bandverfahren.

Résumé On a exécuté en 1968 (var.Sirtema) et répété en 1969 (var.Saskia) une expérience en petites parcelles au champ pour comparer l'application de phosphore en bande ou à la volée à des pommes de terre hatives sous trois niveaux différent d'approvisionnement en eau (Tableau 1). Le phosphore a été applique en solution sous forme de Ca (H2PO4)2 et en quantités équivalentes à 30 et 60 kg de P par ha. Les quantités de radiophosphores étaient de 3 mCi par m2. La situation de la bande de phosphore était la suivante: 2 cm en-dessous et 5 cm de chaque c?té du tubercule, tandis que le phosphore épandu à la volée était également réparti en deux couches à 2 et 3 cm en-dessous de la surface du sol. On a analysé la teneur en phosphore total et radioactif des folioles terminales de la feuille supérieure pleinement développée prélevées quatre, cinq, sept et dix semaines après la plantation, ainsi que des tubercules et tiges prélevés à la récolte dix semaines après la plantation. La concentration en fertilisant ‘phosphore’ dans les feuilles de Pomme de terre, à quatre stades successifs d'une période de croissance de dix semaines, était plus élevée dans le traitement en bande que dans le traitement à la volée. La différence entre ‘volée’ et ‘bande’ était la plus élevée au premier échantillonnage et décroissait jusqu'à la récolte (Fig. 1). La quantité totale de fertilisant ‘phosphore’ accumulé dans les tubercules et tiges à la récolte était grandement accrue par l'épandage en bande (Tableau 2), tandis que la quantité de P absorbée par le sol et la production de tubercules était légèrement influencés par la méthode de placement (Tableau 5 et 6). L'utilisation de fertilisant P ne dépasse pas 1–5% pour l'épandage à la volée et 5–9% pour l'épandage en bande (Tableau 4). Sous des conditions très séches de croissance, le prélèvement de phosphore total et de phosphore fertilisant était fortement réduit. Cependant l'épandage en bande réduit effectivement l'effet nuisible de la sécheresse sur le prélèvement de phosphore (Tableau 2–5). L'amélioration de l'approvisionnement en eau augmente le pourcentage d'utilisation du phosphore épandu à la volée aussi bien qu'en bande.
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8.
Summary Comparisons were made between droughted and irrigated crops in two field experiments conducted on cultivars of potato understood to exhibit a range of drought tolerance to identify important physiological attributes for drought tolerance. Drought reduced total dry matter production and tuber yields and increased tuber dry matter concentration. The better yield response of Désirée was due largely to the greater water content of its tubers. There were differences between cultivars in the number of tubers produced per unit area and in 1984 there were differences between treatments. Functional differences in canopy growth were revealed in differences in the fractions of incident solar radiation which were intercepted. The effects of drought were proportioned between components of yield, the principal effects being upon interception of solar radiation and on tuber dry matter concentration. Tuber number was an important factor influencing ware yield.
Zusammenfassung In zwei Feldversuchen wurden Pflanzen, die unter trockenen oder beregneten Verh?ltnissen aufwuchsen, im Hinblick auf die Rangfolge der Sorten für Trockenheitstoleranz untersucht; dabei sollten die Reaktionen auf Trockenheit und wichtige physiologische Merkmale für Trockenheitstoleranz herausgestellt werden. Die Messungen umfassten Variabelen bei den Pflanzen, Bodenfeuchtigkeit (Abb. 1) und aufgefangene Sonnenstrahlung. Trockenheit reduzierte die Produktion an Gesamttrockenmasse (Tabelle 1), dabei ergaben sich jedoch keine signifikanten Sortenunterschiede, der Ernteindex (Tabelle 1) ?nderte sich durch Trockenheit nicht signifikant ausser bei einer der Ernten. Die Knollenertr?ge (Tabelle 2), sowohl insgesamt als auch bei Marktware, wurden durch Trockenheit reduziert, und 1984 ergaben sich dabei statistisch signifikante Sortenunterschiede, aber im Falle der Gesamt-Trockenmasse-Produktion waren die Wechselwirkungen zwischen Behandlung und Sorte nicht signifikant. In beiden Versuchen ergaben sich Unterschiede zwischen den Sorten bei der Knollenzahl pro Fl?cheneinheit (Tabelle 3), und 1984 zeigten sich Unterschiede zwischen den Behandlungen. Die Gesamt-Trockenmasse-Produktion bei den Knollen (Tabelle 2) differierte zwischen den Sorten bei jeder Ernte; Trockenheit erzeugte h?here Werte als Beregnung. Die bessere Ertragsleistung bei Désirée war vor allem auf ihren gr?sseren Gehalt an Knollenwasser zurückzuführen (Tabelle 2). Funktionale Unterschiede in der Kraufl?che zeigten sich anhand der Fraktionen von einfallenden Sonnenstrahlungen, die eingefangen wurden (Abb. 2, 3). Akkumulierte Werte der eingefangenen Sonneneinstrahlungen (Tabelle 4) wurden zur Integrierung von Effekten bei der langsameren und geringeren Krautfl?che-Expansion bei trockenem Aufwuchs verwendet, diese zeigten sich bei jeder Sorte als signifikant geringer unter trockenen als unter feuchten Verh?ltnissen. Unterschiede in den Verh?ltnissen von Gesamt-Trockenmasse-Produktion zur Akkumulation eingefangener Sonnenstrahlung (Lichtausbeute-Koeffizienten) (Tabelle 4) ware statistisch nicht abgesichert. Der Einfluss von Trockenheit wirkte sich anteilm?ssig auf die einzelnen Ertragskomponenten aus (Tabelle 5), die Haupteffekte beruhen auf das Einfangen der Sonneneinstrahlung und auf die Knollen-Trockenmasse-Produktion. Bei der Beeinflussung des Ertrages von Marktware war die Zahl der Knollen ein wichtiger Faktor.

Résumé Des comparaisons ont été faites entre cultures non irriguées et irriguées dans deux champs d'expérimentation avec des variétés de pomme de terre présentant une gamme de tolérance à la sècheresse, de manière à étudier leur comportement et à déterminer les facteurs physiologiques les plus importants pour la résistance à la sècheresse. Les mesures étaient faites sur les variables de la plante, sur l'humidité du sol (figure 1) et les radiations solaires interceptées. La sècheresse réduisait la teneur totale en matière sèche (tableau 1) mais sans présenter de différences significatives entre les variétés. L'index de récolte (tableau 1) n'était pas perturbé significativement par la sècheresse à l'exception d'une date de récolte. Les rendements en tubercules (tableau 2) totaux et commercialisables étaient réduits par celle-ci et en 1984 des différences de rendement entre variétés étaient statistiquement significatives mais, comme pour la production de matière sèche totale, les intéractions entre traitements et variétés étaient non significatives Dans les deux expérimentations il y avait des différences entre variétés dans le nombre de tubercules produits par unité de surface (tableau 3) et en 1984, il y avait des différences entre traitements. La teneur en matière sèche des tubercules (tableau 2) différait selon les variétés pour chaque date de récolte et la sècheresse conduisait à un taux de matière sèche plus élevé que pour les cultures irriguées. Le meilleur rendement de Désirée était d?, en grande partie, à une forte teneur en eau de ses tubercules (tableau 2). Des différences dans la croissance du feuillage se retrouvaient dans les valeurs des radiations solaires incidentes interceptées (figures 2 et 3). Le cumul de celles-ci (tableau 4) était utilisé pour intégrer leur effet au niveau des plus lentes et des plus faibles croissances données par les cultures non irriguées pour chaque variété; il s'avérait être significativement inférieur dans les cultures non irriguées. Les différences trouvées dans les rapports entre la production de matière sèche et le cumul des radiations solaires interceptées (coefficient de conversion de la lumière) (tableau 4) étaient non significatives. Les effets de la sècheresse étaient proportionnels aux composantes du rendement (tableau 5) le principal effet étant celui de l'interception des radiations solaires sur la teneur en matière sèche des tubercules. Le nombre des tubercules était aussi un facteur important du rendement commercialisable.
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9.
A. Krauss 《Potato Research》1978,21(2):183-193
Summary Potato plants (Solanum tuberosum L.) were grown under constant climatic conditions in water culture with continuous and discontinuous nitrogen supply. The effect of N nutrition on tuberization and abscicic acid (ABA) content in various parts of the plants was investigated. With the exception of the stolons, interrupting the N supply caused an increase in the ABA content. After renewed N supply the ABA content dropped within 3 days to the original level. With continuous N supply the ABA content varied only to a limited extent. The ABA content of the stolons was not affected by the mode of N nutrition and remained at an almost constant level despite the fact that exogenous ABA was translocated within the stolon acropetally and accumulated in the tip. After tuberization the ABA content of the stolons and tubers rose considerably. The increase in ABA content in roots. exudate, and shoot after N withdrawal was accompanied by the initiation of tuberization in ‘physiologically old’ plants but not in “physiologically young’ plants of the same age. It is postulated that although ABA is involved in the regulation of tuberization, it is the balance between ‘promoting’ hormones such as ABA and ‘inhibiting’ hormones such as gibberellic acid which is the controlling factor.
Zusammenfassung In Wasserkulturversuchen wurde der Einfluss von kontinuierlicher und diskontinuierlicher N-Ern?hrung auf das Wachstum. die Knollenbildung sowie den Gehalt an Abscisins?ure (ABA) in verschiedenen Teilen der Kartoffelpflanze untersucht. Die Pflanzen wuchsen unter konstanten Klimabedingungen (20 C, 12 h Tagesl?nge). Diskontinuierliche N-Ern?hrung bedeutet eine Unterbrechung des N-Angebotes für 7 Tage mit nachfolgendem erneuten N-Angebot. W?hrend einer N-Entzugsphase und der nachfolgenden N-Aufnahmephase wurden Pflanzen im Abstand von 2–3 Tagen geerntet und auf den ABA-Gehalt im Spross. Exsudat, Wurzel und den Stolonen untersucht. Parallel dazu wurden gleich alte, kontinuierlich mit N ern?hrte Pflanzen geerntet und analysiert. ABA wurde gaschromatographisch bestimmt. Kontinuierliche N-Ern?hrung bewirkte ein stetes Spross-und Wurzelwachstum, Knolleninduktion trat nicht ein. Unterbrechung des N-Angebotes (diskon.-N) beeintr?chtigte sowohl das Spross-als auch das Wurzelwachstum (Abb. 1). Zwei Tage nach Beginn der N-Entzugsphase wurden Knollen induziert. Der ABA-Gehalt schwankt bei kontinuierlich-N w?hrend der gew?hlten Versuchsdauer unregelm?ssig. Dagegen steigt der ABA-Gehalt nach Unterbrechung des N-Angebotes an, und zwar im Spross um das Doppelte, in der Wurzel und im Exsudat um das 10-bzw. 20-fache. Wird danach erneut N angeboten. verringert sich der ABA-Gehalt innerhalb von 3 Tagen auf das Ausgangsniveau (Abb. 2). Diese Beziehung ist unabh?ngig vom physiologischen Alter der Pflanzen und wird auch bei nicht induzierten physiologisch jungen Pflanzen gefunden (Tab. 1). Der ABA-Gehalt der Stolonen wird offensichtlich nicht von der N-Ern?hrung beeinflusst. Er bleibt nahezu konstant und steigt erst nach der Induktion mit zunehmendem Knollenwachstum an (Abb. 2). Die fehlende Beziehung zwischen N-Ern?hrung und ABA-Gehalt der Stolonen kann nicht auf eine mangelnde ABA-Verlagerung zurückgeführt werden, denn ABA (als 2-14C-ABA angeboten) wird in der wachsenden Stolone akropetal verlagert und in der Spitze akkumuliert (Abb. 3). Reguliert wird die Knollenbildung wahrscheinlich vom Gleichgewicht die Induktion ‘f?rdernder’ wie ABA und ‘hemmender’ Wuchsstoffe Ist der Gehalt an ‘hemmenden’ Wuchsstoffen niedrig, kann durch Erh?hung des ABA-Gehaltes. z.B. nach Unterbrechung des N-Angebotes, die Knollenbildung induziert werden. Die Erh?hung des ABA-Gehaltes reicht jedoch offensichtlich nicht aus, um den wahrscheinlich sehr hohen Gehalt an ‘hemmenden’ Wuchsstoffen in physiologisch jungen Pflanzen zu kompensieren und die Knollenbildung zu induzieren (Tab. 1).

Résumé L'influence d'une nutrition en azote continue et discontinue sur la croissance, la formation des tubercules et la teneur en acide abscissique (ABA) de diverses parties de la plane de pomme de terre a été étudiée dans des essais en hydroponie. Les conditions de croissance ont été maintenues constantes (20°C, longueur du jour 12 h). Une nutrition discontinue d'azote signifie une interruption de 7 jours dans l'apport d'azote. Les plantes ont été récoltées tous les 2 à 3 jours pendant la période sans azote ainsi que pendant la période consécutive. La teneur en ABA a été analysée dans les tiges, exsudat, racines et stolons. Des plantes d'un même age, mais alimentées en azote de manière continue ont été récoltées et analysées en parallèle. L'ABA a été déterminé par chromatographie en phase gazeuse. Une alimentation ininterrompue d'azote a pour effet une croissance constante de la tige et des racines: la formation des tubercules n'est pas induite. L'interruption de l'apport d'azote (procédé discontinu) entrave aussi bien la croissance de la tige que celle des racines (fig. 1). La tubérisation commence 2 jours après le début de la phase de suppression d'azote. La teneur en ABA varie irrégulièrement dans le procédé N-continu pendant la durée de l'essai. Dans le procédé N-discontinu, le taux d'ABA double dans la tige et augmente de 10 à 20 fois dans les racines et l'exsudat. Lorsque l'apport d'azote est à nouveau garanti, la teneur en ABA rejoint son niveau initial après 3 jours (fig. 2). Cette relation est indépendante de l'age physiologique de la plante; on la trouve également sur des plantes physiologiquement jeunes dont la tubérisation n'est pas induite (tab. 1). La teneur en ABA des stolons ne semble pas être influencée par la nutrition azotée. Elle demeure pratiquement constante et n'augmente qu'après l'induction. avec le développement des tubercules (fig. 2). La relatin inexistante entre la nutrition azotée et la teneur en ABA dans les stolons ne peut être attribuée à une translocation insuffisante de l'ABA, car l'ABA (incorporé sous forme de 2-14C-ABA) se déplace acropétalement dans les stolons en croissance pour s'accumuler dans la pointe (fig. 3). La tubérisation est probablement contr?lée par l'équilibre entre les substances de croissance ‘favorisant’ (tel l'ABA) et ‘inhibant’ l'induction. Si la teneur en substances ‘inhibant’ l'induction est basse, une augmentation de la teneur en ABA, par interruption de l'apport d'azote par exemple, peut induire la formation des tubercules. L'augmentation de la teneur en ABA ne suffit pas à compenser la teneur, probablement très élevée, en substances ‘inhibant’ l'induction, chez des plantes physiologiquement jeunes et à induire par là, la formation des tubercules.
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10.
Summary The relationship between water shortage and tuber initiation and development in the cv. Maris Piper was examined in glasshouse experiments with several severities of water-stress induced by withholding water at different stages of plant growth. There was a direct reduction in tuber numbers per stem with increasing duration of water stress in plants deprived of water from the time when 50% of plants had emerged but not when water was withheld from the time of onset of initiation. Using the data from both years a statistically significant negative correlation was established between tuber number per stem and the number of days of soil moisture potential <−25 kPa.
Zusammenfassung Das Verh?ltnis zwischen Wassermangel im frühen Teil der Wachstumsperiode und der Knollenbildung bei der Sorte Maris Piper wurde in zweij?hrigen Gew?chshausversuchen, bei unterschiedlichen Phasen und unterschiedlicher Schwere des Wassermangels, untersucht. Die Pflanzen wuchsen in einem Torf-/ Sand-Gemisch in Beh?ltern. Das Wasser wurde von der Zeit des Aufgangs, der Knollen-Initiierung oder des ‘kleine-Knollen-Stadiums’ zurückgehalten (Serien A, B und C der Behandlungen; Tabelle 1) und daran anschliessend verabreicht (Tabelle 1, Abb. la, b). Die Kontrollbehandlung wurde w?hrend der gesamten Wachstumszeit gut gew?ssert. Sinkende Raten bei der Transpiration w?hrend des Wassermangels k?nnten durch den Wechsel des Bodenwasser-Potentials (Abb. 1a, b) und der Bodenfeuchtigkeits-Abgabekurve des Kompostes (Abb. 2) verursacht worden sein. In beiden Versuchen wurde die Knollenzahl pro Stengel in denjenigen Behandlungen reduziert, welche beim Auflaufen (A-Serien) begonnen worden waren. Die Knollenzahl war dagegen sogar bei ganz schwerem Stress nicht beeintr?chtigt, wenn die Behandlung nach der Periode der Knollen-Initiierung begonnen worden war (B- und C-Serien; Tabellen 2 und 3). Bei Verwendung der Daten der Kontrolle und der A-Serie der Behandlungen in beiden Versuchen zeigte die Knollenzahl pro Stengel (N) zum letzten Erntetermin hin zwischen der Zahl der Tage(D) und dem Bodenwasser-Potential eine Regression <−25 kPa. Die Knollenzahl als Audruck einer Proportion(Q) des Wertes der Kontrollbehandlung ergab zuD ebenfalls eine Regression. Beide Verh?ltnisse:N=7,20–0,16D undN=1,001–0,020D waren statistisch signifikant (P<0,001) bei 85 bzw. 76% der Varianz. Der Knollenertrag in Versuch 2 (Tabelle 3) war negativ korreliert mit der Dauer des Wasserstress(D) und die Gesamttrockenmasse zeigte den gleichen Trend. Der Trockenmassegehalt der Knollen zum letzten Erntetermin wurde durch die Behandlung nicht beeinflusst (21,2±1,5% und 23,0±0,7% in Versuch 1 bzw. 2). Im Versuch 2 verursachten der kontrastierende Effekt bei Wassermangel in den A- und B-Serien der Behandlungen auf Ertrag und Knollenzahlen Unterschiede in der Verteilung der Knollengr?sse (Abb. 3). In Behandlung A5 wurde die Reduktion der Knollenzahl durch die Ertragsreduzierung ausgeglichen, so dass sich die Knollengr?ssen von denen in der ungestressten Kontrolle nicht unterschieden. In Behandlung B5 dagegen war die mittlere Knollengr?sse niedriger; ausserdem ergab sich hier eine signifikant h?here Proportion kleiner Knollen (Abb. 3).

Résumé La relation entre un manque d'eau en début de végétation et l'initiation des tubercules est examinée sur deux années avec la variété Maris Piper. Les expériences ont lieu sous serre, à différents stades et différents degrés d'importance du déficit hydrique. Les plantes sont cultivées en containers dans un mélange tourbe-sable. L'eau est apportée au moment de la levée, de l'initiation des tubercules ou à la formation des petits tubercules (séries A, B et C des traitements) (tableau 1) et est approvisionnée par la suite (tableau 1, fig. 1a, b). Le témoin est bien pourvu en eau pendant toute la période. Les baisses du taux de transpiration pendant le déficit hydrique peuvent être déduites à partir des changements du potentiel capillaire (fig. 1a, b) et à partir du profil hydrique du compost (fig. 2). Dans les deux expériences, le nombre de tubercules par tige est réduit pour les traitements en début de levée (séries A) mais n'est pas modifié, même en cas assez grave de déficit hydrique, lorsque les traitements ont lieu après la période d'initiation des tubercules (séries B et C) (tableau 2, 3). A partir des valeurs du témoin et des séries A des deux expérimentations, il appara?t que le nombre de tubercules par tige(N) à la récolte finale diminue avec le nombre de jours(D) pour lesquels le potentiel capillaire est inférieur à 25 kPa. Le nombre de tubercules par tige exprimé par le rapport(Q) des valeurs du traitement sur celles du témoin, diminue également avecD. Les deux relationsN=7.20–0.16D etN-1.001–0.020D sont hautement significatives (P<0.001) et expliquent respectivement 85 et 76% de la variance. Dans la deuxième expérimentation (tableau 3) le rendement en tubercules est négativement correlé à la durée du déficit hydrique(D) et la production totale de matière sèche va dans le même sens. La teneur en matière sèche des tubercules à la récolte finale ne varie pas avec le traitement (21.2±1.5% et 23.1±0.7% respectivement pour les expérimentations 1 et 2). Dans l'expérience 2, les effets opposés du déficit hydrique, pour les traitements des séries A et B, sur le rendement et le nombre de tubercules, entra?nent des différences de répartition dans les calibres (fig. 3). Dans le traitement A5, la réduction du nombre de tubercules est reportée sur le rendement, ce qui ne modifie pas la répartition des calibres par rapport au témoin. Cependant, dans le traitement B5, le calibre moyen des tubercules est plus faible et la proportion de petits tubercules significativement plus élevée (fig. 3).
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11.
Summary The effects of 4 nitrogen levels on tuber yield, and on the total-N and nitrate-N content of plant samples taken during the early growing season were examined using the varietyKerr's Pink grown on nineteen sites. The mean yield of the zero N treatment was 38.7 tons/ha. Application of 45, 90 and 135 kg/ha increased yields by 4.5, 6.5 and 8.8 tons/ha respectively. The total-N and nitrate-N content of the plant samples increased as the amount of N fertiliser was increased. They were highest at sites where the response to N fertiliser was least. There were no significant relationships between yields and plant analyses, but correlations between percent responses and plant analyses were significant.
Zusammenfassung Ungef?hr 80 Tage nach dem Auspflanzen wurde in Pflanzenmustern der SorteKerr's Pink, die an 19 Orten angebaut wurde, der Einfluss von 0, 45, 90 und 135 kg N/ha auf den Knollenertrag sowie auf den Gesamt-N- und Nitrat-N-Gehalt untersucht. Der mittlere Gesamtertrag der Nullparzellen betrug 38,7 t/ha. Die Gaben von 45, 90 und 135 kg /Nha erh?hten die Ertr?ge um 4,5, 6,5 und 8,8 t/ha (Tabelle 2). Der durchschnittliche Gesamt-N-und Nitrat-N-Gehalt belief sich in Knollen aus den Nullparzellen auf 5,34 bzw. 0,261% des Trockensubstanzgehaltes. Diese N-Fraktionen neigten dazu, mit jeder Zugabe von Stickstoffdünger gr?sser zu werden (Tabelle 2). Die Orte, für welche keine signifikante Reaktion im Ertrag auf N-Gaben ermittelt werden konnte, wiesen einen durchschnittlich h?heren Gehalt an diesen Fraktionen auf als die Orte mit positiven Reaktionen. Es bestand keine signifikante Korrelation zwischen den Ertr?gen und den Analysen der Pflanzenmuster. Wo jedoch die Pflanzenanalysen mit dem prozentualen Ausmass der positiven Reaktion auf die N-Gaben korreliert waren, kamen signifikante (P>0.01) Korrelationen vor. Die Regressionsgleichungen zeigten, dass je gr?sser die N-Fraktionen in den Pflanzenmustern waren, um so schlechter war die Reaktion im Ertrag auf N. Der Gehalt an Nitrat-N in den Pflanzenmustern ergab eine bessere Korrelation mit den Ertragsreaktionen als der Gesamt-N. Die Regression des prozentualen Ausmasses der positiven Reaktion gegenüber den N-Gaben auf den reziproken Wert des Gehaltes an Nitrat-N ergab einen Wert von 0,688. Wo Musterentnahme und Trocknen wie in diesem Versuch durchgeführt werden, kann nur eine geringe Reaktion auf eine zus?tzliche Düngung mit N erwartet werden, sofern der Gehalt an Nitrat-N 0,45% der Trockensubstanz oder 4,500 ppm, was ungef?hr 7,5% des Gehaltes an Gesamt-N entspricht, übersteigt.

Résumé On a déterminé sur la variétéKerr's Pink et dans sites, l'influence de zéro, 45. 90 et 135 Kg N/Ha sur la production de tubercules et les teneurs en azote total et azote nitrique d'échantillons de plantes prélevés quelque 80 jours après plantation. La production moyenne totale des parcelles avec zéro N était de 38,7 tonnes/Ha L'application de 45, 90 et 135 Kg/Ha a augmenté les rendements de 4,5, 6,5 et 8,8 tonnes/Ha (Tableau 2). Les moyennes d'azote total et d'azote nitrique dans le traitement zéro N a été respectivement de 5,34 et 0.261% de la matière sèche. Ces fractions d'azote ont tendance à s'accro?tre lors de chaque augmentation de fertilisant azoté (tableau 2). Les sites qui ne réagissaient pas à l'azote par un accroissement significatif de production donnaient une teneur moyenne plus élevée de ces fractions que les sites réagissant positivement. Il n'est pas apparu de corrélation significative entre les productions et les analyses de plantes échantillonnées. Là, cependant, où les analyses de plantes sont liées à une réponse en pourcent significative (P>0.01), des corrélations apparaissent. Les équations de régression montrent que plus hautes sont les fractions azotées dans les échantillons de plantes, plus basse était la réaction de production à l'azote. La teneur en azote nitrique des échantillons de plantes donne une meilleure corrélation que les réactions de production à l'azote total. La régression de la réaction de production en pourcent par rapport à l'inverse de la teneur en azote nitrique donne une valeur de 0,688. Quand l'échantillonnage et le séchage sont effectués, comme dans cet essai, il faut s'attendre à une faible réaction à l'application de fertilisant N supplémentaire, quand la teneur en azote nitrique 0,45% de la matière sèche, ou 4,500 ppm, ce qui représente environ 7,5% de l'azote total.
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12.
Summary Maturity in the potato crop is, as yet, ill defined. In an experiment in which nitrogen was applied pre-planting in six treatments, the opportunity was taken to follow changes in growth and development together with changes in three possible measures of physiological activity. A sudden decline in the concentration of sugars in the petiole sap was best associated with changes in crop growth development and may be an appropriate indicator of the onset of maturity and then senescence.
Zusammenfassung Das Einsetzen von Reife und Seneszenz bei Kartoffeln ist nicht genau definiert. Bekannt sind jedoch eine Reihe von Faktoren, um dieses zu modifizieren: zum Beispiel die Stickstoffversorgung. In einem Versuch wurde der Stickstoff (als Kalksalpeter, ‘nitrochalk’) ausgelassen (N0) oder mit 40, 80, 160 und 240 kg ha−1 zur Pflanzzeit (N1 bis N4 entsprechend) verabreicht. Eine gesplittete Anwendung von N, 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 eine Woche nach Knollenbildung (N5) war eingeschlossen. Unterschiede im Blattfl?chenindex (LAI, Abb. 1), Gesamtproduktion an Trockenmasse (Abb. 2) und Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Abb. 3) wurden untersucht, um den Einfluss des Grades der Stickstoffanwendung auf das Einsetzen der Seneszenz (Abb. 1 und 2) und der Reife (Abb. 2 und 3) zu ermitteln. Die Konzentrationen an Gesamtchlorophyll (a+b) in ausgebreiteten Bl?ttern (Abb. 4 und 5) und die Zuckerkonzentration (Abb. 6) sowie die Nitrationen (Abb. 7) im Saft der Petiolen wurden untersucht, um m?gliche physiologische Indikatoren für das Einsetzen von Reife und Seneszenz zu erhalten. Die Konzentration des Gesamtchlorophylls in den Bl?ttern war zu jeder Zeit eine Funktion der H?he der Stickstoff-Applikation (Abb. 5) und sank graduell w?hrend des sp?teren Teils der Wachstumsperiode (Abb. 4). Es bedurfte keiner Kennzeichnung der Schwellenh?he für das Einsetzen der Seneszenz. Die Konzentration sowohl an Saccharose wie auch NO3 im Petiolensaft zeigte scharfe Rückg?nge (Abb. 6 und 7), welche unter Einfluss hoher N-Gaben sp?ter erfolgten. Dennoch zeigt ein Vergleich der Zeiten dieser kurzen Rückg?nge mit Ver?nderung beim LAI, bei der Gesamttrockenmasse-Produktion und der Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Tabelle 1), dass die Ver?nderung in der NO3-Konzentration nicht mit Ver?nderungen in Pflanzenwachstum und-entwicklung assoziiert war; der Abfall der Saccharose-Konzentration stimmte jedoch gut überein.

Résumé Le début de la maturité et de la sénescence de la culture de pomme de terre n'est pas bien défini mais on connait un certain nombre de facteurs qui le modifient, par example la nutrition azotée. Dans cette expérimentation l'azote est apporté aux doses de 0-40-80-160 et 240 kg/ha à la plantation (respectivement N0 à N4). Un double apport d'azote, 80 kg/ha à la plantation et 80 kg/ha une semaine après la tubérisation (N5) est inclu à l'essai. La modification de l'index de Surface Foliaire (LAI) (fig. 1), de la production totale de matière sèche (fig. 2) et de la matière sèche des tubercules (fig. 3) est suivie pour montrer l'effet des doses d'azote apportées sur la date de sénescence (fig. 1 et 2) et de maturité (fig. 2 et 3). La concentration en chlorophylle totale (a+b) dans les feuilles bien développées (fig. 4 et 5) ainsi que celle des sucres (fig. 6) et des ions nitrate (fig. 7) dans le jus pétiolaire ont été étudiées en tant qu'indicateurs physiologiques possibles de la sńescence et de la maturité. La concentration en chlorophylle totale dans les feuilles dépendait des doses d'azote apportées (fig. 5) et diminuait progressivement au fur et à mesure de l'avancement de la saison culturale (fig. 4). Elle ne donnait pas de seuil limite pour le début de la sénescence. La concentration en saccharose et en NO3 dans le jus pétiolaire montrait une chute importante mais tardive avec les fortes doses d'azote. Cependant, la comparaison de la durée de cette courte déclinaison avec les modifications du LAI, de la production totale de matière sèche et de la teneur en matière sèche des tubercules montrait que la variation du taux de NO3 n'était pas associée à l'évolution du développement de la culture, tandis que celle de la teneur en saccharose concordait bien. Nous suggérons que lorsque la concentration en saccharose des pétioles de feuilles bien développées du sommet de la plante chute fortement, les potentiels de croissance et d'accumulation de matière sèche dans les tubercules (tableau 1) deviennent limités car ils ont atteint leur maximum.
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13.
Summary Experiments with planting depths of 10 cm below the top of the ridge and just on top of the unloosened soil, revealed that a deep soil cover of the parent tuber, accomplished by deep planting in a large ridge, increased the yield, increased the size of the tubers, decreased dispersion of the tubers in the ridge, and decreased the number of green potatoes. These effects may be explained by a lower temperature or reduced temperature variation and a generally higher moisture content from the top to the bottom of the ridge and a higher average moisture content in a large ridge. From these results it is possible to make suggestions about the optimum ridge size, form and planting depth.
Zusammenfassung Es wurde ein dreij?hriger Versuch mit drei verschiedenen Dammgr?ssen (Abb. 1) und fünf verschiedenen Pflanztiefen, 10 cm unterhalb der Dammkrone (Abb. 1, 1–3) und gerade über dem ungelockerten Boden (Abb. 1, 3–5), durchgeführt. Der Zweck dieses Versuches war, die optimale Gr?sse und Form des Kartoffeldammes herauszufinden, d.h. jene Werte, mit denen der h?chste Ertrag an vermarktungsf?higer Ware erzielt werden kann. Die zu beurteilenden Faktoren—im Hinblick auf die Konstruktion neuer Erntemaschinen—umfassten die Anzahl grüner sowie kranker Knollen, ferner solche in Unter- oder übergr?ssen sowie die Leichtigkeit der Ernte mit Berücksichtigung von Erdbesatz und m?glichst niedrigen Verlusten. Die Lage der Knollen und der Ertrag (Knollengr?sse, grüne Knollen usw.) wurden festgehalten, ebenso das Auflaufen und die Entwicklung w?hrend der Wachstumsperiode. Der Einfluss der Sorte und die Tagesl?nge wurden nicht beachtet; als haupts?chlichste Umweltfaktoren wurden die Temperaturen und der Feuchtigkeitsgehalt des Bodens ermittelt. Diese Ergebnisse sind in Abb. 2 dargestellt. Die Umschreibung für die Lage der Saatknolle wechselte von warm und trocken (Pflanztiefe 1) zu kalt und nass (Pflanztiefe 5). Die Reihenfolge des Auflaufens (Tabelle 1) zeigt die Wichtigkeit einer genügenden Wasserversorgung für die Keimung. Die Entwicklung war am schnellsten bei der Pflanztiefe 3 eine bestimmte Zeit w?hrend der Wachstumsperiode andauerte (Tabelle 2, Abb. 3), aber dies ?nderte sich sp?ter, wie anhand der L?nge der Stengel bei der Ernte festgestellt wurde (Tabelle 2). Dieser Wechsel dürfte zur Zeit der Erreichung des vollen Blattwerkes stattgefunden haben. Die Ergebnisse bei der Ernte sind in Tabelle 4 aufgeführt (Bintje 1966–1968) und weisen —fortschreitend von Pflanztiefe 1 bis 5—einen h?heren Ertrag, mehr gr?ssere Knollen, einen kleineren Anteil an grünen Knollen usw. auf. Abb. 6 stellt die Verteilung von 94% der Knollen innerhalb einer gegebenen Ellipse dar. Abb. 7 zeigt eine st?ndig abnehmende Streuung der Knollenlage in der Furchenrichtung von Pflanztiefe 1 zu Pflanztiefe 5 und eine progressiv zunehmende Streuung in der vertikalen Verteilung der Knollen von Pflanztiefe 4 zu Pflanztiefe 5. Die sp?te SorteAlpha wurde vor 1968 nicht verwendet,Bintje wurde in allen Versuchen gebraucht. Die horizontale Verteilung vonAlpha war bei flacher Pflanzung ausgepr?gter (Abb. 8, Pflanztiefen 1 und 2). Die Bedeutung dieser Unterschiede und der Achsenl?ngen in Verbindung zur Schwerpunktlage aller Knollen von 10 Pflanzen wird in Abb. 5 aufgezeigt. Die Verteilung der Knollen, leicht beeinflusst durch die Dammform, bildet ungef?hr ein Ellipsoid, und die Stellen, an denen Knollen am meisten zum Grünwerden neigen, finden sich an den Dammflanken (siehe auch Abb. 6, 10B, E und F). Die Position der Saatknolle beeinflusst die Lage der neuen Knollen und infolgedessen den von der Erntemaschine erfassten Anteil Boden (Abb. 9). Aus den Ergebnissen in Tabelle 3 (Breite) kann geschlossen werden, dass ein e lipsenf?rmiges Erntemaschinenschar von 40 cm Breite genügen wird. Anh?ufeln der D?mme in die Endform und-gr?sse vor der Pflanzung befriedigte auf allen B?den. Der Damm sollte breit und abgerundet sein (Abb. 10C und Abb. 11), mit einem Querschnitt von mindestens 500–600 cm2, verbunden mit ziemlich tiefer Pflanzung. Dammgr?sse, Form und Pflanztiefe k?nnen bis zu einem gewissen Umfang angepasst werden an die Sorte, die Pflanzzeit, den Verwertungszweck der Ernte sowie an die Struktur und die Art des Bodens.

Résumé On a effectué une expérience pendant trois ans sur trois volumes différents de butte (Fig. 1) et cinq positions différentes de plantation: 10 cm du sommet de la butte (Fig. 1, 1–3) et juste sur le sol non ameuble (Fig. 1, 3–5). Le but de l'essai était de trouver le volume et la forme optimal de la butte de pomme de terre de manière à obtenir la production la plus élevée de marchandise vendable. Les facteurs à considérer comprennent le nombre de tubercules verdis, malades, difformes, la facilité de la récolte, le minimum de tare et de pertes, le dessein de nouvelles récolteuses à fabriquer. La disposition des tubercules et la production (grosseur, tubercules verdis, etc.) ont été notées, de même que la levée et le développement pendant la saison de croissance. L'influence de la variété et de la longueur des jours n'a pas été prise en consedération et les principaux facteurs du milieu étudiés ont été la température et la teneur en humidité du sol. Les résultats sont montrés dans Fig. 2. Les positions du plant de pomme de terre varient de chaud et sec (position de plantation 1), à froid et humide (position de plantation 5). L'ordre des levées (Tableau 1) montre l'importance d'un apport suffisant d'eau pour la germination. On observe la vitesse la plus grande de développement dans la position 3; celle-ci persiste pendant un certain temps durant la période de croissance (Tableau 2; Fig. 3) mais se modifie plus tard comme le montre la longueur des tiges à la récolte (Tableau 2). Ce changement peut se produire au moment de la pleine couverture du sol. Fig. 4 (Bintje 1966–68) donne les résultats à la récolte; il appara?t une augmentation de la production et de l'irrégularité de la forme, de même qu'une diminution de l'importance des tubercules verdis, etc., progressivement des positions de plantation 1 à 5. Fig. 6 montre la dispersion de 94% des tubercules, qui constitue une ellipse. Fig. 7 révèle une diminution progressive de la dispersion de la position de plantation 1 à la position 5 et une augmentation progressive de la disperson verticale de la position 4 à la position 5. La variété tardiveAlpha n'a pas été utilisée avant 1968,Bintje étant employée dans tous les essais. La dispersion horizontale chezAlpha est plus prononcée lors d'une plantation superficielle (Fig. 8 position de plantation 1 et 2). La signification de ces différences et la longueur des axes par rapport au centre de gravité de l'ensemble des tubercules, déterminées sur dix plantes, sont montrées dans Fig. 5. La disposition des tubercules, légèrement influencée par la forme de la butte, est grossièrement une ellipso?de et les points les plus exposés au verdissement sont les bords de la butte (voir aussi Fig. 6, 10B, E et F). La position du plant influence la position des nouveaux tubercules et conséquemment l'importance du travail de l'arracheuse (Fig. 9). Des résultats du Tableau 3 (largeur des axes), on peut conclure qu'un soc d'arracheuse de 40 cm de largeur donnera satisfaction, s'il est modelé sur une ellipse. La réalisation de la butte dans la forme et la grosseur finales avant la plantation a donné satisfaction dans tous les sols. La butte pourrait être large et arrondie (Fig. 10C et 11) avec une section transversale d'au moins 500–600 cm2, combinée avec une plantation plut?t profonde. Le volume de la butte, la forme et la profondeur de plantation peuvent être adaptées dans une certaine mesure à la variété, le moment de la plantation, la fin de l'utilisation de la récolte, la structure et le type de sol.
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W. Reust  J. Aerny 《Potato Research》1985,28(2):251-261
Summary The use of endogenous compounds as indicators of physiological age was studied in seed tubers of cv. Bintje produced at two locations. Dormancy and the incubation period of seed tubers were measured and sucrose, citric and malic acid analysed. Sucrose content in tubers was lowest at the beginning of sprouting, 0.1 to 0.2% of fresh weight (FW), and increased with time to 0.85–2% when tubers appeared on the sprouts. Shortly after harvest, the citric acid content was ca 0.4–0.5% of FW and malic acid 0.05–0.15%. Citric acid decreased during storage of the tubers but malic acid increased and reached 0.5% at the onset of tuberization. Dormancy was shorter in seed produced at high altitudes than in seed from lower altitudes. The incubation period was not markedly affected by season or provenance of the seed.
Zusammenfassung An zwei Standorten wurde ein Vier-Jahres-Versuch mit der Sorte Bintje durchgeführt: Fey (650 m) und Bullet La Frêtaz (1200 m). Die Wachstumsperiode war für Saatgutproduktion typisch und schwankte von 90–100 Tage entsprechend der Vegetationsperiode. Nach der Ernte wurden die Knollen sortiert (40–50 mm), für drei Wochen bei 15°C einer Wundheilperiode ausgesetzt und anschliessend bei 18°C und 85–90% relativer Luftfeuchtigkeit im Dunkeln für 3 Wochen gelagert. Zur Ermittlung der Dormanz-und Inkubationsperioden wurden w?chentliche Kontrollen durchgeführt. Parallel mit visuellen Kontrollen wurden die Gehalte an Saccharose, Zitronen-und Aepfels?ure analysiert. W?hrend der Dormanz erreichte der Saccharosegehalt 0.1–0,2% des Frischgewichtes (FW). Beim Einsetzen der Keimung sank der Gehalt sehr langsam ab. In der Phase rapiden Keimwachstums stieg der Saccharosegehalt konsistent. Knollenbildung an Keimen erfolgte, wenn der Saccharosegehalt 0,85–2% des Frischgewichtes betrug, abh?ngig vom Jahr und der Knollenherkunft. Zitronens?ure-und Aepfels?uregehalt verhielten sich entgegengesetzt zum Altern der Knollen. Unmittelbar nach der Ernte schwankte der Gehalt an Zitronens?ure zwischen 0,4 und 0,5% des FW, und der Aepfels?uregehalt zwischen 0,05–0,15%. Die Zitronens?ure nahm w?hrend der Inkubationsperiode ab, die Aepfels?ure nahm zu und erreichte 0,5% zum Beginn der Knollenbildung (Abb. 1, 2 und 3). Die Dormanz wurde als Zeit von der Knolleninitiierung im Feld bis zur Keimung gemessen. Wichtige Unterschiede zwischen den Jahren liessen sich haupts?chlich bei der Temperatursumme w?hrend der Wachstumsperiode ermitteln. Die Dauer der Dormanz als Summe von Temperaturwerten (Tagesgrade) war bei in h?herer Lage angebautem Pflanzgut kürzer als bei Pflanzung in tieferer Lage. Die Inkubationsperiode wurde als Zeit zwischen dem Einsetzen der Keimung und dem Punkt, an dem 90% der Pflanzknollen Tochterknollen gebildet hatten, gemessen. Zwischen den Jahren ergaben sich keine wichtigen Unterschiede. Die Knollenbildung an, Trieben erfolgte, wenn der Gehalt an Trockenmasse zwischen 22–32% lag, entsprechend der Herkunft des Pflanzgutes (Abb. 4,5 und 6).

Résumé Un essai sur quatre années a été réalisé dans deux localités: Fey (650 m) et Bullet la Frêtaz (1200 m) avec la variété Bintje. La durée de croissance était celle habituelle de la production de plants et variait de 90 à 100 jours en fonction de la saison. Après la récolte, les tubercules étaient calibrés (40–50 mm), maintenus pendant trois semaines à 15°C puis conservés à l'obscurité dans un local à 18°C et 85–90% d'humidité relative. Des observations hebdomadaires étaient faites pour déterminer les stades de dormance et d'incubation. Parallèlement aux observations visuelles, des analyses de saccharose, d'acides citrique et malique étaient effectuées. Durant la dormance, la teneur en saccharose était de 0,1 à 0,2% du poids frais. Au départ de la germination celle-ci diminuait très faiblement. Durant la phase de croissance rapide des germes, elle augmentait de manière conséquente. La tubérisation des germes survenait lorsque la teneur en saccharose atteignait 0,85 à 2% du poids frais, en fonction de l'année et de l'origine du tubercule. Les teneurs en acides citrique et malique se comportaient de fa?on inverse lors du vieillissement du tubercule. Immédiatement après la récolte, la teneur en acide citrique se situait entre 0,4 et 0,5% du poids frais et celle de l'acide malique entre 0,05 et 0,15%. L'acide citrique diminuait durant la période d'incubation et l'acide malique augmentait pour atteindre 0,5% au départ de la tubérisation (figures 1, 2 et 3). La dormance était évaluée par le temps s'écoulant entre l'initiation du tubercule au champ et la germination. Des différences importantes étaient observées en fonction des années, particulièrement en rapport, avec la somme des températures relevées pendant la période de croissance. La durée de la dormance, exprimée en somme de températures (degrés-jour) était plus courte pour les plants cultivés en haute altitude que pour ceux se développant à basse altitude. L'incubation était évaluée par le temps s'écoulant entre le départ de la germination et le moment où 90 % des tubercules de plant produisaient des tubercules-fils; aucune variation importante n'était observée en fonction des années. La tubérisation survenait sur les germes lorsque la teneur en matière sèche se situait entre 22 et 32% mais dépendait de l'origine des plants (figures 4, 5 et 6).
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Summary Mature tubers, from 13 centres between 211 and 837 km N of 50 N, were stored at 10°C in 1966 and 1967, and always showed an initial rise in reducing sugar. In 1966 this obliterated the effect of latitude upon sugar content. At harvest, 20 crops had a sugar content acceptable for processing. A few weeks later only 2 were acceptable. The increased sugar decreased on transfer to 20°C, the samples behaving similarly, and thus showing no effect of latitude of growing centre after ‘conditioning’. Such treatment, being slow, would be commercially practicable only if the desired changes were small. The start of sprout growth at 10°C, and accompanying start of carbohydrate mobilization, showed no effect of latitude. Nor did the amount of sugar accumulated at 2 C, despite a suggestion of an effect on initial rate of sweetening. The initial rate of subsequent de-sweetening at 20°C was positively correlated with the amount of accumulated sugar.
Zusammenfassung Reife Knollen der Sorte Record, die in den Jahren 1966 und 1967 an 13 Zentren zwischen 211 und 837 km N des 50 N angebaut wurden. wurden bei 10°C gelagert. In jedem Fall erfolgte in den ersten paar Wochen der Lagerung ein Ansteigen des Gehaltes an reduzierenden Zukkern (Tabellen 1 und 2), 1966 überdeckte dieser Anstieg den Einfluss der Distanz n?rdlich des Anbauzentrums auf den Zuckergehalt, der w?hrend des Wachstums und bei der Reife augenscheinlich war. Bei der Ernte wiesen 20 Best?nde einen für die Verarbeitung annehmbaren Zuckergehalt auf, aber nach dem Ansteigen zu Beginn der Lagerung waren nur noch zwei annehmbar (Tabelle 3). Sp?ter besserte sich dies etwas. Aber nur in einem Fall sank der Zuckergehalt auf den Stand zur Zeit der Ernte (Tabellen 1 und 2). Eine Anzahl anderer Sorten zeigten ein ?hnliches Verhalten (Tabelle 4). Nach verl?ngerter Lagerung (Mai–Juni) steig der Zuckergehalt, besonders der Saccharose, was für das altersbedingte Süsswerden charakteristisch ist (Tabellen 1, 2 und 4). Die dafür verantwortliche Mobilisierung des Kohlehydrats beginnt sehr bald nach Beginn des Keimwachstums, aber sie verursacht das Süsswerden nur dann, wenn die Mobilisierung die Ansprüche des Wachstums übersteigt. Bei handelsüblicher Lagerung mit Keimverhinderung k?nnte das Süsswerden gef?hrlicher sein als hier verzeichnet. Der Beginn des Keimwachstums unterschied sich zwischen den Sorten (Tabelle 7), aber er zeigte keinen Einfluss des Anbauzentrums, obwohl sich die Wachstumsrate unterschied, indem sie oft, aber nicht ausschliesslich, bei den Mustern aus dem fernen Norden kleiner war (Tab. 5, 6). Muster der Ernte 1966, die am Anfang der Lagerperiode von 10°C auf 20°C gebracht wurden, wiesen eine Abnahme im Gehalt an reduzierenden Zuckern auf, sie war aber nicht mehr von Bedeutung, wenn die Knollen sp?ter, nach Beginn des altersbedingten Süsswerdens, umgelagert wurden (Tabelle 8). Die Abnahme war in jedem Fall ?hnlich. Es war kein Einfluss des Breitengrades des Anbauzentrums festzustellen. Ein Einzelversuch über Zuckeranh?ufung bei 2°C zeigte keinen Einfluss der Lage des Anbauzentrums auf die am Schluss angeh?ufte Menge, obwohlauch diese betr?chtlich schwankte (Tabelle 9). Es gab einen deutlich positiven Einfluss des Ortes auf die Zuckerakkumulationsrate, der jedoch einer Best?tigung bedarf. Die nachfolgende Rekonditionierung durch Lagerung bei 20°C war im Mai gleich wirksam wie im M?rz. Die Rate war mit der bei der Umlagerung auf 20°C vorhandenen Zuckermenge positiv korreliert (Tabelle 10).

Résumé Des tubercules m?rs de la variété Record, cultivée dans 13 centres situés entre 211 et 837 km au nord du 50e degré de latitude nord, ont été conservés à 10°C. Dans chaque cas, il y a eu une augmentation de la tencur en sucres réducteurs durant les premières semaines de stockage (tableaux 1 et 2). En 1966, cette élévation a masqué l'effect de la localisation des centres de culture sur les sucres réducteurs; celle-ci étant apparente pendant les périodes de végétation et de stockage. A la récolte, 20 lots ont eu une teneur en sucres acceptable pour la transformation mais, après leur élévation pendent la période de stockage, 2 lots seulement convenaient (tableau 3). On observait une amélioration par la suite mais, dans un cas seulement, la concentration revenait au taux initial (tableaux 1 et 2). Un certain nombre de variétés se comportaient de fa?on identique (tableau 4). Après une conservation prolongée (mai–juin), on notait une augmentation de la teneur en sucres, notamment en saccharose, caractéristique du ‘sucrage’ d? à la sénescence (tableaux 1, 2 et 4). La mobilisation des hydrates de carbone responsables de ce phénomène s'effectuait aussit?t après le démarrage de la germination et ne causait le ‘sucrage’ que lorsqu'elle excédait la quantité nécessaire à la croissance des germes. Dans le stockage pour la commercialisation avec utilisation d'inhibiteurs de germination, le ‘sucrage’ pourrait être plus important que celui mentionné ici. Le démarrage de la germination variait selon les variétés (tableau 7) mais la localisation des différents centres n'avait pas d'effet sur lui: toutefois, les taux de croissance étaient différents, étant souvent mais pas exclusivement moindre, pour les échantillons provenant des centres de culture les plus éloignés (tableaux 5 et 6). Les échantillons récoltés en 1966 et stockés rapidement à 10 et 2°C ont montré une diminution de leur teneur en sucres réducteurs, qu'il n'était plus possible d'apprécier lorsque les tubercules avaient été stockés plus tardivement, au moment où le ‘sucrage’ d? à la sénescence était déclenché (tableau 8). La diminution de la teneur en sucres était identique dans tous les cas, démontrant l'absence d'effet de la latitude des centres de cultures. Un seul essai sur l'accumulation des sucres dans les tubercules conservés à 20°C a montré cette absence d'effet de la latitude des centres de culture sur la concentration finale en sucres: cependant, des variations considérables ont été observées (tableau 9). Il y avait un effet positif apparent de la latitude qui demandait une confirmation. Par la suite, la diminution du taux de sucres par un temps de passage des lots à 20°C a été observée de la même manière en mai qu'en mars. Le taux était en corrélation positive avec la quantité de sucres présente au moment du transfer à 20°C (tableau 10).
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Summary The effects of using Rindite and gibberellic acid (GA) for breaking dormancy of potato tubers on the results of tuber-indexing for the detection of PVA were compared. A direct effect of the chemicals on virus multiplication was not observed. The difference in application of Rindite and GA was defining the results of the tuber-indexing. After a six weeks' storage of tubers treated with Rindite, virus was translocated from infected to originally virus-free eyes. With the GA method the eyes were planted directly after the treatment, thus the connection between virus-free and infected eyes was broken before breaking dormancy. Therefore the chance to detect partially virus-infected tubers is greater when Rindite is used combined with a long period of storage than when GA is used for breaking dormancy. Tubers, in which the dormancy was broken by Rindite followed by GA acid yielded rapidly growing plantlets. However, the best results in indexing were obtained by testing the plantlets five weeks after planting.
Zusammenfassung Zur Ueberprüfung des Gesundheitszustandes von Saatkartoffeln ist es allgemein üblich, dass die Knollen auf Virusbefall getestet werden. Da die direkte Beurteilung der Knollen mittels Serologie oder Testpflanzen unzuverl?ssige Resultate ergibt, wird die Prüfung mit Hilfe von aus diesen Knollen gezogenen Pfl?nzchen vorgenommen. An frühgeernteten Kartoffeln ist dies nur nach künstlicher Brechung der Keimruhe der Knollen m?glich, die mittels Rindite (R) (7 Einheiten ?thylenchlorhydrin + 3 Einheiten 1,2-Dichloro?than + 1 Einheit Tetrachlorkohlenstoff) und/oder Gibberellins?ure (GA) durchgeführt werden kann. Zweck dieser Untersuchung war, herauszufinden, ob diese chemische Substanz und die zur Brechung der Keimruhe angewandte Methode die Ergebnisse der Augenstecklingsprüfung beeinflussen. Zu diesem Zwecke wurden 1967 und 1968 mit Kartoffelvirus A (PVA) prim?r infizierte Pflanzen der SorteDoré im Glashaus gezogen. Die Keimruhe der Augen der Doré-Knollen war mit Rindite bzw. GA gebrochen worden. Bei Anwendung der Rindite-Methode wurden ganze Knollen einige Zeit (24 bis 48 Stunden) im Rinditedampf in geschlossenen Beh?ltern bei 24°C aufbewahrt und nachher einige Wochen vor dem Auspflanzen gelagert. Bei Anwendung der GA-Methode wurden Augenstücke aus den Knollen geschnitten, in eine GA-L?sung getaucht und sofort ausgepflanzt. Folgende vier Verfahren wurden angewendet: R+GA: eine Kombination von Rindite (24 Stunden) und Eintauchen der Augenstücke in eine 2 ppm-Gibberellins?urel?sung (10 Minuten). R: Rindite-behandlung (48 Stunden): Augenstücke der Knollen sofort ausgepflanzt. GA: Gibberellins?ure: Eintauchen (10 Minuten) der Augenstücke in eine 2 ppm-Gibberellins?urel?sung. R6: Rinditebehandlung (48 Stunden): Lagerung der Knollen bei 20°C w?hrend sechs Wochen vor der Entnahme und dem Auspflanzen der Augenstücke. Das Vorkommen von PVA in den aus den behandelten Knollen entstandenen Pfl?nzchen wurde mittels ‘A6’-Bl?tter überprüft. Die Beurteilung der aus den Augenstecklingen entstandenen Pfl?nzchen wurde drei Wochen nach dem Auspflanzen durchgeführt. Zu diesem Zeitpunkt zeigten die Pfl?nzchen des Verfahrens R+GA den besten Wuchs. Sie wiesen den geringsten Virusbefall auf (Tabelle 1). Beim Verfahren R6 machte sich eine Tendenz zu einem h?heren Virusbefall bemerkbar. Der niedrige Prozentsatz an befallenen Pflanzen beim Verfahren R+GA (Tabelle 1) konnte nicht erkl?rt werden. Eine zweite Beurteilung erfolgte fünf Wochen nach dem Auspflanzen (Tabelle 2). Dabei wurde beim Verfahren R+GA ein viel h?here Prozentsatz an erkrankten Pfl?nzchen festgestellt. Im allgemeinen war der Prozentsatz an infizierten Knollen bei allen Verfahren ungef?hr gleich hoch (Tabelle 2). Dies ist logisch, da eine Knolle als krank beurteilt wurde, wenn auch nur ein Auge infiziert war. In Tabelle 3 ist der Prozentsatz an infizierten Augen der den verschiedenen Verfahren unterworfenen Knollen dargestellt. Der Prozentsatz befallener Augen von Knollen des Verfahrens R6 ist deutlich h?her als jener der Knollen der andern Verfahren. Es gibt kaum einen Unterschied im Prozentsatz befallener Augen der Knollen aus den Verfahren R, R+GA und GA. Offenbar bestimmt der Zeitpunkt der Augenentnahme den Prozentsatz befallener Augen und nicht die für die Keimruhebrechung verwendete chemische Substanz. Lagerung der infizierten und behandelten Knollen ohne Entnahme der Augen erh?hte die Anzahl der befallenen Augen pro Knolle. In Tabelle 5 ist die Anzahl der als befallen beurteilten Knollen aufgeführt, auch wenn nur ein apikales Auge pro Knolle auf das Vorkommen von PVA untersucht worden war. Der h?chste Prozentsatz an infizierten Knollen wurde beim Verfahren R6 ermittelt. Diese Ergebnisse stimmen mit jenen in Tabelle 3 überein. Dies bedeutet, dass Keimruhebrechung bei ganzen Knollen mittels Rindite, verbunden mit einer Lagerungsdauer, die Ausbreitung des PVA in den Knollen beeinflusst. Der gleiche Schluss kann auch aus Tabelle 4 gezogen werden. Diese Tabelle zeigt, dass der Prozentsatz an teilweise befallenen Knollen des dem Verfahren R6 unterworfenen Knollenmusters sehr viel niedriger ist als jener der Verfahren R, R+GA oder GA allein. Die unterschiedliche Anzahl befallener Knollen, die nach Anwendung der verschiedenen Methoden der Keimruhebrechung festgestellt wurde, ist auf folgende Tatsachen zurückzuführen: Das PVA ist in teilweise befallenen Knollen unregelm?ssig verteilt mit einer Tendenz, dass das apikale Auge h?ufiger befallen wird als die andern Augen. Teilweise befallene Knollen k?nnen noch lange Zeit nach der Infektion gefunden werden. W?hrend der Lagerung von ganzen Knollen nach Keimruhebrechung mit Rindite wird das PVA zu den nicht infizierten Augen der Knollen transportiert. Ausstechen der Augen (R, R+GA, GA) sofort nach der Ernte verhütet diese Wanderung, wodurch sich bei Untersuchung von nur einem Auge pro Knolle ein niedrigerer Prozentsatz an infizierten Knollen ergibt. Ein direkter Einfluss von Rindite oder Gibberellins?ure auf das Virus in den Knollen wurde nicht beobachtet (Tabelle 6).

Résumé Pour contr?ler l'état sanitaire de plants de pomme de terre, il est de pratique courante de tester les tubercules pour la présence de virus. Puisque l'indexage direct de tubercules par la sérologie ou les plantes-tests donne des résultats incertains, le test est réalisé sur les petites plantes provenant de ces tubercules. Pour les tubercules récoltés t?t, le test est seulement possible après rupture artificielle de la dormance, ce qui peut être réalisé par la Rindite (R) (7 vol. d'éthylène chlorhydrine + 3 vol. 1.2-dichloroéthane + 1 vol. tétrachlorure de carbone) et/ou par l'acide gibberellique (GA). La présente étude a pour but de voir si le produit chimique et la méthode utilisée pour rompre la dormance influencent les résultats de l'indexage. Dans ce but on a mis en végétation en serre des plantsDoré atteints d'infection primaire de virus A (PVA), en 1967 et 1968. La dormance des yeux deDoré était rompue respectivement avec la Rindite et GA. Dans l'emploi de la méthode à la Rindite, les tubercules entiers étaient placés pendant quelque temps (24 à 48 heures) dans la vapeur de Rindite et conservés pendant quelques semaines avant la plantation. Dans l'application de la méthode GA des boutures d'yeux étaient prélevées sur les tubercules, trempées dans une solution GA et plantées directement. Quatre traitements étaient appliqués, à savoir: R+GA: combinaison de Rindite (24 heures) et trempage des boutures d'yeux dans une solution à 2 ppm d'acide gibberellique pendant 10 minutes; R: traitement à la Rindite pendant 48 heures, les yeux des tubercules étant plantés immédiatement; GA: acide gibberellique: trempage des boutures d'yeux dans une solution d'acide gibberellique à 2 ppm pendant 10 minutes; R6: traitement à la Rindite pendant 48 heures: six semaines de conservation des tubercules à 20°C avant l'excision et plantation des boutures d'yeux. La présence de PVA dans les plantules provenant des tubercules traités a été testée sur feuilles A6. L'indexage des plantules provenant des yeux a été réalisé trois semaines après la plantation. A ce moment les plantules R+GA montrent la meilleure croissance. Les manifestations du virus étaient les plus basses (Tableau 1). Il se révèle une tendance à un pourcentage plus élevé de plantules malades détectées chez R6. Le faible pourcentage de plantes malades detectées par R+GA (tableau 1) ne pouvait être expliqué. Un second indexage fut réalisé cinq semaines aprés la plantation (tableau 2). A ce moment un pourcentage beaucoup plus élevé de plantules malades se révélait dans la méthode R+GA. En général (Tableau 2) les pourcentages de tubercules infectés déterminés étaient à peu près identiques dans tous les traitements. Ce qui est logique puis-qu'un tubercule est jugé être malade quand un oeil seulement est infecté. Les pourcentages d'yeux infectés des tubercules soumis aux différents traitements sont présentés dans le Tableau 3. Le pourcentage d'yeux infectés des tubercules soumis au traitement R6 est nettement plus élevé que ceux des tubercules des autres traitements. Il n'y avait rigoureusement aucune différence entre le pourcentage d'yeux infectés des tubercules traites suivant les méthodes R, R+GA et GA. Apparemment le moment de l'excision des yeux détermine le pourcentage d'yeux infectés et non le produit chimique utilisé pour la rupture de la dormance. La conservation des tubercules infectés et traités sans excision des yeux augmente le nombre d'yeux infectés par tubercule. Le Tableau 5 montre les nombres des tubercules réagissant positivement quand seulement un oeil apical par tubercule est testé pour la présence du PVA. La méthode R6 détecte le pourcentage le plus élevé de tubercules infectés. Ces résultats sont en concordance avec ceux du Tableau 3. Ce qui signifie que la rupture de la dormance de tubercules entiers, effectuée avec la Rindite, combinée avec une période de conservation, influence la translocation du PVA dans les tubercules. On peut tirer la même conclusion du Tableau 4. Ce tableau montre que les pourcentages de tubercules partiellement infectés des séries de tubercules soumis au traitement R6 sont beaucoup plus bas que ceux des tubercules traités avec R, R+GA ou avec GA seul. Le fait de trouver des nombres différents de tubercules infectés dans les différentes méthodes de rupture de la dormance est d? aux raisons suivantes: PVA est réparti irrégulièrement dans les tubercules infectés avec une tendance plus fréquente de l'infection de l'oeil apical. On trouve encore des tubercules partiellement infectés un long moment après l'infection. Pendant la conservation des tubercules entiers après rupture de la dormance (avec la Rindite), PVA s'est répandu dans les yeux non infectés des tubercules. L'excision des yeux (R, R+GA, GA) directement après l'arrachage empêche cette diffusion, d'où résulte un pourcentage plus bas de tubercules infectés détectés quand le test porte sur un oeil par tubercule. On n'a pas observé d'effect direct de la Rindite ou de l'acide gibberellique sur le virus dans le tubercule (Tableau 6).
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Summary Gamma-rays from a60Co source were applied to dry, ‘true’ seed from the cross ofSpartaan × Maris Piper and the segregation rations for various characters were investigated. The treatment affected the segregation ratios for stem colour, tuber shape, net skin, and vein necrosis; also possibly affected were maturity and number of primary leaflets. Ratios for depth of eye, leaf index and secondary growth of tubers were not changed. The changes in segregation ratios may be due to mutations and/or chromosome aberrations. Most of the changes in segregation ratios are suggested to be due to an increase in the frequency of nulliplex genotypes. The mutation rates estimated from the segregation ratios ranged from 2.0×10−6 to 10.9×10−6 per R.
Einfluss der Gammabestrahlung auf die Aufspaltungsverh?ltnisse in Zuchfamilien bei der Kartoffel
Zusammenfassung Trockene Samenk?rner aus der KreuzungSpartaan Maris Piper wurden mit Gammastrahlen60Co in Dosen von 2, 4, 8, 16, 32 und 64 krad behandelt und die Aufspaltungsverh?ltnisse für verschicdene Merkmale untersucht. Die Keimungs- und Reproduktionsraten für die verschiedenen Dosen sind in Abb. I dargestellt. Als Reproduktionsrate wird das Verh?ltnis der Anzahl knollentragender Pflanzen zur Gesamtanzahl überlebender Pflanzen bezeichnet. RD50 der Reproduktionsrate war ungef?hr 40 krad. Die H?ufigkeit mangelhafter Pflanzen wurde durch die Bestrahlung erh?ht (Tabelle 1). Die Behandlung beeinflusste die Aufspaltungsverh?ltnisse in der Stengelfarbe (Tabelle 2), Knollenform (Tabelle 3), Netzzeichnung der Schale (Tabelle 5) und Adernnekrose (Tabelle 8). M?glicherweise wurden auch die Reife (Tabelle 9) und die Zahl der prim?ren Fiederbl?ttchen (Tabelle 6) ver?ndert. Die Verh?ltnisse für die Augentiefe (Tabelle 5), Fiederbl?ttchenform (Tabelle 7) und die Kindelbildung der Knollen (Tabelle 5) wurden nicht ver?ndert. Die H?ufigkeit ph?notypischer rezessiver Erscheinungen wurde durch die Behandlung bei einigen Merkmalen. wie z.B. Netzeeichnung der Schale (Tabelle 5). Anzahl Fiederbl?ttchen (Tabelle 6) und Schalenfarbe (Tabelle 4), significant verringert. Die Aenderung in den Aufspaltungsverh?ltnissen dürfte auf Mutationen und/oder Chromosomen-Abweichungen zurückzuführen sein. Man vermutet, dass die meisten Aenderungen in den Aufspaltungsverh?ltnissen auf ein Ansteigen der H?ufigkeit von nulliplexen Genotypen zurückgehen. Die Sch?tzung der Mutationsraten auf Grund der Aufspaltungsverh?ltnisse bewegt sich zwischen 2.0 · 10−6 und 10.9 · 10−6 pro R (Tabelle 10).

Effects de rayons gamma sur les rapports de ségrégation dans des familles de ponne de terre
Résumé On a appliqué des rayons gamma émis par le cobalt 60 à des doses de 2, 4, 8, 16, 32 et 64 krad à des semences sèches provenant du croisementSpartaan. Maris Piper et on a recherché les rapports de ségrégation de différents caractères. La Figure I donne les taux de germination et de reproduction pour les différentes doses. Le taux de reproduction est défini par le rapport de nombre de plantes qui tubérisent au nombre total de plantes survivant. RD50 du taux de reproduction est d'environ 40 krad. L'irradiation accroit la fréquence de plantes déficientes (Tableau 1). Le traitement influence les rapports de ségrégation pour la couleur de la tige (Tableau 2) la forme du tubercule (Tableau 3). la peau réticulée (Tableau 5) et la nécrose des nervures (Tableau 8). II est possible que soient également influencées la maturité (Tableau 9), ainsi que le nombre de folioles primaires (Tableau 6). Ne sont pas modifiés les rapports pour la profondeur des yeux (Tableau 5) la forme des folioles (Tableau 7) et la croissance secondaire des tubercules (Tableau 5). La fréquence de phénotypes récessifs est significativement abaissée par le traitement pour quelques caractères tels que peau réticulée (Tableau 5). nombre de folioles latérales (Tableau 6) la couleur de la peau (Tableau 4). Les changements dans les rapports de ségrégation peuvent être dus à des mutations ou à des aberrations chromosomiques. On pense que la plupart des changements dans les rapports de ségrégation sont dus à une augmentation de la fréquence de génotypes nulliplex. Les taux de mutations estimés à partir des rapports de ségrégation varient de 2.0 · 10−6 à 10.9 · 10−6 par R (Tableau 10).
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18.
Summary Potato plants were grown in pot assemblies which allowed non-destructive observations. During tuberization, plants were exposed to dry or wet conditions in the stolon environment and normal or low osmotic potential of the nutrient solution. Drought in the stolon environment enhanced the initiation of stolons and tubers. Although this treatment caused a minor reduction in yield, more large tubers were produced because there were more large tubers on the early-initiated stolons. Drought in the root medium did not affect the final number of stolons or tubers initiated, but reduced tuber yield. It inhibited the formation of large tubers on the later-formed stolons. Drought conditions simultaneously in the stolon and root media slightly stimulated the initiation of stolons and tubers. Furthermore, it reduced the tuber yied and no large tubers were found on the latest-formed stolons. However, there were more large tubers on the early-formed stolons.
Zusammenfassung In zwei Experimenten unter kontrollierten Bedingungen (Tabelle 1) wurden Pflanzenentwicklung, Knollenertrag und Knollengr?ssen-Verteilung vonSolanum tubersosum L. (Sorte Bintje) untersucht. Das speziel entwickelte Verfahren (Abb. 1) erlaubte fortw?hrende, nicht-destruktive Beobachtungen der Stolonenbildung und der Knokllweninitiiterung und erm?glichte separate Variierung der Wasserverfügbarkeit in der Umgebung von Wurzeln und Stolonen. Die Stolonne-Initiierung wurde duch ein trockenes Stolonen-Medium gef?rdert, w?hrend Trockenheit in der Wurzelumgebung die Stolonenbildung kaum beeinflusste (Abb. 2). Ebenso wurde Knolleninitiierung durch Trockenheit im Stolonenmedium stimuliert, w?hrend eingeschr?nkte Waseraufnahrne durch die basalen Wurzeln kaum Einfluss auf die Knollenbildung hatte (Abb. 3). Nicht alle Knollen wuchsen bis zu substanzieller Gr?sse. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte die Zahl der Knollen, die ein endgültiges Trockengewicht über 0,50 g errichten (Tabelle 2). Der Feuchtigkeitsgehalt des Stolonenmediums hatte hingegen keinen Einfuss auf diese Zahl. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte auch den Gesamtertrag an Knollentrockenmasse erheblich. Ein trockenes Stollonenmedium hatte lediglich einen geringen Einfluss (Tabelle 2). Offensichtlich reduziert Trockenheit de Zahl der Knoilen durch Reduktion des Knollenwaschtums und nicht durch Beeinflussung der Knollenbildung, und ist nur bei trockenen Verh?ltnissen im Wurzelbereich effektiv. Ein trockens Stolonenmedium w?hrend der Knollenbildung induziert eine Schub and Trockenmasse für h?here Knollengr?ssen: In beiden Versuchen ergab sich eine h?here Proportion des gesamten Knollenertrages in der h?chsten Klasse für Knollengr?ssen (Abb. 4). Wurden die Wurzeln trockenen Verh?ltnissen ausgesetzt, wurde relativ mehr Trocknmasse in den mittelgrossen Knollen festgelegt (Abb. 4.). Der beobachtete poisitive Effekt eines trockenen Stolonenmediums wurde durch einen Anstieg der Zahl grosser Knollen an früh-initiierten Stolonen verursacht (Abb. 5). Trockenheit im Wurzelmedium ergab weiniger gr?ssere Knollen an den sp?tinitiierten Stolonen (Abb. 5). Der einfluss von Trockenheit im Wurzelmedium stimmt mit den meisten Literaturdatend überein. Der Einfluss eines trockenen Stolonenmediums ist dagegen bemerkenswert und bedarf weiterer Untersuchung.

Résumé Les effets de la sécheresse sur le développement de la plante, le rendement en tubercules et la répartition des calibres deSolanum tuberosum L. variété Bintje sont étudiés dans deux expérimentations en conditions controlées (tableau 1). Le dispositif spécial utilié (fig. 1) permet des observations non destructives fréquentes de la formation des stolons et de l'initiation des tubercules et rend possible des variations séparées de la disponibilité en eau au niveau des racines et des stolons. Un milueu sec au niveau des stolons favorise leur initiation tandis que des conditions sèches au niveau racinaire l'affecte (fig. 2). L'initiation des tubercules est stimuulée par des conditions dèches au niveaudes stolons tandis qu'une absorption d'eau réduite des racines de la base n'a aucun effet sur la tubérisation (fig. 3). Tous les tubercules n'atteignent pas un calibre important. Une sécheresse au niveau du milieu racinaire réduit le nombre de tubercules de poids sec final supérieur à 0,50 g (tableau 2) mais le degré d'humidité au niveau des stolons n'a aucun effet surce nombre. Une sécheresse du milieu racinaire diminue également fortement le rendement totalen matière sèche des tubercules. Une sécheresse uniquement au niveau des stolons n'a qu'un effet mineur (tableau 2). Apparemment, la sécheresse diminue le nombre de tubercules en réduisant le grossissement des tubercules et non pas en modifiant la tubérisation, et n'a d'effet que si les racines sont soumises aux conditions sèches. Un milieu sec au niveau des stolons durant la tubérisation induit un déplacement de la matière sèche vers les tubercules les plus gros: dans les deux expérimentations une plus grande proportion du rendement total en tubercules a été observée dans la classe des calibres les plus gros (fig. 4). Loorsque les racines sont soumises à des conditions sèches une quantité relativement plus importante de matière sèche est accumulée dans les tubercules de moyen calibre (fig. 4). L'effert positif observé dans le cas d'un milieu sec au niveau des stolons est la cause d'une augmentation du nombre de gros tubercules sur les stolons initiés précocement (fig. 5.). Une sécheresse du milieuracinaire a pour conséquence un faible nombre degros tubercules formés surles stolons initiés tardivement (fig. 5). Les effets d'une sécheresse racinaire concordent avec la plupart des données mentionnées dans la litérature. Les effets d'une sécheresse au niveau des stolons sont cependant singuliers et nécessitent des investigations comlémentaires.
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19.
The distribution of dry matter during growth of a potato crop   总被引:1,自引:0,他引:1  
Summary The distribution of dry matter increments to the plant parts of a potato crop was determined by analysing data from experiments in which potato plants were harvested periodically during the early stages of their growth. The distribution tended to follow a regular pattern if expressed as a function of phenological development stage represented by the effective temperature sum. The influence of cultivar, soil type, nitrogen dressing, seed size, and plant density on this distribution pattern is discussed.
Zusammenfassung Die Verteilung des Trockensubstanzertrages in den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes wird an Hand von Analysenwerten aus Versuchen bestimmt, in denen Kartoffelpflanzen w?hrend früher Wachstumsstadien in periodischen Abst?nden geerntet wurden. Um die Zuordnung des Trockengewichtsertrages zu den verschiedenen Pflanzenteilen eines Kartoffelbestandes zu analysieren, wurde ein Verfahren verwendet, in dem der gesamte Trockengewichtszuwachs zwischen aufeinanderfolgenden Ernten berechnet und dessen Verteilung in den Organen als eine Fraktion von der gesamten Zunahme ausgedrückt wird. Die Verteilung steht in Beziehung zu einer effektiven Temperatursumme mit einer unteren Temperaturschwelle von 7°C, einer Optimaltemperatur von 18°C und einer Maximaltemperatur von 29°C. Aus Analysen einer grossen Anzahl von Versuchen ergab sich der Schluss, dass die Verteilungsmuster zwischen Bl?ttern und Knollen approximiert werden k?nnen durch lineare Bezüge mit konstanten Neigungen, die für alle Situationen zutreffen. Abb. 1, A-F zeigt, dass Unterschiede zwischen den Sorten durch eine Verschiebung in der Geraden entlang der Temperatursummenachse dargestellt werden k?nnen. Die den Stengeln zugeordnete Fraktion kann als Erg?nzung zu derjenigen in den Bl?ttern und Knollen betrachtet werden. Wenn die in den Bl?ttern verteilte Fraktion vor dem Kollenansatz abnimmt, wie bei der Sorte Irene (Abb. 1, D), dann erh?ht sich die Fraktion in den Stengeln. Zusammen mit unzureichender Sinkkapazit?t konnte eine abnehmende Wachstumsrate im gesamten Bestand erwartet werden. In diesen Versuchen ergab sich deutlich eine Korrelation zwischen der Wachstumsrate w?hrend der linearen Wachstumsphase und der Zeit des Knollenansatzes, die als eine Temperatursumme ausgedrückt wird (Abb. 2). Der Vergleich des Verteilungsmusters der Sorte Irene, die auf einem sandigen Boden wuchs (Abb. 1, D) mit demjenigen der gleichen Sorte von einem Lehmboden (Abb. 3) zeigt, dass nach den Masseinheiten der Temperatursummen der Knollenansatz auf dem Lehmboden früher erfolgte. Ein h?heres Stickstoffniveau verz?gerte den Beginn des Knollenansatzes und verl?ngerte die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern. Gleichzeitig wird das Stengelwachstum gef?rdert (Abb. 4, A-D). In Best?nden, die aus gr?sseren Pflanzkartoffeln erwuchsen, wird der Knollenansatz beschleunigt und die Periode der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern verkürzt (Abb. 4, A-D). In Versuchen mit unterschiedlichen Pflanzdichten wurde keine gr?ssere Differenz im Verteilungsmuster der Biomasse beobachtet. Versuche, in denen die Verteilung der Trockensubstanz durch die Behandlung mit einem Wachstumshemmer (Daminozid) beeinflusst werden sollte, zeigten unterschiedliche Ergebnisse. Manchmal wurde überhaupt keine Wirkung festgestellt (Abb. 5), in anderen Versuchen begünstigte der Wachstumshemmer jedoch die Zuwanderung der Trockensubstanz zu den Knollen auf Kosten der Stengel. Die Wirkung des Daminozids variierte auch in den Endertr?gen, weil oft das Laub in der sp?teren Jahreszeit wieder austrieb. Zusammenfassend kann gesagt werden, dass die verschiedenen Abl?ufe im Bestand, wie die Beendigung der konstanten Zuwanderung zu den Bl?ttern und der Beginn des Knollenansatzes durch genetische Faktoren, durch die Tempertur, die Stickstoffverfügbarkeit und die Pflanzgutgr?sse beeinflusst werden. Ist einmal die zeitliche Regelung dieser Abl?ufe festgelegt, dann ist das Verteilungsmuster durch Verwendung der Verteilungsgraden mit konstanter Neigung quantitativ bestimmbar.

Résumé La distribution de la matière sèche au niveau des différentes parties des plantes d'une culture de pomme de terre est déterminée à partir de résultats d'essais dans lesquels on a procédé à plusieurs arrachages périodiques durant les premiers stades de la croissance. A cet effet, on a calculé l'augmentation de matière sèche entre 2 récoltes successives et exprimé la répartition de celle-ci au niveau des différents organes en fraction de cette augmentation totale. La répartition est mise en relation avec la somme des températures effectives en considérant un seuil minimal de 7°C, une température optimale de 18°C et une température maximale de 29°C. L'analyse d'un grand nombre d'essais montre que le modèle de distribution entre les feuilles et les tubercules peut être évalué par des relations linéaires de pentes constantes, valables pour toutes les situations. La figure 1, A-F, montre que les différences entre les variétés peuvent être représentées par un déplacement des droites de distribution sur l'axe des sommes de températures. La fraction attribuée aux tiges peut être considérée comme le complément de celle des feuilles et des tubercules. Lorsque la fraction accumulée au niveau des feuilles décro?t avant l'initiation des tubercules, comme dans le cas de la variété Irène (fig. 1, D), celle des tiges augmente. Lorsque la capacité d'absorption est insuffisante, on peut prévoir une diminution du taux de croissance de la culture. Dans ces essais, on observe en fait une corrélation entre le taux de croissance au cours de la phase linéaire de la croissance et le moment d'initiation des tubercules exprimé en somme de températures (fig. 2). La comparaison du modèle de distribution de la variété Irène cultivée en sol sableux (fig. 1, D) avec celui de cette même variété cultivée en sol argileux (fig. 3) montre qu'en termes de sommes de température l'initiation des tubercules est plus précoce en sol argileux. Un niveau élevé d'azote retarde le départ de la phase d'initiation des tubercules et allonge la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles. En même temps, la croissance des tiges est favorisée (fig. 4, A-D). Dans une culture issue de plants de gros calibres, l'initiation des tubercules est avancée et la durée d'accumulation constante au niveau des feuilles raccourcie (fig. 4, A-D). Les études concernant la densité de plantation, n'ont montré aucune différence importante des modèles de distribution de la matière sèche. Des essais conduits à l'aide de retardateurs de croissance (daminozide), dans le but de modifier la distribution de la matière sèche, aboutissent à des résultats variables. Parfois, aucun effet n'est observé (fig. 5), alors que dans d'autres essais, en effet, le retardateur de croissance favorise l'accumulation de matière sèche vers les tubercules au dépend des tiges. Au niveau du rendement final, les effets du daminozide varient également, en raison le plus souvent d'une reprise de la végétation en fin de saison. En conclusion, les différentes phases d'une culture telles que la fin d'accumulation constante vers les feuilles et le début de l'initiation des tubercules sont influencées par les facteurs génétiques, la température, la disponibilité en azote et le calibre du plant. Une fois que le déroulement de ces phases est fixé, le modèle de distribution est quantifié par les droites de distribution à pente constante.
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20.
Summary Majestic potatoes sprouted in the dark at 20°C developed necrotic lesions in the elongating region of the sprout, about 3 to 5 mm below the apex. The name sub-apical necrosis is proposed to describe this condition. It was shown to be due to calcium deficiency and was fully controlled by frequent application of 0.01M calcium sulphate solution to the tips of the sprouts. The influence of several other factors was also studied. Calcium was necessary to maintain apical dominance of the sprout and prevent some of the changes which have been attributed to physiological ageing.
Zusammenfassung Um den Einfluss von Kalzium auf das Keimwachstum von Kartoffeln der Sorte Majestic zu untersuchen, wurden Knollenstücke (sets) mit einem einzelnen Auge in Serien verwendet. Die Serien wurden in kalziumfreiem Sand bei 20°C in Dunkelkammern zum Keimen gebracht. Unter diesen Bedingungen entwickelten sich nekrotische L?sionen in einem 2–3 mm breiten Band an der Streckungsstelle des Keims, 3–4 mm unter der Spitze. Es wird vorgeschlagen, diesen Zustand mit ‘subapikale Nekrose’ zu bezeichnen. Die Nekrose dehnt sich zuletzt bis in das Gef?ssbündelsystem aus, die Spitze des Keims stirbt ab, und die apikale Dominanz geht verloren (Abb. 1). Subapikale Nekrosen wurden verhindert, wenn eine w?ssrige L?sung von 0,01m CaSO4 regelm?ssig mit einer kleinen Bürste auf die Spitze der Keime gebracht wurde (Abb. 2). Wenn das Kalzium auf das Knollenstück gebracht wurde, nahmen sein Kalziumgehalt (Tabelle 2) und das Keimwachstum zu, aber die subapikale Nekrose wurde nicht verhindert (Abb. 3). Der Kalziumgehalt und das Keimwachstum waren bei Knollen aus einem Feld mit hohem, im Vergleich zu niedrigem pH, gr?sser (Tabelle 4). Bei Temperaturen bis zu 20°C erh?hte die Wurzelbildung die Keimwachstumsrate und verhinderte die subapikale Nekrose (Abb. 4). Wenn dem Wurzeln?hrboden Kalzium beigefügt wurde, konnte das verl?ngerte Wachstum auch bei h?heren Temperaturen erhalten werden (Abb. 3). Die Wachstumsrate und die Anf?lligkeit für subapikale Nekrose wurden durch Gr?sse, Form und Datum der Entnahme des Knollenstecklings der Serien beeinflusst (Tabellen 5 und 6). Diese Einflüsse schienen mit Unterschieden im Kalziumgehalt und mit dem Gleichgewicht zwischen Wachstumsregulatoren in den Knollenstücken im Zusammenhang zu stehen. Das Bedürfnis nach Kalzium, um das Wachstum der Hauptachse des Keims aufrechtzuerhalten und die apikale Dominanz zu bewahren, zeigt, dass dies mit dem Prozess des physiologischen Alterns im Zusammenhang steht.

Résumé Les auteurs ont utilisé des fragments de tubercules avec un seul oeil pour étudier les effets du calcium sur la croissance du germe chez la pomme de terre Majestic. Les fragments ont germé dans du sable dépourvu de calcium à 20°C à l'obscurité. Dans ces conditions, ils se développent des lésions nécrotiques dans une bande de 2 à 3 mm de largeur autour de la région d'élongation du germe, environ 3 à 4 mm en-dessous du sommet. Les auteurs proposent la dénomination ‘nécrose sub-apicale’ pour décrire ce phénomène. La nécrose s'étend finalement dans le système vasculaire, le sommet du germe meurt et la dominance apicale se perd (fig. 1). La nécrose sub-apicale est empêchée par l'application fréquente de solution aqueuse à 0,01m de sulfate de calcium sur les pointes des germes avec une petite brosse (fig. 2). Le calcium appliqué aux fragments de tubercules accro?t leur teneur en calcium (tableau 2) et la vitesse de croissance du germe mais n'empêche pas la nécrose sub-apicale (fig. 3). La teneur en calcium et la vitesse de croissance du germe sont aussi plus élevées chez les tubercules poussés dans un champ à pH élevé que dans un champ à pH bas (tableau 4). Il se révèle que la production de racines acro?t la vitesse de croissance du germe et empêche la nécrose sub-apicale aux températures jusqu'à 20°C (fig. 4). Quand du calcium était ajouté au milieu radiculaire, la croissance prolongée des germes se maintient aussi à des températures plus élevées (fig. 3). La vitesse de croissance du germe et le début de la nécrose subapicale sont influencés par la grosseur, la forme et la date de sectionnement des fragments (tableaux 5 et 6). Ces effets paraissent liés aux différences de teneur en calcium et à la balance du régulateur de croissance dans les fragments. La nécessité du calcium pour maintenir la croissance de l'axe principal du germe, et pour conserver la dominance apicale, indique qu'il est impliqué dans le processus de vieillissement physiologique.
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