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1.
P. DEBAEKE 《Weed Research》1988,28(4):265-279
La connaissance du devenir de la flore adventice levée en situation non désherbée est utile au raisonnement de la lutte chimique et culturale, á l'échelle de l'année et de la succession de cultures. Or, les associations dicotylédones annuelles—céréales ont été peu étudiées dans cette optique. C'est pourquoi nous avons abordé l'étude de la survie des plantules adventices et de leur production finale (croissance, nombre de semences) en situation de concurrence variable avec divers peuplements de céréales (principalement blé d'hiver, cv. Fidel). Cinquante-huit parcelles du champ d'essai de Grignon, dans le Bassin Parisien, ont été suivies, au cours de deux années culturales; les résultats concernent des communautés adventices naturelles, peu denses et composées en majorité de dicotylédones annuelles. Le stade foliaire des plantes adventices á l'époque du gel s'est révélé un bon prédicteur du taux de disparition hivernale. Le nombre d'épis de la céréule par m2 a permis de rendre compte de maniére satisfaisante du devenir de la flore au printemps. Cependant, la date de levée des plantes conditionne également leur survie et leur production semencière. Une relation satisfaisante a pu être mise en évidence entre nombre de semences et matière sèche (par plante et par m2) à la récolte de la céréale. La conduite de la céréale (date et densité de semis, fumure azotée), en interaction avec le climat, se révèle comine on facteur d'évolution de la flore adventice. Le travail entrepris ici devrait déboucher sur une modélisation de cette dynamique au champ.  相似文献   

2.
A. Vez 《EPPO Bulletin》1976,6(4):281-288
La monoculture du blé d'automne entraîn des baisses de rendement qui ne semblent pas dues uniquement à des causes sanitaires. Ces diminutions de rendement peuvent être atténuées par l'application de différentes mesures culturales. Un renforcement de la fumure azotée et, dans les parcelles exposées au piétin-verse, un traitement au bénomyl au début de la montaison, constituent les mesures les plus efficaces. Les effets négatifs de la monoculture ont été plus marqués aprés labour qu'en semis direct.  相似文献   

3.
La connaissance du rapport flore levée/stock de semences du sol est nécessaire à la prévision des infestations de mauvaises herbes. Des travaux antérieurs ont montré que ce rapport (ou taux de levée) est en moyenne faible mais pourtant variable entre espèces, années et sites expérimentaux. Cette étude tente d'expliquer la variabilityé du taux de levée annuel, pour quelques dicotylédones à stock assez persistant, au sein de cultures de céréales d'hiver ou de printemps, labourées ou non. La dynamique de la levée et le stock de semences viables sont enregistrées à partir de populations adventices naturelles au cours de deux années successives et sur 26 parcelles cultivées, appartenant an champ d'essai de Grignon, situé dans le Bassin Parisien. Les résultats montrent une relative constance intra- et inter-annuelle du taux de levée pour des conditions voisines d'implantation de la céréale. La variation résiduelle est expliquée pour une même espèce par la distribution verticale des semences dans la couche labouré et peut-être par l'âge moyen du stock. La variabilityé inter-spécifique du taux de levée est à relier à la taille de la semence, à la période de germination de l'espéce mais aussi au mode d'estimation de la viabilité des semences; cependant l'utilisation de la radiographie industrielle aux rayons X a permis de compenser l'insuffisance des tests de germination et de réduire partiellement cette variabilité. De très faibles taux de levée sont observés enfin en l'absence de labour. Un modèle statistique simple est proposé pour rendre compte de la variabilité de ce taux, pour la flore dicotylédone annuelle, en culture d'hiver labourée.  相似文献   

4.
La connaissance de la longévité des semences enfouies dans les sols cultivés est un élément indispensable à l'estimation des risques d'infestation des parcelles agricoles. Le dispositif expérimental est constitué de parcelles artificiellement infestées par semis de 17 mauvaises herbes annuelles, et cultivées en monoculture de blé d'hiver ou d'orge de printemps. L'évolution annuelle du stock semencier est étudiée sur une période de 5 ans, en l'absence de toute réinfestation par de nouvelles semences. La viabilité des semences est aussi estimée et des analyses de flore permettent d'observer les pertes dues aux levées de plantules. Les résultats montrent que l'evolution du potentiel semencier est plus ou moins rapide selon les espèces; deux groupes ont été constitués: (i) espèces àévolution rapide, à taux annuel de deéroissance voisin de 80%, pour l'ensemble desquelles les levées au champ représentent en moyenne 15% du stock annuel (Alopecurus myosuroides, Avena fatua, Centaurea cyanus, Galium aparine, Lapsana communis et Matricaria perforata); (ii) espèces àévolution lente, à taux annuel de décroissance voisin de 40%; la viabilité des semences de certaines espèces augmente au cours de la conservation; les levées ne représentent en moyenne que 8% du potentiel semencier (Aethusa cynupium, Amaranthus ratro-flexus, Capsella bursa pastoris, Chenopodium album, Euphorbia exigua, Fallopia convolvulus, Kickxia spuria, Papaver rhoeas, Polygonum persicaria, Sinapis arvensis et Viola arversis). Ces résutats montrent la relativement faible persistance des semences dans les sols cultives; ils sont discutés par rapport à d'autres méthodologies dont les plus criticables au plan agronomique concernent les expérimentations en l'absence de travail du sol.  相似文献   

5.
Des dénombrements de populations de doryphores ont été effectués pendant neuf années consécutives le long d'un parcours fixe d'une centaine de kilomètres. Ils ont fait l'objet d'une analyse multidimensionnelle en composantes principales, permettant de résumer graphiquement l'ensemble des observations faites pendant cette période et de regrouper les données qui ont des affinityés entre elles. Une gradation des contaminations est observée entre 1973 et 1979; elle trouve son apogée en 1976-1977. Les adultes de printemps sont alors suffisamment nombreux et actifs sur le littoral pour que quelques individus atteignent Jersey. Le danger potentiel de recontamination des Iles de la Manche par le doryphore reste done actuel. Les analyses ont montré que, dans la plupart des cas, les cultures visitées au cours d'une année se caractérisent par un méme type de développement de l'insecte, lent ou rapide. L'uniformité de développement, lorsqu'elle est observee sur l'ensemble des cultures visitées, indique que les facteurs climatiques ont certainement une influence prépondérante. Certaines Iocalités du littoral révélent cependant des caractéristiques qui leur sont propres et influent sur la multiplication du doryphore.  相似文献   

6.
Dans le cadre d'un programme de lutte intégrée, deux essais de lutte contre la 3e génération de Prays oleae (en petite parcelle et à grande échelle) avaient pour but d'étudier les possibilités de remplacement des insecticides habituellement utilisés par d'autres produits spécifiques et peu toxiques. Bacillus thuringiensis avail entraine un taux de mortalité larvaire proche de 50% alors que l'effet du diflubenzuron n'était pas net comparativement au témoin. La deltaméthrine s'est révélée efficace pratiquement à 100%. Toutefois, le controle des chrysalides dans les bandes-pièges en carton ondulé avait montre une certaine efficacité des deux produits testés qui s'est traduite par une réduction des populations émergeantes de l'ordre de 74 à 79% par rapport au témoin. Il faut préciser que B. thuringiensis n'agit que sur les stades larvaires, alors que le diflubenzuron a une action lente qui se poursuit jusqu'au stade nymphose (mortalité des chrysalides pouvant atteindre 40%). L'action des deux produits s'est poursuivie jusqu'à la génération suivante, mais sculement dans les grandes parcelles. L'effet de la deltaméthrine est plus fortement ressenti à la génération suivante. Les deux produits, et notamment B. thuringiensis, ont présenté l'avantage de préserver la faune auxiliaire en comparaison avec la deltaméthrine qui l'a detruite totalement.  相似文献   

7.
J. SALONEN 《Weed Research》1992,32(6):493-499
Reduction of the dose of MCPA/mecoprop and MCPA/fluroxypyr mixtures to half or one-third of the recommended rates still provided good weed control efficacy in spring wheat (Triticum aestivum L.) and particularly in spring barley (Hordeum vulgare L). The average yield of treated plots was 8% higher in wheat and 1% higher in barley compared with untreated plots. However, yield reductions were observed in 32% of wheat plots and in 43% of barley plots treated with herbicides. The yield responses were poorly correlated with the weed density of mixed weed flora at the time of spraying. No reliable threshold density for chemical weed control was found. Réponses au rendement de céréales de printemps, à des doses d'herbicides réduites La réduction de la dose de MCPA/mecoprop et MCPA/fluroxypyr a la moitié ou au tiers des taux recommandés a encore assure une bonne efficacité herbicide chez le blé de printemps (Triticum aestivum L.) et specialement chez l'orge de printemps (Hordeum vulgare L.). Le rendement moyen des parcelles traitées était de 8% plus élevé chez le blé et de 1%élevé chez l'orge que dans les parcelles non traitees. Cependant, des reductions de rendement ont été observées dans 32% des parcelles de blé et dans 43% des parcelles d'orge traitées aux herbicides. Les reponses du rendement étaient faiblement liées a la densité en adventices d'une flore mixte au moment du traitement. Aucune densité seuil-sérieuse pour le desherbage n'a été trouvée. Ertragsbildung von Sommergetreide bei reduziertem Aufwand von Herbiziden Eine Reduzierung des Aufwands von MCPA-Mecoprop- und MCPA-Fluroxypyr-Mischungen auf die Halfte oder ein Drittel des empfohlenen Aufwands ergab in Sommerweizen (Triticum aestivum L.) und besonders in Sommergerste (Hordeum vulgare L.) noch eine gute Unkrautbekampfung. Im Mittel war der Ertrag der behandelten Parzellen beim Weizen um 8% und bei der Gerste um 1% höher als in den unbehandelten, aber in 32% der Herbizidparzellen mit Weizen und in 43% der mit Gerste wurden Ertragsminderungen beobachtet. Die Ertragsbildung stand kaum in Beziehung zur Unkrautdichte zur Zeit der Behandlung. Es wurde keine verläßliche Schadensschwelle gefunden.  相似文献   

8.
R. MOENS 《EPPO Bulletin》1988,18(2):277-282
L'attaque de mulots sur les semences de betteraves a été suivie en laboratoire et en plein champ. Des observations en cage ont démontré que le rongeur s'attaque aux graines de betteraves à partir du stade 00 (graines sèches) jusqu'au stade 06 (développement de la tigelle dans le sol) avec un maximum pendant le ramollissement de la graine (stades 01 et 02) et le début de la germination (stade 03). L'attaque s'arrête au cours de l'allongement, quand les cotylédons perdent leur contenu farineux (stade 07). Sur le terrain il fut constaté que le rongeur, après avoir détruit 20% d'un premier semis, n'a plus attaqué un second semis, lorsque des postes d'appâtage de noisettes traitées à la chlorophacinone (30 ml du Caïd huileux par kg) ont été installés sur les bords du champ. Les appâts ayant fourni aux mulots une nourriture de substitution, ceux-ci ont renoncéà rechercher les semences dans le sol. Quant à l'effet toxique du rodenticide, celui-ci semble insuffisant et trop tardif pour protéger les semis.  相似文献   

9.
Au Maroc, la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Lepidoptera: Gelechiidae) a été signalée pour la première fois en avril 2008 dans la région de Nador, puis s'est propagée rapidement dans toutes les régions de production de tomates. Depuis sa signalisation, des efforts ont été déployés par la profession et les départements techniques du Ministère de l'Agriculture de la Pêche Maritime (MAPM) pour faire face à ce fléau. Le plan d'action 2008–09 se basait sur la surveillance, les approches techniques de lutte dans le cadre d'un programme de protection intégrée, la sensibilisation et l'encadrement des agriculteurs et la production de supports d'information et de vulgarisation. Pour inciter les agriculteurs à adopter une approche de lutte intégrée contre ce ravageur, des subventions ont été mises en place par le MAPM, pour l'acquisition du filet insect proof et de capsules de phéromone à utiliser pour le piégeage de masse. L’ONSSA a également autorisé de nouvelles spécialités phytosanitaires pour lutter contre T. absoluta en cultures de tomate et de pomme de terre. Cette stratégie a fait l'objet d'une évaluation qui a permis de définir un plan d'action pour 2010–11. Ce plan d'action suit les mêmes axes que la campagne précédente tout en mettant l'accent sur la surveillance du ravageur en cultures de tomates de plein champ, le renforcement du programme de sensibilisation et d'encadrement des agriculteurs et le lancement d'un programme de suivi des résidus de produits phytosanitaires dans les tomates. En 2010–11, les attaques de la mineuse de la tomate ont toujours été maitrisées.  相似文献   

10.
La deltaméthrine appliquée en pulvérisation à la dose de 20 g ha-1 au stade 1 mà 1,20 m du maïs exerce une toxicité marquée sur une population de syrphes en phase d'installation. Le traitement a un effet également négatif sur microhyménoptères adultes, mais neutre en revanche sur une population de Scymnus arrivant 3 semaines plus tard. Le chlorpyriphoséthyl appliqué au stade ‘70% panicules visibles’a un impact plus limité que la deltaméthrine sur syrphes et microhymenoptères, par contre sa toxicité est plus marquée à l'égard de Scymnus. Comme, pendant toute la durée de l'essai, la population de Rhopalosiphum padi dans les deux parcelles traitées est restée inférieure ou comparable à celle du témoin, l'hypothèse d'une relation entre la destruction de certains auxiliaires et la proliferation de pucerons n'est pas vérifiée. Néanmoins, dans trois des 15 essais sur la valeur pratique de la deltaméthrine contre O. nubilalis menés en France en 1980–1983, les populations de pucerons ont augmenté significativement en fin de saison. Les causes du phénomène sont encore mal percues.  相似文献   

11.
Des populations de doryphores sont réguliérement observées depuis 25 ans, au cours de deux visites annuelles. Ces visites ont lieu selon un parcours déterminé, le long du littoral occidental du Département de la Manche. Les dénombrements d'adultes, de pontes et de larves sont effectués par échantillonnage dans une centaine de cultures. Des données quantitatives et suivies ont été recueillies sur la progression de la contamination par les doryphores, soit par déplacement au sol, soit par vol, dans les nouvelles cultures de printemps. La densité des populations imaginales et larvaires et ses variations d'année en année sont connues pour une vingtaine de localités du littoral. Le taux moyen de multiplication des imagos parfaits printaniers (Ipp) reste élevé en dépit de la lutte obligatoire contre le doryphore. Les causes des importantes fluctuations numériques observées tiennent assurément aux caractéristiques biologiques de l'insecte et aux façons culturales propres à la région. La connaissance des caractéristiques du potentiel biotique du doryphore est essentielle à une meilleure compréhension de la dynamique des populations dans le Cotentin et concerne directement le problème de la protection des lies Anglo-Normandes. Ce sont en particulier les capacityés de dispersion et de résistance au jeǔne des Ipp qui ont été analysées au laboratoire alors que le test de l' envol est utilisé comme critère pour expérimenter la capacityé de dispersion du ravageur. L'aptitude à l'envol des doryphores printaniers, qui est nulle immédiatement après l'émergence du sol, croǐt pendant les 10 premiers jours à 25oC. L'éclairage continu épuise rapidement les individus et le jeǔne prolongé ainsi que l'absence d'eau en augmentent la mortalité, mais la capacityé d'envol des survivants reste néanmoins élevée.  相似文献   

12.
L. GARDAN  M. DEVAUX 《EPPO Bulletin》1987,17(2):241-250
Découverte aux Etats-Unis en 1913 par Barss, la bactériose du noisetier est maintenant présente en Italie, Turquie, France, Yougoslavie, Royaume-Uni, URSS, Afrique du Nord et Australie. En France, elle est présente dans les marcottières et dans les vergers. La maladie se manifeste par des annulations de bourgeons, des nécroses de pousses herbacées et de rameaux et par des chancres. Des taches sont aussi observées sur les feuilles, les cupules des fruits et sur la coque (talon noir). La bactérie a une phase épiphylle puisque 104–108 cfu par feuille sont détectées pendant toute la période végétative dans les marcottières et les vergers. Cette phase épiphylle est reproduite par pulvérisation d'une suspension bactérienne. Au microscope électronique à balayage les bactéries ont été localisées. Elles ont aussi été détectées à la surface et dans les bourgeons (10–107 bactéries). Dans les vergers malades le taux de bourgeons contaminés varie de 0 à 90%. Par inoculation des bourgeons par piqûre, les tissus se révèlent sensibles d'octobre à juin. Les méthodes de lutte consistent à produire de jeunes plants sains, à tailler les organes malades et à pulvériser des produits cupriques au printemps et à l'automne.  相似文献   

13.
La désinsectisation des grains et des produits céréaliers par un choc thermique est un moyen simple de lutte curative qui peut être rapidement installé dans les entreprises agro-alimentaires. L'étude d'un procédé de désinsectisation thermique du blé et de ses produits de mouture dans un lit fluidiséà haut rendement est présentée. Il est montré qu'avec un équipement de laboratoire, puis à l'échelle pilote, les lits fluidisés à haute température (60 à 180°C) sont efficaces pour détruire rapidement l'infestation apparente ou cachée sans élever la température du produit au-dessus de 72°C et avec un refroidissement immédiat. Le choc thermique à des températures d'air n'excédant pas 120°C n'altère pas de façon significative l'ensemble des qualités technologiques des produits désinsectisés: blé tendre panifiable, blé dur et semoules. Le prix de revient global du traitement est comparable à celui d'une fumigation. Son usage systématique est possible sur une gamme de produits dérivés des céréales qui ne peuvent recevoir d'application avec un insecticide de contact.  相似文献   

14.
Le nématode des racines noueuses des graminées, Meloidogyne naasi Franklin, est à l'origine de dégâts surtout apparents sur betteraves, mais touchant également les céréales de printemps. Ce nématode ne développe qu'une génération par an. Il passe l'hiver sous forme de juvéniles J2 maintenus en quiescence dans les coques ovaires. L'éclosion simultanée au printemps est à l'origine des dégâts constatés sur les jeunes plantules attaquées. Les céréales d'hiver, telles que blé et escourgeon, ne paraissent pas subir de dégâts notables en raison de leur stade de développement au moment de l'attaque.  相似文献   

15.
J. P. MOREAU 《EPPO Bulletin》1980,10(4):469-474
La persistence de populations de doryphores à des niveaux élevés dans certaines régions de France (et en Europe du Nord au-delà du 45e degré de latitude) a deux causes possibles: la culture de variétés précoces et tardives situées les unes à cǒté des autres, principalement en petites parcelles, et la synchronisation entre les stades de développement de l'insecte et de la plante. La résistance de la pomme de terre à cet insecte a étéétudiée depuis longtemps. Des croisements entre des espèces sauvages de solanacées et Solarium tuberosum ont constitué l'essentiel des directions suivies. De grandes difficultés ont été rencontrées, surtout dans l'obtention d'hybrides à partir des graines, à cause de la variabilityé géographique des réponses de l'insecte et des relations inverses entre la productivityé et les niveaux de glycoalcaloïdes dans les tubercules. A l'heure actuelle, la recherche est surtout axée sur le choix de variétés de S. tuberosum, en fonction de facteurs écologiques et culturaux, et de la physiologie de la plante. Dans le présent travail, sept variétés ont été plantées dans les conditions de plein champ. La ponte des femelles de doryphore, le nombre de larves obtenues, la consommation du feuillage et le rendement de la culture ont été considérés. Un variété (Résy), qui est peu sensible au mildiou, s'est montrée défavorable à la fois aux adultes et aux larves pendant trois années consécutives. Ainsi l'emploi judicieux d'une ou de plusieurs variétés peut affecter la dynamique des populations de ce ravageur. L'utilisation raisonnée des variétés peut ětre utilisée dans des programmes de protection intégrée contre les ennemis de la pomme de terre.  相似文献   

16.
D. PAYEN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):277-281
Un facteur limitant de la contamination du tournesol par Sclerotinia sclerotiorum a été mis en évidence. Ce facteur concerne la présence d'eau libre à la surface du capitule durant 40 heures consécutives; il est sous l'étroite dépendance des conditions climatiques. Un modèle opérationnel a été mis au point pour déterminer, en fonction des paramètres météorologiques standards, la durée d'humectation des capitules de tournesol. Les résultats du modèle ont été confrontés à des observations et ont montré son aptitude à mettre en évidence les longues durées d'humectation. Une simulation a ensuite été effectuée sur une période de 30 années dans plusieurs régions de culture du tournesol, afin de délimiter les zones où le climat est favorable aux épidémies de Sclerotinia sclerotiorum et de déterminer ainsi la potentialité climatique de la maladie en France.  相似文献   

17.
D. CADAHIA 《EPPO Bulletin》1986,16(2):265-283
Ce travail résume la situation phytosanitaire du genre Eucalyptus en se référant aux insectes ravageurs qui mettent en danger les plantations artificielles dans le monde et plus particulièrement dans le bassin Méditerranéen. Parmi les 54 espèces citées, 10 ont dépassé les frontières de leur aire d'origine et, parmi ces derniers, 6 se trouvent sur d'autres continents et 3 dans la région méditerranéenne. Il est fait état aussi des mesures phytosanitaires touchant à la quarantaine, mises en place pour l'Eucalyptusà l'initiative de l'OEPP. Les ravages causés par les insectes polyphages dans la région méditerranéenne sont récapitulés. Les 3 insectes mentionnés sont spécifiquement inféodés au genre Eucalyptus et causent des dégats en région méditerranéenne. La présente étude s'y attache en précisant leur extension et les moyens de lutte susceptibles d'etre mis en oeuvre. En ce qui concerne Ctenarytaina eucalypti quia atteint nos régions durant les années soixante, on assiste à son extension, mais l'action des syrphides prédateurs parvient à en contenir les populations. Quant àGonipterus scutellatus apparu en région méditerranéenne vers 1975, il n'a pas connu l'extension à laquelle on pouvait s'attendre en tenant compte de son potentiel de dispersion élevé. L'espèce demeure peu préoccupante, mais doit faire l'objet d'attention surtout sur les eucalyptus ornementaux où les dégats peuvent etre sensibles. Elle se rencontre sur la Riviera italienne et dans le Midi de la France où ses populations sont controlées par le parasite oophage Patasson nitens. Au cours des dernières années, le ravageur le plus redoutable est certainement Phoracantha semipunctata qui s'est répandu dans la partie occidentale du bassin Méditerranéen. En ce moment, seules la France, la Yougoslavie et la Grèce sont demeurées indemnes. Cette diffusion rapide est à mettre en rapport avec l'état d'extreme déficience des arbres, essentiellement du à la sécheresse et à la pauvreté des sols. La stratégie de lutte menée en Italie s'est révéléc efficace; elle consiste à intervenir dès le début de l'attaque des peuplements en pratiquant des coupes et en utilisant rapidement le bois affecté. De cette facon, l'importance des populations s'est vue considérablement réduite. D'une facon générale, les racines ont donné des repousses vigoureuses sauf dans les cas où les coupes ont été faites tardivement. L'expérience espagnole de lutte par des arbres-pièges sur de vastes étendues est également très intéressante. Par ce moyen il a été possible d'observer une réduction moyenne des populations de 75% avec une rentabilité de 246–611%.  相似文献   

18.
M. MORELET 《EPPO Bulletin》1986,16(3):589-592
Des souches monospores des trois variétés de Venturia tremulae, agent de la tavelure des peupliers de la section Leuce, ont été inoculées à des espèces pures et à des hybrides de cette section. On note chez cet ascomycète une variabilité du pouvoir pathogène, tant intervariétale qu'intravariétale (existence d'au moins deux races au sein de la variététremulae). La résistance, apparemment spécifique, de l'hôte semble être transmise par les mères à leur descendance. La sélection opérée, antérieurement à ce travail, par les améliorateurs, n'a pu tenir compte de cette variabilité, et de ce fait certains hybrides risquent de voir leur résistance surmontée. L'inventaire des pathotypes est en cours de réalisation.  相似文献   

19.
A. VIGOUROUX 《EPPO Bulletin》1986,16(3):527-532
Plus que d'autres espèces, le platane a vu récemment s'élargir l'éventail de ses parasites au point de devenir menacé. Depuis longtemps existaient partout en France plusieurs types d'affections: le champignon Gnomonia veneta qui défeuillait sévèrement les arbres lors des printemps frais et certains champignons lignivores. Mais se sont ajoutés depuis quelques années deux parasites foliaires notables, le champignon Microsphaera platani (oïdium) et l'insecte piqueur Corythuca ciliata. Enfin et surtout, se développe actuellement dans l'extrême sud-est du pays le redoutable parasite Ceratocystis fimbriata f.sp. platani, agent de la maladie du chancre coloré. Introduite à Marseille à la fin de la Seconde Guerre mondiale, la maladie est restée longtemps relativement localisée, mais connaît depuis quelques années une phase d'extension active. Des trous se créent dans des alignements de plusieurs petites villes de Provence et, ponctuellement, des peuplements importants ont été anéantis. En plus de la transmission par les outils d'élagage ou les chocs divers, on a constaté une transmission directe par contacts racinaires et des possibilités importantes de transport et de contamination par l'intermédiaire des engins de terrassement. D'énergiques mesures prophylactiques prenant en compte ces divers éléments commencent àêtre mises sur pied et des travaux de sélection de clones résistants sont envisagés.  相似文献   

20.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

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