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1.
W. Mueller 《EPPO Bulletin》1974,4(3):347-355
Les méthodes biomété orologiques qui intéressent les biologistes appelé s à développer des systèmes de lutte intégrée se distinguent nettement de la climatologie traditionnelle de l'abri. D'une façon générale, les différences peuvent se résumer comme suit: –les investigations se font essentiellement à l' échelle microclimatique; –les instruments sont très élaborés et particulièrement adaptés au but recherché; –l'établissement du réseau d'observations et les périodes d'études dependent des exigences biologiques; –la durée des périodes d'observation est limitée et la densité du réseau climatologique relativement faible grâce au recours à l'échantillonnage représentatif. L'interprétation des résultats biométéorologiques est en général difficile puisqu'il y a souvent superposition de deux ou d'un nombre plus élevé de facteurs. II est done prudent d'inclure également, dans l'appréciation générale, les données de laboratoire et de s'efforcer de remplacer les données plus ou moins empiriques par des fonctions précises. Cette approche est proposée sous la forme d'une étude quantitative du bilan énergétique et hydrique des ravageurs. On peut ainsi obtenir des résultats de portée étendue, reposant sur des données physiques, d'une part, et des renseignements quantitatifs, d'autre part. Un certain nombre de facteurs simples ou composés tels que le vent et la faculté de refroidissement sont à considérer dans les études biométéorologiques puisqu'ils contribuent à caractériser, et partant, à prévoir le comportement des espèces (par exemple l'activité de vol du carpocapse des pommes). En définissant des « types de temps » favorables à l'activité d'un ravageur, il serait possible de prévoir le comportement de l'espèce en question. Enfin, l' étude conjointe des vues prises par satellites à l'aide de films à infrarouge, thermiquement sensibles, et des observations biométéorologiques faites au sol apportera sur le plan macro- et méso-climatique des éléments eminemment utiles au développement de la lutte intégrée.  相似文献   

2.
La région d'Angers (Maine-et-Loire), zone importante de production de pommes, est particulièrement exposée aux dégâts causés par Venturia inaequalis, agent de la tavelure. L'équipement de stations avec un thermohumectographe KIT-INRA et un pluviomètre a permis une étude préalable à l'établissement d'un réseau d'avertissements. Les données collectées à partir des appareils sont interprétées selon les courbes de Mills (avec une modification liée aux risques élevés en Val de Loire). L'interprétation en 1980 et 1981 a été réalisée localement. L'épidémie particulièrement grave en 1981 a permis de préciser la valeur de la méthode d'interprétation et de déterminer l'hétérogénéité des contaminations à l'échelle du département (120 × 80 km). A partir des données obtenues, il est possible de mieux définir les mailles du réseau et de « régionaliser » les informations en vue d'une extension en 1982, prévoyant une centralisation des données et la diffusion par répondeur téléphonique d'un message d'avertissement. Les résultats attendus portent avant tout sur une amélioration de la qualité de la lutte chimique, sur une réduction du nombre des interventions et sur une meilleure utilisation des possibilités offertes par les applications curatives.  相似文献   

3.
D. PAYEN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):277-281
Un facteur limitant de la contamination du tournesol par Sclerotinia sclerotiorum a été mis en évidence. Ce facteur concerne la présence d'eau libre à la surface du capitule durant 40 heures consécutives; il est sous l'étroite dépendance des conditions climatiques. Un modèle opérationnel a été mis au point pour déterminer, en fonction des paramètres météorologiques standards, la durée d'humectation des capitules de tournesol. Les résultats du modèle ont été confrontés à des observations et ont montré son aptitude à mettre en évidence les longues durées d'humectation. Une simulation a ensuite été effectuée sur une période de 30 années dans plusieurs régions de culture du tournesol, afin de délimiter les zones où le climat est favorable aux épidémies de Sclerotinia sclerotiorum et de déterminer ainsi la potentialité climatique de la maladie en France.  相似文献   

4.
Dans une période où l'on parle de plus en plus de lutte raisonnée, il nous a paru utile d' essayer de prévoir les périodes d'évolution de la pourriture grise pour éviter les traitements systematiques décidés a priori sans connaître les conditions climatiques à venir. Nous avons done experimenté, en nous inspirant d' une étude faite á propos de Botrytis cinerea sur fraisier, une méthode utilisant les températures moyennes journalières et une humidité relative supérieure à 90 %. Le but poursuivi dans cette expérimentation est double: a) introduction d' une façon plus compléte des données climatiques, et notamment de l'humidité relative, dans les critzères d'appréciation pour améliorer la technique de lutte qui est actuellement basée sur des interventions à trois stades végétatifs de la vigne, la quatriéme ayant lieu 3 semaines avant la récolte (méthode standard); b) étude de la possibilityé de supprimer les traitements qui se révéleraient inutiles, ce qui est un des objectifs des avertissements agricoles. II serait alors recouru au réseau climatique du Service de la Protection des Végétaux pour fournir, à l' ensemble des viticulteurs d'une région, les indications sur la lutte à entreprendre. Les expérimentations réalisées pendant quatre ans ont donné des résultats intéressants; elles devront étre reprises pour définir les critères à prendre en considération et la façon de les utiliser: températures (diurnes ou nocturnes), humectation des organes de la vigne, humidité. II semble en effet que l' humidité puisse apporter, aussi bien pour cette technique simple que pour la modélisation, des éléments utiles. Les comparaisons faites en 1980, à partir d' une étude sur la modélisation, font apparaître une bonne similitude entre cette stratégie nouvelle et les données fournies (températures moyennes, humidité relative supérieure à 90 %) par un poste météorologique à 2 m, situéà 25 km de la parcelle expérimentale.  相似文献   

5.
Dans le cadre d'un groupe de travail «Modélisation du Botrytis» l'Institut Technique de la Vigne et du Vin en France a entrepris l'étude des réactions de ce parasite à des conditions d'humectation contrôlées. L'essai est réalisé sur une vigne adulte, sous abri plastique; il couvre 1600 m2 et permet, grâce à un dispositif de brumisan'on, l'étude comparative de 12 régimes d'humectation distincts. Après quatre années successives d'expérimentation, basée sur des protocoles évolutifs, les résultats mènent à des observations intéressantes, mais qu'il est toutefois prudent de ne pas étendre inconsidérément à l'ensemble des cépages ou vignobles. L'effet des humectations successives n'est pas obligatoirement additif, une longue période de sécheresse entre la floraison et la véraison aggravant considérablement les attaques à ce dernier stade. Une même durée d'humectation à la véraison ou 12 jours avant la récolte provoque des dégâts identiques. Les contaminations peuvent s'effectuer simplement en présence d'une humidité relative élevée, sans présence d'eau sous forme liquide; cette HR élevée est capable de créer et surtout d'aggraver fortement les foyers de B. cinerea. Les contaminations artificielles ont eu un effet significatif lors de la floraison. A la véraison l'effet est masqué par l'inoculum naturel. L'étude de la réaction de Botrytis cinereaà différentes durées d'HR élevée reste délicate, un seuil exact restant difficile à estimer vu le niveau de précision des appareils utilisés. En outre, le modèle mis au point par Strizyk a fait preuve d'une précision accrue au fil des expérimentations successives; il semble donc bien adapté au cépage méridional utilisé. La stratégie de traitement a permis de réduire de moitié le nombre d'applications de fongicides dans l'essai, l'expérimentation prouvant toutefois qu'une réduction supplémentaire était possible. Il apparaît donc que cette stratégie, basée sur le modèle Botrytis, est prometteuse mais nécessite encore quelques adaptations afin de la rendre encore plus performante. L'étude des réactions de B. cinereaà certains facteurs climatiques permet done, outre l'amélioration de la lutte contre ce parasite, une meilleure connaissance de ses facteurs d'évolution. Il est possible qu'à l'avenir le facteur humidité relative, alliéà l'hiumectation, procure une fiabilité optimale du modèle, et probablement de la stratégie de lutte en découlant.  相似文献   

6.
Les progrès réalisés dans la compréhension des épidémies des maladies des plantes et l'approche systémique prenant en compte, séquence par séquence, les événements qui constituent une épidémie ont permis de mettre l'accent sur la nécessité de mieux préciser les interférences entre le climat, le parasite, l'hôte et la maladie. Ils ont aussi montré qu'à chaque séquence correspondait une hiérarchie des paramètres climatiques. La réalisation de cette hiérarchie permet de regrouper les maladies en fonction de la réponse obtenue à un paramètre climatique et pour une séquence donnée. Les regroupements ainsi réalisés confirment l'intérêt de la notion de « genius epidemicus » proposée par Gäumann. Ces connaissances sont indispensables à la mise au point de techniques de prévision faisant appel à l'agrométéorologie. Elles permettront en outre de réaliser un zonage climatique des risques parasitaires lorsque les coefficients de transfert entre macroclimat et mésoclimat seront mieux connus.  相似文献   

7.
G. MAURIN 《EPPO Bulletin》1983,13(2):263-269
Les modèles de comportement épidémique présentés par Strizyk sont basés sur le concept d'état potentiel d'infection (EPI). Ils proposent une classification des champignons phytopathogènes selon la notion d'énergie. Ainsi, Plasmopara viticola serait un champignon «aG énergie variable» pendant une période s'étendant de novembre de l'année (n-1) à août de l'année n. Les observations effectuées en 1981 montrent que le modèle proposé donne satisfaction à Bordeaux et décrit bien la situation en caractérisant la gravité du mildiou pour les années 1975 à 1981. Une généralisation de ce modèle à d'autres régions de France paraît possible grâce à une fonction de transfert.  相似文献   

8.
La récente extension de l'aire culturale des maïs-grains pose, notamment dans le nord et l'ouest de la France, des problèmes de récolte, de séchage et de conservation. Le stockage à l'état humide, compatible avec l'efficacité nutritionnelle, est alors préconisé. L'anaérobiose, d'une part, et les stabilisants chimiques, d'autre part, représentent deux moyens de limiter la microflore dégradante des grains humides au cours de leur stockage. Les modifications de l'environnement se traduisent alors par un déplacement de l'équilibre biologique et une succession originale des cortèges floristiques. Cette évolution dynamique, établie par des observations répétées et confirmée par l'expérience, est transcrite sur un diagramme qui intègre les paramètres les plus déterminants: gradients d'anaérobiose, d'humidité, de température, de pH, seuil de tolérance vis-à-vis du stabilisant éventuel, sans oublier l'aptitude compétitive des espèces. Dès lors, les relevés floristiques instantanés, mais replacés dans l'échelle temps, prennent une autre signification que l'inventaire statique; des extrapolations sont permises en amont et en aval de la présente étape. Ainsi peut-on retracer, dans une certaine mesure, « l'histoire du lot » ou bien pressentir son comportement ultérieur. La première démarche tend à préciser la qualité biologique et nutritionnelle du substrat; la deuxième autorise des prévisions de conservation.  相似文献   

9.
La matière organique des sols et des substrats de culture donne lieu à des interactions physico-chimiques avec le bromure de méthyle, qui déterminent les propriétés et le devenir du pesticide. La matière organique réduit par adsorption la concentration en pesticide biodisponible dans l'eau ou l'air du sol. L'amplitude et la faible réversibilité du phénomène affectent la bioactivité et le transfert par diffusion en phase gazeuse. Les molécules irréversiblement adsorbées ne présentent plus d'activité pesticide; elles pourraient être à l'origine d'une persistance du pesticide sous forme de résidus liés. La matière organique est également le principal facteur de la dégradation du bromure dc méthyle dans le sol. Sa réactivité varie toutefois en fonction de sa composition et de son degré d'évolution. La vitesse du phénomène est telle que la dégradation doit représenter un élément important dans le bilan du pesticide. Une optimisation des modalités de traitement, visant à diminuer les doses appliquées et le niveau de résidus bromés formés, doit done tenir compte de ces interactions.  相似文献   

10.
Les Avertissements Agricoles en France ont pour objectif de fournir des informations règlementaires, d’aider à la surveillance phytosanitaire du territoire et surtout de donner les moyens de réduire le nombre de traitements. Nos modèles aident essentiellement à cerner les facteurs climatiques, soit en situant globalement le risque de l’année en cours, soit en précisant l’effet de la diversité des climats régionaux. Dans une moindre mesure, les pratiques culturales sont intégrées. Le but reste de formuler des conseils concernant les plages de risques, la nécessité d’un traitement ou non, le choix des produits, les observations à effectuer. La mise en ?uvre des modèles n’est possible qu’en s’appuyant sur un réseau de stations automatiques de climatologie maintenu avec soin. En parallèle un réseau d’observations biologiques est toujours nécessaire. L’utilisation de 28 modèles par les Services Régionaux de la Protection des Végétaux est passée en revue. Au niveau de l’épidémiologie, la question de l’intégration dans un même modèle des paramètres climatiques et agronomiques se pose toujours, ainsi que celle du niveau de complexitéà ne pas dépasser pour garder une bonne robustesse.  相似文献   

11.
Les maladies dues à des micro-organismes vivant dans le sol ne peuvent être caractérisées sans prendre en compte l'ensemble des composants du sol (physiques, chimiques et microbiologiques) où elles se manifestent. C'est pourquoi le concept de potentiel'infectieux du sol proposé se définit comme la quantité d'énergie pathogène stockée et disponible dans le sol. L'expression au champ du potentiel infectieux dépend des facteurs climatiques. Le potentiel infectieux du sol est mesuréà l'aide d'un test biologique appliqué en conditions standards. La relation obtenue entre la quantité de sol et le taux de mortalité sur la population de plantes est modélisée sur la base d'une compétition entre l'agent pathogène et la microflore totale du sol à partir d'un modèle de Lotka-Volterra. Le test biologique et le modèle permettent de caractériser les sols, de déterminer la réceptivité d'un sol à un parasite, de prévoir certains risques de maladie, d'estimer le poids des facteurs climatiques sur la maladie et de prendre en compte les effets directs et indirects des pesticides.  相似文献   

12.
Partant du modèle allemand « PHYTOPROG », on a établi un programme qui utilise directement, c'est-à-dire en temps réel, les relevés horaires provenant du système automatique suisse d'acquisition de données météorologiques ANETZ. Comme le veut le modèle retenu, l'ordinateur calcule chaque jour l'indice correspondant aux 7 jours précédents. On tient ainsi régulièrement compte des périodes critiques, quelles que soient leur longueur ou leur place dans la semaine. Les premières expériences faites ont montré la nécessité d'adapter le modèle primitif aux conditions suisses, adaptation qui a fait ses preuves. L'utilisateur reçoit automatiquement par télex la liste des indices calculés. A lui d'effectuer la somme depuis l'apparition des premières feuilles sur son domaine. Pour cela, il peut procéder de deux façons: ou bien ne retenir qu'un jour dans la semaine ou bien diviser chaque fois l'indice par sept et effectuer ensuite la somme jour par jour. Pour des raisons techniques, on envoie le bulletin complet (toutes les stations considérées) à chaque abonné.  相似文献   

13.
C. SAMIE 《EPPO Bulletin》1983,13(2):15-20
Le chercheur, qui étudie l'action du climat sur la croissance et le développement d'une espèce animale ou végétale est entraîné vers une analyse de plus en plus fine des phénomènes bioclimatiques: il travaille donc à une échelle de temps et d'espace adaptée à l'organisme considéré. L'utilisation opérationnelle, en météorologie agricole, va imposer une transposition des résultats et la référence à un climat qui n'est généralement exprimé que grâce à des mesures normalisées, faites au moyen d'appareils déterminés, installés dans des conditions uniformes. Sans aller jusqu'à l'établissement de véritables fonctions de transfert liant le microclimat au mésoclimat, nous avons pu, grâce à la mise en ?uvre de matériel de campagne, pendant des périodes assez courtes, mettre en évidence quelques relations entre les microclimats locaux et le mésoclimat défini par l'abri météorologique: influence de la végétation environnante (haie, clairière, lisière) et de la topographie en fonction des types de temps; ceci dans le cadre d'une étude de la représentativité des mesures de température sous abri dans le massif du Ventoux (Provence, France).  相似文献   

14.
L'impact des facteurs climatiques et de leurs aléas sur les cultures est évident, et de ce fait l'agrométéorologie est un élément important dans la prévision des risques phytosanitaires. Les connaissances agrométéorologiques influent non seulement sur l'orientation de l'agriculture, notamment en comparant le climat et les exigences écoclirnatiques des cultures et de leurs parasites, mais sont importantes aussi dans le domaine phytosanitaire et lorsque doit être prise la décision d'une intervention. Les facteurs climatiques ont une incidence sur tous les niveaux de la production agricole, et partant, sur la santé des plantes. Dans cette optique, l'amélioration des systèmes pour recueillir les données, comprenant notamment la mise en place d'un réseau plus dense, pourrait être plus bénéfique à la prévision des risques phytosanitaires et à leur modélisation.  相似文献   

15.
E. BRUNEL  M. LAHMAR 《EPPO Bulletin》1983,13(2):201-207
Dans les conditions de l'ouest de la France, la mouche de la carotte, Psila rosae, et la mouche du chou, Delia brassicae, ont une biologie très voisine par le nombre de générations, la faculté des adultes à pondre peu après leur éclosion et leur capacitéà résister au froid hivernal qui se traduit par un arrêt de développement du type diapause. Les pupes de P. rosae, formées d'octobre à janvier, et de D. brassicae, formées d'octobre au début de novembre, peuvent servir d'éléments pour définir le début des éclosions printanières, à condition de les soumettre à un, deux ou trois chocs thermiques de 2–4 ou 6 jours à 15 ou 20°C. Ces chocs ont été appliqués à partir de la fin janvier, après rupture de la diapause, c'est-à-dire au moment où la pupe poursuit son évolution en relation avec les sommes de températures. Pour P. rosae, la longueur du choc thermique n'a pas eu d'incidence, mais le développement de l'insecte a été réduit en fonction du nombre de chocs. En çe qui concerne D. brassicae, la situation était plus complexe: à 15°C, un choc thermique n'avait pas d'effet, mais les chocs subséquents ont accéléré le développement; à 20°C, un ou plusieurs chocs de 2 ou 4 jours demeurèrent sans grande conséquence, alors qu'un choc de 6 jours a sensiblement accéléré l'évolution. La répétition des chocs est restée sans conséquence sur les résultats. Les sorties des adultes se sont trouvées avancées de 20 jours pour P. rosae et de 40 jours pour D. brassicae. Le modèle d'éclosion de ces deux espèces n'a pas été affecté.  相似文献   

16.
R. PERRIN 《EPPO Bulletin》1986,16(3):553-560
Les maladies transmises par le sol représentent la cause principale de dégâts sur graines, plantules et plants repiqués dans les pépinières forestières. Les fontes en pré ou de postémergence constituent la première forme très connue de dégâts pendant les premières semaines qui suivent le semis. A un stade ultérieur, les plantules et les plants repiqués plus âgés peuvent avoir leur croissance ralentie, stoppée ou être tués par la nécrose racinaire, maladie complexe encore assez mal connue. La plupart des espèces de conifères peuvent être atteints à différents degrés: les Pinus, Picea et Larix sont les plus sensibles, alors que les Cupressaceae sont résistants. Pythium spp., Fusarium spp. (particulièrement F. oxysporum) et Rhizoctonia solani, champignons ubiquistes et pléophages, constituent la cause principale de fonte et de pourriture racinaire dans les pépinières européennes. Ces champignons coexistent souvent dans les sols, en particulier dans les pépinières établies depuis longtemps. La cause et la gravité des infections dépendent des conditions de l'environnement; la diagnose et la lutte préventive ne sont pas faciles en pratique. L'efficacité des produits chimiques a tendance à varier beaucoup d'une pépinière et d'une saison à l'autre. La fumigation et le traitement du sol à la vapeur sont les moyens de lutte les plus efficaces, mais ils sont coûteux et d'utilisation difficile au champ. La lutte intégree, combinant le potentiel naturel des sols résistants, des bactéries améliorant la croissance et atténuant les maladies, la capacité protectrice des mycorhizes, et de faibles doses de fongicide, se révèle un moyen très prometteur pour la lutte contre ces maladies.  相似文献   

17.
Le présent travail se réfère àl'étude des différentes contrées viticoles de la province de Valence (Espagne) par rapport à la composition spécifique des attaques des tordeuses de la grappe, à l'importance quantitative des populations et des dommages et àl'évolution des facteurs climatiques (température et humidité) pendant la période 1977–1980. Il est apparu que l'espèce dominante est Lobesia botrana. alors qu' Eupoecilia ambiguella s'est révélée insignifiante. La dynamique des populations du ravageur a été mise en évidence à l'aided'écoclimatogrammes qui montrent une relation étroite entre les données climatiques et les données biologiques, les premières étant déterminantes.  相似文献   

18.
G. Mathys 《EPPO Bulletin》1975,5(2):87-100
L'étude des répercussions des herbicides sur la biosphère a suscité un vif intérêt depuis que la sauvegarde de l'environnement est devenue une préoccupation prioritaire. La documentation qui s'y réfère est encore fragmentaire; elle concerne l'impact de ces produits sur la faune sauvage, les poissons et les abeilles, ainsi que sur le sol et l'eau en général. Il est fait état des recherches dans ces domaines et des conclusions que l'on peut en tirer. L'eau demeure un point vulnérable dans le cadre des applications de certains herbicides en raison des dangers de contamination par la dérive et des possibilités d'infiltration dans les zones de captage d'eau potable.  相似文献   

19.
F. RAPILLY 《EPPO Bulletin》1979,9(3):243-250
Les épidémies en pathologie végétale peuvent être représentées comme un systéme à compartiments comprenant un échange cyclique et un échange simple. Un modéle permettant de simuler une épidémie de septoriose àSeptoria nodorum a été construit. L'interrogation du modéle a permis de dégager les paramétres (vitesse de progression de la surface contagieuse, période de latence, port des feuilles) qui permettent de diminuer la vitesse de progression de L'epidémie par unité de temps et done d'augmenter le niveau de résistance horizontale de la population–hôte.  相似文献   

20.
Le feu bactérien est une maladie de gravité très variable selon les cultures concernées (poirier, pommier, aubépine, cotoneaster, pyracantha). Elle est aussi plus ou moins destructive selon les régions où elle sévit et selon les années. Ces variations ont sans doute des causes multiples, dont l'une est à l'évidence le climat L'influence du climat sur le développement de la maladie a étéétudiée par plusieurs chercheurs. Seule Billing a mis au point en Angleterre, un système («système 1») qui tente de refléter les potentialités du feu bactérien pendant toute l'année végétative. Il est complété par un second système («système 2») intégrant davantage de données, qui précise les risques pendant la période de floraison principale des plantes-hôtes. L'introduction en France, dans le Nord et le Sud-Ouest, du feu bactérien a permis, sur quelques années, de mettre à l'épreuve ces systèmes, à partir d'observations précises: d'une part par un rapprochement entre l'activité globale du feu bactérien observée et celle qui est prévue selon l'étude climatique et, d'autre part, par une étude plus détaillée des dates d'apparition des symptômes à différentes périodes de l'année. Ces premières études ne permettent évidemment pas de porter un jugement définitif sur la validité globale des systèmes de Billing. On peut cependant avancer que, en ce qui concerne la première floraison des poiriers au moins, on n'a pas relevé de contradiction. Pour les secondes floraisons ou en période sèche (été), ou sur d'autres plantes-hôtes, des aménagements ou d'autres observations pourraient améliorer l'interprétation.  相似文献   

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