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1.
Summary Non-destructive observations of the growth of every tuber on nine individual potato plants grown in the field revealed great variation in total number of tubers per plant, total tuber volume per plant and the volumes of individual tubers. The number of tubers was established early but the rates of increase in total and mean tuber volume changed greatly up to a short time before the final harvest. The growth rates of individual tubers on each plant also showed great variation and it was clear that the largest tuber at any one time was not necessarily the largest at a later time. Both the duration of the main period of growth and growth rates varied and acted independently to determine the final size of a tuber.
Zusammenfassung Viele Jahre wurden zur Ernte die Variationen in der Knollenzahl und-gr?sse zwischen und an Einzelpflanzen beobachtet. Die Ursachen für diese Variationen sind schwer verst?ndlich und einer der Gründe ist der Mangel an Information über die Art wie die Einzelknollen w?hrend der Periode des Knollenwachstums wachsen. Die vorliegende Arbeit umfasst die Messung des Volumens aller Knollen von 9 Pflanzen, die in speziellen Gef?ssen im Feld gewachsen waren, zu 7 verschiedenen Terminen zwischen der Knollenbildung und dem Absterben des Krautes. Die Spezialbeh?lter hatten einen mit Sand gefüllten oberen Plastikring, in dem die Stolonen und Knollen wuchsen. Der Sand wurde in Zeitabst?nden entfernt und wieder aufgefüllt, um ein nicht st?rendes Messen des Volumens der Einzelknollen zu gestatten. Die Wurzeln der Pflanzen entwickelten sich im natürlichen Ackerboden unter dem Ring (Abb. 1). Die Zahl der Knollen/Pflanze schwankte zwischen 1 und 12 (Tab. 1) und das Volumen aller Knollen/Pflanze von 60 bis 600 cm3 (Abb. 2). Die Muster der Gr?ssenzunahme variierten. Vier Pflanzen zeigten im allgemeinen eine lineare Zunahme des Volumens, drei eine reduzierte Zunahme in der Mitte des Gr?ssenwachstums und eine steigerte — nach einem langsamen Beginn —die Zunahme (Abb. 2). Die Steigerung im durchschnittlichen Knollenvolumen/Pflanze variierte ebenfalls (Abb. 3), aber infolge der Unterschiede in der Zahl der Knollen/Pflanze, war die Rangfolge der Pflanzen nicht die selbe wie beim Gesamtvolumen. Abb. 4 (a-h) zeigt die Volumenzunahme von Einzelknollen. Die Variation schliesst fast alle theoretischen M?glichkeiten ein (verschiedene Startzeiten, verschiedene Zuwachsraten im Volumen, verschiedene Daten des Wachstumsstillstandes). In der Diskussion werden einige der m?glichen Gründe für die Variabilit?t innerhalb der Pflanze geprüft und es wird versucht, den Schluss zu ziehen, dass die Einzelknollen wahrscheinlich ihr Wachstum selbst bestimmen.

Résumé La variation du nombre et de la taille des tubercules d'une même plante et de différentes plantes au moment de la récolte a été observée depuis de nombreuses années. Les causes de variation sont mal comprises, en particulier parce que l'on manque d'informations sur la croissance de chaque tubercule pris individuellement tout au long de la période de végétation. Cette publication décrit les travaux de mesure du volume de tous les tubercules de neuf plantes cultivées dans des unités spéciales disposées dans le champ; les mesures ont été effectuées à 7 dates entre la tubérisation et le défanage. Les unités spéciales (fig. 1) ont un anneau supérieur rempli de sable dans lequel poussent les stolons et les tubercules. Le sable est enlevé, puis remplacé pour permettre une mesure non destructive du volume de chaque tubercule. Les racines des plantes se développent dans le sol du champ, en-dessous des anneaux. Le nombre de tubercules par plant a varié de 1 ⦏ 12 (tableau 1) et le volume total de tubercules par plante s'est étendu de 60 à 600 cm3 (fig. 2). Les fa?ons de tubériser ont également varié. Les vitesses de croissance en volume de 4 plantes ont été tout le temps linéaires, celles de 3 plantes ont été réduites pendant la moitié de la tubérisation, et celle d'une plante a augmenté après un départ lent (fig. 2). Les vitesses de croissance du volume moyen des tubercules par plante ont été aussi très variables (fig. 3), mais à cause des différences de nombre de tubercules par plante, l'ordre des plantes n'était pas le même que pour le volume brut. La fig. 4 (a-h) montre l'augmentation de volume des tubercules pris individuellement. La variation inclut presque toutes les possibilités théoriques (différentes dates d'initiation, différentes vitesses de croissance de volume, différentes dates de fin de croissance). Dans la discussion, plusieurs des causes possibles de variabilité intra-plante sont examinées et il est suggéré que chaque tubercule détermine très probablement sa propre croissance.
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2.
Summary The natural incidence of growth cracking in tubers of the cultivars Guardian and Record in relation to weather conditions and patterns of tuber growth in 1983–1985 was investigated by harvesting tubers three times per week throughout each growing season. The incidence of cracking in tubers of Record was greatest in 1983 and 1984, and was associated with re-wetting of soil after prolonged dry periods. In Guardian, the incidence of cracking in tubers was greatest in 1985 and was associated with wet soil conditions and rapid tuber growth. Two forms of growth cracking can occur: the one associated with rewetting of soil after tuber growth has stopped, the other with rapid tuber growth and high turgor. This report reconciles the findings of two earlier reports on growth cracking and the underlying causes of the disorder are discussed.
Zusammenfassung In Versuchen, mit denen das natürliche Auftreten von Wachstumsrissen in Bezug zur Witterung untersucht werden sollte, wurden Knollen von zwei anf?lligen Sorten, Guardian und Record, w?hrend der Zeit des Knollenwachstums dreimal w?chentlich geerntet und der Umfang und die Schwere der Risse gewertet. In den beiden warmen (Abb. 1) und trockenen (Abb. 2) Jahren 1983 und 1984 war das Auftreten von Wachstumsrissen an den Knollen der Sorte Guardian nur gering (Abb. 3), und es gab keine Beziehung zu irgendwelchen besonderen Witterungsverh?ltnissen. In den gleichen Jahren waren bei der Sorte Record 4% bzw. 12% der geernteten Knollen rissig (Abb. 3). Die Wachstumsrisse bei Record wurden in Verbindung gebracht mit der Wiederbefeuchtung des Bodens nach l?ngerer Trockenheit. Die Ermittlungen des Knollenertrages (Abb. 5) und der Knollentrockenmasse wiesen darauf hin, dass das Reissen dem Ende des Knollenwachstums folgte und verbunden sein kann mit einem schnellen Anstieg des Wassergehaltes der Knolle. In der Wachstumsperiode 1985 (Abbildungen 1 und 2) war das Auftreten der Wachstumsrisse bei der Sorte Record gering und nicht an besondere Witterungsverh?ltnisse gebunden. Im Gegensatz dazu traten bei Guardian bemerkenswert h?ufig Risse auf, 14% der geernteten Knollen waren gerissen (Abb. 3). Die Wachstumsrisse bei Guardian standen in Verbindung mit nassen B?den und einer Periode sehr schnellen Knollenwachstums. Die Wachstumsrisse bei Guardian schienen das Ergebnis eines überm?ssigen hydrostatischen Druckes in schnell wachsenden Knollen zu sein. Es gab zwei verschiedenen Formen von Wachstumsrissen (Abb. 4), wovon jede typisch war für eine der untersuchten Sorten. Dieser Bericht best?tigt die Ergebnisse früherer Berichte über Wachstumsrisse, und es werden die dieser Sch?digung zugrunde liegenden Ursachen diskutiert.

Résumé Dans des expérimentations destinées à observer l'incidence naturelle des craquelures de croissance et à établir un rapport entre celles-ci et les conditions climatiques, des tubercules de deux cultivars sensibles, Guardian et Record ont été prélevés trois fois par semaine pendant toute la période de grossissement des tubercules. L'incidence et la sévérité des craquelures ont été enregistrées. En 1983 et 1984, en périodes de croissance à la fois chaudes (figure 1) et sèches (figure 2), l'incidence des craquelures sur les tubercules de Guardian était basse (figure 3) et n'était pas en relation avec un modèle climatique particulier sur Record, les mêmes années, respectivement 4% et 12% des tubercules prélevés étaient craquelés (figure 3). Les craquelures de croissance sur Record étaient associées à une réhumectation du sol après des périodes de sécheresse prolongées. Les déterminations de rendement (figure 5) et de teneur en matière sèche des tubercules montraient que les craquelures faisaient suite à l'arrêt de croissance des tubercules et pouvaient être associées à une augmentation rapide de la teneur en eau des tubercules. En 1985, en période de croissance humide (figure 1 et 2) l'incidence des craquelures de croissance sur Record était basse (figure 3) et n'était pas en relation avec des modèles climatiques particuliers. Par contre, il y avait une occurrence marquée de craquelures sur Guardian: 14% des tubercules prélevés étaient craquelés (figure 3). Les craquelures de croissance sur Guardian étaient associées à des sols humides et à une période de très rapide croissance des tubercules. Elles semblaient être le résultat d'une pression hydrostatique excessive dans les tubercules ayant grossi trop rapidement. Il y a eu deux formes distinctes de craquelures de croissance (figure 4), typiquement liées à la variété étudiée. Ces travaux complètent les résultats des premiers rapports sur les craquelures de croissance et les causes sous-jacentes de confusion sont discutées.
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3.
Summary The rate of O2-uptake and CO2-output, at 10°C., of tubers (var.Majestic) soon after they were formed at the end of June was about 50 ml/kg/hr, and fell during development to final values, before the death of the foliage, of the order of 4–5 ml/kg/hr. The quotient CO2/O2 remained within the range 0,85–1,19. The respiration of the tubers per plant calculated for field temperature, rose from about 6–7 ml/hr at the end of June to a peak value of 25–30 ml/hr in mid-August and thereafter fell. The results given here, coupled with observations on foliage respiration, and on the effect of temperature on respiration, suggest that increased respiration plays only a minor part in the reduction in yield which is observed at high temperatures. The mechanism of this reduction is discussed.
Zusammenfassung Die O2-Aufnahme und CO2-Abgabe bei 10°C durch Knollen der SorteMajestic belief sich kurz nach ihrer Bildung am Ende Juni auf ungef?hr 50 ml/kg/Std. und field w?hrend der Weiterentwicklung bis zum Absterben des Krautes auf den Endwert 4–5 ml/kg/Std. (abb, 1 und 2). Der Quotient CO2/O2 blieb innerhalb des Bereiches von 0,85–1,19. Die Atmung aller Knollen pro Pflanze — berechnet für Feldtemperaturen — stieg von ungef?hr 6–7 ml/Std. Ende Juni auf einen H?chstwert von 25–30 ml/Std. um Mitte August, wenn die Knollen sich ihrer maximalen Gr?sse n?herten oder sie erreicht hatten, aber immer noch mit dem Blattwerk verbunden waren. Nachher fielen die Werte für die Atmung der Knollen pro Pflanze. Die Erstellung einer Kohlenstoffbilanz ergab ungef?hr, dass in der Mitte der aktivsten Periode des Knollenwachstums im Jahr 1961 die durchschnittliche t?gliche, von der Pflanze assimilierte Menge von CO2 etwa 14 g betrug. Davon wurden zirka 13% in die Trockensubstanz des Krautes eingebaut, etwa 7% wurden durch das Kraut veratmet und der Rest in die unterirdischen Teile abgeführt, wo weitere 2% für das Wachstum und die Atmung der Wurzeln und ungef?hr 7% für die Atmung der Knollen verbraucht wurden. Etwas mehr als 70% gelangten in die Trockensubstanz der Knollen. Die hier wiedergegebenen Resultate, verbunden mit Beobachtungen über die Wirkung der Temperatur auf die Atmung, deuten an, dass erh?hte Atmung nur von geringerer Bedeutung ist für die bei hohen Temperaturen beobachtete Verminderung des Ertrags. Die Art und Weise dieser Ertragseinbusse wird besprochen.

Résumé Les quantités d'oxygène (O2) absorbées et d'anhydride carbonique (CO2) exhalées à 10°C, par des tubercules de la variétéMajestic sit?t après leur formation à la fin juin est d'environ 50 ml/kg/h; ces quantités tombent durant le développement, avant la mort du feuillage, à des valeurs finales de l'ordre de 4–5 ml/kg/h (fig. 1 et 2). Le rapport CO2/O2 restait dans les limites 0,85–1,19. La respiration des tubercules d'une plante, calculée à la température du champ, s'élevait de quelque 6–7 ml/h à la fin juin, à la valeur maximum de 25–30 ml/h à la mi-ao?t, au moment où les tubercules avaient atteint ou presque leur grosseur maximum mais étaient encore attachés à un feuillage en fonctionnement. Après cela, la respiration des tubercules d'une plante diminuait. Un bilan approximatif du carbone indiquait qu'à la moitié de la période la plus active de croissance du tubercule, en 1961, la quantité moyenne journalière de CO2 assimilée par la plante était d'environ 14 g. De ceux-ci, 13% environ sont incorporés dans la matière sèche des fanes, quelque 7% sont utilisés dans la respiration des fanes, le restant étant transféré dans la partie souterraine; 2% sont alors utilisés dans la croissance et la respiration des racines, 7% environ dans la respiration des tubercules et 70% au moins sont incorporés dans la matière sèche des tubercules. Ces résultats et ceux provenant d'observations sur l'effet de la température sur la respiration suggèrent que l'accroissement de la respiration joue seulement un r?le mineur dans la réduction de rendement observée à hautes températures. Le mécanisme de cette diminution de rendement est discuté.
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4.
Summary The development of potato tubers was observed on plants in which second-growth was experimentally induced by heat treatment. Secondgrowth could be induced by subjecting the whole plant, the underground parts only or the foliage only to high temperature (32°C) for 7 days. The growth of the primary tubers stopped after the initiation of secondary tubers. This cessation of growth of the primary tuber is not a prerequisite for second-growth, but results from the dominance of the secondary tuber. Depending on which part of the plant was subjected to heat, different forms of secondgrowth occurred such as elongated tubers, bottlenecks and chain-tuberization. It is supposed that the origin of these forms depends on the strength of the elongating influence. This strength manifests itself in the time of occurrence of sprouts and in their number and length.
Zusammenfassung Zwiewuchserscheinungen bei Kartoffelknollen k?nnen veranlasst werden, indem die Pflanzen hohen Temperaturen ausgesetzt werden. Dies wirft weitere Fragen auf. Eine betrifft die Rolle, welche die ober-und unterirdischen Teile der Pflanze bei der Induktion von Zwiewuchserscheinungen spielen, wenn sie hohen Temperaturen ausgesetzt werden. Eine zweite bezieht sich auf das Verh?ltnis zwischen dem Wachstum der Prim?r- und der Sekund?rknollen. Die Entwicklung der Knollen wurde w?hrend und nach der Induktion von Zwiewuchserscheinungen beobachtet. Die Pflanzen wurden in einer N?hrl?sung im Glashaus bei 16°C kultiviert. Es wurde die vonHoughland (1950) beschriebene Methode für den Anbau von Kartoffelpflanzen in einer N?hrl?sung angewandt mit der Ausnahme, dass die Knollenbeh?lter mit feuchtem Flussand gefüllt wurden statt mit Sumpfmoos. Der Sand wurde von Zeit zu Zeit weggespült, um die Kartoffeln messen zu k?nnen, und dann wieder eingefüllt. In Knollenbeh?ltern, die mit Sand gefüllt wurden, konnte eine frühere Knollenbildung erreicht werden als in solchen ohne Sand. Das Knollenwachstum wird als Volumenzunahme ausgedrückt. Die Knolle wurde als ann?hernd ellipsoid und ihr Volumen deshalb als 1/6 π abc angenommen (a, b und c bedeuten die L?nge der drei Knollenachsen). Zwiewuchserscheinungen wurden ausgel?st, indem ganze Pflanzen oder nur die unterirdischen Teile oder nur das Kraut w?hrend 7 Tagen einer Temperatur von 32°C ausgesetzt wurden. Dietabelle zeigt die Unterschiede zwischen den Verfahren in bezug auf den Zeitpunkt des Auskeimens sowie die Zahl der gekeimten Knollen und die Anzahl Sekund?rknollen. Das Wachstum der prim?ren Knollen h?rte nach Beginn des Wachstums der sekund?ren Knollen auf und nicht vor dem Auskeimen, wie von verschiedenen Autoren angenommen wird (abb. 2). Dies beweist, dass vorzeitiges Abreifen der prim?ren Knollen durch Trockenheit nicht notwendig ist. Dieser Stillstand im Wachstum der prim?ren Knollen ist keine Vorbedingung für den Zwiewuchs, sondern rührt von der Dominanz der sekund?ren Knollen her. Je nachdem, welcher Teil der Pflanze der Hitze ausgesetzt war, traten verschiedene Formen von Zwiewuchs auf, zum Beispiel verl?ngerte Knollen, hantelf?rmige Knollen und Kettenbildung (abb. 3). Es wird vermutet, dass die Entstehung dieser Formen von der St?rke des L?ngenwachstumseinflusses abh?ngt. Diese Einwirkung wird veranschaulicht durch den Zeitpunkt des Auftretens von Keimen sowie durch ihre Zahl und L?nge (tabelle). In diesem Versuch wurde Zwiewuchs im Vergleich zu andern Versuchen mit einer kürzeren Tagesl?nge und weniger Stickstoff prompt induziert (abb. 1). Daraus wird angenommen, dass die Induktion von Zwiewuchserscheinungen auch von andern Faktoren als der Hitze, welche das Wachstum der Keime stimuliert, abh?ngig ist, zum Beispiel von einem Langtag und einer hohen Stickstoffgabe.

Résumé On peut induire une seconde croissance dans les tubercules de Pomme de terre en soumettant les plantes à une température élevée. Ceci amène d’autres questions. L’une concerne la part jouée dans l’induction de la seconde croissance par les parties aériennes et souterraines de la plante quand elles sont soumises à de hautes températures. Une seconde concerne la relation entre la croissance de tubercules primaires et de tubercules secondaires. On a observé le développement des tubercules pendant et après l’induction de la seconde croissance. Les plantes ont grandi dans une solution nutritive en serre à 16°C. On a utilisé la méthode décrite parHoughland (1950) pour le développement de plantes de pomme de terre dans une solution nutritive, sauf que les chambres à tubercules étaient remplies avec du sable de rivière humide au lieu de sphaigne. Le sable était enlevé à intervalles pour permettre la mensuration des tubercules et puis replacé. La tubérisation était plus précoce en chambres à tubercules avec sable que sans sable. La croissance des tubercules est exprimée par l’augmentation du volume. Le tubercule est supposé se rapprocher d’une ellipso?de, son volume était par conséquent pris comme suit: 1/6 π abc (a, b et c étant la longueur des trois axes du tubercule). La seconde croissance était induite à la suite d’une exposition des plantes entières à 32 C durant 7 jours, ou des seules parties souterraines on du seul feuillage. Letableau montre les différences entre les traitements dans le temps de germination et dans le nombre de tubercules germés et de tubercules secondaires. La croissance des tubercules primaires s’arrêtait après l’initiation des tubercules secondaires mais pas avant la germination, ainsi que supposent plusieurs auteurs (fig. 2). Ceci prouve qu’une maturation prématurée des tubercules primaires par la sécheresse n’est pas néccssaire. La cessation de la croissance du tubercule primaire ne constitue pas une condition préalable à la seconde croissance, mais est le résultat de la dominance du tubercule secondaire. Suivant la partie de la plante qui était soumise à la chaleur, différentes formes de seconde croissance apparaissent, telles que: tubercules élongés, en col de bouteille et tubérisation en chaine (fig. 3). On suppose que l’origine de ces formes dépend de la force de l’influence d’élongation. Cette force se manifeste dans la promptitude de l’apparition des germes, ainsi que dans leur nombre et leur longueur (tableau). Dans cette expérience la seconde croissance était induite rapidement (fig. 1) par comparaison avec les expériences avec longueur de jours écourtée et avec diminution d’azote. On conclut que l’induction de la seconde croissance dépend aussi d’autres facteurs que la chaleur, facteurs tels que jours longs, apport élevé d’azote, qui stimulent le développement des bourgeons.
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5.
Summary Majestic potatoes were sprayed with N-dimethylaminosuccinamic acid (B9) as tubers were forming and again 2 weeks later. Treated plants had shorter stems and less leaf area than untreated plants but the same total leaf dry weight, because dry weight per unit area was increased. Plants sprayed with B9 at 5 g/l had 20% less leaf area than untreated plants at the time of maximum leaf area (end of July). Treatment increased tuber number, and increased rate of tuber growth, especially soon after spraying. The effects of seed size and B9 on tuber number were independent. Checking top growth increased tuber growth rate at first, implying that the leaves became more efficient in increasing tuber dry weight.
Zusammenfassung Saatkartoffeln der SorteMajestic mit einem Knollengewicht von 40 bis 100g wurden am 16. April 1965 ausgepflanzt; am 16. Juni (Ernte 1), zur Zeit der Knollenbildung also, wurden einige Pflanzen zwecks Bestimmung der Blattfl?che sowie der Trockensubstanz von Pflanzenteilen als Muster entnommen. Einige Parzellen wurden mit dem Wachstumsregulator N-dimethylamino-Bernsteins?ure (B9) mit einer Konzentration von entweder 1 g/l oder 5 g/l besprüht. Am 30. Juni wurden wieder Pflanzen als Muster entnommen (Ernte 2). Weitere Muster wurden am 28. Juli, 25. August und 4. Oktober entnommen (Ernten 3, 4 und 5). B9 hatte wenig Einfluss auf das Blattgewicht, weil es das Trockensubstanzgewicht pro Fl?cheneinheit erh?hte, obwohl es die Blattfl?che pro Pflanze verkleinerte. Die Stengel wurden stark verkürzt (Abb. 1) und ihr Trockensubstanzgewicht verringert. Durch das Besprühen wurde das Knollengewicht erh?ht, besonders kurz nach dem Spritzen. Das gesamte Pflanzengewicht wurde durch die Behandlung nicht signifikant beeinflusst (Tabelle 1 und 2). Der Blattfl?chenindex von behandelten Pflanzen (Konzentration 5 g/l) war 20% geringer als von unbehandelten bei der 3. Ernte (Abb. 2). Die Behandlung hatte eine gr?ssere Knollenzahl zur Folge (Tabelle 3). Die Saatgutgr?sse beeinflusste die Wachstumsrate und die Knollenzahl ebenfalls (Abb. 4). Die Einflüsse von Saatgutgr?sse und B9 auf die Knollenzahl waren voneinander unabh?ngig. Hemmung des Triebwachstums bewirkte, dass sich mehr Trockensubstanz in den Knollen bildete. In Tabelle 4 wird die Netto-Assimilations-rate der ganzen Pflanze (Ep) mit der Netto-Akkumulationsrate der Trockensubstanz in den Knollen (Et) verglichen. Es hat den Anschein, dass der Wachstumsregulator zwei verschiedene Wirkungen auf die Kartoffelpflanze hatte: erstens erh?ht er den Prozentsatz an Trockensubstanz, die in die Knollen einwandert, und zweitens erh?lt er den Blattfl?chenindex n?her beim optimalen Wert. Obwohl durch das Besprühen die Blattfl?che abnahm, blieb der Endertrag an Trockensubstanz in den Knollen unbeeinflusst. Der Wachstumsregulator f?rderte Zwiewuchs und Wassergehalt der Knollen (Abb. 3). Die Nachkommenschaft von Knollen behandelter Pflanzen wuchs anfangs langsamer als Nachkommen unbehandelter Pflanzen, entweder weil der Wachstumsregulator in den Knollen fortbestand oder weil der Wachstumsregulator die Menge an endogenen Wachstumssubstanzen verringerte.

Résumé Des plantes de pomme de terreMajestic de calibrage compris entre 40 et 100 g ont été plantés le 16 avril 1965 et quelques plantes étaient échantillonnées le 16 juin (Récolte 1), juste à la formation des tubercules, pour déterminer la surface foliaire et la matière sèche des parties de la plante. Certaines parcelles furent pulvérisées avec le régulateur de croissance acide N-diméthylaminosuccinamique (B9) à une concentration soit 1 g/l, soit 5 g/l. Des plantes étaient échantillonnées de nouveau le 30 juin (Récolte 2) et les mêmes parcelles pulvérisées avec B9. D'autres échantillons furent prélevés les 28 juillet, 25 ao?t et 4 octobre (Récoltes 3, 4 et 5). B9 a peu d'effet sur le poids des feuilles parce que s'il diminue la surface foliaire par plante, il augmente le poids sec par unité de surface. Les tiges sont fortement raccourcies (Fig. 1) et leur poids sec diminué. La pulvérisation augmente le poids du tubercule particulièrement aussit?t après le traitement. Le poids total de la plante n'est pas significativement affecté après le traitement (Tableau 1 et 2). L'index de surface foliaire des plantes traitées avec 5 g/l est 20% en moins que celui du témoin de Récolte 3 (Fig. 2). Le traitement accro?t le nombre de tubercules (Tableau 3). Le volume du plant influence aussi la vitesse de croissance et le nombre de tubercules (Fig. 4). Les effects du volume du plant et de B9 sur le nombre de tubercules sont indépendants. L'arrêt de la croissance du sommet provoque une plus grande accumulation de matière sèche dans les tubercules et le Tableau 4 donne la comparaison du cours de l'assimilation nette de matière sèche de la plante entière (Ep) et des tubercules (Et). Il appara?t que le régulateur de croissance a deux actions distinctes sur la plante de pomme de terre (1) il accro?t le pourcentage de matière sèche qui pénètre dans le tubercule, et (2) il maintient l'index de surface foliaire plus proche de la valeur optimale. Bien que la pulvérisation diminue la surface foliaire, la production finale de matière sèche dans les tubercules n'est pas affectée. Le régulateur de croissance accro?t une seconde croissance et la teneur en eau des tubercules (Fig. 3). La descendance des tubercules des plantes traitées poussent d'abord plus lentement que la descendance de plantes non traitées soit parce que le régulateur de croissance persiste dans les tubercules, soit parce que le régulateur de croissance diminue la quantité de substances de croissance endogènes.
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6.
Summary The influence of the place of a stem in the hill was studied for three years in different potato stands in field experiments. Single-sprouted seed pieces were used to build up hills with either 1, 3 or 5 main stems. By harvesting the stems separately and collecting and analysing the tubers from each stem it was possible to describe the tuber populations according to the variables tuber weight and dry matter content. The results show that the mean value and the standard deviation of tuber weight were affected by the place of a stem in the hill. The tuber yield per hectare is also affected by this and by the distribution of the stems in the field. The effect of the place of the stem in the hill on dry matter content of the tubers is not very clear. However, the amount of dry matter accumulated is clearly related to the place of the stem in the hill.
Zusammenfassung In dieser Untersuchung wurde die Hypothese geprüft, ob der Ort eines Triebes in der Pflanze das Knollenwachstum und die Anh?ufung von Trockensubstanz beeinflusse. Mit Hilfe von einkeimigen Saatknollenstücken wurden drei verschiedene Typen von Stauden gebildet (Abb. 1). Bei Verwendung verschiedener Typen von Best?nden war es auch m?glich festzustellen, ob eine Interaktion bestand zwischen dem Ort des Stengels und dem Typ des Bestandes. Es ist offensichtlich, dass der Platz eines Stengels in der Pflanze das durchschnittliche Knollengewicht und die Standardabweichung der Knollen beeinflusst (Tabellen 2 und 3). Die Ergebnisse zeigen auch, dass die Verteilung der Stengel im Feld den Knollenertrag beeinflusst und dass eine gleichm?ssige Verteilung der Stengel einen h?heren Ertrag gibt als in Gruppen gepflanzte Stengel (Abb. 2). Der Einfluss des Platzes eines Stengels in der Pflanze auf den Trockensubstanzgehalt der Knollen ist nicht sehr klar (Tabellen 4 und 5). In einigen F?llen zeigten die erzielten Ergebnisse einigen Einfluss des Platzes. Der Einfluss des Ortes eines Stengels in der Pflanze auf die Trockensubstanzanh?ufung in Knollen, die zu einem bestimmten Stengel geh?ren, ist in einigen Best?nden sehr ausgepr?gt (Abb. 3). Die Ergebnisse der Untersuchung weisen klar auf die Wichtigkeit hin, bei aller Forschungsarbeit mit Kartoffeln den Platz der Stengel in der Pflanze und im Bestand in Betracht zu ziehen.

Résumé Le but de cette recherche est de voir si l’espace réservé à une tige dans la butte influence la croissance du tubercule et l’accumulation de la matière sèche. On réalise trois types différents de butte au moyen de simples fragments de plant germé (fig. 1). En utilisant des types différents de situation, il est également possible de voir s’il existe une quelconque interaction entre l’espace réservé à une tige et le genre de position. Il para?t évident que l’espace réservé à une tige influence le poids moyen des tubercules et la déviation standard de la population de tubercules (tableaux 2 et 3). Les résultats montrent aussi que la répartition des tiges dans le champ influence la production de tubercules et qu’une égale répartition des tiges donne une production plus élevée que lorsque les tiges sont groupées (fig. 2). L’effet de l’espace réservé à une tige dans la butte sur la teneur en matière sèche n’appara?t pas clairement (tableaux 4 et 5). Dans quelques cas, on obtient des résultats qui montrent une certaine influence de l’espace. L’effet de l’espace réservé à une tige dans la butte sur l’accumulation de la matière sèche par les tubercules d’une certaine tige est très prononcé dans quelques dispositions (fig. 3). Les résultats de la recherche indiquent clairement l’importance de considérer dans toute recherche sur la pomme de terre l’espace réservé aux tiges dans la butte et leur disposition.
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7.
Summary A mixture of NAA at 10 mg 11+BA at 1 mg 11 caused increases in growth rates of treated tubers of potato. Sub-irrigation and foliage sprays with the same mixture caused tuber initiation and increased the growth rates of some of the tubers. In a field study substantial increases in tuber number and final tuber volume per plant were recorded.
Zusammenfassung Die Faktoren, die die Knollenbildung und Wachstumsrate bestimmen, sind wenig bekannt. Die ?usserliche Anwendung verschiedener Wachstumsregulatoren, die getrennt auf Einzelknollen von Pflanzen, die in Spezialbeh?ltern wuchsen (Abb. 1), aufgetragen wurden, brachte wenig Ergebnisse, die kommerziell nützlich sein konnten. Eine Mischung aus NAA (10 mg/l) und BA (1 mg/l), in der selben Weise angewendet, schien jedoch das Wachstum der meisten behandelten Knollen zu f?rdern (Abb. 2). In einem 2. Versuch wurde die gleiche Mischung direkt auf ausgesuchte Knollen gegeben und es zeigte sich wieder eine Wachstumssteigerung bei einigen (Abb. 3d-f). Wurden die Wurzeln mit dieser Mischung behandelt, so beschleunigte sich das Wachstum einiger Knollen und in zwei von drei Pflanzen wurde das Wachstum des Knollenansatzes gef?rdert (Abb. 3g-j). Blattspritzungen führten zu einer starken Knollenbildung (Abb. 3k-m). In einem dritten Versuch wurden pro Woche 3 oder 7 Mal die Stengel gespritzt und das führte zu einem signifikanten Anstieg in der Knollenzahl und im Gesamtknollenvolumen/Pflanze (Tab. 2). Abweichungen von den genannten Konzentrationen oder im Verh?ltnis der beiden Wachstumsregulatoren ergaben einen Wirkungsverlust. Der Wirkungsmechanismus ist noch nicht gekl?rt.

Résumé Les facteurs qui contr?lent la tubérisation et la croissance des tubercules ne sont pas très bien compris. Plusieurs substances régulatrices de la croissance ont été appliquées seules sur des tubercules de plantes cultivées dans des unités spéciales (fig. 1), mais peu d'information commercialement utilisable n'a p? en être tiré. Toutefois, un mélange de NAA (10 mg 11) plus BA (1 mg 11) appliqué de la même fa?on semble stimuler la croissance de la plupart des tubercules traités (fig. 2). Dans une seconde expérimentation, des applications du même mélange, faites encore directement sur les tubercules sélectionnés, favorisent la croissance de certains d'entre eux. Appliqué sur les racines, le mélange favorise la croissance de quelques tubercules ainsi que le début de tubérisation sur deux ou trois plantes (fig. 3g-j). Pulvérisé sur le feuillage, le mélange provoque une importante tubérisation (fig. 3k-m). Dans une troisième expérimentation en plein champ, la pulvérisation sur le feuillage trois à des accroissements significatifs du nombre de tubercules (tableau 2). Lorsqu'on s'écarte des concentrations établies ou du rapport des deux substances de croissance, ces effets disparaissent. Les mécanismes impliqués ne sont pas compris.
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8.
Summary Maturity in the potato crop is, as yet, ill defined. In an experiment in which nitrogen was applied pre-planting in six treatments, the opportunity was taken to follow changes in growth and development together with changes in three possible measures of physiological activity. A sudden decline in the concentration of sugars in the petiole sap was best associated with changes in crop growth development and may be an appropriate indicator of the onset of maturity and then senescence.
Zusammenfassung Das Einsetzen von Reife und Seneszenz bei Kartoffeln ist nicht genau definiert. Bekannt sind jedoch eine Reihe von Faktoren, um dieses zu modifizieren: zum Beispiel die Stickstoffversorgung. In einem Versuch wurde der Stickstoff (als Kalksalpeter, ‘nitrochalk’) ausgelassen (N0) oder mit 40, 80, 160 und 240 kg ha−1 zur Pflanzzeit (N1 bis N4 entsprechend) verabreicht. Eine gesplittete Anwendung von N, 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 zur Pflanzung und 80 kg ha−1 eine Woche nach Knollenbildung (N5) war eingeschlossen. Unterschiede im Blattfl?chenindex (LAI, Abb. 1), Gesamtproduktion an Trockenmasse (Abb. 2) und Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Abb. 3) wurden untersucht, um den Einfluss des Grades der Stickstoffanwendung auf das Einsetzen der Seneszenz (Abb. 1 und 2) und der Reife (Abb. 2 und 3) zu ermitteln. Die Konzentrationen an Gesamtchlorophyll (a+b) in ausgebreiteten Bl?ttern (Abb. 4 und 5) und die Zuckerkonzentration (Abb. 6) sowie die Nitrationen (Abb. 7) im Saft der Petiolen wurden untersucht, um m?gliche physiologische Indikatoren für das Einsetzen von Reife und Seneszenz zu erhalten. Die Konzentration des Gesamtchlorophylls in den Bl?ttern war zu jeder Zeit eine Funktion der H?he der Stickstoff-Applikation (Abb. 5) und sank graduell w?hrend des sp?teren Teils der Wachstumsperiode (Abb. 4). Es bedurfte keiner Kennzeichnung der Schwellenh?he für das Einsetzen der Seneszenz. Die Konzentration sowohl an Saccharose wie auch NO3 im Petiolensaft zeigte scharfe Rückg?nge (Abb. 6 und 7), welche unter Einfluss hoher N-Gaben sp?ter erfolgten. Dennoch zeigt ein Vergleich der Zeiten dieser kurzen Rückg?nge mit Ver?nderung beim LAI, bei der Gesamttrockenmasse-Produktion und der Trockenmasse-Konzentration der Knollen (Tabelle 1), dass die Ver?nderung in der NO3-Konzentration nicht mit Ver?nderungen in Pflanzenwachstum und-entwicklung assoziiert war; der Abfall der Saccharose-Konzentration stimmte jedoch gut überein.

Résumé Le début de la maturité et de la sénescence de la culture de pomme de terre n'est pas bien défini mais on connait un certain nombre de facteurs qui le modifient, par example la nutrition azotée. Dans cette expérimentation l'azote est apporté aux doses de 0-40-80-160 et 240 kg/ha à la plantation (respectivement N0 à N4). Un double apport d'azote, 80 kg/ha à la plantation et 80 kg/ha une semaine après la tubérisation (N5) est inclu à l'essai. La modification de l'index de Surface Foliaire (LAI) (fig. 1), de la production totale de matière sèche (fig. 2) et de la matière sèche des tubercules (fig. 3) est suivie pour montrer l'effet des doses d'azote apportées sur la date de sénescence (fig. 1 et 2) et de maturité (fig. 2 et 3). La concentration en chlorophylle totale (a+b) dans les feuilles bien développées (fig. 4 et 5) ainsi que celle des sucres (fig. 6) et des ions nitrate (fig. 7) dans le jus pétiolaire ont été étudiées en tant qu'indicateurs physiologiques possibles de la sńescence et de la maturité. La concentration en chlorophylle totale dans les feuilles dépendait des doses d'azote apportées (fig. 5) et diminuait progressivement au fur et à mesure de l'avancement de la saison culturale (fig. 4). Elle ne donnait pas de seuil limite pour le début de la sénescence. La concentration en saccharose et en NO3 dans le jus pétiolaire montrait une chute importante mais tardive avec les fortes doses d'azote. Cependant, la comparaison de la durée de cette courte déclinaison avec les modifications du LAI, de la production totale de matière sèche et de la teneur en matière sèche des tubercules montrait que la variation du taux de NO3 n'était pas associée à l'évolution du développement de la culture, tandis que celle de la teneur en saccharose concordait bien. Nous suggérons que lorsque la concentration en saccharose des pétioles de feuilles bien développées du sommet de la plante chute fortement, les potentiels de croissance et d'accumulation de matière sèche dans les tubercules (tableau 1) deviennent limités car ils ont atteint leur maximum.
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9.
Summary Experiments with planting depths of 10 cm below the top of the ridge and just on top of the unloosened soil, revealed that a deep soil cover of the parent tuber, accomplished by deep planting in a large ridge, increased the yield, increased the size of the tubers, decreased dispersion of the tubers in the ridge, and decreased the number of green potatoes. These effects may be explained by a lower temperature or reduced temperature variation and a generally higher moisture content from the top to the bottom of the ridge and a higher average moisture content in a large ridge. From these results it is possible to make suggestions about the optimum ridge size, form and planting depth.
Zusammenfassung Es wurde ein dreij?hriger Versuch mit drei verschiedenen Dammgr?ssen (Abb. 1) und fünf verschiedenen Pflanztiefen, 10 cm unterhalb der Dammkrone (Abb. 1, 1–3) und gerade über dem ungelockerten Boden (Abb. 1, 3–5), durchgeführt. Der Zweck dieses Versuches war, die optimale Gr?sse und Form des Kartoffeldammes herauszufinden, d.h. jene Werte, mit denen der h?chste Ertrag an vermarktungsf?higer Ware erzielt werden kann. Die zu beurteilenden Faktoren—im Hinblick auf die Konstruktion neuer Erntemaschinen—umfassten die Anzahl grüner sowie kranker Knollen, ferner solche in Unter- oder übergr?ssen sowie die Leichtigkeit der Ernte mit Berücksichtigung von Erdbesatz und m?glichst niedrigen Verlusten. Die Lage der Knollen und der Ertrag (Knollengr?sse, grüne Knollen usw.) wurden festgehalten, ebenso das Auflaufen und die Entwicklung w?hrend der Wachstumsperiode. Der Einfluss der Sorte und die Tagesl?nge wurden nicht beachtet; als haupts?chlichste Umweltfaktoren wurden die Temperaturen und der Feuchtigkeitsgehalt des Bodens ermittelt. Diese Ergebnisse sind in Abb. 2 dargestellt. Die Umschreibung für die Lage der Saatknolle wechselte von warm und trocken (Pflanztiefe 1) zu kalt und nass (Pflanztiefe 5). Die Reihenfolge des Auflaufens (Tabelle 1) zeigt die Wichtigkeit einer genügenden Wasserversorgung für die Keimung. Die Entwicklung war am schnellsten bei der Pflanztiefe 3 eine bestimmte Zeit w?hrend der Wachstumsperiode andauerte (Tabelle 2, Abb. 3), aber dies ?nderte sich sp?ter, wie anhand der L?nge der Stengel bei der Ernte festgestellt wurde (Tabelle 2). Dieser Wechsel dürfte zur Zeit der Erreichung des vollen Blattwerkes stattgefunden haben. Die Ergebnisse bei der Ernte sind in Tabelle 4 aufgeführt (Bintje 1966–1968) und weisen —fortschreitend von Pflanztiefe 1 bis 5—einen h?heren Ertrag, mehr gr?ssere Knollen, einen kleineren Anteil an grünen Knollen usw. auf. Abb. 6 stellt die Verteilung von 94% der Knollen innerhalb einer gegebenen Ellipse dar. Abb. 7 zeigt eine st?ndig abnehmende Streuung der Knollenlage in der Furchenrichtung von Pflanztiefe 1 zu Pflanztiefe 5 und eine progressiv zunehmende Streuung in der vertikalen Verteilung der Knollen von Pflanztiefe 4 zu Pflanztiefe 5. Die sp?te SorteAlpha wurde vor 1968 nicht verwendet,Bintje wurde in allen Versuchen gebraucht. Die horizontale Verteilung vonAlpha war bei flacher Pflanzung ausgepr?gter (Abb. 8, Pflanztiefen 1 und 2). Die Bedeutung dieser Unterschiede und der Achsenl?ngen in Verbindung zur Schwerpunktlage aller Knollen von 10 Pflanzen wird in Abb. 5 aufgezeigt. Die Verteilung der Knollen, leicht beeinflusst durch die Dammform, bildet ungef?hr ein Ellipsoid, und die Stellen, an denen Knollen am meisten zum Grünwerden neigen, finden sich an den Dammflanken (siehe auch Abb. 6, 10B, E und F). Die Position der Saatknolle beeinflusst die Lage der neuen Knollen und infolgedessen den von der Erntemaschine erfassten Anteil Boden (Abb. 9). Aus den Ergebnissen in Tabelle 3 (Breite) kann geschlossen werden, dass ein e lipsenf?rmiges Erntemaschinenschar von 40 cm Breite genügen wird. Anh?ufeln der D?mme in die Endform und-gr?sse vor der Pflanzung befriedigte auf allen B?den. Der Damm sollte breit und abgerundet sein (Abb. 10C und Abb. 11), mit einem Querschnitt von mindestens 500–600 cm2, verbunden mit ziemlich tiefer Pflanzung. Dammgr?sse, Form und Pflanztiefe k?nnen bis zu einem gewissen Umfang angepasst werden an die Sorte, die Pflanzzeit, den Verwertungszweck der Ernte sowie an die Struktur und die Art des Bodens.

Résumé On a effectué une expérience pendant trois ans sur trois volumes différents de butte (Fig. 1) et cinq positions différentes de plantation: 10 cm du sommet de la butte (Fig. 1, 1–3) et juste sur le sol non ameuble (Fig. 1, 3–5). Le but de l'essai était de trouver le volume et la forme optimal de la butte de pomme de terre de manière à obtenir la production la plus élevée de marchandise vendable. Les facteurs à considérer comprennent le nombre de tubercules verdis, malades, difformes, la facilité de la récolte, le minimum de tare et de pertes, le dessein de nouvelles récolteuses à fabriquer. La disposition des tubercules et la production (grosseur, tubercules verdis, etc.) ont été notées, de même que la levée et le développement pendant la saison de croissance. L'influence de la variété et de la longueur des jours n'a pas été prise en consedération et les principaux facteurs du milieu étudiés ont été la température et la teneur en humidité du sol. Les résultats sont montrés dans Fig. 2. Les positions du plant de pomme de terre varient de chaud et sec (position de plantation 1), à froid et humide (position de plantation 5). L'ordre des levées (Tableau 1) montre l'importance d'un apport suffisant d'eau pour la germination. On observe la vitesse la plus grande de développement dans la position 3; celle-ci persiste pendant un certain temps durant la période de croissance (Tableau 2; Fig. 3) mais se modifie plus tard comme le montre la longueur des tiges à la récolte (Tableau 2). Ce changement peut se produire au moment de la pleine couverture du sol. Fig. 4 (Bintje 1966–68) donne les résultats à la récolte; il appara?t une augmentation de la production et de l'irrégularité de la forme, de même qu'une diminution de l'importance des tubercules verdis, etc., progressivement des positions de plantation 1 à 5. Fig. 6 montre la dispersion de 94% des tubercules, qui constitue une ellipse. Fig. 7 révèle une diminution progressive de la dispersion de la position de plantation 1 à la position 5 et une augmentation progressive de la disperson verticale de la position 4 à la position 5. La variété tardiveAlpha n'a pas été utilisée avant 1968,Bintje étant employée dans tous les essais. La dispersion horizontale chezAlpha est plus prononcée lors d'une plantation superficielle (Fig. 8 position de plantation 1 et 2). La signification de ces différences et la longueur des axes par rapport au centre de gravité de l'ensemble des tubercules, déterminées sur dix plantes, sont montrées dans Fig. 5. La disposition des tubercules, légèrement influencée par la forme de la butte, est grossièrement une ellipso?de et les points les plus exposés au verdissement sont les bords de la butte (voir aussi Fig. 6, 10B, E et F). La position du plant influence la position des nouveaux tubercules et conséquemment l'importance du travail de l'arracheuse (Fig. 9). Des résultats du Tableau 3 (largeur des axes), on peut conclure qu'un soc d'arracheuse de 40 cm de largeur donnera satisfaction, s'il est modelé sur une ellipse. La réalisation de la butte dans la forme et la grosseur finales avant la plantation a donné satisfaction dans tous les sols. La butte pourrait être large et arrondie (Fig. 10C et 11) avec une section transversale d'au moins 500–600 cm2, combinée avec une plantation plut?t profonde. Le volume de la butte, la forme et la profondeur de plantation peuvent être adaptées dans une certaine mesure à la variété, le moment de la plantation, la fin de l'utilisation de la récolte, la structure et le type de sol.
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10.
Summary First-generation seed tubers (seedling tubers) derived from true potato seed (TPS) were produced in nursery beds; the yields were up to 12 kg and total numbers up to 1242 tubers (>1 g) per m2 of bed. Direct sowing of TPS in beds followed by thinning gave yields similar to those from transplanted seedlings and reduced the total growing period. The optimum plant population was 100 plants per m2 spaced at 10 cm×10cm. The application of 3 cm of substrate (1∶1 shredded peat moss:sand) after seedling emergence was sufficient to maximize tuber number and to minimize tuber greening. Two or three applications of N-dimethylaminosuccinamic acid (B9) gave sturdier plants but did not increase the number of tubers >1 g. The seedling tubers when multiplied gave yields similar to those of low virus clonal seed tubers. The potential use of this method by farmers in developing countries is discussed.
Zusammenfassung Für den Kartoffelanbau erscheint die Verwendung von Pflanzkartoffeln, die von Samenkartoffeln (TPS) stammen, als besonders geeignet, weil hier die niedrigen Kosten und der hohe Gesundheitsstandard der TPS vereinigt werden k?nnen mit der gewohnten Handhabung und der schnellen Pflanzenentwicklung bei Pflanzkartoffeln. Die von den TPS stammenden Knollen der ersten Generation (S?mlingsknollen) wurden in Beeten von 1,1 m Breite und 0,25 m Tiefe erzeugt, die mit einer 1∶1 Mischung aus zerkleinertem Torf und Sand gefüllt waren. Ein Vergleich zwischen der direkten Aussaat der TPS in die Beete mit nachfolgendem Ausdünnen und dem Umpflanzen von S?mlingen in die Beete ergab bei der Reifeernte die gleiche Gesamtzahl an Knollen und Ertr?gen (Abb. 1). Die gesamte Wachstumsperiode von der Aussaat an betrug bei der direkten Aussaatmethode 110 Tage, bei der Verpflanzungsmethode aber 125 Tage wegen des dem Umpflanzen nachfolgenden Wachstumsschocks. Die Zunahme der Pflanzenzahl erh?hte den Anteil des mit Bl?ttern bedeckten Bodens (Abb. 2), verringerte die überlebensrate der Pflanzen (Tabelle 1), erh?hte den Knollenertrag und die Anzahl der Knollen, die kleiner oder gr?sser als 1 g waren (Abb. 3) und verringerte nicht die Knollenzahl in einer der Gr?ssenklassen (Abb. 4). Die optimale Pflanzendichte war 100 Pflanzen/m2 in Abst?nden von 10 cm × 10 cm; eine gr?ssere Pflanzdichte behinderte das Anh?ufeln. Die Anwendung von 2–3 cm des 1∶1 Torf-Sandgemisches nach dem Auflaufen der S?mlinge f?rderte die Stolonenbildung und erh?hte die Anzahl und das Gewicht der Knollen >1 g im Vergleich zur Kontrolle (Tabelle 2). Bei der Anwendung von 6–7 cm Substrat unterschied sich die Stolonen-und Knollenbildung nur wenig von derjenigen mit 2–3 cm. Die Applikation von N-Dimethylaminobernsteins?ure (B9) ergab kr?ftigere Pflanzen sowie weniger und kürzere Stolonen (Tabelle 3). Die Applikation bei Pflanzenh?hen von 10 und 15 cm beeintr?chtigte nicht die Knollenzahl oder den Ertrag, w?hrend Applikationen bei Pflanzenh?hen von 8, 12 und 20 cm die Anzahl der Knollen, die kleiner als 1 g sind, um 73% erh?hte und das Gesamtgewicht der Knollen, verglichen mit der Kontrolle, verringerte. Die S?mlingsknollen >1 g wurden in bew?sserten Feldern mit einem durchschnittlichen Multiplikationsfaktor (Verh?ltnis zwischen dem gepflanzten und dem geernteten Gewicht) von 22 vermehrt. Eine 10 m2 grosse Anzuchtfl?che k?nnte genügend Knollen erzeugen, um nach 3 aufeinanderfolgenden Vermehrungen 200 t Pflanzkartoffeln zu erhalten. Vermehrte S?mlingsknollen der Linie DTO-33 die von offen best?ubten TPS stammten, ergaben gleiche Ertr?ge wie die virusarmen Pflanzkartoffeln des Klones DTO-33. Die Methode, S?mlingsknollen in Anzuchtg?rten zu erzeugen, k?nnte die Landwirte in den Entwicklungsl?ndern in die Lage versetzen, ihre eigenen Pflanzkartoffeln zu produzieren.

Résumé L'utilisation de plants issus de semences vraies (TPS) semble être une méthode efficace pour la culture de la pomme de terre, car elle associe à un faible co?t un niveau sanitaire élevé des semences vraies, ainsi qu'une facilité de manutention et un développement rapide des plantes à partir des tubercules de semence. La première génération de tubercules (tubercules issus de plantules) provenant de semences vraies a été plantée en billons d'1.1 m de large et 0.25 m de profondeur, remplis d'un mélange 1∶1 de tourbe fragmentée et de sable. Un semis direct suivi d'un éclaircissage, comparé à un repiquage de plantules dans les billons, donne un nombre total de tubercules et un rendement à maturité identique (fig. 1). La période de végétation à partir du semis était de 110 jours mais atteint 125 jours avec la méthode de repiquage, à cause d'un retard de croissance après plantation. L'augmentation conduit à un recouvrement du sol plus rapide par le feuillage (fig. 2), à une diminution de la survie des plantes (tableau 1), à un rendement en tubercules plus important, à un nombre plus élevé de tubercules inférieurs ou supérieurs à 1 g (fig. 3), tandis que le nombre de tubercules par calibre ne diminue pas (fig. 4). La densité optimale est de 100 plantes par m2 espacées de 10 cm × 10 cm. Une population plus dense empêche le buttage. Un apport de 2–3 cm du mélange tourbe-sable après la levée de plantules favorise la formation des stolons et augmente le nombre et le poids des tubercules inférieurs à 1 g par rapport au témoin (tableau 2). Un apport de 6–7 cm de substrat donne peut de différence au niveau de la formation des stolons et des tubercules, par rapport à 2–3 cm. Une application d'acide N-dimethylaminosuccinamique (B9) donne des plantes plus vigoureuses et moins de stolons et de longueur plus courte (tableau 3). Une application réalisée au stade 10–15 cm des plantes n'affecte pas le nombre de tubercules ni le rendement, tandis que des applications à 8, 12 et 20 cm augmentent de 73% le nombre de petits tubercules inférieurs à 1 g et diminuent le poids total des tubercules par rapport au témoin. Les tubercules supérieurs à 1 g issus de semences sont multipliés en parcelles irriguées avec un coefficient de multiplication 22 (rapport entre poids récolté et poids planté). 10 m2 de surface de multiplication peut produire un nombre de tubercules suffisant pour atteindre 200 tonnes de plants après 3 multiplications successives. Les tubercules obtenus par multiplication à partir de semences vraies de la lignée DTO-33 ont donné des rendements similaires à des plants indemnes de virus issus du cl?ne DTO-33. La méthode de production de plants à partir de semences peut permettre aux producteurs des pays en voie de développement de produire leur propre plant.
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11.
Summary Plants dug at random from a commerical crop, cv. Sebago, were scored just prior to normal harvest date in two seasons for stem and stolon infection caused byR. solani. Tuber weights relative to stolon position were recorded. Yield was directly related to haulm fresh weight (F) and it was considered essential to includeF when interpreting yield reduction from stolon pruning. The probability of tuber size distribution fitted a proportional odds model; tuber sizes were not uniformly distributed down the stem profile and the top and bottom stolons had the lowest probabilities of bearing, marketable tubers (>45 g), but commonly bore them when stolons in the middle of the stem profile were pruned. Stem canker did not significantly affect haulm fresh weight or tuber yield and there was a stolon pruning threshold (18%) below which yield was not reduced. For every 20% increase in pruning above this threshold, yield was reduced by only 6%. The effects ofR. solani infection on yield were determined from a model based on an assumption of assimilate flow.
Zusammenfassung Zufallsgem?ss ausgew?hlte Pflanzen aus kommerziellem Anbau der Sorte Sebago wurden in 2 Vegetationsperioden kurz vor normalem Erntetermin auf Stolo- und Stengelinfektion durchR. solani ausgewertet (Abb. 1). Das Knollengewicht wurde in Relation zur Position der Stolonen ermittelt. Ertrag und Stolonenzahl stiegen mit steigendem Kraut-Frischgewicht pro Trieb (Tabellen 1, 2, 4), das Frischgewicht der Triebe war die ausschlaggebende Variable bei der Deutung des Ertragsrückganges aus der Rate für Stolo-Abschnürungen. In beiden Vegetationsperioden ergaben die Daten ein proportional schiefes Modell für die Wahrscheinlichkeit der Knollenverteilung senkrecht zum Stengelprofil (Tabelle 3). Die Knollen waren nicht einheitlich, verteilt: die basalen Stolonen wie auch diejenigen nahe der Bodenoberfl?che zeigten die geringste Wahrscheinlichkeit für marktf?hige Knollen (>45 g). Die gr?sste Wahrscheinlichkeit für marktf?hige Knollen ergab sich beim dritten und vierten Stolo unterhalb der Bodenoberfl?che (Abb. 2). Die beobachtete Knollenverteilung ist ein Ausdruck des Assimilat-Transfers. Der Einfluss der Infektion durchR. solani wird durch ein Modell bestimmt, welches auf der Annahme eines Schwellenwertes beruht (α(2), Tab. 5, 6), dass die Pflanze Abschnürung (Abb. 3) und Stengelkrankheit ausgleichen kann. Jenseits dieser, Schwelle wird ein proportionaler Rückgang im Assimilatfluss, also Ertrag, mit gr?sserem Erkrankungsgrad postuliert. Stengelbefall beeinflusste Kraut-Frischgewicht oder Ertrag (Abb. 4) nicht signifikant; für jeweils 20% Anstieg bei Stolo-Abschnürungen oberhalb der α-Schwelle wurde der Ertrag um 6% reduziert (Tab. 6). Es wird angenommen, dass bei Abschnürung von Knollen-Initialen an Original-Stolonen diese nicht im Gesamt-Rückgang eingeschlossen sind und dass es keinen Rückkopplungs-Mechanismus zur Senkung der Photosynthese und folglich des Assimilatflusses gibt. Jede Ertragsreduktion ist die Folge einer Verhinderung des Einsetzens neuer Knollen-Initiierungen und eine Folge der Position des ursprünglichen abgeschnürten Stolos im Verh?ltnis zu den Stolonen mit der gr?ssten Auswirkung auf den Ertragsrückgang.

Résumé Des plantes choisies au hasard dans une culture de la variété Sebago ont été classées au cours de deux années selon l'importance de leur contamination parR. solani sur tiges et sur stolons (figure 1), juste avant la date normale de récolte. Les poids de tubercules en fonction de leur position sur le stolon ont été enregistrés. On a noté un accroissement du rendement et du nombre de stolons avec le poids frais par tiges des fanes (tableaux 1, 2, 4) et le poids frais des fanes s'est avéré être une variable essentielle dans l'interprétation de la réduction des rendements due au sectionnement des stolons. Pour les deux années, les données suivent un modèle de distributions discontinues proportionnelles pour la probabilité des distributions de tubercules de long de la tige (tableau 3). Les tubercules ne sont pas distribués uniformément: les stolons de la base et ceux situés près de la surface du sol ont la probabilité la plus faible de porter des tubercules commercialisables (>45 g). La probabilité la plus forte de trouver un tubercule commercialisable se situe sur les troisième et quatrième stolons en dessous du niveau du sol (figure 2). La distribution des tubercules observée est attribuée au transfert des éléments assimilables. Les effets de la contamination parR. solani sur la récolte ont été déterminés à partir d'un modèle basé sur l'hypothèse jusqu'à une valeur seuil (α(2); tableaux 5 et 6) la plante peut s'adapter au sectionnement (figure 3) et aux attaques sur tige. Au delà de ce seuil, on suppose qu'il y aurait une diminution proportionnelle du transfert des éléments nutritifs et par conséquent de la récolte à l'accroissement de la maladie. Les attaques sur tiges n'ont affecté significativement ni le poids frais des fanes ni la récolte (figure 4), mais à chaque augmentation de 20% du sectionnement des stolons, au dessus du seuil, la récolte a chuté de 6% (tableau 6). On a supposé que si les initiations portées par les stolons originels sont détruites, elles ne sont pas incluses dans la force d'absorption totale de la plante et qu'il n'y a pas de mécanisme rétroactif pour diminuer la photosynthèse et donc le courant d'assimilation. Toute réduction du rendement résulte d'un retard d'initiation de nouveaux tubercules et de la position du stolon originel détruit par rapport aux stolons principaux.
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12.
Summary Experiments were carried out to characterize growth vigour of lots of seed potatoes of different age. The influence on plant growth under controlled conditions of the physiological age of seed tubers stored at 4°C or 12°C in darkness, was studied in three experiments with cultivars Jaerla and Désirée, as part of a combined study on the effect of physiological age on growth vigour. Seed tubers of the same lots were desprouted, allowed to resprout for a week and then planted in growth rooms under controlled conditions and harvested two months after planting. This procedure was repeated on several dates, i.e. after increasingly long storage periods. With young seed tubers, plants developed slowly and remained small. At later plantings there was more foliage growth but after prolonged storage (i.e. when the seed tubers were old) little or no foliage developed, but often ‘little potato’ tubers were formed. However, Désirée seed stored at 4°C formed plants even after more than a year. The higher storage temperature generally hastened the physiological ageing of seed tubers. The effects of storage duration and temperature on various growth characteristics of both cultivars are described.
Zusammenfassung In drei Versuchen wurde der Einfluss des physiologischen Alters von Pflanzkartoffeln auf das Pflanzenwachstum unter kontrollierten Bedingungen untersucht — als Teil einer kombinierten Studie über den Einfluss des physiologischen Alters auf die Wachstumsintensit?t. Zweck der Untersuchungen war die Charakterisierung der Wachstumsintensit?t von Pflanzkartoffeleinheiten unterschiedlichen Alters. Pflanzknollen der Sorten Jaerla und Désirée wurden bei 4°C und 12°C im Dunkeln gelagert. Die Pflanzknollen wurden abgekeimt und eine Woche nach erneuter Keimung gepflanzt. Pflanzknollen der gleichen Einheiten wurden zu verschiedenen Terminen in Vegetationskammern unter gleichen kontrollierten Bedingungen w?hrend aufeinanderfolgender Wachstumsperioden gepflanzt. Die Pflanzen wurden zwei Monate nach der Pflanzung gerodet. Sowohl die Lagerperiode als auch die Lagertemperatur beeinflussten das nachfolgende Pflanzenwachstum. Bei jungen Pflanzknollen war der Auflauf (Abb. 1) ziemlich langsam. Dabei bildeten sich relativ kleine Pflanzen (Abb. 2). Nach l?ngerer Lagerung war der Auflauf rapider, es bildete sich mehr Blattfl?che. Zu den sp?testen Pflanzzeiten (alte Knollen) bildete sich kein oder fast kein Blattwerk, oft jedoch Kn?llchen (Tabelle 1). Triebl?nge (Abb. 2) und Zahl der Triebe (Abb. 3) stiegen mit l?nger werdender Lagerperiode, gingen jedoch bei ?lteren Pflanzknollen zurück. Blattfl?chenindex (Abb. 4) und Gesamt-Trockengewicht (Abb. 5) zeigten ebenfalls Optimumskurven mit zunehmenden Alter der Pflanzknollen. Die Lagerperiode beeinflusste die Verteilung der Trockenmasse; in viele F?llen ergaben sich maximales Trockengewicht der Bl?tter (Abb. 6) und der Triebe (Abb. 7) bei mittlerer Startzeit, danach ergab sich ein Rückgang. Die Trockengewichte der Knollen (Abb. 8) waren niedrig (bei nur zwei Monaten Wachstumszeit); Jaerla zeigte oft einen Anstieg bei sp?terer Pflanzung, bei Désirée folgte einem Anstieg ein gewisser Rückgang. Die beiden Sorten reagierten auf die Lagertemperatur unterschiedlich. Lagerung bei 12°C erh?hte bei Jaerla Auflauf und die Stengell?nge bei frühen Pflanzzeiten, Lagerung bei 4°C verz?gerte das Auftreten maximaler Werte bei Verschiedenen Wachstumsmerkmalen (Abb. 9) im Vergleich zu 12°C. ler Werte bei Verschiedenen Wachstumsmerkmalen (Abb. 9) im Vergleich zu 12°C. Lagerung bei 4°C senkte auch die Ersch?pfung der Pflanzknollen (demonstriert als ‘Nicht-Auflauf’ und als ‘Kn?llchen-Ph?nomen’), vor allem bei Désirée. Diese Sorte produzierte sogar nach mehr als einem Jahr Lagerung noch Pflanzen.

Résumé L'influence de l'age physiologique des tubercules de semence sur la croissance de la plante en conditions contr?lées est étudiée durant trois années, dnas une expérimentation concertée ayant pour but de mettre en évidence l'effet de celui-ci sur la vigueur de croissance. L'objectif est de caractériser la vigueur de croissance de lots de plants de différents ages. Les tubercules de semence des variétés Jaerla et Désirée sont conservés à 4°C et 12°C, à l'obscurité. Ils sont égermés et plantés après une nouvelle mise en germination d'une semaine. Les tubercules d'un même lot sont plantés à plusieurs dates, en chambre de culture, dans les mêmes conditions contr?lées pendant des durées successives de croissance. Les plantes sont arrachées deux mois après plantation. La durée et la température de conservation affectent sensiblement la croissance des plantes. Avec du plant physiologiquement jeune (figure 1) la levée est plut?t lente et les plantes relativement petites (figure 2). Lorsque la durée de conservation est plus longue la levée est plus rapide et le feuillage plus abondant. Aux dates de plantation les plus tardives (vieux tubercules) les plantes développent peu ou pas de feuillage, mais souvent de petits tubercules se forment sur les pousses (tableau 1). La longueur des tiges (figure 2) et le nombre de tiges (figure 3) augmentent parallèlement à l'allongement de la durée de conservation, mais diminuent lorsque les tubercules sont très agés. L'index de surface foliaire (figure 4) et le poids sec total (figure 5) montrent aussi un optimum sur les courbes en fonction de l'age physiologique, du plant. La durée de conservation affecte la distribution de la matière sèche; dans de nombreux cas, le poids maximum de matière sèche des feuilles (figure, 6) et des tiges (figure 7) est trouvé pour un temps moyen de conservation, un temps plus long conduisant à une diminution du taux de matière sèche. Le poids sec des, tubercules (figure 8) est faible (la période de croissance n'est que de deux mois) mais souvent Jaerla montre une augmentation pour des dates de plantation plus tardives; chez Désirée, l'augmentation est suivie d'une nette diminution. Les deux variétés réagissent différemment vis-à-vis de la température de conservation. Aux dates précoces de plantation une conservation à 12°C présente une levée et une élongation des tiges plus rapide pour Jaerla, alors que la température de 4°C est plus favorable à Désirée. La conservation à 4°C retarde l'apparition des valeurs maximales de différentes caractéristiques liées à la croissance (figure 9) par rapport à la conservation à 12°C; elle retarde aussi l'épuisement des tubercules de semence (démontré par l'absence de levée et le phénomène de boulage) notamment chez Désirée qui peut souvent produire des plantes après une durée de conservation de plus d'un an.
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13.
Summary In the Introduction general methods are described to assess inocolum of several potato diseases on seed tubers; on the progeny tubers during growth, at harvest and after 4 different storage regimes. Assessments were made in up to 26 commercial King Edward crops in each of 5 years, and up to 13 crops from ‘healthier’ seed, derived from stem cuttings, in 4 years. Results are reported from the work on black scurf (Rhizoctonia solani). Stem canker incidence was more closely related to the incidence of sclerotia on seed tubers than was the frequency ofRhizoctonia hyphae on growing tuber surfaces. Incidence of sclerotia on stored tubers was better related to the amount of surface colonization during growth than that of stem canker. Assessments on harvested and stored progeny of ‘healthier’ seed were correlated with those on adjacent commercial crops, indicating spread or, more likely, a common source of inocolum.
Zusammenfassung In einer Studie wurde das Auftreten verschiedener Krankheiten im Erntegut der Sorte King Edward untersucht, die zwischen 1971 und 1975 in dem Fenland-Gebiet von Ostengland gewachsen war. Jedes Jahr wurden zwischen 15 und 26 Proben von Marktware untersucht und zwischen 1972 und 1975 wurde ‘gesünderes’ Pflanzgut (das von Stecklingen abstammte) auf dem selben Feld wie einige der Proben der Marktware gepflanzt (Tab. 1). Die Feststellung des Inokulums oder der Krankheit wurde an Pflanzgutproben, an Pflanzen w?hrend des Wachstums und an Knollen der Nachkommenschaft zum Erntezeitpunkt genommen. Geerntete Knollen wurden auch einheitlich verletzt und bei 3°C und 10°C gelagert, mit oder ohne zweiw?chige Wundheilperiode bei 15°C. Nach 3–4 Monaten erfolgte die Feststellung des Krankheitsbefalls. Die Auswertung der Ergebnisse wurde durch Regression zwischen allen m?glichen Paaren der Ergebnisse für jede Krankheit durchgeführt, wobei jedes Jahr sowohl getrennt als auch alle Jahre kombiniert genommen wurden. Die Regressionen wurden auch für das ‘gesündere’ Erntegut, das mit der entsprechenden Marktware übereinstimmte, durchgeführt. Rhizoctonia solani wurde auf dem Pflanzgut und auf dem nachfolgenden Erntegut als Prozentbefall mit Sklerotien angegeben, der Myzelbelag auf der Knollenoberfl?che rund um die Augen wurde durch mikroskopische Untersuchung von Augenstücken festgestellt und das Auftreten von Weisshosigkeit wurde w?hrend des Wachstums gesch?tzt. Das durchschnittliche Auftreten von Inokulum oder Krankheitsbefall auf Marktware (Tab. 2) zeigte, dass 1975 der Befall der Augen am h?ufigsten war und dass 1971 und 1975 der Krankheitsbefall im Lager am gr?ssten war. ‘Gesünderes’ Pflanzgut hatte gew?hnlich weniger Pocken als der Durchschnitt der Marktware aber der Befall der Augen der Tochterknollen w?hrend des Wachstums und zur Ernte war gr?sser und auf gelagerten Knollen wurden mehr Pocken gefunden (Tab. 3). Unter den nassen Erntebedingungen 1974 traten mehr Pocken auf den bei 10°C gelagerten Knollen auf als auf den bei 3°C, aber es ergaben sich keine Unterschiede in anderen Jahren. Die Signifikanz der Regressionen zwischen den Erhebungen, die nach verschiedenen Methoden oder zu verschiedenen Zeitpunkten (Tab. 4) gemacht wurden und Diagramme der signifikanten Regressionen in einzelnen Jahren (Abb. 1) zeigten, dass makroskopische und mikroskopische Bestimmungen auf dem Pflanzgut (Abb. la) und Befall der Schale rund um die Augen und Weisshosigkeit w?hrend des Wachstums (Abb. 1d) in allen Jahren miteinander verbunden waren. Die Weisshosigkeit stand h?ufiger in Beziehung zum Ausmass des Pockenbesatzes des Pflanzgutes (Abb. 1b) als der Befall der Augen (Abb. 1c). Dies führt zu der Annahme, dass die meisten Stengelinfektionen vom Inokulum des Pflanzgutes ausgingen w?hrend der Befall der Schale rund um die Augen auch durch andere Inokulumquellen (z.B. den Boden) beeinflusst wurden. Der Befall der Augen zur Ernte stand in jedem Jahr in Beziehung zum Befall w?hrend des Wachstums (Abb. 1e) und in 4 Jahren stand das Ausmass des Pockenbesatzes auf gelagerten Knollen in Beziehung zum Augenbefall w?hrend des Wachstums und zur Ernte (Abb. 1f und 1g). Die mikroskopische Untersuchung w?hrend des Wachstums gibt daher eine vernünftige Sch?tzung des Krankheitsbefalls im Lager. Wenn die Erhebungen des ‘gesünderen’ Pflanzgutes mit denen gleichartiger Marktware verglichen wurden (Abb. 2), ergaben sich signifikante Verbindungen für den Augenbefall w?hrend des Wachstums und zur Ernte, für den Pockenbesatz auf gelagerten Knollen, aber nicht für die Weisshosigkeit. Dies weist auf eine Verbreitung des Inokulums, auf die Bedeutung der allgemeinen Bodenbeschaffenheit oder, wahrscheinlicher, eine gemeinsame Quelle des Inokulums, vielleicht im Boden hin.

Résumé Une étude a été entreprise sur la variété King Edward, pour conna?tre l'incidence de différentes maladies. Cette étude s'est déroulée de 1971 à 1975 dans la région de Fenland en Angleterre Orientale. Chaque année, on a examiné entre 15 et 26 lots commerciaux; entre 1972 et 1975 des semences ‘plus saines’ (provenant de bouturage) ont été plantées dans le même champ que les lots commerciaux (tableau 1). Les estimations d'inoculum ou de maladie ont été faites sur des échantillons de tubercules de semence, sur des plantes en course de croissance, et sur les tubercules-fils à la récolte. Les tubercules-fils récoltés ont été également endommagés de manière uniforme et conservés à 3°C et 10°C, avec ou sans période initiale de cicatrisation des blessures de 2 semaines à 15°C. L'incidence de la maladie a été estimé après 3–4 mois. Les résultats ont été analysés par régressions entre toutes les paires possibles de données pour chaque maladie, en prenant séparément chaque année et toutes les années combinées. Les régressions ont aussi été faites à partir des estimations provenant des lots ‘plus sains’, et des estimations correspondantes provenant des lots commerciaux adjacents. L'estimation du rhizoctone a été faite par notation du pourcentage de sclérotes sur les tubercules de semence et sur les tubercules-fils en conservation. La colonisation de la peau, autour des yeux, par du mycelium deRhizoctonia solani a été déterminée par examen microscopique au niveau des yeux. L'incidence des nécroses sur tige a été estimée au cours de la croissance. L'incidence moyenne de l'inoculum ou de la maladie sur les lots commerciaux (tableau 2) a montré que la colonisation du tubercule au niveau des yeux a été plus fréquente en 1975, et que l'incidence de la maladie en cours de conservation a été plus forte en 1971 et 1975. Les tubercules de semence ‘plus saine’ ont eu moins de rhizoctone que la moyenne des lots commerciaux, mais la colonisation des tubercules-fils, au niveau des yeux pendant la période de croissance et à la récolte a été plus grande. On a également trouvé plus de sclérotes sur les tubercules conservés (tableau 3). En 1974, les conditions de récolte étant plus humides, il y avait plus de sclérotes sur les tubercules conservés à 10°C que sur ceux conservés à 3°C; mais, pour les autres années, il n'y avait aucune différence entre les traitements. La signification des régressions entre les estimations faites par différentes méthodes ou à différentes époques (tableau 4), et les graphiques relatifs aux régressions significatives pour chacune des années (Fig. 1) ont montré qu'il y avait toutes les années des relations entre les estimations macroscopiques et microscopiques sur la semence (Fig. 1 a), la colonisation de la peau autour des yeux et les nécroses des tiges en cours de végétation (Fig. 1d). Les nécroses sur tige étaient plus fréquemment en rapport avec les sclérotes portés par la semence (Fig. 1b) qu'ac la colonisation au niveau des yeux du tubercule (Fig. 1c). Les auteurs suggèrent donc que la plupart de la contamination de la tige provient de l'inoculum présent sur le tubercule de semence mais que la colonisation de la peau autour des yeux est également influencée par d'autres sources d'inoculum (par ex. le sol). Chaque année, la colonisation des yeux à la récolte était en relation avec celle en cours de croissance (Fig. 1c). Pour les 4 années, la quantité de sclérotes sur les tubercules conservés était en rapport avec l'incidence de la colonisation au niveau des yeux pendant la croissance et à la récolte (Figures 1f et 1g). Les estimations faites en cours de croissance donne donc une estimation correcte de l'incidence de la maladie en cours de conservation. Quand on compare les résultats des lots ‘plus sains’ et ceux des lots commerciaux adjacents, il y a des associations significatives pour la colonisation des yeux durant la croissance et à la récolte, pour les sclérotes sur les tubercules conservés, mais pas pour les nécroses sur tige. Ceci suggère la dispersion de l'inoculum, l'importance des conditions de sol ou plus vraisemblablement la présence d'une source commune d'inoculum au niveau du sol.
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14.
Summary Majestic potatoes sprouted in the dark at 20°C developed necrotic lesions in the elongating region of the sprout, about 3 to 5 mm below the apex. The name sub-apical necrosis is proposed to describe this condition. It was shown to be due to calcium deficiency and was fully controlled by frequent application of 0.01M calcium sulphate solution to the tips of the sprouts. The influence of several other factors was also studied. Calcium was necessary to maintain apical dominance of the sprout and prevent some of the changes which have been attributed to physiological ageing.
Zusammenfassung Um den Einfluss von Kalzium auf das Keimwachstum von Kartoffeln der Sorte Majestic zu untersuchen, wurden Knollenstücke (sets) mit einem einzelnen Auge in Serien verwendet. Die Serien wurden in kalziumfreiem Sand bei 20°C in Dunkelkammern zum Keimen gebracht. Unter diesen Bedingungen entwickelten sich nekrotische L?sionen in einem 2–3 mm breiten Band an der Streckungsstelle des Keims, 3–4 mm unter der Spitze. Es wird vorgeschlagen, diesen Zustand mit ‘subapikale Nekrose’ zu bezeichnen. Die Nekrose dehnt sich zuletzt bis in das Gef?ssbündelsystem aus, die Spitze des Keims stirbt ab, und die apikale Dominanz geht verloren (Abb. 1). Subapikale Nekrosen wurden verhindert, wenn eine w?ssrige L?sung von 0,01m CaSO4 regelm?ssig mit einer kleinen Bürste auf die Spitze der Keime gebracht wurde (Abb. 2). Wenn das Kalzium auf das Knollenstück gebracht wurde, nahmen sein Kalziumgehalt (Tabelle 2) und das Keimwachstum zu, aber die subapikale Nekrose wurde nicht verhindert (Abb. 3). Der Kalziumgehalt und das Keimwachstum waren bei Knollen aus einem Feld mit hohem, im Vergleich zu niedrigem pH, gr?sser (Tabelle 4). Bei Temperaturen bis zu 20°C erh?hte die Wurzelbildung die Keimwachstumsrate und verhinderte die subapikale Nekrose (Abb. 4). Wenn dem Wurzeln?hrboden Kalzium beigefügt wurde, konnte das verl?ngerte Wachstum auch bei h?heren Temperaturen erhalten werden (Abb. 3). Die Wachstumsrate und die Anf?lligkeit für subapikale Nekrose wurden durch Gr?sse, Form und Datum der Entnahme des Knollenstecklings der Serien beeinflusst (Tabellen 5 und 6). Diese Einflüsse schienen mit Unterschieden im Kalziumgehalt und mit dem Gleichgewicht zwischen Wachstumsregulatoren in den Knollenstücken im Zusammenhang zu stehen. Das Bedürfnis nach Kalzium, um das Wachstum der Hauptachse des Keims aufrechtzuerhalten und die apikale Dominanz zu bewahren, zeigt, dass dies mit dem Prozess des physiologischen Alterns im Zusammenhang steht.

Résumé Les auteurs ont utilisé des fragments de tubercules avec un seul oeil pour étudier les effets du calcium sur la croissance du germe chez la pomme de terre Majestic. Les fragments ont germé dans du sable dépourvu de calcium à 20°C à l'obscurité. Dans ces conditions, ils se développent des lésions nécrotiques dans une bande de 2 à 3 mm de largeur autour de la région d'élongation du germe, environ 3 à 4 mm en-dessous du sommet. Les auteurs proposent la dénomination ‘nécrose sub-apicale’ pour décrire ce phénomène. La nécrose s'étend finalement dans le système vasculaire, le sommet du germe meurt et la dominance apicale se perd (fig. 1). La nécrose sub-apicale est empêchée par l'application fréquente de solution aqueuse à 0,01m de sulfate de calcium sur les pointes des germes avec une petite brosse (fig. 2). Le calcium appliqué aux fragments de tubercules accro?t leur teneur en calcium (tableau 2) et la vitesse de croissance du germe mais n'empêche pas la nécrose sub-apicale (fig. 3). La teneur en calcium et la vitesse de croissance du germe sont aussi plus élevées chez les tubercules poussés dans un champ à pH élevé que dans un champ à pH bas (tableau 4). Il se révèle que la production de racines acro?t la vitesse de croissance du germe et empêche la nécrose sub-apicale aux températures jusqu'à 20°C (fig. 4). Quand du calcium était ajouté au milieu radiculaire, la croissance prolongée des germes se maintient aussi à des températures plus élevées (fig. 3). La vitesse de croissance du germe et le début de la nécrose subapicale sont influencés par la grosseur, la forme et la date de sectionnement des fragments (tableaux 5 et 6). Ces effets paraissent liés aux différences de teneur en calcium et à la balance du régulateur de croissance dans les fragments. La nécessité du calcium pour maintenir la croissance de l'axe principal du germe, et pour conserver la dominance apicale, indique qu'il est impliqué dans le processus de vieillissement physiologique.
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15.
Summary Combining ability analysis was done on a diallel cross of a random sample of four different cultivated diploid potato populations (Solanum tuberosum Group Andigena haploid, Gp. Tuberosum haploid, Gp. Phureja and Gp. Stenotomum) to determine the amount of heterosis and the gene action involved in the inheritance of tuber yield, fresh vine yield, total plant accumulation (tuber+vine) fresh and dried, dry vine yield and density (specific gravity). The analyses of variance on data from two locations demonstrated significant general combining ability for most traits, indicating a preponderance of additive gene action. Specific combining ability was not significant for any of the traits. Heritabilities for the more important traits such as tuber yield and density were large enough to ensure progress from selection.
Zusammenfassung Es wurde die Analyse der Kombinationsf?higkeit einer diallelen Kreuzung von einer zuf?lligen Auswahl aus vier verschiedenen kultivierten diploiden Kartoffelpopulationen —Solanum tuberosum Gruppe Andigena (haploid, AH), Gruppe Tuberosum (haploid, TH), Gruppe Phyreja (PHU) und Gruppe stenotomum (STN) — durchgeführt, um das Ausmass an Heterosis und Genwirkung zu ermitteln, welches an der Vererbung von Knollenertrag, Ertrag von frischem Kraut, gesamter pflanzlicher Akkumulation (Knollen und Kraut, frisch und getrocknet), trockenem Krautertrag und Dichte beteiligt war. Das mittlere Gesamtgewicht an Knollen (Tab. 2) war für die TH×STN-F1-Hybriden (0,75 kg/Pflanze) am h?chsten, danach folgte TH×PHU (0,59 kg/Pflanze), AH×TH (0,38 kg/Pflanze) und AH×PHU (0,23 kg/Pflanze). Eine ?hnliche Folge der Mittelwerte war beim Gewicht von Knollen+Kraut und bei der Gesamtproduktion an Trockenmasse zu beobachten. Bei Gewicht von frischem und trockenem Kraut hatten gew?hnlich die AH-Hybriden den h?chsten Ertrag. Die STN-Hybriden ergaben hohe Dichte. Beim Vergleich mit den Elternmittel-Werten glichen oder übertrafen die Hybriden diese in allen sechs Eigenschaften (Tab. 2). Die TH, STN und PHU-Hybriden übertrafen das elterliche Mittel entsprechend um 135, 145 und 117%. Die Hybriden aller vier Elternpopulationen übertrafen das elterliche Mittel bei Gesamttrockenmasse und drei der vier Hybriden beim Gewicht von Knollen+Kraut. Die Dichte aller Hybriden glich dem Elternmittel-Wert, der potentielle Bereich des prozentualen elterlichen Mittels ist jedoch gering. Die F1-Hybriden übertrafen ohne Ausnahme das elterliche Mittel für Gesamtgewicht der Knollen, Gewicht von Knollen+Kraut und Gesamtproduktion von Trockenmasse (Tab. 2). Die mittleren Quadrate der allgemeinen Kombinationsf?higkeit (GCA) waren hochsignifikant für Gesamtgewicht der Knollen, Gewicht des frischen Krautes, Trockengewicht des Krautes und Dichte, dagegen nichtsignifikant für die Gesamtakkumulation bei frischen und bei getrockneten Pflanzen (Knollen+Kraut, Tab. 3). Ebenso wenig waren die mittleren Quadrate für spezifische Kombinationsf?higkeit (SCA) für eine der Eigenschaften signifikant. Eine starke GCA×Standort-Wechselwirkung zeigte sich bei Gesamtgewicht an Knollen und bei Gesamttrockenmasse, sie wurde deshalb von GCA eliminiert, um die Vererbung dieser Eigenschaft in engerem Sinne zu berechnen. Gesamtgewicht der Knollen (h 2 =0,875) und Dichte (h 2=0,703) zeigten hohe Vererbbarkeit, w?hrend gesamte pflanzliche Akkumulation (Knollen+Kraut) frisch (h 2=0,040) und trocken (h 2=0,184) niedrige Vererbbarkeit zeigten. Gewicht von frischem Kraut (h 2=0,499) und von getrocknetem Kraut (h 2=0,573) ergaben m?ssige Vererbbarkeit. Daraus wurde geschlossen, dass additive Geneffekte als wichtig bei der Verbesserung dieser Populationen anzusehen sind. Sogar bei bekannten nachteiligen Effekten wie grosser Tagesl?nge und hoher Temperatur auf die Knolleninitiierung und-entwicklung, erh?hten die im Kurztag kultivierten und in dieser Arbeit verwendeten südamerikanischen Gruppen AH, STN und PHU im Hybridstadium die Knollenbildung betr?chtlich, obwohl die maximale Vitalit?t der Hybriden hinsichtlich der Knollenbildung durch die ungünstige Photoperiode beeintr?chtigt war. Die gesamte pflanzliche Akkumulation (Knollen+Kraut) mag ein guter Indikator für Heterosis-bedingte Reaktionen sein, die gesamte Akkumulation an Trockenmasse (Knollen+Kraut) erscheint jedoch zur Ermittlung der Heterosis in nichtadaptiertem Material noch geeigneter.

Résumé L'analyse de la capacité de combinaison a été faite sur un échantillon issu de croisement diallèle, pris au hasard dans les populations de quatre types de pommes de terre diplo?des cultivées:Solanum tuberosum groupe Andigena haplo?des (AH), groupe Tuberosum haplo?de (TH), groupe Phureja (PHU) et groupe Sténotonum (STN) pour déterminer le degré d'hétérosis et l'effet génétique dans la transmission du rendement en tubercules et en fanes, de la production totale (tubercules+fanes) par rapport à la matière fra?che et à la matière sèche, de la densité. La moyenne du poids total de tubercules (tableau 2) a été la plus élevée pour l'hybride F1, TH×SIN (0,75 kg/butte) suivie par TH×PHU (0,59 kg/butte), AH×TH (0,38 kg/butte) et AH×STN (0,32 kg/butte). Un classement analogue des moyennes a été obtenu pour le poids des tubercules plus celui des fanes et la production totale de matière sèche. En ce qui concerne le poids des fanes fra?ches et sèches, les hybrides AH ont eu généralement le rendement le plus haut. Les hybrides STN ont donné une densité élevée. Quand les hybrides ont été comparés au ‘mid parent’ (voir définition tableau 2) leur valeur a généralement dépassé celle de ce dernier pour les six critères (tableau 2). Les hybrides TH, STN et PHU ont dépassé respectivement le rendement total en tubercules du ‘mid parent’ de 135, 145 et 117%. Les hybrides des quatre populations parentales ont dépassé le ‘mid parent’ pour la matière sèche totale, et trois d'entre eux pour les poids de tubercules plus fanes. La densité a égalé la valeur du ‘mid parent’ pour tous les hybrides, mais la fourchette du pourcentage au niveau de ce critère était petite pour le ‘mid parent’. Les performances des hybrides F1 ont été supérieures à ce dernier pour le poids total de tubercules, le poids de tubercules plus fanes et la production totale de matière sèche (tableau 2). Les carrés des moyennes de la capacité générale de combinaison (GCA) ont été hautement significatifs pour le poids total des tubercules, le poids de fanes fra?ches et sèches et la densité; toutefois, il n'ont pas été significatifs pour la production de matière fra?che et sèche du total tubercules plus fanes (tableau 3). Les carrés des moyennes de la capacité spécifique de combinaisons (SCA) n'ont été significatifs pour aucun des critères. Une forte interaction GCA×localité a été observé pour le poids total des tubercules et la matière sèche totale; elle a été éliminée de la GCA pour le calcul précis de la transmission à ce niveau. On a déduit de ces résultats que l'effet des gènes additifs a été important vis à vis de ces populations. Même avec l'action des jours longs et des températures élevées, préjudiciables à l'initiation de la tubérisation et au développement des tubercules, les groupes Sud Américains cultivés AM, STN et PHU, atilisés dans cette étude, ont accru la tubérisation au stade hybride bien que leur vigueur maximum ait été pénalisée par une photopériode défavorable. La production totale de matière fra?che (tubercules+fanes) peut être un bon indicateur de la réponse à l'hétérosis, mais la production totale de matière sèche (tubercules+fanes) est souvent meilleure pour la détermination de l'hétérosis d'un matériel inadapté.
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16.
F. Frey 《Potato Research》1980,23(3):303-310
Summary The Spieckermann method of testing potatoes for resistance against potato wart (Synchytrium endobioticum (Schilb.) Perc.) was modified by using the plant growth regulator Cycocel to cause early initiation of tubers from potato seedlings and to allow maintenance of the plants in small containers (e.g. ‘Jiffy pellets’) until symptom expression. Less space, time and much less inoculum are needed in comparison with the original method.
Zusammenfassung Es wird eine modifizierte Spieckermann-Methode zur Inokulation von Kartoffels?mlingen mitSynchytrium endobioticum beschrieben, deren Vorteile vor allem in der Einsparung an Zeit, Raum und vor allem an ben?tigtem Inokulum liegen dürfte, so dass sie sich zur Anwendung bei grosser Anzahl zu prüfender Pflanzen eignet. Nach Applikation von 0,15% ‘Cycocel-Extra’ (einer Formulierung von 460 g/l Chlormequatchlorid und 320 g/l Chlorcholinchlorid) zu 4–5 Wochen alten Kartoffels?mlingen wurde ein frühes Einsetzen der Knollenbildung beobachtet. Tabelle 1 zeigt den Einfluss der Cycocelanwendung auf die Anzahl und Gr?sse der Knollen. Wurden die S?mlinge etwa 1 Woche vor der Applikation in kleine Pflanzgef?sse (z.B. ‘Jiffy-Pellets’), die oberfl?chlich mit Dauersporangien des Erregers (etwa 0,1 g Inokulum pro Pflanze) bestreut waren, gepflanzt, so wurden die ersten Symptome des Kartoffelkrebses bereits nach 4 Wochen sichtbar. Abb. 1 zeigt S?mlinge unmittelbar nach dem Verpflanzen in das inokulierte Pflanzgef?ss (‘Jiffy-Pellet’), Abb. 2 die durch Cycocel ausgel?ste Knollenbildung an 6 Wochen alten S?mlingen. Abb. 3 zeigt frühe Symptome von Kartoffelkrebs an Knollen und Stolonen von 9 Wochen alten Kartoffels?mlingen auf inokulierten ‘Jiffy-pellets’, w?hrend die in Abb. 4 gezeigten 13 Wochen alten S?mlinge zur weiteren Entwicklung im Alter von 9 Wochen in T?pfe mit sterilem Boden ohne zus?tzliches Inokulum gepflanzt worden waren.

Résumé Il s'est avéré intéressant d'utiliser une modification de la méthode de Spieckermann pour tester la résistance de nombres importants de jeunes plantes de pomme de terre à l'égard de la galle verruqueuse, provoquée parSynchytrium endobioticum (Schilb.) Perc. On a montré qu'une application de 0,15% de ‘Cycocel Extra’ (460 g de chlorure de chlormequat et 320 g de chlorure de chlorocholine dans un litre d'eau), induisait la tubérisation sur des plantes agées seulement de 6 à 8 semaines. Le tableau 1 montre l'effet du ‘Cycocel-Extra’ sur le nombre et le calibre des tubercules de plantes agées de 13 semaines. Après transplantation à l'age de 4 semaines, de plantes avec tubercules et stolons ainsi induits, dans de petits containers (mottes, par example) contaminés superficiellement avec de petites quantités (0,1 g par plante environ) de sporanges d'hiver séchés du champignon, on a montré que des symptomes de galle verruqueuse apparaissaient dès 5 semaines après la transplantation dans le substrat contaminé (plantes agées au total de 9 semaines). De nouveaux symptomes peuvent être induits en transplantant les plantes avec leur motte dans le sol stérile d'un pot de terre cuite. La figure 1 montre les plantes nouvellement transplantées; la figure 2 montre la tubérisation induite de plantes agées de 6 semaines, apres application de Cycocel à 0,15%; la figure 3 montre les sympt?mes précoces de galle verruqueuse sur des plantes de 9 semaines d'age, et la figure 4 le développement de la galle sur des plantes de 13 semaines. Ces dernières ont été transplantées avec leur motte en sol stérile (sans nouvelle addition d'inoculum).
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17.
Summary Before tuber initiation the content of reducing sugars in the stolon tips was high, the sucrose content was low and the reducing sugar/sucrose ratio was very high. Tuber formation was apparently associated with a rapid fall in this ratio. The content of total sugars was at a maximum (about 1.5–3% fresh weight) 1–2 weeks after tuber initiation, sucrose predominating. There was no correlation between this maximum sugar content and latitude of growth. Sugar content fell as the tubers developed to a final value of 0.1–0.3% total sugars. During this fall, and at maturity, there were usually statistically significant correlations between the distance north of cultivation and the contents of total sugar, sucrose and reducing sugars respectively. There was thus a greater tendency for potatoes grown in the north to be unacceptable for crisp manufacture.
Zusammenfassung Die vorliegenden Ergebnisse basieren auf der Untersuchung von Knollenmustern, die im Abstand von zwei Wochen in 15 Zentren Grossbritanniens, deren Lage in Abb. 1 aufgezeigt und in Tabelle 1 beschrieben wird, geerntet und sofort in Kohlens?ureeis auf dem Feld eingefroren wurden. Es bestand keine gleichm?ssige Tendenz in bezug auf den Beginn der Knollenbildung von Süden nach Norden (Tabelle 2). Der Gesamtzuckergehalt in den Knollen stieg innerhalb ungef?hr einer Woche nach Beginn der Knollenentwicklung (Abb. 3) zu einem sehr hohen, aber schwankenden Maximum an. Diese Schwankung war nicht signifikant korreliert mit dem Anbau im Breitengrad N. W?hrend des nachfolgenden Absinkens des Zuckergehaltes war jedoch dieser Gehalt direkt korreliert mit dem Breitengrad N (Abb. 2 und 3, Tabelle 3). Der Saccharosegehalt war in den Stolonenspitzen vor Beginn der Knollenbildung sehr gering, stieg aber rasch zu einem hohen Maximalwert w?hrend der ersten 1–2 Wochen nach Beginn der Knollenbildung (Abb. 4) an. In diesem Stadium war die Schwankung im Saccharosegehalt nicht mit dem Breitengrad N korreliert, aber w?hrend des nachfolgenden Absinkens des Saccharosegehaltes war dieser Gehalt mit dem Breitengrad N direkt korreliert (Tabelle 3). Das Verh?ltnis reduzierender Zucker/Saccharose war vor Beginn der Knollenbildung in den Stolonenspitzen sehr hoch, fiel dann aber w?hrend des Knollenwachstums auf ein Minimu, das in der Mitte der Knollenwachstumsperiode erreicht wurde, und stieg nachher wieder an (Abb. 5). Am Anfang und am Ende der Knollenwachstumsperiode bestand für diesen Verh?ltniswert die Tendenz, direkt mit dem Breitengrad N korreliert zu sein (Tabelle 3). Der Gehalt an reduzierenden Zuckern war vor Beginn der Knollenbildung in den Stolonenspitzen hoch, er sank vom ungef?hren Zeitpunkt des Beginns der Knollenbildung an und erreichte um die Mitte der Knollenwachstumsperiode ein Minimum (Abb. 4). Anschliessend folgte eine Tendenz zu einem schwachen Ansteigen, besonders im Norden. W?hrend der Wachstumsperiode bestand meistens eine direkte Korrelation zwischen dem Gehalt an reduzierendem Zucker und dem Breitengrad N des Anbauortes (Tabelle 3). Zur Zeit der Ernte der für den Handel bestimmten Ware im Jahre 1966 war der Zuckergehalt der geernteten Kartoffeln auf 5 von 6 Farmen, die mehr als 600 km n?rdlich vom 50. Breitengrad lagen, zu hoch, um von der Chipsindustrie vollst?ndig übernommen werden zu k?nnen. Auf allen andern Betrieben war er genügend tief. 1967 war er auf 2 von 3 Betrieben, die mehr als 800 km n?rdlich vom 50. Breitengrad lagen, zu hoch, aber genügend tief auf allen andern Betrieben.

Résumé Les résultats consignés dans ce rapport sont issus des analyses d'échantillons de tubercules récoltés à des intervalles de deux semaines, immédiatement gelés au champ dans du CO2 solide, et cela dans 15 centres de Grande-Bretagne; la position de ces divers centres est représentée dans la Figure 1 et précisée dans le Tableau 1. Il n'appara?t aucune tendance valable dans la date de l'initiation de la tubérisation du Sud au Nord (Tableau 2). La teneur en sucres totaux des tubercules s'élève à un maximum très élevé mais variable une semaine environ après l'initiation de la tubérisation (Fig. 3). Cette variation n'est pas en corrélation significative avec latitude N de la culture. Cependant au cours de la chute subséquente de la teneur en sucres, cette teneur est directement liée à la latitude N (Fig. 2 et 3, Tableau 3). La teneur en sucrose est très basse dans les pointes des stolons avant l'initiation des tubercules mais augmente rapidement jusqu'à un maximum élevé pendant les première et deuxième semaines après l'initiation des tubercules (Fig. 4). A ce stade, la variation dans la teneur en sucrose n'est pas en corrélation avec la latitude N, mais pendant la chute subséquente de la teneur en sucrose, cette teneur est directement liée à la distance N (Tableau 3). Le rapport sucre réducteur/sucrose est très élevé dans les pointes de stolons avant l'initiation de la tubérisation, et tombe ensuite pendant la croissance du tubercule, jusqu'à un minimum qui est atteint dans le milieu de la période de croissance du tubercule, et s'élève alors de nouveau (Fig. 5). Au commencement et à la fin de la période de croissance des tubercules, existe pour cette valeur de rapport, une tendance à être directement corrélative de la latitude N (Tableau 3). La teneur en sucres réducteurs est élevée dans les pointes de stolons avant l'initiation du tubercule et tombe, approximativement, à partir du moment de l'initiation de la tubérisation jusqu'à atteindre un minimum à peu près à mi-temps de la période de croissance du tubercule (Fig. 4). Il existe une tendance à une légère remontée subséquente, particulièrement dans le nord. Pendant la plus grande partie de la saison de croissance, il se révèle une corrélation directe entre la teneur en sucre réducteur et la distance nord de la culture (Tableau 3). Au moment de la récolte pour le commerce en 1966, la teneur en sucres dans les récoltes de 5 à 6 fermes situées à plus de 600 km nord de la latitude 50oN était trop élevée pour être tout-à-fait acceptable pour la fabrication de chips. Cette teneur était suffisamment basse dans toutes les autres fermes. En 1967, elle était trop élevée dans 2 ou 3 fermes situées à plus de 800 km nord de la latitude 50oN mais était encore suffisamment basse dans toutes les autres fermes.
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18.
Summary Potato plants were grown in pot assemblies which allowed non-destructive observations. During tuberization, plants were exposed to dry or wet conditions in the stolon environment and normal or low osmotic potential of the nutrient solution. Drought in the stolon environment enhanced the initiation of stolons and tubers. Although this treatment caused a minor reduction in yield, more large tubers were produced because there were more large tubers on the early-initiated stolons. Drought in the root medium did not affect the final number of stolons or tubers initiated, but reduced tuber yield. It inhibited the formation of large tubers on the later-formed stolons. Drought conditions simultaneously in the stolon and root media slightly stimulated the initiation of stolons and tubers. Furthermore, it reduced the tuber yied and no large tubers were found on the latest-formed stolons. However, there were more large tubers on the early-formed stolons.
Zusammenfassung In zwei Experimenten unter kontrollierten Bedingungen (Tabelle 1) wurden Pflanzenentwicklung, Knollenertrag und Knollengr?ssen-Verteilung vonSolanum tubersosum L. (Sorte Bintje) untersucht. Das speziel entwickelte Verfahren (Abb. 1) erlaubte fortw?hrende, nicht-destruktive Beobachtungen der Stolonenbildung und der Knokllweninitiiterung und erm?glichte separate Variierung der Wasserverfügbarkeit in der Umgebung von Wurzeln und Stolonen. Die Stolonne-Initiierung wurde duch ein trockenes Stolonen-Medium gef?rdert, w?hrend Trockenheit in der Wurzelumgebung die Stolonenbildung kaum beeinflusste (Abb. 2). Ebenso wurde Knolleninitiierung durch Trockenheit im Stolonenmedium stimuliert, w?hrend eingeschr?nkte Waseraufnahrne durch die basalen Wurzeln kaum Einfluss auf die Knollenbildung hatte (Abb. 3). Nicht alle Knollen wuchsen bis zu substanzieller Gr?sse. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte die Zahl der Knollen, die ein endgültiges Trockengewicht über 0,50 g errichten (Tabelle 2). Der Feuchtigkeitsgehalt des Stolonenmediums hatte hingegen keinen Einfuss auf diese Zahl. Trockenheit im Wurzelmedium reduzierte auch den Gesamtertrag an Knollentrockenmasse erheblich. Ein trockenes Stollonenmedium hatte lediglich einen geringen Einfluss (Tabelle 2). Offensichtlich reduziert Trockenheit de Zahl der Knoilen durch Reduktion des Knollenwaschtums und nicht durch Beeinflussung der Knollenbildung, und ist nur bei trockenen Verh?ltnissen im Wurzelbereich effektiv. Ein trockens Stolonenmedium w?hrend der Knollenbildung induziert eine Schub and Trockenmasse für h?here Knollengr?ssen: In beiden Versuchen ergab sich eine h?here Proportion des gesamten Knollenertrages in der h?chsten Klasse für Knollengr?ssen (Abb. 4). Wurden die Wurzeln trockenen Verh?ltnissen ausgesetzt, wurde relativ mehr Trocknmasse in den mittelgrossen Knollen festgelegt (Abb. 4.). Der beobachtete poisitive Effekt eines trockenen Stolonenmediums wurde durch einen Anstieg der Zahl grosser Knollen an früh-initiierten Stolonen verursacht (Abb. 5). Trockenheit im Wurzelmedium ergab weiniger gr?ssere Knollen an den sp?tinitiierten Stolonen (Abb. 5). Der einfluss von Trockenheit im Wurzelmedium stimmt mit den meisten Literaturdatend überein. Der Einfluss eines trockenen Stolonenmediums ist dagegen bemerkenswert und bedarf weiterer Untersuchung.

Résumé Les effets de la sécheresse sur le développement de la plante, le rendement en tubercules et la répartition des calibres deSolanum tuberosum L. variété Bintje sont étudiés dans deux expérimentations en conditions controlées (tableau 1). Le dispositif spécial utilié (fig. 1) permet des observations non destructives fréquentes de la formation des stolons et de l'initiation des tubercules et rend possible des variations séparées de la disponibilité en eau au niveau des racines et des stolons. Un milueu sec au niveau des stolons favorise leur initiation tandis que des conditions sèches au niveau racinaire l'affecte (fig. 2). L'initiation des tubercules est stimuulée par des conditions dèches au niveaudes stolons tandis qu'une absorption d'eau réduite des racines de la base n'a aucun effet sur la tubérisation (fig. 3). Tous les tubercules n'atteignent pas un calibre important. Une sécheresse au niveau du milieu racinaire réduit le nombre de tubercules de poids sec final supérieur à 0,50 g (tableau 2) mais le degré d'humidité au niveau des stolons n'a aucun effet surce nombre. Une sécheresse du milieu racinaire diminue également fortement le rendement totalen matière sèche des tubercules. Une sécheresse uniquement au niveau des stolons n'a qu'un effet mineur (tableau 2). Apparemment, la sécheresse diminue le nombre de tubercules en réduisant le grossissement des tubercules et non pas en modifiant la tubérisation, et n'a d'effet que si les racines sont soumises aux conditions sèches. Un milieu sec au niveau des stolons durant la tubérisation induit un déplacement de la matière sèche vers les tubercules les plus gros: dans les deux expérimentations une plus grande proportion du rendement total en tubercules a été observée dans la classe des calibres les plus gros (fig. 4). Loorsque les racines sont soumises à des conditions sèches une quantité relativement plus importante de matière sèche est accumulée dans les tubercules de moyen calibre (fig. 4). L'effert positif observé dans le cas d'un milieu sec au niveau des stolons est la cause d'une augmentation du nombre de gros tubercules sur les stolons initiés précocement (fig. 5.). Une sécheresse du milieuracinaire a pour conséquence un faible nombre degros tubercules formés surles stolons initiés tardivement (fig. 5). Les effets d'une sécheresse racinaire concordent avec la plupart des données mentionnées dans la litérature. Les effets d'une sécheresse au niveau des stolons sont cependant singuliers et nécessitent des investigations comlémentaires.
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Summary Protein electropherograms of 59 Dutch potato varieties, obtained by paper electrophoresis, turned out to be specific to the varieties. The specific characteristics were maintained even when external factors, such as soil type, level of nitrogen fertilization and environment were varied. The individual tubers of a sample showed the same patterns, provided that they were all full-grown. In several experiments, the sap of immature tubers gave patterns in which the peaks of slower moving fractions were lower. A significant relationship was established between the electrophoretic characteristics and five out of the twelve characters analysed, in all the varieties studied.
Zusammenfassung Bis jetzt bestand die einzige praktisch anwendbare Methode zur Identifizierung von Kartoffelsorten in der Untersuchung der Lichtkeime, was jedoch viel Zeit beanspruchte. Eine schnellere Methode stellt die Trennung der l?slichen Eiweisse in den Knollen auf elektrophoretischem Wege dar. Die Elektropherogramme von 59 holl?ndischen Sorten zeigten sich spezifisch zu sein (Tabelle 1, Abb. 5). In einer Haushalt-Saftpresse (Rotel) wurden die Knollen zerkleinert und der Saft vom Brei getrennt. Nachher wurde die St?rke durch Filtration des Saftes abgetrennt. Alle Versuche wurden mit einem Elphor-H Papier-Elektrophoresc-Apparat nach einer abge?nderten Form der nachGrassmann undHannig (1952) benannten Methode ausgeführt. Das Auftragen des Saftes auf die Papierstreifen wurde durch Verwendung eines magnetischen Glas-Auftragsstempels (Abb. 1) vereinfacht. Da verschiedene Saftmengen leicht abweichende Muster ergaben — die sich am schnellsten bewegende Gruppe von Fraktionen wich unverh?ltnism?ssig stark ab (Abb. 2) —musste die Eiweiss-Konzentration jeder Probe vor der Untersuchung bestimmt werden. Jede Auftrennung beanspruchte 5 Stunden; die totale Wanderungsstrecke nach dieser Zeit war immer ungef?hr dieselbe, und die Abst?ndezwischen den entsprechenden Fraktionen auf den verschiedenen Streifen war konstant (Abb. 4). Die Streifen wurden nach dem Trocknen bei Zimmertemperatur mit Amidoschwarz-10B-L?sung gef?rbt und die überschüssige Farbe nach und nach mit Methanol-Essigs?ure und einer warmen, w?sserigen L?sung von Essigs?ure wieder herausgel?st. Für diesen Arbeitsvorgang benützte man rostfreie Stahlbeh?lter (Abb. 3). Nach der Entf?rbung des Hintergrundes wurde der so pr?parierte Streifen mit einem Zeiss Extinktions-Schreiber II ausgemessen. Nachdem man die Charakteristiken der Elektropherogramme festgestellt hatte, wurde der Einfluss ?usserer Bedingungen w?hrend des Pflanzenwachstums und m?gliche Variationen des Absorptionsmusters von einzelnen Knollen innerhalb einer Probe untersucht. Untersuchte ?ussere Einflüsse waren: die Bodenart (Tabelle 2), die Stickstoffdüngung (Tabelle 3), Umwelt, Knollengr?sse (Tabelle 4) und Reifegrad. Nur die zwei letztgenannten Faktoren bewirkten signifikante Unterschiede. Kleine Knollen (Abb. 7) und unreife Knollen (Abb. 6) zeigten die gleichen Abweichungen, d.h. die langsam wandernden Gruppen von Fraktionen ergaben kleinere “Peak”-H?hen im Vergleich mit grossen und reifen Knollen. Die Ergebnisse der statistischen Auswertung der elektrophoretischen Merkmale und zw?lf der wichtigsten Eigenschaften aller untersuchten Kartoffelsorten sind in Tabelle 5 aufgeführt. Bei fünf der zw?lf Eigenschaften wurde eine signifikante Korrelation festgestellt.

Résumé Jusqu'à présent, la seule méthode pratique d'identification des variétés de Pomme de terre consistait dans l'examen des germes qui exigeait un long délai. Une méthode plus rapide est la séparation par électrophorèse des proté?nes solubles des tubercules. Les courbes d'électrophorèse de 59 variétés hollandaises paraissent être spécififiques (Tableau 1, Fig. 5). Les tubercules sont macérés et le jus séparé de la pulpe dans une centrifugeuse ménagère à jus (Rotel); l'amidon est éliminé par filtration. Tous les essais ont été exécutés avec un appareil d'électrophorèse sur papier “Elphor H”, selon la méthode modifiée deGrassmann etHannig (1952). La construction d'applicateurs magnétiques en verre (Fig. 1) simplifie l'application du jus sur les bandes de papier. Comme différentes quantités de jus donnent des aspects légèrement différents — le groupe des fractions se mouvant le plus rapidement varie d'une manière non-proportionnelle (Fig. 2) — la concentration en proté?ne de chaque échantillon doit être déterminée avant l'application. Chaque cycle dure 5 heures, temps pendant lequel la distance totale couverte est approximativement constant ainsi que celles comprises entre les groupes de fractions identiques sur différentes bandes (Fig. 4). Les bandes sont séchées à la température de la chambre et colorées avec une solution amidoblack 10B et décolorées successivement dans methanol-acide acétique et une solution aqueuse schaude d'acide acétique. On utilise pour ce faire des récipients en acier inoxydable (Fig. 3). Quand le fond est décoloré la bande est exploréc avec un appareil Zeiss Extinction Recorder II qui reproduit la courbe d'électrophorèse. La spécificité des courbes d'électrophorèse ayant été établie, on a étudié l'effet sur celles-ci des conditions externes pendant la croissance de la récolte, de même que la possibilité de variations des courbes de tubercules individuels d'un échantillon. Les conditions externes étudiées étaient le type de sol (Tableau 2), la fumure azotée (Tableau 3), le milieu, la grosseur de tubercule (Tableau 4) et la maturité. Seuls les deux derniers facteurs mentionnés induisaient des différences significatives. Les petits tubercules (Fig. 7) et les tubercules non m?rs (Fig. 6) montraient les mêmes déviations, c'est-à-dire que les groupes de fractions se mouvant plus lentement avaient des sommets plus bas par rapport aux tubercules gros et m?rs respectivement. Le Tableau 5 donne les résultats de l'analyse statistique des caractéristiques électrophorétiques et douze des caractères les plus importants de toutes les variétés étudiées. Cinq des douze caractères montrent une corrélation significative.
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Summary In parallel with the dwarfing effect of mountain environment on potatoes, virus development within the plants was inhibited. Tubers from crops grown in the mountains consistently had a low phosphorus and organic-acid content. When seed from these crops was grown in the lowlands the content of both phosphorus and organic acids in the tubers was higher as was their respiration rate. The probability that virus multiplication within the plant is dependent on factors affecting growth is discussed.
Zusammenfassung Eine enge negative Korrelation wurde festgestellt zwischen den H?henlagen der Karpaten und dem durchschnittlichen Ertrag der KartoffelsortenAckersegen, Voran undEpoka (Tab. 1). Wurde Pflanzgut aus Lagen über 400 m ü. M. in einer Region von 200 m ü. M. ausgepflanzt, so führte dies zu einer betr?chtlichen Ertragserh?hung im Nachbau (Abb. 2 und 4). In H?hen zwischen 400 und 1200 m ü. M. war die Virusvermehrung in Kartoffelpflanzen gehemmt (Abb. 1). Neben der Wachstumshemmung durch die Umweltsverh?ltnisse in den H?henlagen und der stimulierenden Wirkung auf das Saatgut (wenn es im Tiefland ausgepflanzt wurde), konnten auch Unterschiede im Stoffwechsel der Knollen in Abh?ngigkeit von der H?henlage beobachtet werden. Knollen aus Best?nden, die in drei aufeinanderfolgenden Jahren in H?henlagen zwischen 400–1200 m ü. M. gewachsen waren, wiesen im Vergleich zu jenen aus dem Tiefland einen niedrigen Phosphorgehalt (Tab. 2) und einen hohen Kaligehalt auf. Wenn Knollen aus Lagen über 400 m ins tiefland versetzt wurden, stieg der Phosphorgehalt, und der Kaligehalt nahm ab (Tab. 3). Parallel mit dem Phosphor-und Kaligehalt wurden auch der Gehalt an organischen S?uren und die Respirationsrate der Knollen durch die Umweltsverh?ltnisse in den H?henlagen beeinflusst. In Berglagen zeigte die SorteEpoka einen sehr niedrigen Gehalt an organischer S?ure und eine kleine Respirationsrate der Knollen (Tab. 4); wenn die Knollen jedoch in Krakau ausgepflanzt wurden, stiegen beide Werte betr?chtlich, ebenso der Ertrag. Die SorteAckersegen reagierte unterschiedlich (Tab. 7). Verglichen mit gesunden Knollen war bei virusinfizierten Kartoffeln eine deutliche Zunahme im Phosphor-und Kaligehalt festzustellen, begleitet von einer Abnahme an organischen S?uren und einem Absinken der Respirationsrate (Tab. 5). Die Wahrscheinlichkeit, dass die Virusvermehrung in der Pflanze von Faktoren abh?ngt, die das Wachstum beeinflussen, witd diskutiert.

Résumé Il existe une étroite corrélation négative entre l'altitude dans les monts Carpathes et la production moyenne des variétés de pomme de terreAckersegen, Voran etEpoka (Tableau 1). Le transfert de plants de sites au-dessus de 400 m dans une région à 200 m cause un considérable accroissement de production dans les récoltes suivantes (Fig. 2 et 4). Le développement des viroses est inhibé dans les plants de pomme de terre poussés à des altitudes entre 400 et 1.200 m (Fig. 1). Outre l'effet de nanisme du milieu “montagne” et son action stimulante sur les plants transférés en plaine, des différences s'observent dans le métabolisme des tubercules poussés à de différentes altitudes. Les tubercules issus de récoltes poussées pendant trois années successives à des niveaux variant entre 400 et 1.200 m avaient une basse teneur en phosphore et une haute teneur en potassium comparativement à ceux poussés en plaine (Tableau 2). Quand les plants étaient transférés en plaine à partir de sites au-dessus de 400 m, la teneur en phosphore du tubercule augmentait et la teneur en potassium diminuait (Tableau 3). Parallèlement aux teneurs en phosphore et en potassium, la teneur en acide organique et la vitesse de respiration étaient également affectées par le milieu “montagne”. Chez la variétéEpoka, poussée en montagne, la teneur en acides organiques et la vitesse de respiration des tubercules se trouvaient à un niveau très bas (Tableau 4); mais, après transfert à Cracovie, les deux caractères montraient un accroissement considérable, ainsi d'ailleurs que la production. La variétéAckersegen réagissait différemment (Tableau 7). Comparés aux tubercules sains, les tubercules infectés de virus montraient un accroissement limité en phosphore et potassium qui s'accompagnait d'une diminution des acides organiques et d'une chute de la vitesse de respiration (Tableau 5). Est discutée la probabilité que la multiplication du virus dans la plante dépend des facteurs affectant la croissance.
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